En tant que responsable d'une petite entreprise à Orléans, je suis actuellement en plein recrutement d'un commercial. Nous avons peu de moyens et l'offre n'est pas très attractive, j'ai peu de candidature. Il y a quelques jours, je reçois cependant un jeune trentenaire qui a répondu à l'offre. Nous avons échangé par téléphone. Il m'indique s'être installé dans le coin depuis quelques mois, avoir trouvé un travail alimentaire qui ne le satisfait pas, et chercher autre chose. Je lui ai proposé que nous puissions nous rencontrer, ce qu'il a accepté bien volontiers. En ce moment, je suis en manque, et je cherche sur plusieurs applications bien connues. J'ai échangé ces derniers jours avec un black, bien domi, qui cherche une lope. Il a exigé quelques photos, sans rien montrer de son côté. Je sais juste qu'il a 32 ans, fait 1,75m pour 78 kg et à une grosse queue épaisse. Je reçois donc ce monsieur pour l'entretien d'embauche, qui est agréable. Nous échangeons pendant près d'1h30. Régulièrement au court de l'échange, il se touche les couilles. Je vois progressivement une belle barre se dresser, même s'il ne bande pas complètement. Nous terminons l'entretien en prévoyant de se revoir, nous nous saluons et il quitte mon bureau. Il faut préciser qu'il est 19h et que tous les autres salariés sont partis, je suis seul. Il monte dans sa voiture mais ne part pas tout de suite. De mon côté, je range mes affaires afin de rentrer chez moi. C'est à ce moment là que je reçois une notification sur mon portable du black avec qui j'ai échangé sur l'appli : "T'es vraiment une belle salope, tu m'as donné la gaule tout au long de l'entretien. Vas mettre la clé sur la porte extérieure. Et fous toi à poil dans ton bureau". Ma surprise est énorme. Je ne réponds pas. Nouvelle notification : "Tu crois que tes employés aimeraient recevoir les belles photos que j'ai de toi ?" Je suis pris au piège. Et en même temps, je dois avouer que ce mec m'a plu, tant dans nos échanges sur l'appli que lors de notre rencontre. Et le mode salope prend le dessus. Je vais poser les clés sur la porte extérieure, et reviens dans mon bureau. Je jette un œil à l'extérieur pour voir ce qu'il fait. "C'est bien, je vois que t'as compris le message. Je te veux à poil, à genoux, mains sur la tête. Montre-moi ta vraie nature ?" Je m'exécute. Moins d'une minute plus tard, je l'entends rentrer et fermer la porte. Je finis de me déshabiller et prends la position qu'il souhaite. J'ai éteint la lumière, on est dans la pénombre, de l'extérieur, on ne voit pas ce qu'il se passe. J'attrape dans mon sac, mon poppers que je garde dans la main. Et je l'attends. C'est la première fois que je me retrouve dans cette situation, c'est très humiliant. Et aussi très excitant. Depuis 3 jours, je porte en permanence un gros ballstretcher de 600g qui m'étire bien les couilles. Elles sont hyper sensibles et à poil, elles pendent bien. Et ma petite bite est toute rabougrie. C'est comme cela qu'il me trouve à côté de mon bureau. Il a pris son temps pour arriver en mode pacha. "T'es vraiment une salope. Je pensais pas que t'en était réduit à ça. Baisse les yeux et ouvre la bouche." Il s'approche, dégrafe son jeans, baisse son boxer, sort sa queue et me la met direct en bouche. Je commence à vouloir la lécher. Il me met une grande calotte derrière la tête. "Bouge pas. Je t'ai rien demandé et tu fais uniquement ce que je te dis." Il laisse sa queue dans ma bouche, sans bouger. Je sais qu'il aime ça, il me l'a dit. Il a exigé une totale obéissance. Avec son pied gauche, il joue avec mes couilles, comme avec une petite balle. Ca a beau ne pas etre fort, je le sens bien. Et ça me fait couiner. "Bouge pas. Ou t'as plus de couilles !". Et à ce moment-là, je sens quelque chose couler de sa queue. Il se met à pisser. "Avale tout. On ne gaspille pas ce qui vient de son Boss". Malgré la surprise, j'ai refermé ma bouche sur sa queue pour que rien ne coule et j'avale comme je peux. De son côté, il maîtrise le flux. Mais il a quand même une énorme envie et la situation dure un bon moment. Il continue à me taper dans les couilles. Concentré sur sa queue, je ne me suis pas rendu compte qu'il a augmenté la force et la cadence. C'est quand il a fini de pisser que je m'en rends compte. Ca commence à être dur à supporter. "Putain, t'es une vraie chienne toi. Je suis content de toi, t'encaisse bien pour le moment. Je veux voir jusqu'où tu peux aller. Alors, débrouille-toi pour tenir." A ce moment-là, il sort sa queue de ma bouche et fait un pas en arrière. Et à la place de sa queue, il me met trois doigts dans la bouche, et va explorer le fond. "Suce bien", ce que je fais. Avec son autre main, il vient prendre les miennes sur la tête et les empoigne fermement. "T'as quoi dans la main. Donne. Du poppers ? très bien..." Il attrape le flacon, l'ouvre et me le met sous le nez. "Vas-y prends-en un max, tu vas en avoir besoin". La dose est énorme, surtout comme ça direct d'un coup. Ca me fait partir direct. Et là, il commence à me latter véritablement les couilles. C'est très dur, je me concentre sur ses doigts dans ma bouche. Mais je couine. Il m'a repris les mains et m'empêche de me tordre en deux. Ça dure bien un longue minutes. J'en peux plus. Il arrête, me lâche les mains et va attraper mes couilles. En tirant dessus, il me dit : "Debout, salope. Ça te sert vraiment à rien ça". Et il sert au max tout en continuant de me tâter le fond de la gorge avec 3 doigts. Mes couilles sont à vif. Je suis à sa totale merci. Heureusement que le poppers fait toujours effet. "Montre ta chatte". Et par mes couilles qu'il étire au max ver le haut, il me fait tourner. "Penche toi. Écarte ta rondelle avec tes mains". J'attrape mes deux fesses et lui offre ma rondelle. La, il me sort les doigts de la bouche et les positionne direct sur mon cul. Tout ça m'a bien excité et mon cul s'ouvre direct. Il y rentre aussitôt ses trois doigts bien lubrifiés par ma salive et va directement au fond. "Tout ce que j'aime, tu m'as pas menti. Bouffe moi la queue maintenant." D'une main, il m'étire toujours les couilles ; de l'autre, il m'ouvre le cul en écartant bien les doigts et en allant au plus profond de moi. Moi je suis plié en deux, et je doit me contorsionner pour attraper sa queue en bouche. Elle a doublé de volume. Un bon 22x7. Elle est énorme, et surtout hyper dure. Il il me met des grands coups dans la gueule. J'encaisse. Je me sens à ma place. C'est un vrai domi comme j'aime, et en plus un bon black, un magnifique mâle, puissant, qui sait s'occuper d'une lope comme moi. Je ne sens plus mes couilles. Il ne les lâche pas, fait rouler chacune de mes boules dans sa grosse main, tout en tirant à fond la caisse dessus. Il sort sa queue de ma bouche alors que je commençais à manquer d'air, me retourne, me colle à plat ventre sur le bureau, et m'enfile direct sa grosse queue dans le cul, dans lequel il a aussi laissé un doigt. Il me tient toujours les couilles qui me remontent maintenant jusqu'au nombril. Sa queue est au fond de moi, il essaie de faire rentrer un 2e doigt. J'ai mal. Il sort sa queue, met le 2e doigt et rentre direct sa queue. Et il commence un pilonnage en règle. "Enlève ton tire couilles-là, ca me fait mal aux doigts." - "Je peux pas, Boss, c'est pas moi qui ai la clé". A cet instant, il sort de mon cul, me retourne sur le bureau, pour disposer de ses deux mains. Avec la première, il m'attrape une boule sur laquelle il tire, et avec l'autre, il pousse la 2e boule à travers l'anneau qui m'enserre les couilles. "Gaze-toi car je veux pas que tu gardes ca. C'est moi ton boss maintenant. C'est moi qui décide de ce que tu portes et ce que tu fais." Je le sens en colère. La douleur est grande. Alors je me dépêche de me gazer pour repartir le plus loin possible et etre à sa disposition. Ma première boule s'engage difficilement dans l'anneau. J'ai l'impression qu'elle va éclater. Il pousse à fond. Et elle passe. Un vrai soulagement. Alors il attrape le ballstretcher et tire dessus. Si la première boule était bien descendue, la deuxième se met en travers. Je gueule, c'est ignoble. Mais finalement ca passe. Il me relève les jambes, m'enfile direct sa queue et essaie maintenant de mettre 3 doigts avec. Ça finit par rentrer. Il annonce le 4e et continue à me tringler. Sa queue tape au fonds, le plaisir est là en même temps que la douleur. Il a repris mes couilles et me soulève littéralement par les couilles. Je suis comme en lévitation. Ca dure comme ca bien 5 ou 6 minutes. Je couine ce qui l'excite je le sens bien. Et la il jouis dans mon cul, se vide littéralement. Je sens une quantité énorme. "Ça fait une semaine que j'ai pas juté. Fallait que je t'engrosse. T'es marqué au jus et à la pisse. Tu m'appartiens." Il sort sa queue et me la met en bouche. "Nettoie moi ça". Je m'applique à enlever toutes les traces qui m'acculent sa queue. C'est aussi pour moi la première fois que je goutte son jus. Humm, délicieux. Ses quatre doigts qui eux n'ont pas quitté mon cul rentrent maintenant plus profond, ca force avec le poing. "C'est pas fini, gaze toi". Ce que je fais. Sans forcer, avec délicatesse même, en moins de deux minutes, il a son poing dans mon cul. C'est le premier de toute ma vie. Et la sensation est énorme. Je le sens bouger à l'intérieur. Étendre ses doigts pour avancer. Et je le sens rentrer encore plus profond. "Tu m'avais pas dit que tu te faisais fister, salope". - "C'est la première fois, Boss". "Ah oui ! T'es faite pour ça. C'est quand la dernière fois que t'as juté ? "Hier, Boss" " Et maintenant, c'est moi qui décide quand tu te vide les couilles. Je vais te cager pour en être sur. En attendant, tu vas juter maintenant. Branle toi." Son poing dans mon cul me travaille fort la prostate après sa queue. Il m'étire les couilles a fond, je les sens plus, ca me remonte jusque dans le ventre. Mais je me suis mis à bander. J'attrape ma queue et à peine je l'effleure que je me vide. "C'est bien ma truie. Étale ce jus sur ton ventre, je veux que t'en ai partout." Je m'exécute. Il sort d'un coup son poing de mon cul. J'ai l'impression que tout bien avec et la sensation de vide est énorme. "Bon on va se revoir..." Il se rhabille sans rien dire de plus. Et s'en va. Comme ça. Je suis toujours couché sur mon bureau. Il me faut bien 5 minutes pour reprendre mes esprit. J'ai horriblement mal aux couilles. Et je sens plus mon cul, son jus dégouline le long de ma cuisse. Je mets bien 15 minutes à me rhabiller et je rentre chez moi prendre une douche. A 23h, j'ai un message sur l'appli : "Demain, je veux une offre d'emploi pertinente en accord avec mon savoir faire."