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J’ai tout de suite accepté avec enthousiasme sa demande de rencontre, me promettant d’être tout de suite autoritaire, sévère et sans scrupule ! Il exigeait que je fusse, dès la 1re fois, son objet sexuel total, à sa disposition pour être totalement humilié et soumis, lui servant en plus de vide-couilles efficace. Il ajoutait, très sûr de lui, que c'est mon statut de larve sexuelle qui m’obligeait à venir le servir dès que je le pouvais ! Je me suis rendu près de Beauvais à l’adresse indiquée. Voici le récit aussi détaillé que possible de cette séance, là encore assez mémorable ! J'arrive chez lui, sonne à la porte. Aussitôt, il ouvre, me regarde un instant et beugle sourdement : "Salope, enfile ton collier de clebs et ta laisse". Je prends le collier tendu par Le Maitre (LM) et le mets à mon cou. Il ajoute fermement : « Que tu te sentes bien soumis et que tu comprennes que tu n’es qu’une « pute exhibe » en dressage ! » Puis il y attache une laisse, prend la laisse en main et un sac dans lequel se trouve (je le constaterai après) le matériel nécessaire pour me dominer et me Bdsmé ; ensuite, il me tire dehors en disant : "Allons en forêt que je profite de toi, chienne" ! Je précise que c’était l’année dernière, à peu près à la même époque, mais lors de belles journées un peu moins fraîches qu’actuellement. On monte dans la voiture mais avant que je démarre, alors que LM me tient toujours en laisse, il exige : "Sors tes couilles et ta bite de ton pantalon. Tu vas rouler ainsi comme une putasse soumise au service de son Maitre". Je réponds : "Bien Maitre", et je m’exécute aussitôt, ouvrant mon pantalon, sortant totalement mes couilles et ma bite et les exhibant complètement. Nous roulons vers la forêt jusqu'à l'endroit où il veut aller pendant qu’il m'explique que : "Tu m'es totalement soumis, totalement prêt, extrêmement et totalement ouvert pour moi, j'use et abuse de toi, Salope, je t'humilie et te baise brutalement quand je veux, où je veux et avec qui je veux ! » C’est clair, net et précis… Toutefois, vous l’avez compris, j’en ai l’habitude car je ne suis qu’une larve ! Je dis : « Oui Maitre » et il ajoute : "Je fais avec ta bite tout ce que je veux et ton trou du cul je l'utilise de quelque manière que je la juge appropriée, y compris l'insertion d'objets ou les doigts, tant que c’est sans danger. Je t’humilie rituellement pour te rappeler ton statut d’esclave. Le reste de ton corps est aussi totalement à la disposition de ton Maître." Encore une fois, respectueusement, je réponds Oui et je vois que Mon Maitre est satisfait. Alors il me tape plusieurs fois sur la bite et les couilles, sans trop forcer car je conduis. J'aime beaucoup. Arrivé sur les lieux, Le Maitre me dit : « À poil intégral ! Histoire de te sentir bien lope à dispo ! » J’enlève vêtements puis chaussettes et baskets, les range dans le sac en plastique qu’il me tend et qu’il glisse dans la voiture, me prenant les clés. Je suis pieds nus, à poil total. Mon Maitre me réexplique une fois de plus : "Évident qu’un soumis doit être nu. Surtout les pieds car c’est la marque de sa dépossession totale. La nudité est de rigueur pour un soumis/esclave afin d'être entièrement ouvert aux désirs des Masters. » C’est limpide et explicite ; je n’ai qu’à m’exécuter, où qu’on soit en intérieur comme en extérieur. LM sort du sac un ensemble menottes et corde et, rapidement, il m’attache les bras dans le dos et fixe le tout au collier, tirant bien dessus pour que j’ai les bras bien remontés et que ça me tire sur le cou. Et c’est parti pour la déambulation dans la forêt : il me fait marcher ainsi, murmurant : "J'aimerais bien qu'il y ait un ou deux voyeurs pour que je t'exhibe et t'offre à eux pour bien te loper". J’articule : "Bien sûr, Maitre". LM ajoute : "N'aie pas peur, ils mettront une Kpote et te gicleront sur le visage car je n'ai pas envie de mettre en danger mon matériel !". Je réponds : "Je suis en effet ton objet Maitre. Je marche difficilement, j'ai mal aux pieds. Heureusement, au bout de peu de temps, dans une sorte de clairière herbacée, Le Maitre dit : "Ça suffit. Arrête-toi". Puis il ajoute : - « À genoux, putasse de merde et renifle-moi la bite comme un bon clébard que tu es… ». Il ouvre mon pantalon et plaque ma tête sur son slip ; je renifle bien. Il m’avise : "Ma larve, avec tes dents, descends mon slip et renifle ma bite". Je m'exécute encore, bien servile. Puis je dois lécher par petits coups sa bite, puis l'embrasser. Sa teub est maintenant bien dure et grosse, fière et imposante, une belle queue d’environ 19X6 ! Je me dis que lorsque je vais avoir ça dans la bouche et dans le cul, je vais le sentir passer ! Mais, là encore, j’adore et je suis là pour ça ! - « As-tu froid ? », demande-t-il ; je ne me rappelle même plus de ma réponse mais juste de la sienne : « Je m'en fous, tu resteras ici à poil jusqu'à ce que tu aies rempli ta mission de salope soumise et vide-couilles ». Là, au soleil, sa verge est bien érigée... D’un seul coup, il plaque ma tête sur ma bite raidie pour bien montrer que c’est lui qui commande. Toujours sans broncher, car je suis une lope soumise et une bonne salope, je le lèche, donne des coups de langue, pompe alternativement selon ses désirs et ses ordres, tirant sur ma laisse. Parfois il enfonce sa pine jusqu’à m’étouffer ; je salive vigoureusement et ça fait bien glisser sa bite dans ma bouche bien chaude ; la bave dégouline sur mon menton et mon corps de pute à dispo pour lui. Il sort de ton sac des pinces à linge et me les pose sur les seins, ma bite et mes couilles et dit :"ça va bien t'exciter ça ma salope !". Puis il continue à réclamer que je le suce longuement jusqu’à écœurement : je suis un bon slave, capable de sucer jusqu’à en dégueuler. Il râle : "J'adore gorge profonde et avec toi, je ne vais pas me gêner. Te ferai dégueuler moi, suis ton Maitre. » Il exige aussi que je lèche ses fesses et les mordille, lèche son gland doucement avant d’encore enfoncer brutalement sa queue dans ma gueule. Il crie : - « Salope, je considère ta bouche comme une chatte et te baise ta gueule de putasse... Tu vois p'tit bâtard… t’es là que pour faire la pute et t'as intérêt à avoir un bon rendement… » Sortant sa bite de ma bouche alors que j'étouffe, il se met à me claquer la gueule et me bifler en disant : "Dis-moi ce que t'es, Salope ?". Aussitôt je vocifère : « Suis une salope à machos, une putasse soumise bonne qu'à faire le tapin. » Alors il tire à fond sur la laisse et me met un bon coup sur les fesses. - « Oui ma pute et quoi encore » ? - « Je suis une lopette et une salope à routiers, une putain d’esclave et une chienne obéissante, une chaudasse exhib, Maître », et je prends encore un coup sur le cul, ceci une dizaine de fois, toujours en disant merci. Quand il voit que mon cul est assez rouge, LM me détache les mains et me fais mettre à 4 pattes ; je suis sa chienne qui déambule un peu dans l'herbe. Il crie : "Pisse sale chienne" ; alors je lève la patte et pisse comme un bon toutou qui fait ses besoins. Il rigole et m'insulte encore ! Après ce traitement, n’y tenant plus et sentant sa sève monter, il entreprend de m’enculer, me titille le cul, un doigt à sec, puis 2 et voyant que je m'ouvre bien, un 3ème et je couine comme une truie comme il me l’ordonne. - « Putain ! T’es vraiment une bonne salope toi… tu t’ouvres bien ma chienne… t’as envie de te faire enculer, hein salope… ? » Il m'ordonne de mettre le préservatif sur sa queue, puis pose sa bite à l'entrée de mon cul, moi toujours à 4 pattes, bien cambré, le cul offert. Après il me demande, en me tirant par les cheveux, si je sais ce que l'on fait aux salopes impuissantes comme moi ? Je réplique que non et il m’explique : « On les encule comme des gonzesses ! », en m'enfonçant d'un seul coup sa bite dans le cul ; il me baise brutalement à grand coups dans mes fesses, me traitant de salope impuissante, de morue, de putain à routiers, de trou à bites, etc., tout en me tirant par les cheveux et en me claquant les fesses. LM m'encule un bon moment... puis s'arrête soudainement. "Allez la pute, debout", dit-il, en tirant brutalement sur ma laisse. Je me lève et il me force à me pencher contre un arbre. D'un coup de pied, il me fait écarter les jambes, m'attache les mains au tronc puis me met un bâillon. LM tourne autour de moi en m'insultant et en me pinçant alternativement les seins, la bite, les fesses ou en me les claquant sec et même parfois me tordant la queue. J’ai mal mais j’aime être traité de la sorte. Il hurle : "Bastard de merde, t'adore être dominé, salopé et humilié, non ?" Soudainement, LM m'arrache le bâillon qu’il vient de me fixer. Il tient à ce que je réponde et m’avilisse encore plus ! Je murmure : « Oui Maitre… surtout devant d’autres voyeurs qui se moquent de moi et de ma situation de salope impuissante et même me brutalisent… » - « J’entends pas bien, Chienne de salope. Répète plus fort ! ». Alors je gueule : « Oui Maitre… surtout devant d’autres voyeurs qui se moquent de moi et de ma situation de salope impuissante et même me brutalisent… » - « Encore plusieurs fois et plus fort ». Je beugle la même phrase plusieurs fois jusqu’en avoir mal à la gorge. Je sens LM ravit. - « T'es qu'une larve qui ne sait plus que se comporter comme une bonne salope à ma disposition. » En même temps, les claques, les pincements et les coups pleuvent sur mon corps. - « Réponds à ton Maitre Putasse ! » Alors, je crie : « Oui, Maitre, j'adore, encore Maitre ! » LM continue : « Confesse-toi, grosse merde, et explique-moi pourquoi t'es une larve et un sous-homme ? » Alors j’énonce lentement : - « Petit à petit, je suis devenu de plus en plus passif et soumis… enfin totalement obéissant et incapable d'avoir un rôle dominant ou actif. Maintenant, je ne suis qu'une putasse prête à offrir à qui le veut ma bouche et mon cul pour servir de vide couilles, à lécher, à être attaché et puni même sévèrement ; on joue avec mon sexe, mes couilles et mes tétons et, si tel est le plaisir des Vrais hommes, on me féminise… Ils peuvent m'humilier avec des jeux pervers et imaginatifs, me pisser dessus, m'exhiber, me transformer en pute docile qu’on met à disposition de ses amis ou d'autres... » LM dit : « J'aime pouvoir te donner les consignes et que t'exécutes sans moufter. » - « Oui Maitre, je suis là pour ça ! Je dois servir pour toutes les pratiques de BDSM que vous souhaitez : Bondage, Domination et Soumission, Punition, Exhibition, Humiliation, Douleur et Contrainte, et Appartenance. Je suis votre soumis total, à votre entière disposition ; je suis prêt à m'offrir pleinement et à obéir à tous vos désir et ordres quand vous le voulez, où vous le désirez, avec qui vous le souhaitez ; vous décidez presque tout pour moi. » LM susurre : - « Ah, j\'aime entendre ça, ça me refait bander bien dur, Pute de merde ! » Le Maitre a de nouveau sa verge ragaillardie : forte et dressée ; à cet âge-là, ça revient vite, je me le rappelle et me souviens que j’étais capable de baiser 2 fois de suite les femmes à cette époque, les traitant comme des vide-couilles à mon service d’obsédé du sexe. Il s'installe derrière moi et m'encule encore durement et longuement. Il m’embroche comme une vulgaire putain tout en me claquant le cul ; il me lime furieusement comme pour tester mon endurance aux coups de bites... Il braille : - « Couine, ma truie, j'aime les putes qui se lâchent bien… » Je couine comme une petite chienne bien servile envers son Maitre. Les hanches du Maitre sont maintenant collées à mon postérieur. - « Tu la sens ma bite, grosse salope ? Tu sens comme je t’encule à fond ? » Il est profondément planté en moi un long instant puis se retire lentement. Son pénis bandé au maximum palpite en face de mon orifice distendu et il me tient fermement par les hanches. Mais tout de suite il se replace et sans attendre, il s’enfonce en moi violemment. Je pousse un cri, plus de surprise que de douleur. - « T’aime ça hein ma pute ? Ça t’excite de te faire enculer comme une truie ? T’es une salope hein ? Dis-le que t’es une grosse salope et que t’aimes que je te bourre le cul ! » Je voudrais pouvoir me masturber comme un dément en encaissant les terribles coups de bélier de mon Maitre. - « Oui c’est ça ! », se met à hurler LM, « Serre ton cul, salope ! Essore-moi les couilles, charogne ! » Il s'arrête enfin et me détache : - « À genoux la chienne ! » Il retire le préservatif, m’appuie sur les épaules pour que je me mette à ses pieds et crie : - « Suce à fond crevure ! » Il me tire durement par les cheveux pour m'enfoncer sa queue dans la bouche ; puis il me saisit la tête avec ses deux mains et me maintient ainsi jusqu'à ce que je sois au bord de l'étouffement complet ! Ça m’a paru fort long mais, enfin, il sort sa bite, la frotte sur ma figure et finit par éjaculer tout ton sperme chaud (j'adore cela) sur mon visage. En gémissant, il m’ordonne d’étaler son foutre sur toute ma gueule et de rester ainsi avec le jus sur moi. Au bout de quelques instants pendant lesquels il a récupéré, il me dit : - « Bon, ma crevure, il s'agit de te nettoyer un peu maintenant ! Et de plus j'ai envie de pisser. Tends-moi ton visage de chienne soumise. » Je sais ce qui m’attend… Là encore je m\'exécute tel que le souhaite mon Maitre. Je bascule la tête en arrière et lui tends mon visage et je patiente en fermant les yeux et la bouche. Le Maitre tient sa pine à moitié débandée entre son pouce et son index et la pisse jaillit, m’arrosant par de petits débordements de pisse. Des jets brefs et puissants viennent percuter ma peau. Il m'en arrose copieusement le visage mais aussi tourne autour de moi et m'en répand sur les épaules, les fesses et devant, sur le torse et la bite, partout sur le corps, en criant : - « Un vrai sac à pisse. Tu es vraiment une grosse salope toi ! » Entre chaque jet, il aime me parler : - « Regarde ce que je te fais, t’es qu’un pourri de bastard. » - « T’es un simple urinoir, ma chienne puante !" - « Tu sers vraiment à rien, sous-homme ! Sauf à donner du plaisir aux Vrais !" - « Je fais ce que je veux de toi, t’es ma lope soumise !", etc. Moi, je ne réponds pas, j’encaisse juste les jets d'urine sur mon corps. Le Maitre a du plaisir, je le ressens bien, il adore me voir là, humide, humilié, ruisselant de son urine. Ma respiration est saccadée et il observe les gouttes qui tombent de mon visage. Tant pis pour moi, il pense, ce n’est qu’une merde à utiliser comme on veut ! Il me laisse là, quelques longues minutes, entièrement mouillé ; je m'imprègne de cette odeur de pisse et surtout j'ai froid et je tremble. Mais pour Le Maitre l'idée de faire durer l'humiliation est exquise ! Malgré le froid, c’est un moment enchanteur. Quel plaisir de me faire uriner dessus par Le Maitre et de lui offrir mon humiliation. Quel bien-être il a ! Et je suis heureux pour lui ! Enfin, je le remercie pour ce qu’il me fait subir. Mais le Maitre me retourne : - « Attends grosse merde, c'est pas tout à fait fini. D'abord, tu vas te branler devant mo, sous mes ordres comme la larve que tu es et que je récompense car tu as bien servi ton Maitre ! Puis tu t’essuieras et tu retourneras à poil à 4 pattes avec la laisse jusqu'à la voiture, comme un bon toutou que je promène, grosse putasse ! » En effet, ce n'est donc pas fini. Je suis un peu épuisé mais je dois continuer servir LM comme une bonne chienne, bien salope et à dispo ! Le Maitre dit : - « Appuie-toi dos à l'arbre et branle-toi fort et durement en t'insultant de toutes les façons ! » Je m'installe, fatigué, et commence à me branler doucement mais Le Maitre n'est pas content : - « Plus fort connasse et je veux t'entendre ! » Je redouble de vigueur et exprime en même temps tout ce qu'il me passe dans la tête : - « Suis qu'une grosse merde, au service de Mon maitre, pour les Vrais Hommes !» ; - « Suis ton bon soumis passif et docile qui a besoin d'un bon Maitre patient et dur comme toi. J'ai besoin de me soumettre ! » - « Suis totalement soumis, totalement prêt, extrêmement et totalement ouvert pour vous, usez et abusez de moi, ô Maitre, humiliez-moi et baisez-moi brutalement... mon corps est totalement, et sans exception, la possession de mon Maître et il peut en faire ce qu'il veut, y compris des éléments de forte douleur et l'humiliation... » - « Suis une Merde, une Lope vide-couilles... qui doit subir Bondage torture des seins et couilles Humiliation Chaines Stress Attachements et Positionnements durs… » Je me mets à énumérer toutes les pratiques que j’ai subies ou que je connais de nom : - « …Electro Poppers Pisse Cordes Colliers roue dentée Cire chaude de Bougie croix sexuelle de St André pinces a poids Pinces à linge sur tout le corps Féminisation Forcée Sissification Groupe scènes d'abus Exhibition Cages urinoir humain Esclavage et Vente forcée Fessées Captif BDSM pinces chinoises boules piquantes Tirage des couilles, bouche et cul ouverts et offerts… » Je crie tout ça en me branlant à mort et soudain je lâche tout sous le regard moqueur du Maitre qui me traite de tous les noms qu'il connait ! C’est bon : j’ai rarement joui aussi excellemment ! J’aime jouir dans la souffrance et l’avilissement ! Alors que je croyais LM satisfait et prêt à repartir, il m’annonce que je dois lécher mes gouttes de sperme sur l’herbe. Je regarde, ne les vois pas car où ont-elles giclé ? Mais LM insiste, alors je me mets à genoux et lèche l’herbe à divers endroits… - « Bon ça va, putasse de merde ! » Ce jeune Maitre aime beaucoup l’insulte. Il manque d’une certaine emprise mais ça viendra avec l’expérience. - « À quatre pattes maintenant, on va à la voiture ! » Je m’installe et lui tends la laisse ; il la saisit et tire brutalement dessus. J’essaie de suivre le rythme… mais c’est dur et j’ai mal car je m’érafle sur les mains et les genoux ! À la voiture, je peux me rhabiller, l'odeur de pisse m'enveloppant et je me trouve dégueulasse car je n'aime pas mettre mes vêtements propres sur mon corps sale ! Je le dis au Maître. Il se marre franchement : - "T'es qu'une pute, lope et chienne qui se vautre dans l'abjection et la déchéance et tu voudrais être propre, salope ?" Je prends conscience qu'il est inutile de tenter de lui expliquer les subtilités des personnalités et des jeux que l'on assume. Tant pis ! En montant dans la bagnole, Le Maitre me dit : - « Salope, tu conduis les couilles à l'air ! » Je m'exécute sagement et rapidement, craignant une réaction brutale du jeune Maitre. Rien ne se passe, il semble repu comme après un bon repas où l’on est relaxé et reposé et on n’a plus envie de quoi que ce soit. Mes couilles à l’air, je ramène le Maitre ; enthousiaste, il me dit : - « Vite, salope d'esclave, une autre séance ! » - « Oui, Maitre, avec grand plaisir dès que je peux ! J'ai obéi à AUTORITAIRE en faisant ici le récit ici de notre plan
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