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Je suis gardien de prison assez pervers et plutôt zélé. Je faits régner la discipline parmi mes détenus, je me fais passer pour un hétéro pur et dur, c'est obligatoire en milieu carcéral. Un jour j'ai interrogé un jeune beur qui aurait été à l'origine d'une partouze dans les douches et je devais le contraindre à avouer. Malgré ses protestations, je n'ai rien voulu savoir et j'ai demandé au jeune repris de justice de me raconter et me montrer ce qui s'est exactement passé.
Comme je l'interrogé seul dans une cellule, je lui ai ordonné de me sucer longuement et profondément, et là aucun doute il était bien à l'origine de la baise dans les douches. Je lui ai proposé de passer l'éponge en échange de son super petit cul à chaque fois que j'en aurai envie, immédiatement j'ai lécher et doigter son joli petit cul avant de le sodomiser sauvagement à quatre pattes puis en lui écrasant la tête contre le mur, en assumant parfaitement mon rôle de dominant viril et tout puissant.
Il n'est resté prisonnier que 2 mois, j'ai hâte qu'il fasse une nouvelle connerie :)
Comme je l'interrogé seul dans une cellule, je lui ai ordonné de me sucer longuement et profondément, et là aucun doute il était bien à l'origine de la baise dans les douches. Je lui ai proposé de passer l'éponge en échange de son super petit cul à chaque fois que j'en aurai envie, immédiatement j'ai lécher et doigter son joli petit cul avant de le sodomiser sauvagement à quatre pattes puis en lui écrasant la tête contre le mur, en assumant parfaitement mon rôle de dominant viril et tout puissant.
Il n'est resté prisonnier que 2 mois, j'ai hâte qu'il fasse une nouvelle connerie :)
Je m’appelle Julien et je suis un jeune gay refoulé de 19 ans. J’ai redoublé ma terminale du coup je suis encore au lycée. Je suis d’humeur à vous raconter ce qui m est arrivé il y a 2 semaine parce que je ne peux le dire à personne tellement j’ai honte. Je viens de changer de lycée et du coup j’ai du tenté de m’intégrer du mieux que je peux dans mon nouveau lycée . Heureusement qu e Hamou bg rebeu marocain m a pris sous son aile. Comme à chaque récré on traîne ensemble avec tous les rebeus de cité qui on du mal a faire accepter leur testostérone. Pour une fois je ne peux pas me retenir d aller pisser aux urinoirs malgré ma petite bite. Mais pour une fois j’ai été chanceux… Hamou avait besoin de sortir son gros zob pour faire gicler un bon jet de pisse. Il me suis au chiottes et je bande déjà à l’idée de pouvoir mater sa bite. Je m’installe à un urinoir et comme par hasard il viens se mettre juste à côté de moi. Cette fois ci j’ai décidé de ne pas en perdre une goutte quitte à me faire lyncher . Il commence par dézipper son jean et sors son gros chibre sous ma vue. Je ne peux m’empêcher de jeter un coup d’œil sur ce gros gland basané que j’imagine tous les soirs en me branlant. Je n’aurais jamais pensé qu’elle était aussi grosse et pour le coup je ne peux détacher mon regard. Forcément il me capte et me dit d’un ton bien viril: « j’en étais sûr que tu étais une petite salope qui Kiffe mater des gros zobs de rebeus. C’est pas la première fois que je te vois mater mon paquet » Il remballe la marchandise et se dirige vers un toilette fermé en me faisant signe de le suivre. Je ne me fait pas prier. Je rentre dans la cabine, me met à genoux et commence à lui masser le paquet. Il me chuchote : « vas y fais toi plaise je sais que t’en crève d’envie . J’ai les couilles pleines et j’ai besoin de me faire vider par une bonne bouche » Ni une ni deux j’ouvre la bouche en grand et avale sa grosse bite jusqu aux couilles tellement j’ai fait. Je peux voir dans ses yeux qu’il prend son pied. Je commence à le branler avec mes lèvres et mes 2 mains , j’ai décidé d être sa pute. Tranquille mon marocain me casse la bouche et finit par me lâcher de bons gros jets épais au fond de la gorge. Je suis fier de moi et sors discrètement ni vu ni connu de la cabine. Vivement la prochaine fois que je puisse lui donner mon gros cul de pute au fond du parc dans lequel on a l’habitude de squatter.
J'étais en vacance en Bretagne en solo pour prendre du temps pour moi et tous les matins je faisais mon jogging pour me maintenir en forme. Ça faisait déjà quelques jours que je le voyais, au début on se calculait pas, mais au bout du 4eme matin on a commencé à discuter de tout et de rien. Il me racontait qu'il était avec quelqu'un mais que ça allait plus trop. Puis la discussion a dévié sur le sexe et comme ça faisait un moment pour moi j'ai commencé à bander et il l'a remarqué. J'étais super gêné et en même temps excité. Il m'a demandé si ça m'intéressait de baiser dans un coin et j'ai direct accepté. Il m'a enmené dans un coin discret où il allait pour se branler en cachette. On arrive, et me plaque contre un rocher et commence à toucher mon paquet. Je recommence à bander encore plus. Il se met à genou, baisse mon short et commence à prendre mon énorme bite dans sa bouche. Il m'a sucé comme jamais on m'avait sucer. Je l'attrape par les cheveux et je commence à baiser sa bouche , il gémissait comme un fou c'était grave excitant. Je lui ai dit d'enlever son short et de se mettre à 4 pattes ce qu'il fait immédiatement. J'ai commencé à lui bouffer le trou de balle, puis sans le prévenir, je lui ai enfoncé ma teub dans la chatte en le baisant comme un sauvage. Il gémissait comme un dingue, en me demandant de le baiser plus vite et plus fort, de lui claquer le cul. C'était vraiment une petite salope qui aimait se faire baiser. J'ai continué de le baiser et j'ai senti que j'allais jouir donc je lui ai dit de se retourner pour que j'éjacule dans sa bouche de salope, ce qu'il a fait en sortant sa langue. Ensuite je me suis assis par terre. Il s'est assis sur moi et a commencé à chevaucher ma bite; En même temps il se masturbait et a ejaculé sur mon torse. Je lui dit de lécher tout son jus. On s'embrassa pendant un bon moment puis j'ai vu qu'il en voulait encore donc je lui ai dit de s'allonger pour qu'on se mette en 69 et on s'est suçé comme si c'était la dernière fois de notre vie. Il me prenait bien profond, jouait avec mes couilles. Ensuite je lui ai interdit d'éjaculer parce que j'avais une autre idée en tête… Je voulait le voir s'auto sucer. Je lui dit ce que je voulais, au début il hésita mais il fini par accepter. Je me suis assis sur un rocher et je l'ai regardé faire tout en me masturbant en même temps, sauf que j'ai eu envie de pisser. Il m'a dit « pisse moi dessus », ça m'a surprend mais je l'ai fait, j'ai commencé à pisser sur sa tête, son cul, lui continuait à s'auto sucer et il a joui dans sa bouche. Je lui ai demandé de me sucer et je lui ai fait avaler tout mon jus.
Je sortais de chez moi... Devant la porte un mec rebeu portant un colis me regarde. Je lui demande en riant, c'est pour moi ? Et je pars en face au magasin... Quand je ressort, il m'attend sur son scooter et me fait signe de venir. D'un air méchant il me dit: tu m'as dis quoi ? Je lui répète la même chose que ce n'était pas pour moi... Il me réplique toujours avec son air de mec, tu veux que je te livre un colis ? On va chez toi .. Je lui fais signe de me suivre, ce qu'il fait en prenant un colis au hasard... Arrivé devant l'ascenseur il met sa main dans mon jogging et me palpe le cul en me roulant une belle bien baveuse .. Arrivé chez moi il me pousse sur mon lit et sort sa queue de 20cm et me dit: Suce salope j'ai pas de temps à perdre je bosse... Ce que j'ai fais... Il baisse mon jogging et me retourne en me léchant le cul et en retirent ses skets et son jogging et me baise d'un coup en me disant tu le sents mon colis salope ? Tu fais moins le fier.. Je sens sa queue se durcir et prête à cracher quand il se retire d'un coupe et me prend la bouche et jouie dans ma gueule dans un râle... Je kiff sont jus que j'avale... Il se rhabille et part en riant. T'es vraiment une vrais salope... Je reviendrais te livrer et me vider je sais ou tu habites... kahba
Ce matin réveillé par du bruit devant chez moi je descends voir ce qui se passe. C'est des ouvriers du bâtiment qui détruisent un mur en discutant entre eux. Je remarque qu'il y a 2 rebeux et un black tous les 3 bien bâtis le black 25a et les 2 rebeux 30a et le plus âgé 45a le chef de chantier. Je vais les voir et leur dit que s'ils veulent se rafraîchir qu'ils viennent chez moi. Vers les 10h on sonne - Excusez moi vous pouvez nous donner de l'eau ? - bien sur rentrez ( c'était le jeune black ) voilà prenez ces bouteilles et ces gobelets. J'ai remarqué que son regard fixait mon étendoir à linge qui était garni de mes strings, mon porte-jarretelle et mini-jupe ainsi que ma perruque. En prenant les bouteilles avec un sourire en coin il me dit - C'est joli chez vous et bien décoré tout en regardant l'étendoir - désolé j'ai pas eu le temps de ranger mes affaires - pas grave ces affaires là sont plus belles portées - oui tout à fait. Il est parti en me disant on vous ramène les gobelets. Je suis allé sur mon balcon et j'ai aperçu qu'ils parlaient ensemble et regardaient ma boîte à lettre. Je pense qu'ils ont compris que les strings et porte-jarretelles, perruque étaient à moi toujours en les regardant travailler j'ai remarqué qu'ils se touchaient l'entrejambe en me lançant des sourires. Une idée me traversa la tête et si je me transformais en Samira pour les mater. Ni une ni deux je file à la salle de bain pour me travestir vêtue avec mon tout nouveau abaya rose très fin, mon foulard noir ma fausse poitrine mes bas noirs mon porte-jarretelle noir et mon string noir un regard dans le miroir de ma chambre, ha oui ! L'abaya est vraiment très fin on voit tout. Je retourne sur le balcon pour voir leur réaction. L'un d'eux fait signe aux autres de monter. Je pense qu'ils ont compris à peine rentré à l'intérieur, j'ai entendu la sonnette. J'entrouve la porte - oui c est qui - C'est nous on vous ramène les gobelets - merci entrez et asseyez vous un moment je vais vous offrir un verre frais, avec votre métier vous devez avoir soif - Ha oui on a soif madame ou monsieur en me regardant - vous pouvez m'appeler Samira. Assis autour de la table je commence à les servir et c'est au moment où je sers le rebeu de 30a que j'ai senti sa main sur mon cul il me dit - Samira c'est un prénom de femelle - oui de femelle soumise. Il s'adresse à ses collègues - je crois que l'on a trouvé une bonne kahba les gas. Ton prénom Samira me dit quelque chose - peut être, je suis la kahba à maitre Farid - bingo les gars c'est la salope qui se fais baiser tous les dimanche au marché des Salins. J'ai entendu parler de toi il paraît que tu es une bonne salope à jus - oui - Alors au boulot, prouve le nous salope ! Tout c'est est passé très vite. Il sa orti sa belle bite circoncise et me la mis direct dans la bouche les autres ont déballé du bon matos aussi. Du coin de l'œil j'ai vu deux autres bites bien larges. Il me défoncé la bouche en me tenant la tête à deux mains - allez cassez lui le cul. Ils ont retroussé mon abaya pour découvrir mes sous-vêtements sexy des crachats ont recouverts ma chatte - putain elle a une chatte de meuf et ouverte regarde, j'y met 3 doigts - c'est normal elle se fait défoncer le cul tout les dimanches par tous les arabes là-bas. Il me pénétra direct et me lima le cul en me tenant par les hanches - hummm ce cul trop bon je vais te défoncer Samira et bien te remplir ta chatte. Ou bout de 15mn je sentis des flots de sperme me remplir. Je n'ai pas eu le temps d'apprécier que le black me pénétra à son tour avec sa bonne bite épaisse mais bien plus longue pendant ce temps je suçais Moto c'est son prénom en gorge profonde. Il se vida direct dans ma gorge et s'adressa à son pote - regarde Abdel elle a tout pris dans sa gorge. Ça c'est de la bonne pute. Pendant que le back me défonçait hard à son tour - allez Aboul t'as fini ? Tu la remplie aussi ? On c'est tous vidé alors au boulot. Les trois on remballé leurs bites en me remerciant pour l'eau et que peut être ils reviendront avant de la fin du chantier. J'ai revus personne juste un petit mots dans ma boîte à lettre, un numéro de tèl.
Je suis Samira travesti soumise au arabes je suis leur kahba leur pute a jus.
Bonjour à tous. Hier soir mon maitre Farid ma invité chez lui. Toute excitée je me suis fait très belle et sexy toujours clean, lavement anal, épilée... J'attendais son sms avec impatience et vers 21h il me contact: " salut salope amène toi vite et tu viens en tenue de salope ce soir. Tu mets une mini jupe ras le cul avec des bas résilles et en talons aiguilles. Je te veux nu sous la mini jupe compris salope ? " Je lui ai répondu "oui maitre Farid" "tu me retrouves sur le parking comme d'habitude dans 30mn". Ni une ni deux. Obligée de changer de robe, j'ai mis une mini-jupe noire et des bas noirs avec mes talon de 12cm et me voilà parti. Avec mon maquillage de salope j'ouvre mon garage et part en voiture. Arrivée au parking je vois maitre Farid accompagné de plusieurs mecs. Je suis surpris il me demande de sortir de ma voiture. iI me dit on va chez moi. On a marché tous les six c'était tous des rebeux humm. Certains me pelotaient le cul sans se gêner en relevant ma mini-jupe. A certains moments je marchais carrément le cul à l'air. Ils se moquaient de moi en voyant ma cage de chasteté. Arrivé chez Farid çà était bcp plus hard Farid me gifla plusieurs fois " salope tu veux de la bite de rebeux ? On va te niquer toute la soirée. Maintenant à genoux et suce. Je les ai tous sucé chacun leur tour, jusqu'au moment où l'un d'eux à commencé à me baiser avec une bonne bite épaisse. Il m' a baisé sans ménagement sous les encouragements des autres, et ce fut le tour des autres. Ils m'ont tous baisé plusieurs fous. J'ai eu droit à des doubles pénétrations pendant que je sucais, certains m'ont fécondé. J'ai avalé bcp de foutre toute la soirée. J'ai du sucer et me faire enculer sans interruption. Vers les 7h du mat j'étais complètement gluante de partout et avant de partir maitre Farid m'a enlevé ma cage et m'a obligé à le branler dans un verre devant eux qui rigolaient quand j'ai joui dans le verre. Il leur a dit " regardaient cette salope aller, bois ton sperme ! "J'ai tout bu. Ils m insultaient et maitre Farid m'a dit de dégager et me disant" tu m'appartiens tu n'es qu'une salope à jus pour les arabes " Oui maitre Farid. La prochaine fois nous serons beaucoup plus nombreux pour te remplir. Oui maitre Farid. Je suis parti seule fatiguée, mais heureuse d'être leur salope. J'avais la chatte anal explosée en marchant je sentais le sperme s'écouler le long de mes cuisses quel bonheur maintenant d'être reconnue comme leur salope à jus. Je suis Samira travesti kahba de Clermont-Ferrand.
Hello à tous ! Je vais vous raconter une nouvelle histoire qui viens de se passer en ce mois de Juin 2024. Je me présente Ethan 21 ans de Montpellier. Voici la tant attendue histoire: Je suis sur une application de rencontres, je reçois une sextape d'un garçon de 23 ans qui se décrit « rebeu 23 ans 18 cm ch à se vider plan now » Je réponds en lui indiquant que je serai éventuellement intéressé mais que j'aimerais recevoir une photo (sur mon profil il y en a quelques-unes ). Il m'envoie une photo et la-à surprise. Il s'avère qu'il s'agit d'un très bon ami à ma cousine. Je lui renvoie une photo de ma tête en lui disant tu me reconnais pas ? Il me dit que si, et que justement ça l'excite d'avantages ! Je reste bouche bée, un garçon comme lui je n'aurais jamais pensé. On se retrouve dans un endroit assez reculé en banlieue. Il monte et m'embrasse directement surpris j'ai un mouvement de recul et de la il m'attrape par la gorge et m'embrasse d'avantage. On se caresse et se câline pendant 15 minutes environ. Puis viens le moment fatidique ou il baisse son pantalon et cette objet de désir apparaît sous mes yeux. Je la prend en main un peu, la branle de façon à faire monter légèrement la tension et là il se déchaine. Il m'attrape par la nuque et me force à lui faire une gorge profonde que j'accepte volontiers ! Au bout de 10-15 minutes il me baise hard la gorge comme et me dit « avale, bien et correctement et la prochaine fois on se capte chez moi et je te fais ta fête ». Et il commence à avoir des spasmes assez importants et halète beaucoup en creusant son ventre. Je sents ma gorge se remplir d'une dizaine de jets très abondants qui me remplisse la gorge. Etonné mais bien décidé à tout avaler je fais tout pour éviter d'en perdre une seule goutte et miraculeusement je n'en perd aucune. Après avoir repris ses esprits, il m'attrape la tête et m'embrasse tendrement, et me sort « merci ! C'était ma première fois ». Je lui demande avec un garçon ou en général ? Il me dit « non, non c'est ma toute première fois » Je reste choqué mais agréablement surpris ! Il m'a assuré qu'on se reverrait très prochainement !
Salut les boys, j'ai baisé l'électricien de ma boite. Je taff dans un labo de pâtisserie et en ce moment y'a des travaux. Ca fait quelques jours qu'il est là et on se lâche des yeux, de temps en temps mais sans se parler. J'utilisais une machine à découper et il devait couper l'électricité pour régler un truc, du coup on s'est parlé pour la première fois. Il s'est baissé pour ramasser un outil par terre et je vois que son regard fixe mon paquet. Il se rend compte qu'il s'est fait cramé, il commence à rougir et à s'excuser. Je lui dit qu'il n'y a aucun problème et j'lui demande si il est intéressé pour baiser. Il me réponds que oui et que ça fait un moment qu'il a pas sucé et qu'il est en manque. On se donne rdv dans son camion après le taff. A la fin de ma journée je vais prendre une douche vite fait, histoire d'être propre et on se retrouve dans le parking. On monte dans son camion, on discute un peu et on commence à s'embrasser. Je prend sa main et je la fou dans mon caleçon. Il commence à me branler, je baisse mon pantalon et je lui dis de me sucer, ce qu'il fait immédiatement. On va à l'arrière du camion, je lui dis de se déshabiller, de se mettre à genoux et de me sucer. Moi je m'assois et il commence à prendre ma grosse bite dans sa bouche de salope. Il me suce tout doucement mais j'en voulais + donc je commence à baiser sa bouche et il commence à gémir et baver comme une chienne. Je me déshabille et m'allonge à moitié par terre, on s'embrasse et il commence à me lécher les tétons, les aisselles, le torse, et ensuite les pieds. C'était la première fois qu'on me suçait les pieds et putain que c'était agréable. Je commence à me branler tellement ça m'excitait. Je sentais mon jus arriver donc je lui demande de rapprocher sa tête pour lui éjaculer dessus. Il bandait comme un dingue et voulait se branler sauf que je lui ai interdit. Il avait pas l'autorisation d'éjaculer. Jelui demande de se mettre à 4 pattes. Je commence à me coller contre son cul et à frotter ma bite dessus, il commence à gémir comme une salope et me demande de le baiser. Je commence à lui écarter les fesses et à cracher sur sur trou, et sans le prévenir je lui enfonce ma bite dans l'anus et je commence à le baiser comme une grosse salope. Il gémissait en me demandant d'aller + vite. Je commence à lui claquer son petit cul et il gémi encore + je prends sa queue et je le branle un peu puis je m'arrête. Je l'attrape par les cheveux et je plaque sa tête contre le sol puis je met mon pied pour le maintenir dans cette position. Je l'encule de + en + et il éjacule, je lui laisse même pas le temps de respirer que je le retourne sur le dos. J'écarte ses jambes, attrape ses mains puis le baise encore une fois, j'en avais pas fini avec lui…
Un jour mon pote Karim c'est promené dans la cité en tn cho7 sur le survet et arrivé au bloc 3, il rencontre un mec qui connait bien son frère. Il le branche direct, ho t'es pas le frère à toufik ? Il lui dit : ouais et alors ? Il lui dit t'es mignon comme mec. Tu veux pas me sucer la bite. Ho ! Tu t'es pris pour qui sale pute ? Et là de suite tu vas voir, vient voir ! Le mec le chope par le col du survet et l'entraine dans le bloc. Il le descend dans une cave fermée et commence à sortir sa bite de 25 cm, un truc de ouf et lui dit vas y suce sale pute. Je dirai rien à ton frère. Il lui enfile direct sa grosse bite dans la bouche et même en ce débattant un peu il commence a limer à fond le morceau. Il lui dit vas y suce bien. Lèche mes tn maintenant tu vas voir qui c'est la racaille ! Et là le nez dans ses tn fumantes la bite dans la bouche, il commença à lui enlever ses asics des pieds. L'autre arrêtaitr pas de gémir et dire non non... Il lui dit tu vas voir sale pute tu vas me servir de tepu maintenant et je vais te démonter le boule une foi en chaussettes. Il le retourne et lui met sa pine direct sans rien dire dans le boule. Le mec commence a hurler de douleur et lui dit t'as vu sale pute tu va souffrir hein ? Elle te plait ma teub ? Tient prend çà et au bout de 10 min de limage il sort sa bite et lui fiche sa asics sur sa tronche en lui crachant un jet énorme de jus dessus et dedans. Un truc de malade pour le mec qui va repartir avec les skets bien collantes et humides. Après la douleur et finalement l'excitation il gicle à son tour par terre. Mais les tn du lascars en prennent un coup grave aussi il fini par tu vois sale pute t'es ma chienne maintenant.
Plan cul avec des beurs gay et bisex en direct live
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Mon épouse a un collègue de travail qui s'appelle Nabil... Un arabe la quarantaine, très sympa. Le genre de rebeu pas marié, cadre et très sophistiqué. Il parle un français soutenu et s'habille toujours en costume impeccable. Ma femme semble beaucoup l'apprécier.
Un soir, elle l'invite à dîner. Il vient donc tiré à quatre épingles. Après le dîner, il s'assoit dans le fauteuil et je remarque qu'il a, sous son pantalon de costume, une sacrée bosse... Je n'arrive pas à détourner le regard, ce qu'il remarque d'ailleurs. Il commence à se faire tard, trop même pour que Nabil rentre chez lui. Ici, il y a deux chambres de libres. "Nabil, évidemment, tu dors ici !" lui dit ma femme. "Bon, ok..." lui répond-il en me regardant d'un air étrange.
La nuit, en allant aux toilettes, je croise Nabil. Il était en boxer... Putain, ce paquet me rend fou ! C'était vraiment une grosse bite (pas besoin qu'il la sorte pour le savoir). En faisant pipi, il avait laissé la porte ouverte. Tant qu'à faire, les gens sont mal élevés. Je me risque à entrouvrir pour le mater. Effectivement, il avait une très énorme bite large, charnue avec des grosses couilles pendantes.
Sans être surpris que je mate, il se met en face de moi et me dit : "Suce !" Ce que je fais direct. Il commence à bander dans ma bouche, c'était gigantesque. "Viens, on va dans la chambre", me dit-il. Ce fut un moment de dingue... J'ai découvert son vrai visage de caillera sans complexe, brutal. Il me défonça le cul. Je poussais des petits cris... Il me dit : "Chut, ta gueule, tu vas réveiller ta femme." À la fin, il jouit dans mes fesses une grosse dose de sperme.
Je quitte la chambre et me remets dans mon lit, le cul rempli de sperme d'arabe. Le lendemain, en me levant tôt le matin, je vois Nabil dans la salle à manger, en bas de jogging (toujours avec sa bosse). Il reprend évidemment son style français classe qu'il utilisait au bureau avec ma femme, en me regardant comme si de rien n'était.
Je ne revis plus jamais Nabil par la suite, mais longtemps, je me souviens de cette nuit torride et du contraste entre Nabil et Nabil le caillera... Le mec des bureaux et le bledard à grosse teub insolent. Décidément, les rebeus sont les meilleurs.
C'est la première fois que je raconte mon expérience dans un blog mais vu ce qu'il s'est passé, je me sentais un peu obligé de devoir le partager. Tout d'abord, je suis un mec bi de 23 ans et mes proches (famille et amis) sont au courant. Je suis toujours étudiant tandis que la plupart de mes potes travaillent déjà. L'histoire ici concerne un pote avec qui je ne suis pas le plus proche mais il y a un très bon feeling. On s'est rencontré lors de mes études à l'université. On était pas dans la même section, en faite je suis dans un groupe d'ami dans lequel se trouve sa meuf. C'est donc par elle que je l'ai rencontré. Il est plus âgé que moi (29 ans) et est un beau rebeu bien viril et bien costaud (pas spécialement musclés mais une corpulence assez massive). On va l'appeler Mehdi. Avec lui, on avait déjà eu quelques discussions, notamment quand je lui ai avoué que j'étais bi. Il m'a dit que lorsqu'il avait mon âge, lui-même pensait être bi et avait déjà tenté avec un mec. Malheureusement son expérience n'était pas satisfaisante et il se considère maintenant plus comme hétéro. Avec sa meuf, ça se passe super bien, cela faisait déjà 4 ans qu'ils étaient ensemble et ils venaient d'emménager dans un appartement dans lequel, nous (groupe d'amis) nous réunissons de temps en temps pour nous amuser, faire des soirées, etc. Par rapport à la personnalité de Mehdi, c'est quelqu'un qui me ressemble : assez calme et mature mais avec des moments un peu impulsif. Le courant entre nous deux passe très bien et je sens qu'il est assez attentionné envers moi malgré le peu de contact qu'on ait, peut-être qu'il se voit un peu en moi ? Bref, maintenant venons-en aux faits. L'histoire s'est déroulé il y a trois semaines, durant un week-end. La meuf à Mehdi était partie avec les meufs de notre groupe en séjour au sud de l'Espagne. Elles sont parties le vendredi matin tandis que Mehdi, un autre pote et moi allions profiter de la journée. Mes deux potes avaient pris congé et moi j'ai séché mes cours ce jour-là pour faire une journée entre mecs. Nous sommes aller faire un tour en ville, faire les magasins etc. On a été mangé au resto puis le soir s'amuser dans une boite. (Ah oui, à préciser que Mehdi n'est plus musulman depuis quelques années bien qu'il vienne d'une famille religieuse). En boite j'ai un peu abusé sur l'alcool comme Mehdi qui se trouve généralement assez vite en état d'ébriété avec peu d'alcool. Seul mon troisième pote n'a pas bu car il conduit et est parti plus tôt car il devait faire quelque chose le lendemain au matin.Il était vraiment tard quand Mehdi et moi sommes sortis de la boite. Comme j'habite encore chez mes parents, je ne voulais pas rentrer seul à cette heure tardive et dans cet état. Mehdi m'a alors tout de suite proposé de dormir chez lui. Sans hésiter j'ai accepté. On s'est donc rendu dans son appart. Là bas on a un peu discuté de tout et n'importe pendant une heure en buvant de l'eau en abondance, le temps que l'effet alcool redescend. À la fin, je lui ai proposé mon aide pour installer le canapé lit, mais il rigolait et m'a dit que je pouvais dormir à côté de lui dans son lit double sauf si cela me gênait. J'ai accepté et on s'est déshabillé. C'est la première fois que je le voyais en sous-vêtement. C'est vrai qu'il avait une corpulence assez imposante et j'étais surpris de constater le peu de poils qu'il avait sur le ventre et les pecs. Lui part contre était étonné de voir la masse poilue sur mon corps. Je lui ai dit que j'avais hérité ça de mon côté espagnol. On a continuer à se mater quelques secondes jusqu'au moment où je tombe sur son caleçon. Il portait un boxer qui laissait transparaitre une belle forme de gland. Bien évidemment il était circoncis. C'est alors que je sentais ma bite bouger, je ressentais une certaine excitation quant à la scène comme je suis bi. Je me suis vite retourner pour pas qu'il remarque et je me suis couché dans le lit avec la couverture. Je me demandais si lui, comme ancien bi, il ressentait aussi de l'excitation. Après je me suis quand même souvenu qu'il avait une meuf qui était quand même une de mes potes. Mais en faite, ça m'excitait encore plus. Là ma bite était en érection totale. Mehdi me demandait si je voulais me doucher avant et me laver les dents mais je lui ai menti en disant que j'étais trop fatigué pour me relever. Il se balada dans son appart pour prendre un essui et retira ses chaussettes devant moi. D'un coup une odeur forte frottait mon nez. Lorsqu'il vit ma réaction il s'excusa en disant qu'il transpirait souvent des pieds et qu'il puait souvent des pieds. C'est pourquoi il allait prendre sa douche. Ses chaussettes puantes étaient au sol devant mon nez. Il aurait pu quand même les mettre à la manne. D'un coup une idée me passa par la tête. Je ne sais pas pourquoi mais en entendant l'eau de la douche coulée, je me suis jeté sur ses chaussettes et je les ai senties. L'odeur m'excitait tellement. Pourtant je n'étais pas spécialement fétichiste des pieds, mais sachant que cela appartenait à Mehdi, ça m'excitait grave. Lorsque je n'entendais plus l'eau couler, je me suis vite recouché j'ai fait semblant de dormir. Bien évidemment mes yeux étaient légèrement ouverts. Mehdi sortait de la salle de bain et s'approcha du lit. En voyant que "je dormais" il enleva son essuie. Bien que je voyais un peu flou, j'ai pu apercevoir sa belle bite. Pas très grande mais bien épaisse (finalement comme sa corpulence). Ma bite était bien levée et je me la touchais discrètement sous les draps. Il mit son essuie à sécher, ne faisait toujours pas attention à ses chaussettes et alla de l'autre côté du lit. Je suppose à ce moment là qu'il a mis un boxer et s'est couché. Je ne sais pas pourquoi mais, dans le doute, je me suis légèrement cambré, sachant que mon cul se trouvait de son côté. Il éteignit la lumière de sa lampe. Avant de m'endormir réellement, j'avais pensé à plein de scénarios érotiques avec lui dans ma tête. Puis à un moment je me suis endormi et c'est là que j'ai fait un rêve très étrange. Je me souviens pas de tout le rêve, mais seulement d'un moment. C'était avec Mehdi, on avait fait ensemble une expédition puis il retire ses chaussures et là il s’exclame en disant que ça pue. Puis il me demande si je veux sentir. Alors je me penche vers ses pieds avec des chaussettes trouées et je sens puis d'un coup je commence à lécher. Il retire vite son pieds et m'engueule puis il met ses pieds dans un sac. (Si quelqu'un sait analyser les rêves et me dire la signification, je suis preneur). C'était la première fois que je faisais un rêve érotique de ce genre. Ensuite, le matin j'ouvre mes yeux. J'étais un peu déçu que ce n'était qu'un rêve au final. Je vois que Mehdi était déjà réveillé et faisait du bruit dans la cuisine. J'attends que ma gaule de matin redescend et puis je le rejoins. Il me demande si tout allait bien et me faisait un café. Il était en peignoir et m'a dit que je pouvais prendre le deuxième qu'il a dans sa penderie, chose que je fais. Dans la chambre j'ai remarqué qu'il n'y avait plus ses chaussettes et qu'il avait mis ses chaussures à aérer. J'étais un peu dég, j'aurais bien voulu ressentir son odeur de pieds. Je le rejoins à table sur laquelle se trouvait ma tasse de café et à manger. C'est alord qu'il engagea directement la conversation en me disant que je bougeais beaucoup la nuit et que je tirais souvent la couverture. -Tu as fait un cauchemar ? Me demande-t-il. On en vient déjà aux faits. Que dois-je lui dire. J'ai pris mon courage à deux mains et je lui ai dit plus ou moins : -Tu vas trouver ça bizarre mais j'ai fait un rêve où on était parti en treck tout les 2. Puis tu as retiré tes chaussures et tu m'as demandé de sentir tes pieds qui puent. Je pense que j'ai été traumatisé par ton odeur de pieds hier. -Oui désolé pour ça, j'ai oublié de mettre mes chaussettes dans le panier à linge, peut-être que l'odeur a pénétré tes narines pendant que tu dormais ! J'ai rigolé (je pense plus par gêne) mais au moins je lui ai raconté mon rêve étrange et il a l'air de ne pas l'avoir mal pris (en même temps je suis pas aller au bout de ce qu'il s'est passé) -Mais du coup tu les as sentis dans ton rêve ? enchaine-t-il. Alors là, j'étais supris. Je ne savais pas quoi lui répondre. Mais comme un débile j'ai hoché de la tête en disant oui. -Ah ouais je comprends mieux le côté bizarre du rêve maintenant ! Mais je te rassure maintenant mes pieds ne puent pas. Il dit ça en mettant un de ses gros panard sur la tard à quelques centimètres de moi. Son pied était pas très grand (je dirai qu'il fait du 42 ou 43) par contre comme sa bite, bien gros. -Vas-y tu peux sentir ! dit-il -Bah non je te crois t'inquiète. Mais même en lui disant sa, je faisais mine de baisser ma tête et je sentais ses orteils. Même après s'être lavé hier, une légère odeur persistait. Puis d'un coup il leva son pied et le plaqua sur mon visage. Mon réflexe n'a pas été de retirer tout de suite ma tête mais au contraire de renifler et de donner quelques petits coups de langues comme dans le rêve pendant peut-être 3 secondes. Puis j'essaye de retirer ma tête mais il colla son pied encore en rigolant. Moi pendant ce temps j'essayais de faire une mine dégoûtée mais je profitais pour sentir et sortir ma langue. Le contact était tellement excitant ! Puis il finit par retirer son pieds. Pour essayer de ne pas me faire cramer je fis semblant d'être dégouté. -Beurk Mehdi c'est vraiment dégueulasse mais oui ça sens un peu mieux que dans le rêve. -Un peu mieux, tu exagères quand même ! Je suis content que tu considères ça comme un rêve plutôt qu'un cauchemar. Là je me suis un peu braqué mais Mehdi avait vraiment un sourire sur le coin. -C'est bon, tu peux me l'avouer que t'es en kiff sur moi, je suis pas dupe. J'ai bien aimé ton bout de langue sur mon pied. Forcément j'ai nié les faits en lui rétorquant qu'il se faisait trop de films. En même temps j'étais surpris de sa réaction. Il ne semblait pas remonté alors que normalement ça aurait dû être le cas. Cette situation était lunaire. D'un coup, il termina sa tasse de café, se leva et me dit : -Viens me rejoindre sur le lit on va s'amuser un peu. Je me lève et je proteste en lui disant qu'il était en couple et que je me sentais pas spécialement à l'aise. -Ça restera entre nous et puis c'est pas du sérieux. Puis, toi aussi tu m'excites en vrai donc on pourrait bien se partager un petit plaisir entre mecs tu penses pas ? Il me convainc et je le suis direct dans la chambre. Il s'allonge sur le lit et ouvrit légèrement son peignoir. Son boxer affichait une belle bosse qui grossissait. Je me mis au pied de son lit et je commence à renifler ses pieds. -Vas-y lèche-les moi, me dit-il. Sans hésiter je commençais à sortir ma langue qui se frottait sur la plante de ses pieds. J'allais de bas en haut puis je m'occupais de ses orteils. Je lui bouffais son gros orteil et je le suçais en lui faisant des tourbillons de langue dans ma bouche. -Ouah, c'est la première fois qu'on me lèche les pieds, je devrais demander à ma meuf de faire de même la prochaine fois. Vas-y passe ta langue entre mes orteils. J'exécute ses ordres tel un chien. Ça s'est fait automatiquement mais je me suis soumis à ses ordres alors que de base je ne suis pas spécialement passif. La partie entre ses orteils était la partie qui sentait le plus chez lui. Je passais ma langue orteil par orteil. Il était en plein extase et il commença à se caresser la bite. Ses pieds étaient complètement mouillés par ma langue et brillaient c'était tellement excitant que je commençais à me toucher la bite à mon tour. D'un coup il commença à coller ses pieds sur mon visage et j'ai essayé de débattre comme tout à l'heure. Puis il arrêta et se redressa sur le lit. -Viens sur le lit. Lorsque je le rejoins sur le lit, on commença à se caresser le corps. On ne s'embrassait pas mais on se faisait des bisous sur le cou, le torse, le ventre pour garder un côté sensuel. Puis il me retourna sur le dos et cette fois-ci c'est lui qui s'occupa de mes pieds. Il les sentit et les lécha comme je l'ai fait. Ça me chatouilla énormément et je gigotais. -Toi aussi ils sentent tes pieds. Pour arrêter de gigotter, il plaqua un de ses pieds sur mon visage et je le lécha. Cette fois ci, je retire ma bite de mon caleçon et je commençais à me branler. Il arrêta de lécher mes pieds et suça ma bite. J'étais un peu pris de court, je ne m'attendais pas à ce qu'il se jette sur ma bite comme s'il était affamé. -mmmh putain c'est bon ça, tu suces trop bien pour quelqu'un qui n'a eu qu'une expérience avec un mec. Sur mes encouragement il s'appliqua encore plus. Il tenta quelques gorges profondes et englouti mes 17 cm tout en laissant une masse de salive. -Maintenant occupe toi de mes couilles, lui dis-je. Il goba mes couilles, les lécha et les massa avec sa bouche tout en branlant ma queue. C'était beaucoup trop excitant au point que je ne pouvais pas m'empêcher de déjà cracher la sauce sur sa gueule. -Merde je suis désolé ! -Ah ouais ça t'excite à ce point ? dit-il en continuant de sucer ma bite. Prend un mouchoir sur ma table de nuit et essuie moi. Je fais ce qu'il me demande et en l'essuyant nos regards se croisent continuellement. On ne pouvait pas s'en empêcher, la tension était trop grande. On commença à s'embrasser langoureusement. On se donnait des coups de langue. À ce moment-là j'avais tellement envie de le défoncer et je pense qu'il avait la même pensée vis-à-vis de moi. Il s'allongea sur le dos et je me mis sur lui. Je commençais à faire des bisous sur son cou, puis son torse et je descendis jusqu'à son boxer. Je fis de petits bisous sur la bosse qui n'arrêtait pas de gonfler. Puis je retire son boxer et je vis une grosse demi-molle. Je tâtais son gland et ses couilles. Il commença à me caresser mes cheveux. Sa bite grossissait de plus en plus jusqu'à être en érection totale. Elle devait faire à peu-près 15 ou 16 cm mais (contrairement à la mienne) elle était très très épaisse. Comme si je compare un concombre à une aubergine. -Vas-y suce moi, dit-il. Je m’exécute et goba sa belle bite bien épaisse. Elle était incroyable. Pas trop dure, un peu moelleuse. J'essayais de lui faire quelques gorges profondes. Il m'enfonça la tête pendant quelque seconde puis me releva. J'avais un filet de bave énorme. On se regarda et s'embrassa langoureusement. On continua comme ça pendant quelques dizaines de minutes puis on a pris la douche. On a passé la journée ensemble et on s'est acheté des capotes et du lubrifiant. Le soir on a recommencé avec des sextoys et cette fois ci on a pratiqué la sodomie. Sa bite m'a bien élargi le trou du cul que j'ai eu du mal à m'asseoir pendant quelques jours. C'était une expérience incroyable et assez lunaire, comme quoi qui tente rien n'a rien. Ça fait 3 semaines que sa meuf est revenue, mais on sait qu'un jour, on se retrouvera pour recommencer notre petit plaisir secret. Je tiens à préciser que cette histoire est bien réelle ce qui la rend encore plus excitante. Je reviendrais ici si jamais il y a du nouveau avec Mehdi. J'espère que vous avez pris beaucoup de plaisir à lire mon expérience ;)
Je vais vous raconter mon plan qui devait juste être un plan soft qui a fini en dépucelage de mon cul. Cet été j’avais rencontré un bogoss marocain sur un tchat. Il était magnifique un corps de rêve, un visage de rêve et une queue de rêve ! 22cm de pure marocain avec des couilles énormes. On avait parlé quelques jours après on s'est rapidement vu mais en journée sans rien faire car je partais le soir même. Histoire juste de se voir et de savoir vraiment comment on est en vrai. Après ça, pratiquement tout l’été on a parlé ensemble tous les jours sur snap etc. Franchement il me faisait rêver de fou ! Juste en snap il me rendait dingue. Alors en réalité ça devait être quoi ! Mais après les vacances j’avais décidé de faire une pause, pour me consacrer à mes études et j’ai fait l’erreur de le supprimer. J’ai bien vite regretté cet erreur car pendant des mois j’ai essayé de le retrouver, mais en vain. Mais par chance, il y a quelques jours j’ai retrouvé son snap on s’est rajoutés parlés etc. Il me propose un plan directement le jour d’après. Un plan soft vu que j’étais vierge, à ce moment là. Le jour arriva, on fait nos vies etc. Je me prépare bien et j’ai même préparé mon cul sans savoir ce qui allait arriver. A 22h il passe me chercher en bas de chez moi pour aller se trouver un coin tranquille ou se poser. Il roule pendant 15 min et il trouva un coin bien sombre avec autour, que des champs et rien d’autre c’était parfait ! De là on se pose directement à l'arrière de la voiture pour avoir plus de place. On se galoche vite fait et vraiment il galoche comme un roi ! De là on se met direct nu on sent la chaleur monter etc. Je prend sa queue directement en bouche et de là il m’attrape le cou et commence à me faire faire des gorges profondes. C'était devenu mon maître à partir de ce moment là. Il me dominait comme un fou ! J’en pouvais plus j’étais à deux doigt de vomir mais je kiffais tellement ça. De là il m’attrape le cul et commence à me le claquer j’adore ça ! Je gémis comme une vraie chienne. Et de là il me rentre un doigt, puis deux et trois doigts. Je criais de plaisir comme une vraie chienne à son maître. Et je pouvais bien crier on était solos. Et il m’a dit de monter sur lui juste histoire de frotter ma rondelle sur sa bonne grosse queue. De la je commence à bouger mon cul de salope sur cette grosse queue et d'un seul coup sans me prévenir il prend sa queue et me la rentre dans le cul!
C'était au début des années 1990. Je m'étais arrêté en fin d'après-midi dans un bar à Barbès où les arabes du quartier venaient se détendre après leur journée du travail. Peu musclé, j'étais à 23 ans, avec mon corps souple et imberbe de crunchboy, la proie idéale pour un rebeu qui voulait vivre une revanche sociale en dominant un jeune blanc pour en faire sa pute d'un soir. Ce jour-là, ils étaient six ou sept à me mater quand l'un d'entre eux vient s'asseoir à côté de moi pour me demander si j'étais du quartier. C'était un trentenaire basané et râblé, dont le visage bronzé et fin se prolongeait d'une barbe mal taillée. Je lui répondais que non, je n'habitais pas le quartier, mais que j'aimais l'atmosphère de ce bar et la clientèle qu'on y trouvait. Il me demande alors ce que j'attends de la clientèle, et je lui réponds que j'aimerai savoir ce qu'elle espère de moi et que suis prêt à servir. Il me demande mon prénom et me dit qu'il s'appelle Ahmed, puis il me prend la main pour la poser sur sa braguette, et je comprends illico le message et commence à masser à travers le tissu de son jean son sexe déjà gonflé. Au bout d'une ou deux minutes, il parle en arabe au patron. Je ne comprends rien mais devine qu'ils parlent de moi, et que je ne suis peut-être pas la première lopsa à me perdre ici. Le patron, un jeune mec d'une vingtaine d'années, musclé, les cheveux crépus coupés ras, un visage osseux traversé par deux yeux noirs au regard dur, lui tend une clé. Ahmed s'en saisit et prend mon bras pour m'amener à gauche du bar où se trouve une porte qu'il ouvre avec la clé avant de me pousser dans la pièce. C'est une arrière salle peu meublée, avec seulement un vestiaire et une banquette-lit rouge, et dans un coin un bidet en porcelaine blanche. La présence de ce sanitaire vieillot ne peut s'expliquer que pour permettre de se laver après avoir été baisé, ce qui illustre bien pourquoi cette pièce est aménagée et confirme que je ne suis pas le premier qui va y passer. Ahmed referme la porte sans la verrouiller, dépose son blouson sur un cintre, puis s'assied sur la banquette et m'ordonne de me déshabiller intégralement et de ranger mes affaires dans le vestiaire, et je m'exécute immédiatement pour être à poil en deux minutes, ce qui ne l'empêche pas de me dire d'un ton autoritaire de me dépêcher. Je referme la porte du vestiaire et me tourne vers lui, en lui présentant mon corps nu, lisse et clair, et il me fait signe d'approcher. Il m'attrape le bras pour me mettre à genoux sur la banquette à côté de lui et je lui présente docilement mon cul. Il écarte les jambes en ouvrant sa braguette, en m'ordonnant d'y passer la main pour aller sous son slip pour masser la peau chaude et moite de son scrotum et de sa verge, et J'enserre entre mes doigts son pénis turgescent et affamé que je masse docilement. Pendant ce temps, il m'examine, apprécie la courbure de mes hanches, mon ventre arrondi, ma peau de pêche, puis soupèse mes couilles d'une main ferme, palpe mes fesses pour en apprécier la fermeté et le galbe, avant de m'infliger plusieurs claques sonores qui doivent s'entendre de l'autre côté du mur dans le bar, comme son commentaire lancé d'une voix forte : "t'est une belle salope toi, on va te dresser pour que tu deviennes une bonne pute". Son doigt se glisse dans la raie de mes fesses pour examiner ma rondelle anale, qu'il force pour s'assurer de sa souplesse avant de conclure : " t'as déjà donné ton cul, hein ?". Je réponds "Oui Maître" pour lui manifester ma soumission et qu'il voie que j'ai compris que je lui appartenais et que je savais que je n'avais plus qu'à obéir. Constatant que j'ai reçu ses claques et ses insultes sans protester et que me suis laissé examiner comme un animal sans me rebeller, il a l'air satisfait et décidé à aller plus loin avec moi. Après avoir dégrafé son ceinturon qu'il retire de son pantalon, il enlève ma main de sa braguette pour le baisser avec son slip sur ses chevilles, et après avoir enlevé ses baskets qu'il repousse le long d'un des murs de la pièce, il se défait totalement de son jean et de son slip qu'il envoie d'un coup de pied rejoindre ses pompes. Il m'attrape alors brutalement par les cheveux pour littéralement me jeter à genoux entre ses jambes. Il est assis en mode pacha, simplement vêtu de son T-shirt, exhibant son sexe long et épais, déjà fermement bandé grâce au massage que je lui ai docilement prodigué. J'ai à peine le temps de l'admirer que, sans me laisser le temps d'y porter mes lèvres pour tenter de lui prodiguer une fellation, il tire mes cheveux en arrière pour m'obliger à le regarder, en agitant sous mes yeux son ceinturon qu'il a gardé dans sa main droite et en me disant d'une voix forte, pour être entendu de l'autre côté du mur : "tu vois ça, si tu n'es pas obéissant, je vais te caresser avec. Et même si tu obéis au doigt et à l'œil, je te caresserai avec pour le plaisir", et joignant le geste à la parole, il m'assène une dizaine de coup sur le dos et les fesses, et le claquement du cuir sur ma peau résonne jusque dans le bar, tandis que je serre les dents pour ne pas crier sous la morsure de la ceinture et les brûlures qu'elle m'inflige, dont ma peau porte pendant quelques minutes des marques rouge vif. J'ai trop peur que mes cris de douleur l'excitent et qu'il redouble les coups et prolonge mon supplice. Mais il a constaté que j'avais bien compris qu'étant enfermé avec lui à l'abri des regards et de la rue, j'étais totalement à sa merci et lui appartenais, et qu'il ne me restait plus qu'à obéir et être une bonne pute. Au demeurant, l'humiliation de n'être plus que sa chose me convenait, et il avait vu dès le départ que j'étais fait pour ça et n'aspirais qu'à trouver le seigneur et maître à satisfaire comme une fille soumise. Convaincu de m'avoir bien en main, il me met au travail et amène ma tête entre ses cuisses, et pendant que mon regard se perd sur ses abdos et ses poils pubiens, son pénis force mes lèvres heureuses de l'accueillir, et il me possède immédiatement à fond de gorge, son gland venant heurter ma glotte en provoquant une envie de vomir que je maîtrise à grand peine, et il m'impose des va-et-vient de plus en plus frénétiques, usant de ma bouche comme d'un vagin, en me criant "ouvre bien la bouche salope, je ne veux pas sentir tes dents", illustrant la sanction qu'il m'imposerait par deux violents coups de ceinturon sur le dos. A chaque mouvement, je suis contraint de l'accueillir à fond de gorge, et la seule liberté qu'il me laisse, c'est de masser le dessous de sa queue et son frein avec ma langue que sa possession a rendu baveuse. Docile et désireux d'être une bonne pute soumise pour le satisfaire, je garde donc ma bouche grande ouverte, et très vite ma mâchoire me fait mal, mais il prend son temps et a d'évidence décidé de faire durer son plaisir, et je ne peux qu'accepter ma douleur en cherchant à prendre dans l'humiliation qu'elle m'inflige mon propre plaisir et à accepter de subir la loi du mâle dominant à qui j'appartiens désormais. Mais j'entends la porte s'ouvrir et se refermer, et une voix juvénile lui demande si je suis "bonne", et il répond que j'apprends vite. Deux mains empoignent mes fesses pour les écarter et exhiber ma rondelle anale, et tout en continuant à me contraindre à le sucer, Ahmed appuie sur mon dos pour m'obliger à cambrer les reins et mieux offrir mon cul à la vue du nouvel arrivant. "T'as envie, baise cette salope" dit-il à l'inconnu qui abaisse pantalon et slip et je sens bientôt son sexe bandé et dur flairer puis niquer à sec ma rondelle anale. Une douleur intense me prend quand son gland heurte la muqueuse de mon ventre qu'il ramone, mais mon cri est étouffé par la bite d'Ahmed qui continue de posséder ma bouche et ma gorge et me bâillonne, tandis que je dois faire attention de ne pas la heurter avec mes dents. La douleur s'estompe vite, et au bout de quelques minutes, je ne sens plus que la queue qui possède mon cul et me lime avec avidité. Complètement possédé par les deux beurs, je jouis de me sentir exploré et exploité par leurs bites et de subir l'humiliation de n'être plus qu'un bout de viande à baiser. "Ouai, elle est bonne et soumise cette pute, va falloir qu'on la garde" dit l'inconnu, et je reste à leur disposition pendant une dizaine de minutes, la position me fait mal aux genoux et au dos et ma mâchoire s’ankylose à force d'être grande ouverte, mais je n'ai pas d'autre choix que subir pour les satisfaire et je jouis et bande du plaisir d'être possédé comme une bonne salope par la bouche et le cul et d'attendre d'être fécondé. Puis Ahmed et l'inconnu jouissent ensemble dans un grand râle de satisfaction dont tout le bar ne manque pas une miette, et je n'ai toujours pas le choix et avale le sperme crémeux et sucré d'Ahmed qui gicle à fond de gorge, tandis qu'un liquide chaud envahit mon ventre. L'inconnu s'est retiré, et je sens ce liquide chaud qui goutte hors de mon cul, tandis qu'Ahmed présente devant mes lèvres son gland circoncis ou perle une gouttelette blanchâtre en me donnant l'ordre de le nettoyer avec ma langue, et je m'exécute immédiatement avec le bonheur d'être docile et de lui appartenir. L'inconnu s'est rhabillé et sort sans même que j'ai pu le voir, et la porte se referme. Je croyais que nous étions seuls mais en quelques secondes, je sens une présence, et une voix s'adresse en arabe à Ahmed, sans doute pour demander s'il peut en profiter lui aussi, et sur la réponse d'Ahmed, un homme d'une cinquantaine d'années vient s'asseoir à côté de lui. En jean et chemise de coton blanche à carreaux rouges et bleus, l'inconnu, un peu enrobé, a un visage rubicond barré d'une épaisse moustache. Il baisse son pantalon et son caleçon sur ses chevilles et me présente un sexe court et épais mal lavé et qui sent l'urine. L'homme ne m'excite pas et l'odeur forte d'urine déclenche chez moi un mouvement de recul, mais Ahmed ne l'entend pas de cette oreille et veut montrer au cinquantenaire que je lui appartiens, qu'il m'a bien en main et qu'il sait se faire obéir. Il appuie fermement sur ma tête pour que ma bouche soit prête à acceuillir le sexe odorant du quinquagénaire, et une dizaine de coups de ceinturon marquent mon dos et mes fesses pour confirmer que je n'ai pas d'autre choix que d'obéir et servir. Alors, pour la plus grande fierté et satisfaction de mon seigneur et maître, j'accueille à fond de gorge la bite malodorante qui laisse dans ma bouche le goût acre de l'urine en entamant un va-et-vient laborieux, tandis que les replis gras d'un gros ventre rebondi tressautent devant mes yeux à chaque mouvement. Je croyais que le cinquantenaire était rentré seul, mais deux mains qui empoignent mes fesses avant d'y asséner quelques claques me font comprendre qu'un autre l'a accompagné, et une voix grave se réjouit de mater mon cul qu'il s'apprête à baiser. Je vois un jean et un slip tomber sur le sol à côté de moi, et j'entends l'homme qui s'agenouille avant de me pénétrer brutalement. Mais mon cul est lubrifié par le sperme de celui qui vient de me baiser, dont la queue était plus longue et plus grosse que celle qui me travaille maintenant, et j'accueille sans douleur son gland qui cherche avidement à me posséder de plus en plus profondément, et la caresse de son sexe bandé dans mon ventre me procure un plaisir qui me fait jouir. Mon sperme tâche le carrelage sous moi, tandis que ma queue débande pour pendre humblement et laisser quelques gouttes blanchâtres tomber sur le sol, pendant que les deux beurs liment consciencieusement ma bouche et mon cul. "Il est meilleur qu'une fille" dit la voix grave dans mon dos, qui devait être en manque et très vite, un liquide chaud me féconde à nouveau, tandis que mon niqueur se retire et je l'entends se nettoyer sur le bidet. Puis un bruit de tissu froissé et de boucle de ceinture me révèle qu'il s'est rhabillé, et le cinquantenaire qui n'a toujours pas joui se retire de ma bouche et se lève pour lui céder la place. Je vois s'asseoir un homme d'une soixantaine d'années, au corps mince sous un jean et une chemise unie bleue, dont le visage basané, surmonté de cheveux blancs et crépus, est parsemé de rides. Le cinquantenaire m'attrape fermement par les cheveux pour me prendre maladroitement en levrette, et il réussit à prendre enfin pleinement possession de mon cul pour jouir et me féconder en quelques minutes, sous le regard satisfait d'Ahmed. Ahmed m'ordonne devant les deux hommes de nettoyer avec ma langue le carrelage que j'ai sali, et je m'exécute et lèche mon propre sperme avec dans le ventre une boule de plaisir née de l'humiliation d'être soumis et obéissant en public. Les deux chibanis sortent, et Ahmed déplie la banquette-lit avant de m'ordonner de m'y coucher sur le dos. Il s'allonge sur moi et me chevauche en m'ordonnant de relever mes jambes et de les placer sur ses épaules, et il bâillonne mes lèvres avec les siennes et sa langue explore ma bouche, tandis que son sexe, toujours dur et bandé, nique ma rondelle anale et me lime de plus en plus profondément, ses couilles venant heurter mes fesses à chaque mouvement. Mes sphincters et mon colon sont pleinement détendus, et je me donne totalement. Après un bon quart d'heure, il jouit une nouvelle fois et me féconde, et je sens son sperme chaud remplir mon ventre. Il se retire et m'ordonne de l'accompagner au bidet pour nettoyer sa bite, en commençant avec ma langue avant de finir à l'eau. L'odeur entêtante de mon propre cul emplit ma bouche, que je rince à l'eau claire après avoir fini de nettoyer la queue de mon maître. J’écarte ensuite avec deux doigts de ma main gauche ma petite rondelle pour m'asseoir sur le bidet et asperger d’eau mon cul avant d'y introduire les doigts de ma main droite pour me nettoyer et être propre pour accueillir un nouveau venu à satisfaire. C'est alors Ali, le patron du bar, qui rentre et referme la porte, et les deux hommes s'asseyent côte à côte sur la banquette toujours dépliée, et d'un claquement de doigts vers le sol devant lui, Ahmed m'intime l'ordre de venir en restant à quatre pattes à ses pieds et contrôle mon cul, sans pudeur ni aucun égard pour moi, afin d’en vérifier la propreté. Tout en discutant, Ali se déshabille pour "m'essayer", et en quittant ses vêtements, il révèle un corps basané, mince et musclé. Sa poitrine velue laisse apparaître deux tétons surplombant des aréoles plus claires sur des pectoraux bronzés, qui dominent un ventre plat que parcourent des abdos entourant un nombril profond et chiffonné, tandis que devant ses cuisses musclées, je vois des couilles bien pleines et une bite gonflée, offrant un foret épais d'une vingtaine de centimètres, et je frémis à l'idée de la douleur qui va déchirer ma rondelle quand il va me prendre à sec. Ali m'attrape par les cheveux et, assis en mode pacha, il me regarde durement et force mes lèvres pour commencer un va-et-vient très fort . Comme Ahmed, Ali prend son temps, et ma mâchoire commence à me faire mal avant de s'endolorir, mais il saisit ma nuque pour me bloquer et me posséder plus d'une minute à fond de gorge, et je respire difficilement, le visage écrasé sur la peau musclée de son ventre, pendant qu'il me regarde fixement en me traitant de lopette juste bonne à faire la pute. Vingt minutes s'écouleront encore avant qu'il pousse un cri rauque en éjaculant dans ma gorge, et alors que j'avale docilement son sperme chaud, il se retire pour m'ordonner de me mette à genoux sur la banquette et de présenter mon cul en levrette. Ali transperce sans ménagement ma rondelle anale. Les parois de mon colon, heurtées par son gland, brûlent et la douleur qui irradie m'arrache un petit cri, qui l'excite et il accélère le va-et-vient qu'il a entamé sans attendre, lime sans ménagement mon cul à la recherche de son plaisir de possédant et de prédateur, en disant "elle a un bon cul cette pute, je prends mon pied", avant de donner de sa main libre une grosse claque sur mes fesses. Sa bite déchire ma rondelle anale en labourant mon ventre, et il fait traîner les choses et durer les sensations qui lui traversent tout le corps, et tout en criant "Aaaah oui, c'est bon, il est vraiment fait pour faire la pute", avant de tirer encore plus fort mes cheveux au point que la peau de mon crâne est rouge écarlate à leur racine. Après presque une demi-heure pendant lesquelles Ali connaît l'extase, il atteint l'orgasme et me féconde dans un grand râle, et je sens sa semence chaude remplir mon ventre. Le flot abondant est à la hauteur du temps passé à me limer, et Ali se retire alors pour s'asseoir sur la banquette, avant de me donner l'ordre de nettoyer son gland et sa queue avec ma langue. Puis il se rhabille et sort, et Ahmed me dit d'en faire de même et conclut, avant que je sorte, que je peux revenir quand je veux. Je suis fréquemment revenu pour satisfaire mes nouveaux amis et aujourd'hui encore, il ne se passe pas une semaine sans que je retrouve Ahmed et Ali à qui j'appartiens désormais.
Au collège, Gilles d’origine italienne était très gentil et très beau avec ses cheveux châtains clairs… 20 ans après, l’homme est magnifique avec son gros cul à pervertir l'hétéro que je suis. Première conjonctivite de ma vie un dimanche après midi, je rentre dans sa pharmacie et lui demande un produit sans ordonnance. Je lui demande de me mettre les gouttes dans les yeux et il engage la conversation sur nos vies respectives. Excité par ses formes malgré le sable dans mes yeux, je me mets à bander comme un chien en rut: il le remarque et me demande si j’ai besoin d’autre chose…Je lui dis que je reviendrai le payer en liquide quand ma vue sera revenue. Le Dr Gilles a un regard très lubrique et me dit de rentrer me soigner. 15 jours après, je rentre à nouveau un dimanche dans sa pharmacie de garde en le remerciant de m’avoir fait crédit. Il me propose un café dans son bureau et me dit vouloir être payé en nature. Dévoue à ce pharmacien musclé, je me mets à poil et lui tends ma bite de fer qu’il lèche vigoureusement. Je l’encule à sec en mode Broke Back Mountain: il gueule pendant 10 minutes et je lui tasse mon jus bien au fion. Il me dit que la prochaine fois, il me dépucellera aussi violemment: rendez-vous est pris au printemps…
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J'ouvre la porte du vestiaire et je vois un gars de ma classe marocain, 1m86 matte de peau entrain de se branler. J'étais choqué par la scène, je savais pas comment réagir à ça.. il a levé la tête et m'a dit d'un air détendu
Je me demande si j'aime encore les gars...
Les cours de sport c'était pour moi une horreur. Car je me forçais pour ne pas mater les gars dans les vestiaires parce que j'étais certain que j'allais bander a 100%. Alors j'essayais à chaque fois de me dépêcher et de sortir le plus vite des vestiaires. Un jour, le prof m'a demandé de ranger le matériel, 10-15 mon après j'ai terminé et je me suis dirigé aux vestiaires. J'ouvre la porte du vestiaire et je vois un gars de ma classe marocain, 1m86 matte de peau entrain de se branler. J'étais choqué par la scène, je savais pas comment réagir à ça.. il a levé la tête et m'a dit d'un air détendu ( et bein ça a l'air de te plaire ) j'avais pas vu que j'étais entrain de bander (c'était cours d'athlétisme et du coup j'étais en cycliste. Je savais pas quoi lui dire, il m'a rassuré en disant c'est rien et que c'était limite un compliment de voir que je bandais. Il m'a dit ça te dit on va se branler ensemble dans les toilettes. Pris au dépourvu j'ai dis oui. On commence à se branler et 5 min après on commence à se toucher je prenais un plaisir incroyable. Je vous laisse imaginer, vous découvrez votre sexualité avec un marocain dans les vestiaires et vous vous branlez dans la douche. Malheureusement la sonnette a sonné et il m'a demandé de rien dire à personne. Chose que j'ai fait.
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