Annonces Gay DomiAddict GAYSM Hard, plan cul BDSM et Fetish avec des XtremBoys

Annonces DomiAddict plan cul GAYSM

L'antre des rencontres SM entre XtremBoys gays et Bisex de France, Europe et Afrique du Nord

Ce qui différencie la communauté BDSM DomiAddict, est notre modèle "véritablement gratuit".
L'utilisateur peut profiter de tous les avantages du site sans avoir à payer un centime, y compris les webcams gratuites, le chat pour adultes et bien plus encore !

CHATURBITE le VISIO-TCHAT des XtremBoys gays et Bisex Hard & fetish free and discreet gay dating: BDSM, Fist, Dog Training, Uro, CBT, Leather ... Hard & BDSM gay chat XTREMBOY ACCES GRATUIT AUX CHATROOMS CLIC ICI


- Fetish Videochat DomiAddict • Ta webcam perso GRATUITE • Carte régionale des PlanSM

DomiAddict annonces GAY BDSM adultes utilise uniquement les cookies nécessaires au fonctionnement du site Politique de cookies OK
plan cul bisex dans une cage d'escalier
Je vais vous raconter un plan cul dans une cage d'escalier. Je rentrais de boite vers cinq heures du matin. J'adore marcher dans Paris la nuit, c'est super tranquille, t'as même l'impression que tu pourrais t'y balader à poil sans risque d'être emmerdé. Arrivé rue de Rivoli j'ai eu une super envie de pisser, je me fiche dans une petite rue pour me soulager. Pendant que je pissais j'entendais des gémissements qui provenaient de la cage d'escalier du l'immeuble contre lequel j'urinais. J'avais sur moi le passe qu'un pote facteur m'avait refilé, je l'utilise pour rentrer dans le batiment. Au fond du hall je tombe sur un mec rebeu en train de niquer une blondasse, je joue le mec super cool et balance au keum: - « Putain elle est trop chaude ta meuf, y’a moyen d'en profiter un peu ? » Le gars tout aussi cool que moi continu de sauter la pétasse en me faisant comprendre qu'il n'est pas contre ma proposition. Je m'approche et commence à carresser la meuf tout en laissant mes mains toucher le rebeu. La salope attrape direct ma queue qui était déjà bien dure excitée par la situation. Elle se baisse et avale direct mon gros zob. Le rebeu qui avait sa bite dans sa chatte se retrouve la queue à l'air et va s'assoir dans les escaliers en restant la queue à l'air bien raide. Il s'adresse à sa copine en lui proposant de me donner son cul pendant qu'il la niquera. Je suis super surpris, l'arabe est carrément partant pour faire une double pénétration à sa meuf qui a l'air partante. Aussitôt la garce rejoint le rebeu et s'assoit sur sa grosse teub en commence a se faire pilonner pendant que le mec lui bouffe les seins. Elle se cambre un max pour bien me montrer son cul en m'invitant du regard pour que je vienne l'enculer. Bien entendu je me laisse convaincre. La queue bien raide j'enfile rapidement un préservatif et je viens de positionner derrière elle et après avoir recherché l'orifice en chaleur avec les doigt je lui enfourne direct mon zob au fond du trou. Elle se met à gueuler de jouissance certainement parce que cela ne devait clairement pas lui arriver pour la première fois. Son mec lui baillone la bouche pour ne pas qu'elle réveille tout l'immeuble. Je continue à lui mettre des petits coups de queue de plus en plus profonds, j'en arrive à sentir le braquemard du rebeu qui vient buter contre ma bite derrière la paroi de sa chatte et de son cul. On la baise comme çà pendant plusieurs minutes. N'en pouvant plus le lascar se retire balance sa capote branle sa grosse queue et balance son sperme sur la tronche de la chienne. N'en pouvant plus à mon tour je sors aussi mon zob de son cul et aussitôt je gicle abondamment sur ses fesses. Je vais m'assoir à côté du rebeu les jambes coupées par l'effort. A peine assis la meuf vient prendre ma teub en bouche pour la nettoyer sentir sa langue baveuse sur mon zgeg ramolli me provoque des sensations super jouissives. Je regarde le rebeu super heureux il me sourit et m'attrape la tête par le cou pour me rouler une pelle. Me refaire un petit plan dans le genre à l'occase me botterait bien.
Extrait video OFFERT par HARDKINKS
Mon plan suce dans le train avec un lascars beur
Salut, vous pouvez m’appeler Tiago, je suis un BG de 23 ans vivant sur Paris. Je suis gay masculin looké streetwear, sexe de 19cm non circoncis . Voilà mon expérience RÉELLE avec un rebeu rencontré dans le train et qui m’a pompé. Je me suis appliqué à l’écrire, pour info je ne suis pas littéraire , j’ai vraiment essayé de ne rien oublier, j’ai rien rajouté non plus, j’suis pas Marseillais ! (private joke pour mes potos supporters de l’OM) Après un week end chez les parents à ne rien faire si ce n’est mater la TV et bouffer la cuisine de mère, je prenais le train de retour pour Paname, et c’était parti pour 3 heures. Bercé par le ronron du Corail, je m’endormais avec les écouteurs en écoutant des podcasts sur mon siège casquette vissée sur la tête et lunette noir. Pas que je sois très sauvage, mais je pense qu’on est un peu tous pareil dans le train, entre les odeurs de sandwich aux oeufs sortis de leur papier alu , les gamins qui piailles et les vieux devant qui refont le monde , juste envie d’être dans sa bulle ! Je devais dormir depuis 5/10 minutes quand je sens que quelqu’un vient se poser juste à coté de moi. J’ouvre les yeux à moitié, et je vois un beau lascars rebeu en survet / casquette d’une vingtaine d’année avec un regard chaud, celui qui brille de vice vous voyez ? Donc il est déjà assis à coté quand il me demande : Excuse moi cousin, c’est libre là ? Un peu en attitude Kaïera , je lâche juste un « ouai ouai » et ferme les yeux en écartant bien les jambes pour être à mon aise. Je sais pas trop pourquoi mais me souvient que ma cuisse collait un peu contre la sienne, et avec les mouvements du train, je sentais que ça frottait un peu, sans calculer plus que ça. Ca à dû durer 5 minutes quand je sens qu’il réagi , on continuait à se frôler la cuisse et les genoux mais je voyais bien que c’était pas naturel et qu’il en rajoutait, et en confiance (dans ma bulle) je ne réagissait pas trop appréciant sentir ses jambes musclées contre moi . Je choppe un début d’érection, ouvre les yeux pour voir si c’était pas trop visible, mais le rebeu avait déjà les yeux dessus, pas scred avec un jogging de sport Japan Rags. Toujours feignant dormir, je m’amuse à contracter ma teub comme si j’envoyais des clins d’oeil, je suis pas con, j’ai bien vu que le mec n’était pas en mode choqué ou outré, et donc qu’il pouvait y avoir moyen. Je pose ma main sur la sienne par dessus l’accoudoir. Discret pour pas attirer l’attention, j’attrape son poignet et le pose sur mon paquet. Il palpe et me malaxe la teub par dessus mon survet sport tout en calant son autre main sur son entrejambe. Putain, trop facile ! Le kif ! Je repousse sa main doucement, cale ma teub dans l’élastique du boxer pour pas qu’elle soit trop visible, me lève en lui lançant un « Tu me suis? » et je trace dans les chiottes où il me rejoint quasi aussitôt. Il se colle contre moi et me roule une pelle , ça doigts viennent explorer le dessous de mon boxer et entourent ma teub raide comme la justice. Toujours en me la pétant un peu, je pose mes mains sur ses épaules, il capte et se met à genoux devant moi. Je baisse mon froc tandis qu’il passe une de ses mains dans son survet pour se branler et attrape ma queue de l’autre pour la mettre en bouche. Tony-Milan---Super-Pompeur-de-Bite---Pipe--SuceSes lèvres entourent mon gland, il commence à me décrasser la bite sur toute la longueur en astiquant et en malaxant les couilles. Une pipe royale qui me fait mordre les lèvres. J’attrape sa tête et l’enfonce contre ma bite, je sens qu’elle tape dans le fond et je donne des coups secs qui manquent de lui faire perdre l’équilibre car il est baissé sur la pointe des pieds.\r\nPendant que ma teub limait sa bonne petite bouche qui salivait comme un malade, je le matais se branler, la queue sortie du survet : un bon zob de rebeu , foncé et circoncis, pas très long (pas comme le mec de la photo en tout cas), mais bien épais. Les bruits du train et des rails masquait les bruits de sucions et surtout ses gémissements qui s’intensifiaient . Ce sont ses râles de plaisir qui m’ont fait monter la sauce , j’écarte sa bouche de ma teub, me pougne et voilà que des salves de sperme vont s’éclater contre les murs des chiottes, il n’en rate pas une miette, toujours en s’astiquant comme un deguin. Il me rechope la queue toujours gonflée et ramollie , la remet en bouche en aspirant et en poussant des gémissement et balance la purée sur le sol, une belle flaque crémeuse se colle sur le lino crade. L’extase, je me sentais comme un ouf, l’expérience était à la fois aventureuse et excitante, le genre de plan suce auquel tu ne t’attends pas et peut te coller le sourire pour toute la journée. Apres s’être essuyé et rincé la gueule suintant le jus, il se relève me fait un baiser rapide sur les lèvres. Je lui aurait bien roulé une mega pelle et chopé son numéro, mais j’étais encore dans mon rôle de macho rebel, peut être par ce que j’avais l’impression que c’était ça qui l’excitait sur le moment et que je ne voulais pas passer pour un con. On est retourné s’assoir comme si de rien était, on a pas parlé sur le restant du trajet à part un « salut / ciao » quand on est arrivé en gare. Seulement quelques regards complices et me souvient qu’on avait recommencé à se palper le paquet en scred à en moment, mais on arrivait presque et les gens du wagon commençaient à s’activer et y’avait du passage. Si je te recroise, aucun doute la dessus mon frère, on passe à l’étape suivante , j’ai fantasmé sur toi certaines fois, m’imaginant passer ma main sur ta raie , te titiller le fion puis te limer. T’as bien apprécié ma teub, tu l’aimeras encore plus ! Si tu me lis fais signe ! Ou si un pote vous a raconté la même histoire (c’étais en mai/juin 2022), faites lui savoir que je suis passé ici…
Extrait video OFFERT par SketBoy
Ce Dominant de 33 ans, appelé AUTORITAIRE, m’a joint par mail après avoir repéré une de mes nombreuses annonces
J’ai tout de suite accepté avec enthousiasme sa demande de rencontre, me promettant d’être tout de suite autoritaire, sévère et sans scrupule ! Il exigeait que je fusse, dès la 1re fois, son objet sexuel total, à sa disposition pour être totalement humilié et soumis, lui servant en plus de vide-couilles efficace. Il ajoutait, très sûr de lui, que c'est mon statut de larve sexuelle qui m’obligeait à venir le servir dès que je le pouvais ! Je me suis rendu près de Beauvais à l’adresse indiquée. Voici le récit aussi détaillé que possible de cette séance, là encore assez mémorable ! J'arrive chez lui, sonne à la porte. Aussitôt, il ouvre, me regarde un instant et beugle sourdement : "Salope, enfile ton collier de clebs et ta laisse". Je prends le collier tendu par Le Maitre (LM) et le mets à mon cou. Il ajoute fermement : « Que tu te sentes bien soumis et que tu comprennes que tu n’es qu’une « pute exhibe » en dressage ! » Puis il y attache une laisse, prend la laisse en main et un sac dans lequel se trouve (je le constaterai après) le matériel nécessaire pour me dominer et me Bdsmé ; ensuite, il me tire dehors en disant : "Allons en forêt que je profite de toi, chienne" ! Je précise que c’était l’année dernière, à peu près à la même époque, mais lors de belles journées un peu moins fraîches qu’actuellement. On monte dans la voiture mais avant que je démarre, alors que LM me tient toujours en laisse, il exige : "Sors tes couilles et ta bite de ton pantalon. Tu vas rouler ainsi comme une putasse soumise au service de son Maitre". Je réponds : "Bien Maitre", et je m’exécute aussitôt, ouvrant mon pantalon, sortant totalement mes couilles et ma bite et les exhibant complètement. Nous roulons vers la forêt jusqu'à l'endroit où il veut aller pendant qu’il m'explique que : "Tu m'es totalement soumis, totalement prêt, extrêmement et totalement ouvert pour moi, j'use et abuse de toi, Salope, je t'humilie et te baise brutalement quand je veux, où je veux et avec qui je veux ! » C’est clair, net et précis… Toutefois, vous l’avez compris, j’en ai l’habitude car je ne suis qu’une larve ! Je dis : « Oui Maitre » et il ajoute : "Je fais avec ta bite tout ce que je veux et ton trou du cul je l'utilise de quelque manière que je la juge appropriée, y compris l'insertion d'objets ou les doigts, tant que c’est sans danger. Je t’humilie rituellement pour te rappeler ton statut d’esclave. Le reste de ton corps est aussi totalement à la disposition de ton Maître." Encore une fois, respectueusement, je réponds Oui et je vois que Mon Maitre est satisfait. Alors il me tape plusieurs fois sur la bite et les couilles, sans trop forcer car je conduis. J'aime beaucoup. Arrivé sur les lieux, Le Maitre me dit : « À poil intégral ! Histoire de te sentir bien lope à dispo ! » J’enlève vêtements puis chaussettes et baskets, les range dans le sac en plastique qu’il me tend et qu’il glisse dans la voiture, me prenant les clés. Je suis pieds nus, à poil total. Mon Maitre me réexplique une fois de plus : "Évident qu’un soumis doit être nu. Surtout les pieds car c’est la marque de sa dépossession totale. La nudité est de rigueur pour un soumis/esclave afin d'être entièrement ouvert aux désirs des Masters. » C’est limpide et explicite ; je n’ai qu’à m’exécuter, où qu’on soit en intérieur comme en extérieur. LM sort du sac un ensemble menottes et corde et, rapidement, il m’attache les bras dans le dos et fixe le tout au collier, tirant bien dessus pour que j’ai les bras bien remontés et que ça me tire sur le cou. Et c’est parti pour la déambulation dans la forêt : il me fait marcher ainsi, murmurant : "J'aimerais bien qu'il y ait un ou deux voyeurs pour que je t'exhibe et t'offre à eux pour bien te loper". J’articule : "Bien sûr, Maitre". LM ajoute : "N'aie pas peur, ils mettront une Kpote et te gicleront sur le visage car je n'ai pas envie de mettre en danger mon matériel !". Je réponds : "Je suis en effet ton objet Maitre. Je marche difficilement, j'ai mal aux pieds. Heureusement, au bout de peu de temps, dans une sorte de clairière herbacée, Le Maitre dit : "Ça suffit. Arrête-toi". Puis il ajoute : - « À genoux, putasse de merde et renifle-moi la bite comme un bon clébard que tu es… ». Il ouvre mon pantalon et plaque ma tête sur son slip ; je renifle bien. Il m’avise : "Ma larve, avec tes dents, descends mon slip et renifle ma bite". Je m'exécute encore, bien servile. Puis je dois lécher par petits coups sa bite, puis l'embrasser. Sa teub est maintenant bien dure et grosse, fière et imposante, une belle queue d’environ 19X6 ! Je me dis que lorsque je vais avoir ça dans la bouche et dans le cul, je vais le sentir passer ! Mais, là encore, j’adore et je suis là pour ça ! - « As-tu froid ? », demande-t-il ; je ne me rappelle même plus de ma réponse mais juste de la sienne : « Je m'en fous, tu resteras ici à poil jusqu'à ce que tu aies rempli ta mission de salope soumise et vide-couilles ». Là, au soleil, sa verge est bien érigée... D’un seul coup, il plaque ma tête sur ma bite raidie pour bien montrer que c’est lui qui commande. Toujours sans broncher, car je suis une lope soumise et une bonne salope, je le lèche, donne des coups de langue, pompe alternativement selon ses désirs et ses ordres, tirant sur ma laisse. Parfois il enfonce sa pine jusqu’à m’étouffer ; je salive vigoureusement et ça fait bien glisser sa bite dans ma bouche bien chaude ; la bave dégouline sur mon menton et mon corps de pute à dispo pour lui. Il sort de ton sac des pinces à linge et me les pose sur les seins, ma bite et mes couilles et dit :"ça va bien t'exciter ça ma salope !". Puis il continue à réclamer que je le suce longuement jusqu’à écœurement : je suis un bon slave, capable de sucer jusqu’à en dégueuler. Il râle : "J'adore gorge profonde et avec toi, je ne vais pas me gêner. Te ferai dégueuler moi, suis ton Maitre. » Il exige aussi que je lèche ses fesses et les mordille, lèche son gland doucement avant d’encore enfoncer brutalement sa queue dans ma gueule. Il crie : - « Salope, je considère ta bouche comme une chatte et te baise ta gueule de putasse... Tu vois p'tit bâtard… t’es là que pour faire la pute et t'as intérêt à avoir un bon rendement… » Sortant sa bite de ma bouche alors que j'étouffe, il se met à me claquer la gueule et me bifler en disant : "Dis-moi ce que t'es, Salope ?". Aussitôt je vocifère : « Suis une salope à machos, une putasse soumise bonne qu'à faire le tapin. » Alors il tire à fond sur la laisse et me met un bon coup sur les fesses. - « Oui ma pute et quoi encore » ? - « Je suis une lopette et une salope à routiers, une putain d’esclave et une chienne obéissante, une chaudasse exhib, Maître », et je prends encore un coup sur le cul, ceci une dizaine de fois, toujours en disant merci. Quand il voit que mon cul est assez rouge, LM me détache les mains et me fais mettre à 4 pattes ; je suis sa chienne qui déambule un peu dans l'herbe. Il crie : "Pisse sale chienne" ; alors je lève la patte et pisse comme un bon toutou qui fait ses besoins. Il rigole et m'insulte encore ! Après ce traitement, n’y tenant plus et sentant sa sève monter, il entreprend de m’enculer, me titille le cul, un doigt à sec, puis 2 et voyant que je m'ouvre bien, un 3ème et je couine comme une truie comme il me l’ordonne. - « Putain ! T’es vraiment une bonne salope toi… tu t’ouvres bien ma chienne… t’as envie de te faire enculer, hein salope… ? » Il m'ordonne de mettre le préservatif sur sa queue, puis pose sa bite à l'entrée de mon cul, moi toujours à 4 pattes, bien cambré, le cul offert. Après il me demande, en me tirant par les cheveux, si je sais ce que l'on fait aux salopes impuissantes comme moi ? Je réplique que non et il m’explique : « On les encule comme des gonzesses ! », en m'enfonçant d'un seul coup sa bite dans le cul ; il me baise brutalement à grand coups dans mes fesses, me traitant de salope impuissante, de morue, de putain à routiers, de trou à bites, etc., tout en me tirant par les cheveux et en me claquant les fesses. LM m'encule un bon moment... puis s'arrête soudainement. "Allez la pute, debout", dit-il, en tirant brutalement sur ma laisse. Je me lève et il me force à me pencher contre un arbre. D'un coup de pied, il me fait écarter les jambes, m'attache les mains au tronc puis me met un bâillon. LM tourne autour de moi en m'insultant et en me pinçant alternativement les seins, la bite, les fesses ou en me les claquant sec et même parfois me tordant la queue. J’ai mal mais j’aime être traité de la sorte. Il hurle : "Bastard de merde, t'adore être dominé, salopé et humilié, non ?" Soudainement, LM m'arrache le bâillon qu’il vient de me fixer. Il tient à ce que je réponde et m’avilisse encore plus ! Je murmure : « Oui Maitre… surtout devant d’autres voyeurs qui se moquent de moi et de ma situation de salope impuissante et même me brutalisent… » - « J’entends pas bien, Chienne de salope. Répète plus fort ! ». Alors je gueule : « Oui Maitre… surtout devant d’autres voyeurs qui se moquent de moi et de ma situation de salope impuissante et même me brutalisent… » - « Encore plusieurs fois et plus fort ». Je beugle la même phrase plusieurs fois jusqu’en avoir mal à la gorge. Je sens LM ravit. - « T'es qu'une larve qui ne sait plus que se comporter comme une bonne salope à ma disposition. » En même temps, les claques, les pincements et les coups pleuvent sur mon corps. - « Réponds à ton Maitre Putasse ! » Alors, je crie : « Oui, Maitre, j'adore, encore Maitre ! » LM continue : « Confesse-toi, grosse merde, et explique-moi pourquoi t'es une larve et un sous-homme ? » Alors j’énonce lentement : - « Petit à petit, je suis devenu de plus en plus passif et soumis… enfin totalement obéissant et incapable d'avoir un rôle dominant ou actif. Maintenant, je ne suis qu'une putasse prête à offrir à qui le veut ma bouche et mon cul pour servir de vide couilles, à lécher, à être attaché et puni même sévèrement ; on joue avec mon sexe, mes couilles et mes tétons et, si tel est le plaisir des Vrais hommes, on me féminise… Ils peuvent m'humilier avec des jeux pervers et imaginatifs, me pisser dessus, m'exhiber, me transformer en pute docile qu’on met à disposition de ses amis ou d'autres... » LM dit : « J'aime pouvoir te donner les consignes et que t'exécutes sans moufter. » - « Oui Maitre, je suis là pour ça ! Je dois servir pour toutes les pratiques de BDSM que vous souhaitez : Bondage, Domination et Soumission, Punition, Exhibition, Humiliation, Douleur et Contrainte, et Appartenance. Je suis votre soumis total, à votre entière disposition ; je suis prêt à m'offrir pleinement et à obéir à tous vos désir et ordres quand vous le voulez, où vous le désirez, avec qui vous le souhaitez ; vous décidez presque tout pour moi. » LM susurre : - « Ah, j\'aime entendre ça, ça me refait bander bien dur, Pute de merde ! » Le Maitre a de nouveau sa verge ragaillardie : forte et dressée ; à cet âge-là, ça revient vite, je me le rappelle et me souviens que j’étais capable de baiser 2 fois de suite les femmes à cette époque, les traitant comme des vide-couilles à mon service d’obsédé du sexe. Il s'installe derrière moi et m'encule encore durement et longuement. Il m’embroche comme une vulgaire putain tout en me claquant le cul ; il me lime furieusement comme pour tester mon endurance aux coups de bites... Il braille : - « Couine, ma truie, j'aime les putes qui se lâchent bien… » Je couine comme une petite chienne bien servile envers son Maitre. Les hanches du Maitre sont maintenant collées à mon postérieur. - « Tu la sens ma bite, grosse salope ? Tu sens comme je t’encule à fond ? » Il est profondément planté en moi un long instant puis se retire lentement. Son pénis bandé au maximum palpite en face de mon orifice distendu et il me tient fermement par les hanches. Mais tout de suite il se replace et sans attendre, il s’enfonce en moi violemment. Je pousse un cri, plus de surprise que de douleur. - « T’aime ça hein ma pute ? Ça t’excite de te faire enculer comme une truie ? T’es une salope hein ? Dis-le que t’es une grosse salope et que t’aimes que je te bourre le cul ! » Je voudrais pouvoir me masturber comme un dément en encaissant les terribles coups de bélier de mon Maitre. - « Oui c’est ça ! », se met à hurler LM, « Serre ton cul, salope ! Essore-moi les couilles, charogne ! » Il s'arrête enfin et me détache : - « À genoux la chienne ! » Il retire le préservatif, m’appuie sur les épaules pour que je me mette à ses pieds et crie : - « Suce à fond crevure ! » Il me tire durement par les cheveux pour m'enfoncer sa queue dans la bouche ; puis il me saisit la tête avec ses deux mains et me maintient ainsi jusqu'à ce que je sois au bord de l'étouffement complet ! Ça m’a paru fort long mais, enfin, il sort sa bite, la frotte sur ma figure et finit par éjaculer tout ton sperme chaud (j'adore cela) sur mon visage. En gémissant, il m’ordonne d’étaler son foutre sur toute ma gueule et de rester ainsi avec le jus sur moi. Au bout de quelques instants pendant lesquels il a récupéré, il me dit : - « Bon, ma crevure, il s'agit de te nettoyer un peu maintenant ! Et de plus j'ai envie de pisser. Tends-moi ton visage de chienne soumise. » Je sais ce qui m’attend… Là encore je m\'exécute tel que le souhaite mon Maitre. Je bascule la tête en arrière et lui tends mon visage et je patiente en fermant les yeux et la bouche. Le Maitre tient sa pine à moitié débandée entre son pouce et son index et la pisse jaillit, m’arrosant par de petits débordements de pisse. Des jets brefs et puissants viennent percuter ma peau. Il m'en arrose copieusement le visage mais aussi tourne autour de moi et m'en répand sur les épaules, les fesses et devant, sur le torse et la bite, partout sur le corps, en criant : - « Un vrai sac à pisse. Tu es vraiment une grosse salope toi ! » Entre chaque jet, il aime me parler : - « Regarde ce que je te fais, t’es qu’un pourri de bastard. » - « T’es un simple urinoir, ma chienne puante !" - « Tu sers vraiment à rien, sous-homme ! Sauf à donner du plaisir aux Vrais !" - « Je fais ce que je veux de toi, t’es ma lope soumise !", etc. Moi, je ne réponds pas, j’encaisse juste les jets d'urine sur mon corps. Le Maitre a du plaisir, je le ressens bien, il adore me voir là, humide, humilié, ruisselant de son urine. Ma respiration est saccadée et il observe les gouttes qui tombent de mon visage. Tant pis pour moi, il pense, ce n’est qu’une merde à utiliser comme on veut ! Il me laisse là, quelques longues minutes, entièrement mouillé ; je m'imprègne de cette odeur de pisse et surtout j'ai froid et je tremble. Mais pour Le Maitre l'idée de faire durer l'humiliation est exquise ! Malgré le froid, c’est un moment enchanteur. Quel plaisir de me faire uriner dessus par Le Maitre et de lui offrir mon humiliation. Quel bien-être il a ! Et je suis heureux pour lui ! Enfin, je le remercie pour ce qu’il me fait subir. Mais le Maitre me retourne : - « Attends grosse merde, c'est pas tout à fait fini. D'abord, tu vas te branler devant mo, sous mes ordres comme la larve que tu es et que je récompense car tu as bien servi ton Maitre ! Puis tu t’essuieras et tu retourneras à poil à 4 pattes avec la laisse jusqu'à la voiture, comme un bon toutou que je promène, grosse putasse ! » En effet, ce n'est donc pas fini. Je suis un peu épuisé mais je dois continuer servir LM comme une bonne chienne, bien salope et à dispo ! Le Maitre dit : - « Appuie-toi dos à l'arbre et branle-toi fort et durement en t'insultant de toutes les façons ! » Je m'installe, fatigué, et commence à me branler doucement mais Le Maitre n'est pas content : - « Plus fort connasse et je veux t'entendre ! » Je redouble de vigueur et exprime en même temps tout ce qu'il me passe dans la tête : - « Suis qu'une grosse merde, au service de Mon maitre, pour les Vrais Hommes !» ; - « Suis ton bon soumis passif et docile qui a besoin d'un bon Maitre patient et dur comme toi. J'ai besoin de me soumettre ! » - « Suis totalement soumis, totalement prêt, extrêmement et totalement ouvert pour vous, usez et abusez de moi, ô Maitre, humiliez-moi et baisez-moi brutalement... mon corps est totalement, et sans exception, la possession de mon Maître et il peut en faire ce qu'il veut, y compris des éléments de forte douleur et l'humiliation... » - « Suis une Merde, une Lope vide-couilles... qui doit subir Bondage torture des seins et couilles Humiliation Chaines Stress Attachements et Positionnements durs… » Je me mets à énumérer toutes les pratiques que j’ai subies ou que je connais de nom : - « …Electro Poppers Pisse Cordes Colliers roue dentée Cire chaude de Bougie croix sexuelle de St André pinces a poids Pinces à linge sur tout le corps Féminisation Forcée Sissification Groupe scènes d'abus Exhibition Cages urinoir humain Esclavage et Vente forcée Fessées Captif BDSM pinces chinoises boules piquantes Tirage des couilles, bouche et cul ouverts et offerts… » Je crie tout ça en me branlant à mort et soudain je lâche tout sous le regard moqueur du Maitre qui me traite de tous les noms qu'il connait ! C’est bon : j’ai rarement joui aussi excellemment ! J’aime jouir dans la souffrance et l’avilissement ! Alors que je croyais LM satisfait et prêt à repartir, il m’annonce que je dois lécher mes gouttes de sperme sur l’herbe. Je regarde, ne les vois pas car où ont-elles giclé ? Mais LM insiste, alors je me mets à genoux et lèche l’herbe à divers endroits… - « Bon ça va, putasse de merde ! » Ce jeune Maitre aime beaucoup l’insulte. Il manque d’une certaine emprise mais ça viendra avec l’expérience. - « À quatre pattes maintenant, on va à la voiture ! » Je m’installe et lui tends la laisse ; il la saisit et tire brutalement dessus. J’essaie de suivre le rythme… mais c’est dur et j’ai mal car je m’érafle sur les mains et les genoux ! À la voiture, je peux me rhabiller, l'odeur de pisse m'enveloppant et je me trouve dégueulasse car je n'aime pas mettre mes vêtements propres sur mon corps sale ! Je le dis au Maître. Il se marre franchement : - "T'es qu'une pute, lope et chienne qui se vautre dans l'abjection et la déchéance et tu voudrais être propre, salope ?" Je prends conscience qu'il est inutile de tenter de lui expliquer les subtilités des personnalités et des jeux que l'on assume. Tant pis ! En montant dans la bagnole, Le Maitre me dit : - « Salope, tu conduis les couilles à l'air ! » Je m'exécute sagement et rapidement, craignant une réaction brutale du jeune Maitre. Rien ne se passe, il semble repu comme après un bon repas où l’on est relaxé et reposé et on n’a plus envie de quoi que ce soit. Mes couilles à l’air, je ramène le Maitre ; enthousiaste, il me dit : - « Vite, salope d'esclave, une autre séance ! » - « Oui, Maitre, avec grand plaisir dès que je peux ! J'ai obéi à AUTORITAIRE en faisant ici le récit ici de notre plan
Extrait video OFFERT par Univers Black
Mon week-end à Narbonne
Je me suis fait dragué par un bogoss de 31 ans sur DomiAddict qui m'a invité à passer quelques temps chez lui. Je fais le trajet de Marseille à Narbonne en voiture en me disant que si çà se trouve je vais vers une galère mais je préfère imaginer que le beau mec de la photo soit réel et qu'il est super cool pour m'offrir l'hospitalité et son cul... Arrivée à Narbonne je vais directement chez lui il habite rue droite près du canal super facile à trouver. Je tombe sur un mec encore plus bandant que sur la photo un sourire d'enfer, un bel appartement, le gars est juriste. Il y a un jacuzzi dans son logement avec une baie vitrée qui donne directement sur le canal. A peine arrivé il me propose d'aller me détendre dans son jacuzzi, aussitôt il se met à poil et m'invite à en faire autant de le rejoindre. Je m'assois sur le bord du jacuzzi et il commence immédiatement à me sucer et me gobe les couilles en les malaxant avec sa langue. Puis me biberone à nouveau comme un vrai pro, j'étais en érection maximum, super exicité dans il change de position pour me présenter son petit cul imberbe. Je chope un préservatif et l'encule direct, mes grosses couilles pendantes viennent claquer fortement sur ses fesses, il m'attrape les burnes en passant sa main entre ses jambes et tire dessus en les tirant et les pressant comme un malade, ce qui m'excite encore plus, je lui enfonce mon mandrin à donf dans son anus hyper dilaté. C'est tellement bon que la pression monte et j'envoie la sauce au bout de 15 minutes de baise intensive en hurlant de plaisir pendant que mon juriste au cul d'enfer se branle et éjacule dans le bain bouillonnant. Nous nous écroulons l'un dans les bras de l'autre, on se roule des pelles et ce n'est que le début de mon week-end à Narbonne. On est resté à nous balader à poil dans l'appart au risque d'être vu par les passants sur le canal, mais manifestement cela ne le dérangeait pas nous étions comme des pachas. Et puis être nu çà efface les différences sociales, par contre côté taille de bite, c'est bien moi qui est la plus grosse et d'ailleurs c'est clairement ce qui lui plait chez moi. En fin d'après-midi mon hôte me dit qu'il a envie d'organiser une petite partouze pour une soirée bien chaude dans son jacuzzi. Il me file l'adresse de ses potes rebeu et kebla qu'il a prévenu par téléphone et qui sont ok pour venir, je vais les chercher en banlieue de Narbonne avec ma caisse. Quand on arrive à l'appart le juriste est déjà à oilp dans son jucuzzi avec un pote heureusement il est prévu pour 6 personnes. Les mecs que j'ai ramené se foutent à poil et vont direct dans le bain à bulles, et là je m'aperçois que les queues du rebeu et du black sont carrément énormes. Les grosses bites arabe et noire sont déjà en train de se faire sucer par les cefrans. Du coup de déballe aussi mon matos et me rapproche du black avec sa queue de 24cm pour proposer ma queue à l'avocat qui se met à essayer de gober nos grosses queues en même temps, le kiffe total. Le mec s'est pris une double décharge en pleine tronche. La nuit a continué super chaude après avoir bu beaucoup de Malibu, de bières et de pastis, j'ai joui plusieurs fois mais j'ai tellement bu qu'à un moment j'ai perdu connaissance ou bien avec la fatigue du voyage je me suis endormi. Le lendemain je me suis réveillé dans ma voiture à poil dans la clape, le mec m'avait clairement viré de chez lui avec ses potes et son téléphone ne répondait plus.
Extrait video OFFERT par CITE BEUR
Histoire gay d'un bitérois aux couilles pendantes
Il y a quelques jours, j'étais de passage à Béziers, je vais faire un tour en soirée sur un lieu de drague bien connu, sous un vieux pont... Mais rien de bandant. Du coup je vais sur l'appli et commence à tchatter et dès que je propose de s'occuper de mes couilles que je mets à disposition j'ai une touche. - Un mec est immédiatement intéressé, il me dit, "j'ai jamais fait. Tu dois être une bonne salope, je vais m'occuper de toi. T'es où ?" - Je lui explique que je suis sur un parking en centre ville. Le gars habite aussi dans le centre et me rejoins quelques minutes après. J'ai eu vite fait de comprendre que c'était lui : 35 ans, barbu, poilu semble-t-il, un peu dégarni, et un peu de ventre, mais un charme fou et surtout un charisme incroyable. Il vient à ma rencontre, moi je suis simplement vêtu d'un short, tee-shirt et tong. Il m'attrape direct par les couilles sans doute avait-il deviné que je n'avais rien sous mon short. - t'as pas menti, t'a s de belles couilles, elles me plaise. Si tu me suis il va falloir assumer et fermer ta gueule. Je le suis, je n'ai pas trop le choix, il a passé sa main sous mon short, et maintient mes deux boules pendantes tout en me trainant. Il les tient avec fermeté, sans trop serrer, juste assez pour me faire comprendre que je ne décide plus de rien. Je suis dans l'obligation de marcher à côté de lui de tel sorte que n'importe quel passant pouvait voir qu\'il me traînait par les couilles. Même s'il faisait déjà nuit. Nous croisons plusieurs mecs, qui venaient manifestement chercher la même chose que moi. Ça amuse les mecs, il y a en a même un qui s'est approché pour palper la marchandise. Le gars s'est fait rembarrer par le boss qui comptait bien être le seul à en profiter. D'autres mecs disent : "Voilà une bonne salope... Arrache-lui les couilles à cette pute !" Mon master n'a rien répondu a continué à marcher en pressant mes testicules un peu plus. Là il commençait à me faire mal. L'humiliation est totale. On arrive dans une rue un peu plus éclairée, mais comme il y a du monde, il décide de passer sous une autre rue plus sombre ou nous serons plus tranquille. On arrive sous un pont. Le bruit de l\'eau et de la circulation au dessus pourra étouffer mes cris. Il s\'arrête, me lâche les couilles. - A poils ! J'enlève aussitôt mon short, et ne garde que mes pompes. - Il décide de m'attacher. Il ramasse mon tee-shirt sur le sol et me ligote les mains avec dans le dos. - Il me fait écarter les jambes. Il m'ordonne de baisser les yeux. Il ouvre un flacon de poppers et me le colle sous le nez. Je chauffe direct. Ma réaction au poppers lui plait. Il rechoppe mes couilles avec sa main gauche, mes deux boules posées dans le creux de sa main et il serre le tout. La pression est énorme et la douleur est insupportable. Je me plie en deux, hurlant de douleur. Avec sa main droite, il m'attrape par les cheveux, me relève d'un coup, et me fiche deux grandes claques dans la tronche. - Il m'ordonne de rester droit et d'encaisser en fermant ma gueule. Je suis étourdi, j'ai compris que j'allais déguster grave. D'autant qu'il serre encore plus fort mes testicules en tirant dessus. Malgré la douleur je bande comme un âne ! - A la vue de mon érection il en déduit que j'aime çà. Il me dit Super ! On va bien s'amuser... Il me dit à l'oreille. - On va aller loin tous les deux. Je bosse dans le bâtiment. Mes mains c\'est de l'acier. Si je le veux, tes couilles je les presse et te les éclate. J'étais jamais tombé sur un mec aussi sadique, mais grave excité. Il me dit que je vais être son jouet pour un bon moment. Il serre encore plus mes bourses. Je couine. Il me remet le poppers sous les narines. Je sent son odeur de male qui a sué en bossant au soleil. Il lève le bras droit et me fait renifler son aisselle, hyper poilue et bien humide. Il m'oblige à y coller le nez. Une bonne odeur d'ouvrier de chantier qui me fait plus d'effet encore que le poppers. Je me mets à lécher. Ca l'excite, je sais qu'il aime ça parcequ'il augmente la pression sur mes couilles. Mes deux oeufs sont prêts à exploser. - T'encaisse bien. Il relâche mes couilles d'un coup, enlève son marcel, déboutonne sa braguette et l'entrouvre. Il choppe une nouvelle fois mes couilles, mais cette en en prenant une dans chaque main. Et il les sert très fort. La douleur est difficilement surmontable d'autant plus que le poppers ne fait presque plus effet. Alors je plonge mon nez dans son torse musclé et très poilu. Je me remets à lécher, je vais lécher et mordiller chacun de ses tétons... - C'est bien oui... Lèche bien... Ce mec est une bête de virilité. Il est tout ce que je kiffe, les épaules larges, des abdos en acier, très poilu. Il tirait tellement sur mes couilles qu'elles m'arrivaient presque au nombril. Je l'accompagnais comme je pouvais pour que ca tire le moins possible . Je lèche ses tétons. - Et il me demande de lui bouffer le ventre en faisant ma salope. Il continue à tenir mes couilles à bout de bras. En rapprochant mon visage de son pantalon je vois qu'il a une belle érection qui part sur la gauche et qui déforme le tissus. Il m'ordonne de me mettre à genou et d'ouvrir la bouche. J'apprécie d'avoir un peu de répit. Une fois à genou, je me prends une nouvelle fois deux énormes baffes dans la figure. Il me fait renifler encore son poppers. Il sort sa bite de son pantalon et la pose sur mes lèvres. Sa queue circoncise est énorme... Le gland est bien plus gros, bien rond, plus clair aussi alors que la verge est presque noire. Elle n'est pas droite. Sa bite est courbée à la fois vers la gauche et vers le haut. C'est la plus énorme queue que j'ai jamais eu l'occasion de voir. Le poppers faisant son effet, je suis fasciné... - Il me redemande d'ouvrir la bouche. Et surprise il se met à pisser, je me prend l'urine direct sur le visage, et il s'amuse à m'éclabousser. Je ferme les yeux. Il vise la bouche. - En me donnant l'ordre de boire. J'avale. Il m'arrose les cheveux puis tout le corps de sa pisse chaude. Quand j'ouvre les yeux, il y a trois autres mecs derrière moi qui sont entrain de m'arroser de pisse. L'un d'eux vient devant moi et met sa queue toute raide direct dans ma bouche pour se vider. J'avale. Et ca s'arrête. - Il dit aux mecs de se tirer. Qu'il va s'occuper de moi et qu'il pourront me récupérer plus tard. Je suis trempé. J'ai froid. Il saisie de nouveau mes couilles et recommence le traitement douloureux en les tirant vers le bas. Je suis toujours en érection et je mouille. Il vient se coller contre moi et me parle encore à l'oreille. Avec sa main libre, il vient titiller ma rondelle. Pendant qu'il augmente la pression sur mes couilles. Je couine. - Le ton est plus calme. Il malaxe mes couilles en réaction à chacun de mes cris. - Il m'avoue que je l'excite grave. Qu'il kiffe mes couilles. Son gros doigt rugueux a trouvé ma rondelle. Il l'humecte avec ses doigts dans ma bouche. Et il remet son doigt devant ma chatte, et rentre direct un deuxième doigt. J\'ai dans le cul deux gros doigts, bien longs et épais. C'est énorme. D\'une main il tient fermement mes couilles et de l'autre main il me dilate la chatte en même temps. Il met un troisième doigts et cherche à le rentrer le plus profondément possibled. Je sens le bout de ses doigts sur ma prostate. Il me fait remarquer que mon anus est déjà bien ouvert. Il me lâche, me retourne, m'oblige à me pencher en avant et à écarter les jambes. Il saisie mes couilles par derrière d'une main et de l'autre il m'écarte mes fesses et je sens sa langue qui pénétrer mon trou. C'est incroyable de voir comment il sait y faire. Il alterne la langue, remet ses doigts, dans mon anus en écrasant et tirant sur mes couilles en même temps. Il me bouffe le cul pendant cinq minutes, m'élargie l'anus, me pénètre avec la langue, me travaille en profondeur. Et sans même avoir lâché mes couilles, il approche son gland le pose sur mon trou et l'enfonce. Je sens sa queue énorme et hyper dure entrer facilement. Il pousse un cri de mal en rut quand il a entièrement mis sa bite en moi, se redresse tel un animal sauvage et dominant. Moi aussi j'hurle car il a toujours mes couilles en main , j'ai peur qu'il me les arrache sous l'effet de l'excitation. Mais le gars sait y faire. Il commence à me baiser puissamment, il tape au fond à chaque coup. Avec sa main libre (celle qui ne tient pas mes couilles) il m'attrape par les cheveux, pour me redresser et m'obliger à bien cambrer mon cul. J'ai le ventre en feu. Il me travaille la chatte comme ça pendant vingt minutes, allant de plus en plus violemment au fond. Un mec arrive, observant de loin, il se rapproche tout doucement. C'est un black. Le même style de mec costaud que le boss qui me défonce la chatte. Il est torse nu, un short. Lui aussi incarne la puissance du mâle. Le gars se caresse à travers son short d'une main et se titille les tétons de l'autre. Il fait nuit, je ne vois pas grand chose. Il s'adresse au boss. - Salut mec, t'as trouvé une bonne chienne là. - C'est clair, frérot. Baise lui donc la bouche qu'elle la ferme. Le mec se rapproche baisse son short. Encore une fois le morceau est énorme. Pas très longue mais encore plus épaisse que celle que j'ai dans le cul. Hyper droite. Pas un poil. Une paire de couilles énormes et ultra pendantes. - Il reçoit les félicitations de mon boss qui lui dit - Joli morceau. J'essaie d'avaler cette nouvelle queue. Le gland passe à peine dans ma bouche. - En fait le mec se met à me remplir le gosier de pisse, j'avale comme je peux. Le boss, que la situation excite, me bourrine de plus belle. Il est endurant. Il ltend le poppers au black qui me colle le poppers sous le nez, me bouche une narine puis l'autre pour que j'en prenne un maximum. Le black me rentre maintenant un peu plus sa queue dans la bouche et commence les va et vient. Je bave de partout. Le pilonnage de ma chatte me fait mouiller un max. Je continue à bander comme une bête. Et le black rentre son énorme morceau toujours un peu plus dans ma gorge. Le boss propose au black d'échanger leur place. Le black me saisie les couilles. Ses doigts hypers longs les emballe entièrement. Il sert moins, mais tire un max dessus. Vu comment sont ses burnes sont pendantes, je pense que lui aussi est un adepte. Il m'embroche. Malgré le pilonnage du boss, je sens le nouveau morceau plus épais m'ouvrir encore plus. Il est entré direct. Et c'est une brute. Mon boss défonces ma bouche en mode gorge profonde. Et c'est reparti pour un pilonnage de bourrin des deux côtés. Je peux à peine reprendre mon souffle. Je sens les deux énormes queues de plus en plus dures rentrer au plus profond. Le black m'a mis deux doigts en plus de sa queue. Et plus incroyable, c'est qu'ils jouissent tous les deux en même temps. Le black jouit bareback dans mon cul, avec des contractions énormes. Ils restent les deux plantés en moi le temps de reprendre leur souffle et leurs esprits. Ils ne débandent pas. Tous les deux sont devant moi maintenant. Je lèche et nettoie ces deux très belles queue qui sentent le male. - Je me suis remis à genou, j'avais toujours les mains liées dans le dos, et une queue ou l'autre dans la bouche. Le black se tire et mon boss entreprend de me branler pour me faire jouir. En quelques aller retour, je me vide. Je suis épuisé, j'en peux plus. Mon boss me détache les mains, et me reprend les couilles. Il me demande si j'ai une voiture. Je lui dit oui. Et mon boss, m'emmène en me prenant par les couilles, à poil, les rues qu'on avait prises sont maintenant presque vide. En passant devant les mecs qui sont toujours là, je n'entends même pas ce qu'ils disent. On est sur le parking. En pleine lumière. J'ouvre la voiture. Il me lâche les couilles. Je monte au volant, il reprend mes couilles en main. Je suis toujours dans un état second. Il me guide pour retourner chez lui. On passe dans des rues où il y a encore des gens. On arrive au milieu d'une cité. Il me fait me garer sur une place de parking. Il me demande de l'attendre. Ca fait 3 heures que je suis avec ce mec. Ma portière s'ouvre. Il m'attrape à nouveau par les couilles. - Viens, faut que je te présente à des potes. Là, il y a 4 mecs. En short marcel. Il m'entraîne vers un square, à proximité de la voiture. Il me fait mettre à genoux cul tendu et invite ses potes à me baiser. Les 4 mecs vont me baiser à tour de rôle. Des bourrins, mais qui jouissent vite. Tous se vident dans mon cul. Mon boss les renvoie me demande quand nous pourront nous revoir, je lui explique que je ne suis que de passage, que j'ai loué un RBn'B avec une collègue. Il me dit qu'il m'a marqué à la pisse et au jus. Que je lui appartient. Et donc qu'il va garder mes fringues. Que je dois pour marquer ma dévotion, en plus de rentrer à poil, me laver que demain matin. Faut que je me rappelle de l'odeur du boss à qui je suis. J'ai repris ma voiture. Je suis revenu vers l'appart, en plein centre-ville en cherchant la place la plus discrète possible qui me permettrait de rentrer sans trop croiser de gens. J'ai réussi à aller jusqu'à l'appart sans que personne ne me voit et suis allé direct au lit.
Valdo SMITH rempli par la grosse queue de Jonathan MIRANDA