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Je me prénomme Valentin, je suis grand yeux brun j’ai une allure plutôt fine. Je suis un gars plutôt banal à l’exception que je ne vis qu’au travers de la soumission. Je pense même que je suis né pour être dominé. Je suis bien évidemment kiffeur de survet et de bonnes skets bien daubantes. Mon histoire se déroule en 2023 au courant de l’été, je travaillais alors dans un hypermarché et le hasard a fait qu’un de mes fantasmes de toujours était mon collègue. Pour vous le décrire, il s’appelle Valentin également a une sacré carrure est légèrement plus vieux que moi et surtout c’est un footballeur amateur de très bon niveaux, a tel point qu’il m’est déjà arrivé de regarder son profil Instagram où il y publiait les photos de ses matchs avec le plus grand des désirs. Au moment où j’ai découvert cela, j’ai essayé d’investiguer le plus possible sur lui sans vraiment croire à ma chance car Valentin a une copine qu’il poste souvent en story. Mais, au fur et à mesure des jours, j’ai découvert notamment le fait que son casier était juste au dessus du miens, et j’ai également appris ses horaires pour faire en sorte de le croiser le plus possible. À force d’investigation, j’ai fini par découvrir le code de son cadenas qui n’était autre que le sa date d’anniversaire et la j’ai eu la chance d’y découvrir sa paire de vapormax un peu crade mais surtout bien odorante ainsi qu’une sacoche dans la quelle se trouvait ses documents personnels et ses clés de voitures. J’ai pris une grande bouffée dans sa paire de vapormax et je suis donc retourné au travail. Plus les jours passait et plus j’allais sniffer ses skets, un coup des vapormax, d’autres des tn et d’autres des air max 97. Après environ deux bonnes semaines à répéter la même opération aux casiers, l’idée de prendre ses clés de voiture me monta a la tête. Prochaine pause, je me saisis de ses clés et me dirige à vive allure sur le parking des employés et la bingo, je déverrouille le coffre et trouve le sac d’entraînement de Valentin qui n’avait manifestement pas lavé sa tenue après son dernier entraînement pour mon grand plaisir. J’ai rapidement fouillé et je ne sais pas ce qui m’a pris j’ai simplement pris son sac d’entraînement que j’ai mis dans le coffre de ma voiture. Le soir chez moi, je me retrouve rapidement dans ma chambre et déballe ce sac comme une pochette surprise, j’y trouve alors un maillot, un short, un boxer sale ses cho7 de foot le tout aux couleurs de son équipe, un magnifique bleu foncé qui lui allait merveilleusement bien. Mais ce n’est pas tout il y’avait également et surtout sa paire de crampons, des nikes mercurial absolument magnifiques usées par les différents matchs et l’odeur s’en ressentait sacrement. J’enfila alors la tenue complète à l’exception d’un crampon que j’utilise pour me branler dedans, je ne tarde pas à venir dedans et m’endors pleins de sueurs enveloppées par les odeurs de l’homme qui m’a longtemps fait fantasmer. Avoir réussi à porter sa tenue a été pour moi l’un des plus grands sentiments de victoire de toute mon existence. Seulement, ce que je ne savais pas c’était que en dérobant ce sac j’avais couru à ma perte, Valentin conscient qu’il égarait beaucoup de choses avait placé un AirTag dans son sac d’entraînement qui lui a indiqué la position de son sac et donc de mon adresse. C’est alors que le lendemain alors que je rentrai chez moi je me retrouvera face à Valentin l’air contrarié qui ne cherchant même pas à discuter me demande ses affaires. Je le fais entrer et lui ramène son sac couvert de honte. Valentin me demanda alors pourquoi j’avais fait ça et qu’est ce que cela m’avait apporté. Je lui ai répondu dans la plus grande des sincérités tout ce que je vous ai dit et j’ai vu que je l’avais déstabilisé et qu’il ne s’attendait pas à ça. C’est alors que son regard a changé du tout au tout, il est devenu ferme, il m’a craché un molars au visage m’a traité de batard et m’a dit de me mettre à genou. - « maintenant tu sera mon esclave si c’est ce que tu souhaite » - « Oui, maître je rêve d’être votre esclave » C’est le seul échange qu’il y’a eu entre nous avant quelques minutes. Ensuite, Valentin a revêtu sa tenue complète et m’a ordonné de le décrasser de bas en haut. Avec la chaleur de l’été il avait une odeur divine, m’a fait décrasser ses crampons et sentir l’odeur et il m’a ensuite pissé dans la bouche au beau milieu de mon salon tout en prenant des photos. Il est parti dans sa tenue laissant ses vapormax et le survet du psg dans le quel il était venu chez moi, je me suis donc évidemment empressé de vénérer la tenue que cet étalon avait porté. Le lendemain au boulot, je croisa Valentin qui m’indiqua de me rendre dans un rayon un peu reculé, il me donna alors rendez vous le dimanche qui suivait au vestiaire du stade à 16h. Je savais qu’il y jouais un match et je me dis que ce rendez-vous n’étais pas pris pour rien, je n’avais de toute façon évidemment pas d’autres choix que de m’y rendre. Le dimanche, j’arrive un peu 16h le match bat son pleins, je rentre alors dans le vestiaire complètement anxieux me doutant de ce qui allait m’arriver mais ne voulant pas y croire. Les minutes paraissait être des heures quand soudain, le bruit des chaussures à crampons contre le carrelage se faisait entendre de plus en plus près, Valentin entra suivi du reste de son équipe, il me plaqua au sol et me marcha dessus avec ses crampons dègeu et criant « alors les gars vous la trouvez comment la nouvelle salope que je vous ramène ! ». Les coéquipiers de Valentin s’écrièrent alors de joie face à l’idée de démonter une énième salope dans ce vestiaire. Rapidement, je me retrouve sur le dos, absolument tout les crampons de l’équipe se présente à mon visage et demande à être décrassés, par chance ma salive n’est jamais à court car je suis souvent alimenté de crachats. Une fois le décrassage fini, les crampons sont remplacés par les bites des joueurs, et la je peux vous dire qu’il y’a de la variété. Avant de commencer le match pour mon cul, il me font revêtir une tenue comme la leurs mais avec pour particularité d’avoir un trou au niveau du cul. Une fois en tenue les joueurs se défoulèrent aussi bien dans la bouche que dans mon cul, deux coéquipiers trop impatients ont mêmes tenté de rentrer en même temps forçant le passage de mon train en vain. J’ai tourné dans ce vestiaire dans différentes position pendant aux moins une heure et demie. Après cela, la plupart des joueurs sont partis sans même prendre de douche à la fin, il ne restait plus que Valentin qui avait regardé de loin tout ce que j’avais subis sans jamais intervenir. Il me dit alors de me relever et me demande ce que j’en ai pensé, je lui répond que j’ai aimé mais que j’ai trouvé ça, il me répond simplement que je vais devoir m’y habituer que je l’ai cherché et que les autres gars m’ont kiffé. Il me dit alors dans les yeux que je suis la salope officielle de l’équipe et que je devrais satisfaire leurs tensions sexuelles après chaque entraînement et chaque matchs toutes les semaines. Il m’attrapa alors et rentra son manche en moi avec une intensité extrême comme quand il donne un coup dans la balle, je ne souffre même pas car ses coéquipiers avais juté en moi ce qui m’avait lubrifier, il me pilonna jusqu’à venir dans mon cul et me féconder, me porta jusqu’aux douches et lâcha un énorme jet de pisse sur moi qui suit toujours dans ma tenue de salope de l’équipe. Une fois vide de tout ses fluides, Valentin m’ordonna de partir comme ça de ne pas laver la tenue et de revenir mardi à 18h pour leur entraînement. Après cela, je n’ai raté aucuns entraînement et matchs et suis là pour soutenir mon équipe favorite dans la victoire comme dans la défaite. Étant la salope de Valentin, il m’appelle souvent pour se vider les couilles ou viens directement chez moi sans demander. Je lui dois bien ça, il a été gentil et ne m’a jamais balancé au travail !
Domine-moi XXL - Vidéo gay. Durée: 16 min
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