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J'ai rien contre les températures en dessous de zéro mais sous réserve qu'il y ait de la neige, des montagnes et des sapins et à Paris, c'est pas top quand il fait froid. Du coup, quand mon pote m'a proposé de partir une semaine aux Deux Alpes, j'ai tout de suite dit OK.
Un pur bon plan qu'il a eu par un mec qu'il nique de temps en temps et qui craque sur lui. Comme il est plein aux as, Monsieur a un bel appart à la montagne et s'est proposé de laisser les clés à mon pote. En moins de deux je prépare mon sac de sport avec tout ce que j'ai de plus chaud à me mettre … en espérant trouver encore plus chaud sur place !
On se retrouve à la gare avec l'intention de prendre un train en fraude, sans billet pour retrouver les pentes enneigées qui vont nous changer de l'air de la capitale. Mon pote a une bonne technique : on chope un train de nuit avec couchettes et y'a plus qu'à attendre un voyageur docile pour squatter dans son compartiment. La chance est avec nous car on repère vite fait un petit couple de pd plutôt chaud. On déboule dans leur compartiment et on leur pose le deal cash : ils nous cachent en cas de contrôle et en échange, on leur promets de bien s'occuper d'eux. Les deux minets n'hésitent pas une seconde et je sens que le commencement de ces vacances hivernales vont être placées sous le signe de la baise.
Il sont plutôt bien foutus les deux p'tits pd : un blond et un brun, y'a pas de blème on va les niquer tout shuss ! Bien assis sur une couchette à côté de mon pote, les deux keums se collent à genoux et commencent à nous pomper le zob. Le ballottement du train accompagne leurs mouvements de bouche et on est tous les deux graves chauds : c'est le Pic du midi qui se dresse sous nos survêts ! Alors que je prends le temps de kiffer la bouche experte du petit blond qui s'occupe de moi, mon pote a déjà retiré le pantalon du brun et le pose à quatre pattes sur la couchette. Il lui mollarde dans le fion et lui écarte les fesses pour lui coller deux doigts. Le keum commence à gémir pendant que son pote mate le spectacle en douce en se tirant sur la nouille comme un ouf.
Mon pote enfile une capote et commence à doser le keum qui se met à gueuler comme une chienne. Putain il va ameuter toute la rame s'il continue à brailler comme ça. Deux minutes plus tard, un contrôleur frappe à la porte et entre dans notre compartiment. Il tombe sur le suceur qui s'occupe de moi et s'assois sur la banquette qui nous fait face. Mon pote le boule à l'air en train de niquer, moi, la teub bien raide avec ma suceuse au bout, le contrôleur en croit pas ses yeux. Un petit sourire de vice s'affiche sur son visage et sans rien dire, il matte et commence à se palper la teub à travers le pantalon de son uniforme. Apparemment, il a envie de se faire payer son amende en nature. Il a un putain de zob pour un céfran, plus de vingt centimètres hyper large et il s'astique tranquillement en palpant le cul du blondinet qui continue à baver sur mon braquemard.
Je lui tends une capote avec un sourire, histoire qu'il se lâche et qu'après il nous lâche les couilles avec son contrôle. Le contrôleur se fait pas prier et déroule le préservatif sur sa big teub pour aller se caler dans le boule de ma lopsa. Ca baise à tout va dans la couchette. Mon pote a positionné le petit brun sur le dos et lui pilonne le fion à grands coups de reins. Le contrôleur y va franco et ne s'occupe guère des râles étouffés du blond sur ma teub. C'est le compartiment du vice ici ! Soudain, j'entends mon pote pousser un cri que je connais bien, le rebeu vient de jouir à donf et il se retire du trou de la petite pédale qui en réclame encore. Vite fait j'enfile une capote et je vais prendre sa place pendant que mon pote va se faire nettoyer sa teub pleine de foutre par le blondinet qui n'est pas encore rassasié.
Je lime comme un malade et je kiffe grave de suivre les sursauts des rails pour bien enfoncer ma teub au fond du trou de lopsa qui m'est offert. Le contrôleur commence à transpirer comme un bœuf et il sort sa queue pour se finir à la main et cracher son sperme sur le cul du blond en grognant comme un ours. Rapidement je sens la pression qui monte et je suis tellement chaud que j'ai même pas le temps de me retirer pour éjaculer. J'envois tout direct au fond de ma capote dans le boule de ma lopsa.
Autant vous dire qu'après ce contrôle en profondeur le mec n'a pas vérifié nos billets. Après tout, il a déjà pas mal poinçonné le blondinet, c'est pas la peine d'en rajouter. Après ça on s'est endormi tranquillement en laissant les deux lopsas s'exciter sur le plan trop chaud qu'elles venaient de se faire. Sympa ces vacances à la neige, on est encore pas arrivé qu'on s'est déjà bien éclatés.
Après notre début de périple bien chaud dans le train, je suis arrivé aux Deux Alpes avec mon pote. C'est hallucinant comme l'air qu'on respire ici est trop bon, rien à voir le micro climat au carbone de Paname. Du bon air pur plein la tête, on a été poser vite fait nos affaires dans le bel appart genre chalet en bois sur la montagne, on a enfilé nos tenues de ski et direct on a été sur les pistes.
Mon pote a voulu qu'on test le surf. Un passage rapide à la location et nous sommes partis sur une piste bleue pour tester cette nouvelle discipline de glisse, sans prendre de cours. On est comme çà nous les lascars, tout a l'instinct, rien ne nous arrête ! Sauf qu'on s'improvise pas surfer du jour au lendemain. Les deux premières heures de glisse, on les a plus passées sur le cul à speeder l'un sur l'autre qu'à kiffer la vitesse sur les pentes.
Au bout d'une demie heure, je commençais à grave maîtriser la bête et je m'éclatais à slalomer comme un ouf entre les skieurs. Mais c'est finalement dans un sapin que je me suis éclaté et j'ai compris qu'un tronc d'arbre, c'est plus fort que moi. Tombé dans la poudreuse, je souffrais ma race et j'arrivais pas à me relever, j'avais trop mal à la jambe droite. Mon pote a déboulé en panique devant ma chute spectaculaire et comme j'arrivais pas à bouger sans crier ma race, il est allé chercher des secours. Un mec est arrivé en ski avec une civière spéciale glisse et il m'a installé dessus, direction le poste de secours. Fais chier, je sens que mes vacances au ski vont être écourtées pour cause de patte en vrac !
Dans le local des secours, je m'aperçois que le keum qui m'a allongé sur sa luge de secours est pas mal du tout. Bronzage de skieur, épaules carrées de montagnard et sourire ultra bright comme les surfeurs dans les pubs pour chewing gum, il a de la chance que je peux pas bouger sinon je me serais bien occuper de lui. Le keum enlève délicatement mon fute déchiré pour observer la blessure. Je me retrouve en caleçon devant lui qui me palpe la jambe et même si la situation est plutôt chaude et pourrait dégénérée, j'ai trop mal pour penser à m'éclater avec ce montagnard maintenant. Comme je gueule pas mal, il me file un tranquillisant et en moins de deux, je m'endort gentiment pendant que le keum continue son inspection. Verdict : une luxation, il va falloir me bander la jambe, de la cuisse à la cheville. C'est alors que je vois le keum sortir un rasoir, il va me faire une épilation complète de la jambe.
Le secouriste commence à me raser en partant de la cheville et plus il monte et plus il me chauffe grave. Quand il arrive en haut de ma cuisse, il me demande d'enlever mon caleçon pour finir son rasage. Je me retrouve la teub à l'air et le sauveteur n'arrête pas de jeter des coups d'œil sur ma queue. Ses doigts agiles naviguent à cinq centimètres de mon zob, je commence à choper une trique d'enfer. Comme si de rien n'était, le gars continue son rasage et commence à me palper les couilles pour soi disant pouvoir finir sa séance d'épilation. Je suis trop och et je chope sa main pour la ramener sur ma bite bien raide.
La montagne, ça vous gagne et apparemment la teub de rebeu gagne bien les surfeurs de la montagne. Le keum me balance son sourire de ouf et commence à me branler délicatement. Puis je vois sa tête s'approcher de ma bite et il commence à me sucer. Je sens sa langue donner des petits coups autour de mon gland circoncis. Il me malaxe les boules en même temps et j'oublie complètement la douleur, je suis au paradis des surfeurs. Sa bouche descend tout shuss le long de ma teub et il s'active comme une vraie tepu. C'est hot le contraste entre le physique de tombeur hétéro de ce keum et la façon dont il pompe comme une vraie chienne !
La séance de sucette a duré plus d'une demie heure avec les cachetons qui avaient anesthésiés ma libido. Dommage que j'étais pas en état physique de lui mettre un coup, je serais bien aller faire du free style dans son petit cul ! Je me suis tranquillement décontractée me faisant pomper jusqu'à ce qu'une avalanche de sperme arrive dans la bouche de mon sauveur. Après ça le gars m'a bandé la jambe et m'a promis de passer me voir au chalet pour prendre de mes nouvelles. Dès le lendemain il était là et j'ai pas pu m'empêcher de lui demander si je pouvais baiser avec ma jambe blessés sans risque. Il m'a assuré que c'était possible et qu'il allait me montrer la technique. A poil devant moi allongé sur le pieu, le surfeur sauveteur est venu se mettre à cheval au dessus de moi et a commencé à remuer son boule sur ma teub. En moins de deux il s'est assis dessus et j'ai rien eu à faire qu'à le mater prendre son pied en glissant sur mon zob. Comme une poupée mécanique, il s'est éclaté à monter et descendre sur mon zboub jusqu'à ce que je remplisse la capote de jus.
Après ça, il est venu tous les jours de la semaine pour me « soigner » je garderai longtemps les souvenirs kiffants de ce petit séjour à la montagne !
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