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Voivi l'histoire de Tony le chatouilleux publiée le 26 avril 2024
C'était un samedi après-midi comme les autres. Alex et Ronald, deux amis farceurs et plaisantins notoires, avaient terminé leur séance d'entraînement à la salle de sport Leo's Iron Man et traversaient le parking en direction de leur véhicule lorsqu'Alex s'arrêta net, plaçant un bras tendu devant Ronald, le stoppant lui aussi. "Mec, c'est quoi ce bordel ?" demande Ronald. "Regarde, regarde là !" dit Alex, presque essoufflé, en pointant du doigt une voiture blanche garée. En regardant là où son ami l'indiquait, Ronald vit, suspendue à l'une des fenêtres de la banquette arrière... ...une paire de grands pieds bleu clair chaussés de chaussettes transparentes... "Putain de merde, c'est quoi ça, un cadeau d'en haut ?" demande Ronald... ...tandis qu'Alex et lui se dirigent furtivement vers la voiture blanche. Je ne sais pas si c'est un don d'en haut ou d'en bas, mais un tel don ne peut pas être contourné, Ronald, mon gars", dit Alex en riant malicieusement. Lorsque les deux hommes atteignirent la fenêtre arrière de la voiture blanche, les deux farceurs virent que le type dans la voiture était endormi, allongé sur les sièges arrière, et, comme indiqué, ses pieds bleu clair en chaussettes transparentes pendaient par la fenêtre. Les deux hommes se sont regardés, ont hoché la tête, tous deux ont souri, et ont rapidement saisi chacun un des pieds chaussés du dormeur à deux mains puissantes... ...le tirant un peu plus vers l'avant, de sorte que ses pieds dépassent maintenant de la fenêtre jusqu'aux mollets... ...ou, pour être plus précis, ses mollets en chaussettes... "HUH...HEY...c'est quoi ce bordel ? ??" hurle le blond sale aux cheveux ondulés dans la voiture, soudainement réveillé. "H-hey !!! Qu'est-ce que c'est que ça ? Lâchez mes pieds les gars ! !!" S'efforçant d'extraire ses pieds chaussés de l'emprise des deux hommes bien musclés, le type dans la voiture s'est mis à tituber : "Lâchez mes pieds, j'ai dit !!! C'est quoi le but de tout ça ???" "Le but, beau mec ?" Alex se moque en saisissant fermement le pied droit de l'homme. "La question est plutôt de savoir pourquoi tu dormais dans ta voiture avec tes jolis pieds chaussés qui pendaient par la fenêtre. Se recroquevillant sur ses coudes, regardant les deux hommes presser ses pieds en chaussettes transparentes, le blond sale a bavardé : "Si vous voulez savoir et si cela peut vous faire lâcher mes, comme vous les avez appelés, mes jolis pieds en chaussettes transparentes, je me suis soumis à un entraînement exténuant dans le gymnase Iron Man de Leo et je n'avais pas de chaussettes de sudation propres dans mon tiroir à chaussettes à la maison, alors je me suis entraîné avec ces chaussettes transparentes que je porte habituellement pour mon travail de bureau. Mes pieds sentent toujours très mauvais après l'entraînement et ma femme ne tolère pas cette odeur. Je me suis donc dit que j'allais aérer un peu mes chaussettes avant de le conduire et je suppose que je me suis simplement endormi. Satisfait ?" Alex et Ronald se sont regardés, ont eu un sourire diabolique... ...et soulèvent un peu les pieds chaussettes du gars, se penchent un peu et reniflent tous les deux ses chaussettes... "PHEW !!!" s'exclame Ronald. "Tu as tout à fait raison, et ta femme aussi ! Tes chaussettes sentent vraiment mauvais !!" Un regard d'incrédulité envahit le visage du blond sale et il aboya bruyamment : "Vous venez de renifler mes chaussettes ? ??? Qu'est-ce que vous faites, les gars ? Lâchez mes pieds ! Je ne sais pas ce que vous faites, mais je suis sûr que ce n'est pas quelque chose que je ferais... AAAAYYYYYY !!!". Soudain, les mots de l'homme aux chaussettes sont coupés, Alex et Ronald l'attrapent par les pieds d'une main forte chacun... ...et ont commencé à utiliser leurs mains libres pour chatouiller le bas de ses pieds en chaussettes. "OOOOOOOOO OH NO, OHHHH NO !!!" hurle l'homme... et se met à rire. "S-STOP, stop !!! HAHAHAHAHAHAHA ARRÊTE ÇA ! !! Vous n'avez pas idée, je suis tellement chatouilleux ! !!" "Et nous sommes ravis d'entendre ce beau gars aux chaussettes transparentes qui sentent mauvais", dit Alex en plaisantant, en serrant plus fort le pied droit du gars et en faisant glisser le bout de ses doigts sur le pied du gars aux chaussettes transparentes, encore et encore. "AAAAYYYYYY, HEEEEEEE !!!!", le type gloussait et se débattait furieusement dans sa position d'impuissance sur les sièges arrière de sa voiture. "STOP IT !!! ARRÊTEZ CELA ! !! Ce n'est pas drôle !!! HEEEEEEEEEHHHEEEE !!! OH MY GOD !!!" "Pas drôle, mec ?" lui demande Ronald. "Si ce n'est pas drôle, pourquoi ris-tu comme tu le fais ? En réponse, le type aux chaussettes transparentes s'est emporté : "C'est parce que je suis hyper chatouilleux ! HEEEEEEEEEEE, HAAAAAAAAA !!!! Je suis plus chatouilleux que la plupart des autres ! HAAAAAHAAAAA, oh pour l'amour de Dieu, oh DIEU, STOP !!!!" Mais au lieu d'écouter la demande (l'exigence ?) du gars, Alex et Ronald ont chatouillé de plus en plus vigoureusement ses pieds couverts de chaussettes transparentes, en augmentant de plus en plus leur rythme. "Je, je, HAAAAAAAA !!!!", a crié/rêvé le type dans la voiture. "Je vais appeler la police ! Vous verrez si je ne le fais pas ! HHHHAAAAAAA, JE VAIS APPELER...HAAAAAAA...JE VAIS APPELER LA POLICE !!!!" Voyant que le type portait un pantalon bleu foncé sans poche de type sport et apercevant son sac de sport sur le siège du passager avant, Alex a dit : "Vraiment, mon pote ? Et où serait ton téléphone portable ? Dans ton sac de sport hors de portée peut-être ? HA, HA, HA pour toi, le gars aux pieds chaussés qui sentent mauvais !!!". "SHIT, SHIT, SHHHIIITTTTT !!!!", s'écrie le gars, réalisant que sa menace n'a servi à rien. "HAAAAAA, je n'en peux plus ! !! Je ne peux pas supporter..." Mais une fois de plus, ses paroles furent coupées, Alex et Ronald commençant à chatouiller les parties de ses pieds situées directement sous ses orteils... ...en déplaçant leurs doigts épais dans un mouvement circulaire. "OH NOOOOOO, NOOOOOOO, pas là, HEEEEEEEE !!!! Pas là, oh s'il vous plaît les gars !!!", rugit le rieur à ce moment-là. "On dirait qu'on a trouvé un vrai point de chatouillement/pression, Ronald mon gars", dit Alex. "Augmentez la vitesse du bout des doigts..." Pendant que les deux hommes font cela, le type dans la voiture commence à se tortiller et à se débattre sur les sièges et à se frapper les mains et les bras de haut en bas. "Bande de salauds ! Espèces de salauds !!!", criait-il en riant. Dix minutes plus tard, Alex et Ronald chatouillaient toujours les pieds chaussés du jeune homme, en se concentrant sur ses voûtes plantaires très galbées. Alors que des rires incontrôlés émanaient de l'intérieur de la voiture, l'homme qui riait a soudain entendu une voix familière venant de l'extérieur du véhicule. "La voix de Leo, propriétaire de la salle de sport Leo's Iron Man, demande aux deux chatouilleurs. Mais avant qu'Alex ou Ronald ne puissent répondre, le chatouilleur a crié de l'intérieur de la voiture : "L-LEO !!!! LEO !!! HAAAAAAA !!!! TH-grâce à Dieu, tu es là, mec ! !! HAAAAAHAAAA !!!!" Leo a vu les pieds chaussés d'Alex et de Ronald, a regardé vers le bas dans la voiture et a dit : "Tony, Tony Romolo, qu'est-ce qui se passe ici ?" Suant à grosses gouttes, le visage rouge, le chatouilleux, dont on venait de découvrir qu'il s'appelait Tony, s'est mis à fulminer contre le propriétaire de la salle de sport : "Qu'est-ce qui se passe ici, vous demandez ? HEEEEEEEE !!!! N'est-ce pas évident ce qui se passe ici, Leo ???? HAAAAAAAA !!! Ces deux clowns torturent mes pauvres pieds avec leurs chatouilles !!! HEEEEEEEE !!! Qu'ils arrêtent ! !! S'il vous plaît Léo, s'il vous plaît, faites-les cesser ! !!" Pendant qu'Alex et Ronald continuaient à chatouiller les pieds en chaussettes de Tony, Alex expliquait à Leo comment ils l'avaient trouvé endormi dans sa voiture avec ses "jolis" pieds en chaussettes pendants par la fenêtre. "Alors, parce que vous avez vu ses pieds pendre par la fenêtre de sa voiture, vous avez décidé de les attraper et de les chatouiller ? demande Léo, incrédule. "OUI, OUI, OUI, HAAAAAAAAA !!!!" s'écrie Tony. "C'est ce qu'ils ont fait, c'est ce qu'ils font encore !!!! S'il te plaît Leo, fais-les arrêter ! !! QU'ILS ARRÊTENT, PUTAIN ! !! HAAAAAAA !!!!!" Regardant le rieur dans la voiture, Léo sourit et dit : "Je le ferais, Tony, je le ferais vraiment. Mais il n'y a pas de loi interdisant de chatouiller les pieds d'un homme, du moins pas de loi dont j'ai entendu parler". En entendant cela, Alex et Ronald se mirent à nouveau au travail pour chatouiller les boules des pieds de Tony, maintenant chatouillés et attendris... "OH GOD LEO, OH GOD !!!! HAAAAAAA !!!! Non, il n'y a pas de loi contre les chatouilles... les chatouilles sur les pieds d'un homme..." Tony réussit à dire. "Mais il devrait y avoir une loi contre le fait de chatouiller MES PIEDS ! JE SUIS HYPER CHATOUILLEUX, LEO !!! HAAAAAAA, HEEEEEEEE...OH MON DIEU !!!!" Quelques instants plus tard, à la grande surprise de Tony et avec un sentiment de trahison totale, il regarda, impuissant... ...et rire, impuissant, alors que Léo chatouillait maintenant ses pieds chaussés... ...tandis qu'Alex et Ronald les tenaient fermement et fermement. "OH NON, NON, LEO, pas toi, pas toi non plus !!!" Tony s'est mis à tituber. "HAAAA, HAAAA, HEEEEE, OH MON DIEU, je vais être chatouillé à mort ici !!!" Le chatouilleux avait cessé de se débattre à ce moment-là... ...car il s'est rendu compte que c'était inutile et que ses forces étaient déjà épuisées. Musclé et fort comme il l'était, Tony ne pouvait rien faire pour dégager ses pieds de l'emprise des hommes à l'extérieur de sa voiture. Il s'était entraîné pendant les deux heures habituelles à l'Iron Man Gym de Leo avec des poids libres, des machines de musculation et avait fait une heure de vélo stationnaire, et même s'il était totalement gonflé à bloc, il était impuissant à empêcher les trois hommes qui se trouvaient maintenant devant sa voiture de chatouiller ses pieds en chaussettes transparentes. Alors que Leo chatouillait le bas des pieds de Tony, ses doigts dextres se déplaçant à une vitesse qui semblait bionique pour l'homme littéralement piégé dans sa voiture, le propriétaire de la salle de sport, souriant méchamment, déclara : "Mec, ses chaussettes sont vraiment toutes humides et pleines de sueur. Sans parler de la puanteur qu'elles dégagent ici !" "Il nous a dit qu'il n'avait pas de chaussettes de sudation propres dans son tiroir à chaussettes et que c'était pour cela qu'il portait des chaussettes de ville transparentes pour s'entraîner", a expliqué Alex. En réponse à ce qu'Alex venait de lui dire, Léo augmenta la vitesse de ses chatouilles, déplaçant une de ses mains vers le haut et, tout en chatouillant le bas du pied droit de l'homme, il chatouilla les couilles de son pied gauche, cet endroit faisant vraiment rire le pauvre Tony chatouilleux comme le ferait le caquetage d'une hyène. "LEO, LEO, OH LEOOOOOO, ce n'est pas juste, OH MON DIEU... HAAAAAA, HEEEEEEEE," Tony se débattait follement, serrant ses doigts et ses pouces en poings le long de son corps. "Oh, c'est juste Tony, c'est tout à fait juste, et je vais te dire pourquoi," dit Leo, ressemblant à un professeur d'école en colère à ce moment-là. "Quel genre d'homme porte des chaussettes pudiques pour s'entraîner ? Tu n'avais donc pas de chaussettes de sudation propres dans ton tiroir à chaussettes, tu sais que nous vendons des chaussettes de sudation ici dans le magasin de fournitures de sport ! Avant que Tony ne puisse répondre à la leçon de Leo sur les chaussettes, l'homme a doublé sa vitesse pour chatouiller les pieds en chaussettes transparentes de l'homme hyper chatouilleux. "HHHHHHAAAAAAAAAAAAA !!!! OH GOD LEO !!!" Tony hurla à ce moment-là, baigné de sueur. "Que cela te serve de leçon", poursuit Léo, tout en continuant à chatouiller les pieds en chaussettes de Tony. "HAAAAAAA, qui l'aurait cru ? ??? HAAAAAAA !!!!" Tony hurla, sa voix emplissant la voiture à ce moment-là. "Être puni par des chatouilles parce que je porte des chaussettes transparentes à mon entraînement, HAAAAAA, HEEEEEE, c'est presque drôle, mais ce que vous me faites n'est PAS drôle du tout...HEEEEEEEEE !!!!" Lorsque Leo a cessé de chatouiller les pieds de Tony, Alex et Ronald ont rapidement recommencé à les chatouiller... "HAAAAAAAA, HAAAAAHHHHH, HAAAAAEEEEEHAAA !!!!" Tony s'emporta, riant follement à ce moment-là, sentant qu'il allait perdre tout ce qu'il lui restait de raison. "Il n'y a pas de repos pour les fatigués des chatouilles, hein, MUGS ???". "Il faut que tu continues à rire, Tony," dit Alex à son interlocuteur. "Depuis combien de temps faites-vous cela tous les deux ? Leo demande à Alex et Ronald. "Eh bien, nous avons vu ses pieds pendre de la voiture lorsque nous avons quitté votre gymnase et que nous nous dirigions vers notre voiture pour rentrer à la maison", dit Ronald, qui doit parler un peu plus fort à ce moment-là, car au lieu que les rires, les gloussements et les ricanements de Tony s'atténuent, ils s'amplifient à chaque seconde qui passe. "Et nous avons commencé à faire des chatouilles tout de suite... puis tu l'as chatouillé..." "Et maintenant, nous allons le chatouiller !", dit une voix venant de l'arrière des trois hommes et de Tony qui se faisait chatouiller. Dans la voiture, en entendant la nouvelle voix de quelqu'un d'autre qui voulait le chatouiller, le pauvre gars a gazouillé : "EH ???". C'est Leo qui s'est retourné, a vu et a dit à deux entraîneurs de sa salle de sport qui venaient de quitter leur poste : "Hey Ralph, hey Tommy..." "Hé, patron", dit Ralph. "Nous ne pouvions évidemment pas ne pas voir ce qui se passait ici, et oui, nous voulons absolument participer à la fête..." Sans un mot, Alex et Ronald laissent Ralph et Tommy prendre les pieds de Tony dans leurs poignées... ...et les deux entraîneurs personnels se mirent immédiatement au travail, commençant par chatouiller les talons rugueux de Tony à travers ses chaussettes transparentes... "WWWWHHHHEEEEE !!!!" fut la réponse de Tony lorsque ses talons furent chatouillés. "OH MY GOD you bastards, new bastards now tickling my poor feet !!!! HEEEEEEEE !!! La peau des talons est si fine... HEEEEEEEAAAAAAHHHHH, ce qui rend les talons d'autant plus... d'autant plus... HAAAAAA... chatouilleux... HEEEEEEE !!!!" Pendant que Ralph et Tommy chatouillent les talons de Tony, Leo ouvre son sac de sport, en sort une bouteille d'eau de source, se place de l'autre côté de la voiture et fait couler l'eau sur le visage de Tony. "Merci Léo, merci ! !!" Tony gémit et rit en faisant pénétrer le plus possible d'eau fraîche et rafraîchissante dans sa bouche, à travers ses lèvres tremblantes et dans sa gorge. Quelques minutes plus tard, une fois la bouteille d'eau vide, Léo est revenu vers Alex, Ronald, Ralph et Tommy. Il vit qu'Alex et Ronald étaient de nouveau en train de chatouiller les pieds chaussés de Tony. "Combien de temps avez-vous l'intention de lui chatouiller les pieds ? demanda Leo. "HEH, eh bien, nous n'avons nulle part où nous devons être avant la fin de la soirée," dit Alex en riant. "Donc, de la façon dont je vois les choses, moi et Ronald pouvons le chatouiller pendant les prochaines heures". "NOOOOOO, OH NOOOOOOO !!!!" Tony grogna à travers son rire impuissant, sa belle tête arquée en arrière à cet endroit du siège de la voiture. "HEEEEEE, HEEEEE, HAAWWWWW, j'ai une femme et des enfants à ramener à la maison...HHHAAAAWWWW, HAWWWWWW, à ramener à la maison !!!! OH GOD, STOP, PLEEEEEEZZZZ, s'il vous plaît laissez-moi partir déjà !!!! Vous vous êtes tous amusés avec mes maudits pieds !!!" "Qu'est-ce qui nous a amusés avec toi ?" s'exclame Ralph. "Tommy et moi n'avons pas eu assez de plaisir à chatouiller tes jolis pieds chaussés." "P-PRETTY, HEEEEEEEEE, PRETTY SHEER SOCKED FEET, HEEEEEEEE... si j'entends ça encore une fois... HAAAAAA !!!!!" Tony s'esclaffe follement. "Je jure que je ne porterai plus jamais de chaussettes transparentes... HHHAAAWWWWWW, même pas pour le travail !!!!" "Bon, il faut que je me mette en route les gars, comme Tony, j'ai une femme et des enfants à retrouver", dit Leo en serrant la main d'Alex et de Ronald, tandis que Ralph et Tommy se mettent rapidement à chatouiller les pieds du pauvre Tony. "Merci de vous être amusés..." "OH SURE, HAAAAA, HAAAAA...tu rentres chez toi Leo !!!!" Tony gloussa, se redressant sur ses coudes, trempé de sueur et riant...riant...riant... "Mais je dois rester ici pendant que ces gars torturent mes pauvres pieds...EEEEEEEEEEE !!!!" "Comme le disait cette chanson, ce sont les pauses," dit Léo, pressa l'un des gros orteils de Tony à travers sa chaussette transparente et se dirigea vers sa voiture. "HHHHAAAAA, HAAAAAA, oh si drôle tu es Léo", s'écrie Tony. "Si drôle indeeeeeeeee...EEEEEEEEEEEEE...en effet..." Alors que Ralph et Tommy continuaient à chatouiller les pieds de Tony, Alex regarda sa montre et ses yeux s'écarquillèrent comme des soucoupes. "Merde, ça fait presque une heure qu'on est là, Tony, le chatouilleur, en prend pour son grade", dit Alex. "C'est là que tu te trompes, espèce de salaud visqueux, HAAAAWWWW, HAAWWWW !!!!" fut la réponse de Tony. "Je ne peux pas le supporter... Je ne peux pas le supporter !!!! S'IL VOUS PLAÎT, ARRÊTEZ DÉJÀ !!!!!" "Hé, les gars, nous avons chatouillé ses pieds avec ces chaussettes transparentes qui sentent mauvais", dit Tommy. "Et si on lui chatouillait maintenant les pieds avec ses chaussettes sans ses pieds... pour l'heure à venir ? Alex, Ronald, Ralph et Tommy ont tous ri aux éclats... ...et Tony rit avec un sentiment de malheur... "Putain de pervers ! !!" Tony s'est mis à tituber depuis l'intérieur de la voiture. "Vous pouvez avoir mes putains de chaussettes !!! Laissez-moi partir et s'il vous plaît, PLUS de chatouilles..." ...mais les paroles du chatouilleux furent à nouveau interrompues, alors qu'il regardait avec effroi Ralph et Tony passer la main sous le bas de son pantalon de sport et tirer ses chaussettes transparentes jusqu'au mollet... ...et l'enlevèrent. "OH NON, NO !!!!" Tony a plaidé dans l'oreille d'un sourd, semble-t-il... ...alors qu'il voyait ensuite ses chaussettes remises à Alex, qui s'empressait de les empocher. Et une fois de plus, le chatouilleux partait dans une nouvelle crise de rire... ...et Alex et Ronald, puis 10 minutes plus tard, Ralph et Tommy se relayaient pour chatouiller ses pieds nus, humides et en sueur... "AAAAAYYYYYYYYY !!!!! HAAAAAAAA, HEEEEEEEE, salauds, vous êtes tous des fous ! !!" s'écrie Tony entre deux éclats de rire. "Si je pouvais avoir mon téléphone portable, j'appellerais les flics et vous iriez tous en prison... HEEEEEEE, OH MY GOD, en prison... HAAAAHAHHHHHAAA, pour agression par chatouilles !!!" Alors qu'il chatouillait l'un des pieds de Tony, Tommy a ajouté : "HA, ce serait une première, arrêté pour agression par chatouillement". "Je pense que si les flics se présentaient, ils se joindraient plus que probablement au plaisir des chatouilles", dit Alex d'un ton narquois. "Oh, quelle horreur ce serait pour moi, HEEEEEEEE, HEEEEEEE !!!!!!" Tony s'époumone. "Quand est-ce que ça va s'arrêter ? HAAAAAA !!!!!!!" "Quand ta deuxième heure de chatouilles pieds nus sera écoulée, peut-être, et c'est un gros PEUT-ÊTRE gars chatouilleux, peut-être qu'on s'arrêtera", a dit Ralph. Tony a répondu : "OH GOD, OH GOD, HAAAAA, HAAAAA, HAAAA !!!!". "Deux heures de torture de chatouilles non-stop !!!! HEEEEEE, HEEEEE, HAAWWWWWW, vous êtes tous des sadiques, des tortionnaires !!!" Au bout de la deuxième heure de chatouilles, alors que Tony pensait ne plus avoir de souffle ni de rire, il poussait des cris qui ressemblaient aux do aigus d'un chanteur d'opéra... ...tandis que les deux entraîneurs personnels lui chatouillaient chacun le pied gauche nu... ...tandis qu'Alex et Ronald lui chatouillaient chacun le pied nu droit... Et cette fois, le chatouilleux était totalement incapable de formuler des mots cohérents pour plaider sa cause... Peu de temps après... Après que les quatre jeunes hommes aient enfin, ENFIN, lâché ses pieds et cessé de les chatouiller, il semble que Tony ne s'en soit même pas rendu compte... ...car tandis que Ralph, Tommy, Alex et Ronald se dirigeaient vers leurs voitures respectives sur le parking du gymnase, Tony continuait à rire de façon incontrôlable... C'est lorsqu'il regarda par hasard hors de la voiture et vit deux jeunes gens qui s'entraînaient dans la salle de sport se diriger vers leur voiture que l'esprit de Tony sembla revenir à la réalité... "HEEEEE, HEEEEEE, HEEEEE... Oh putain de merde !!!" s'écria-t-il en tirant ses pieds nus dans la voiture et en serrant ses genoux contre lui. "Oh mon Dieu, c'est fini, c'est fini, c'est fini... ces putains de salauds m'ont chatouillé à un cheveu de ma vie..." Tremblant, transpirant et avec des larmes de rire mêlées de colère dans les yeux, Tony sortit du siège arrière de sa voiture et s'installa sur le siège du conducteur, tremblant encore de la tête aux pieds. Alors qu'il s'installait sur le siège du conducteur, laissant la portière temporairement ouverte pour respirer l'air frais, il marmonna : "Putain de truc merdique qu'ils m'ont fait... ce n'était pas drôle du tout...". ...mais je dois rentrer à la maison, Carla doit se demander pourquoi je suis restée si longtemps à la salle de sport... ...elle pense probablement que j'ai été kidnappé ou quelque chose comme ça..." Alors qu'il se dirigeait vers la portière du conducteur pour la fermer et sortir ses baskets et ses clés de voiture de son sac de sport, l'avant-bras de Tony fut saisi par une sorte d'étau... "ULLLLPPPPPP...", sursaute le beau gosse. "Qu'est-ce que..." Tony est arraché sans ménagement à la voiture... ...et la prochaine chose que le gars épuisé par les chatouilles réalisa fut qu'il était porté en bandoulière par les épaules massives d'un entraîneur personnel, dans un portage de pompier à une main... ...et qu'on le traînait vers l'entrée du gymnase... "Je suis content que Tommy m'ait appelé avant que Ralph et lui ne partent et qu'ils m'aient parlé de vous, M. le chatouilleux", dit la brute qui porte Tony d'une voix très grave... ...une voix que Tony ne connaissait que trop bien... ...la voix de l'entraîneur personnel, massothérapeute et ancien marine, Bruce, l'entraîneur et massothérapeute le mieux payé de l'Iron Man Gym de Leo... La prochaine fois que Tony rit de façon incontrôlée, il se retrouve allongé sur le ventre sur une table de massage rembourrée dans la salle de massage de Bruce dans le gymnase, bien attaché et l'homme à la musculature colossale chatouille à nouveau le dessous des pieds nus de Tony... "OOOOOOOOOOHHHHHHAAAAAAAAA !!!!" Tony hurlait de rire, sa tête tournait comme sur une orbite inversée. "MON DIEU, oh mon DIEU, quelle journée pour moi, HAAAAA, HAAAAA, HHHHEEEEEE... et tout ça parce que j'ai voulu être prévenant et aérer mes maudites chaussettes... HHHHEEEEEEEEE..." La fin ???
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Nabil le sniffeur Histoire gay publiée le 25/04/2024
Un beau jour, alors que je descendais dans la cave de mon HLM, il y avait Nabil en bas des escaliers occupé à et frotter ses TN crades l'une sur l'autre. Le bobos un peu efféminé avait déjà une réputation d'être bisex dans le quartier. Pour en avoir le coeur net, je me suis approché et je lui ai pris la tête direct pour qu'il sniffe mon paquet à travers mon survet blanc. Il n'a pas résisté une seconde et a commencé à me caresser le paquet qui gonflait rapidos. Suite à çà, je l'ai bousculé et je lui ai mis ma TN bien odorante sur la tronche en appuyant bien sur son visage (tellement fort que sur sa joue, y avait imprimé TN). Je l'ai ensuite emmené dans ma cave et on s'est déssapé tous les deux, on a sniffé, décrassé mutuellement nos skets. On a fini a poil en TN au yep et je lui ai défoncé son boule avec ma grosse teub pendant qu'il avait mes sneakers (qui trainaient dans la cave) sur la gueule. Nabil était tellement excité qui a craché rapidos une première fois pdt que je le pilonnais puis une deuxième fois après que je lui ai balancé mon foutre sur sa gueule. Lui a juté sur mes TN et les a léché. La totale pour les rendre propres avant qu'on se quitte en se promettant de se revoir. Depuis, on se croise régulièrement en bas de ma cité et parfois on se cale dans un coin et on recommence.
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Mon plan cul à Tanger au Maroc Histoire gay publiée le 25/04/2024
Wesh l’équipe ça va ou quoi ? C'est le rebeu versa passif+++ de Lyon. Je reviens vous faire bander les amis, avec mes plan cul. Donc je rappelle je mesure 1,83 pèse 76 kg brun, les yeux noisette sportif, boxeur amateur, bogoss et viril. Cà se voit pas du tout, uniquement quand je suis en mode passif, je suis une vrai salope mdr. Ce plan c'est passé au Maroc au mois de février passé. Je suis de passage sur Tanger, très belle ville au passage, du coup je suis de passage et décide de me connecter à domiaddict et en se moment ma came c'est les jeunes de 20 a 24 ans skinny avec de bons zobs et surtout les footeux. Du coup je me connecte et je tombe sur un profil que je kiff le pelo de 21 ans mesure 1,87 pour 69 kilo il a un zob aussi long que large 20*6 il me dit que là il va faire un match en ville près de la corniche et qu'après il sera dispo. Du coup moi je tiens plus en place. Je vais sur la corniche pour essayer de repérer le pelo. Ils sont une quinzaine de beaux mecs tous entre 18 et 22 ans tous skinny tous bogoss de fou des marocains des vrais. Je bande comme un dingue dans mon survet et là, je repère l’étalon, il est vraiment bogoss et je pense qu’il a capté que c'est avec moi qui a parlé sur le tchat parcequ'il se tourne souvent vers moi en se touchant le zob. Bon ! après ici les jeunes kiffent se toucher le zob en public mdrr... Bref il joue, quand il a fini, il se pose sort son téléphone et me dit qu’il a fini qu'il va aller prendre une douche. Je lui répond vu comme tu t'es donné sur le terrain t'as besoin d’une bonne douche et d’une bonne pipe sous la douche. Il me répond, suis moi on va chez moi, je suis seul comme ça, je prends ma douche pendant tu me suces. Il se lève et prend le chemin de chez lui. Je lui emboîte le pas. Arrivé chez lui on parle, on se présente, on rigole puis on va à la douche ensemble. On se fou à poil comme si on se connaissaient depuis longtemps et une fois sous la douche on s’embrassent et je commence à nettoyer sa teub et ses boules. Il commence à bander fort, très fort, sa queue est impressionnante et magnifique en même temps je le met à genoux pour le sucer. Je lèche le gland, il kiff comme un fou et me le fais savoir. Ensuite j’attaque le morceau en bouffant petit à petit son zob il kiff et gémie. C'est un kiff ce pelo, ensuite je prend sa teub en gorge profonde. Il est choqué et me dit que habituellement les mecs on peur de l’avaler entièrement. Il kiffe, je continue à le sucer en me branlant, après 25 min de branle et de suce il me dit qu’il va gicler. Il me prend par les cheveux et me baize la bouche avec vigueur et d’un coup sors son zob pour me faire une faciale comme jamais. Il m’en a mis partout. C’était trop bon je nettoie sa teub et me relève pour me laver le visage. Lui est appuyé contre la paroie de la douche épuisé vidé mdrr. Il me dit on passe la soirée ensemble stp ? Je lui répond avec plaisir la suite très vite les amis ……
Plan cul avec des beurs gay et bisex en direct live
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L'embauche de mon commercial Histoire gay publiée le 23/04/2024
En tant que responsable d'une petite entreprise à Orléans, je suis actuellement en plein recrutement d'un commercial. Nous avons peu de moyens et l'offre n'est pas très attractive, j'ai peu de candidature. Il y a quelques jours, je reçois cependant un jeune trentenaire qui a répondu à l'offre. Nous avons échangé par téléphone. Il m'indique s'être installé dans le coin depuis quelques mois, avoir trouvé un travail alimentaire qui ne le satisfait pas, et chercher autre chose. Je lui ai proposé que nous puissions nous rencontrer, ce qu'il a accepté bien volontiers. En ce moment, je suis en manque, et je cherche sur plusieurs applications bien connues. J'ai échangé ces derniers jours avec un black, bien domi, qui cherche une lope. Il a exigé quelques photos, sans rien montrer de son côté. Je sais juste qu'il a 32 ans, fait 1,75m pour 78 kg et à une grosse queue épaisse. Je reçois donc ce monsieur pour l'entretien d'embauche, qui est agréable. Nous échangeons pendant près d'1h30. Régulièrement au court de l'échange, il se touche les couilles. Je vois progressivement une belle barre se dresser, même s'il ne bande pas complètement. Nous terminons l'entretien en prévoyant de se revoir, nous nous saluons et il quitte mon bureau. Il faut préciser qu'il est 19h et que tous les autres salariés sont partis, je suis seul. Il monte dans sa voiture mais ne part pas tout de suite. De mon côté, je range mes affaires afin de rentrer chez moi. C'est à ce moment là que je reçois une notification sur mon portable du black avec qui j'ai échangé sur l'appli : "T'es vraiment une belle salope, tu m'as donné la gaule tout au long de l'entretien. Vas mettre la clé sur la porte extérieure. Et fous toi à poil dans ton bureau". Ma surprise est énorme. Je ne réponds pas. Nouvelle notification : "Tu crois que tes employés aimeraient recevoir les belles photos que j'ai de toi ?" Je suis pris au piège. Et en même temps, je dois avouer que ce mec m'a plu, tant dans nos échanges sur l'appli que lors de notre rencontre. Et le mode salope prend le dessus. Je vais poser les clés sur la porte extérieure, et reviens dans mon bureau. Je jette un œil à l'extérieur pour voir ce qu'il fait. "C'est bien, je vois que t'as compris le message. Je te veux à poil, à genoux, mains sur la tête. Montre-moi ta vraie nature ?" Je m'exécute. Moins d'une minute plus tard, je l'entends rentrer et fermer la porte. Je finis de me déshabiller et prends la position qu'il souhaite. J'ai éteint la lumière, on est dans la pénombre, de l'extérieur, on ne voit pas ce qu'il se passe. J'attrape dans mon sac, mon poppers que je garde dans la main. Et je l'attends. C'est la première fois que je me retrouve dans cette situation, c'est très humiliant. Et aussi très excitant. Depuis 3 jours, je porte en permanence un gros ballstretcher de 600g qui m'étire bien les couilles. Elles sont hyper sensibles et à poil, elles pendent bien. Et ma petite bite est toute rabougrie. C'est comme cela qu'il me trouve à côté de mon bureau. Il a pris son temps pour arriver en mode pacha. "T'es vraiment une salope. Je pensais pas que t'en était réduit à ça. Baisse les yeux et ouvre la bouche." Il s'approche, dégrafe son jeans, baisse son boxer, sort sa queue et me la met direct en bouche. Je commence à vouloir la lécher. Il me met une grande calotte derrière la tête. "Bouge pas. Je t'ai rien demandé et tu fais uniquement ce que je te dis." Il laisse sa queue dans ma bouche, sans bouger. Je sais qu'il aime ça, il me l'a dit. Il a exigé une totale obéissance. Avec son pied gauche, il joue avec mes couilles, comme avec une petite balle. Ca a beau ne pas etre fort, je le sens bien. Et ça me fait couiner. "Bouge pas. Ou t'as plus de couilles !". Et à ce moment-là, je sens quelque chose couler de sa queue. Il se met à pisser. "Avale tout. On ne gaspille pas ce qui vient de son Boss". Malgré la surprise, j'ai refermé ma bouche sur sa queue pour que rien ne coule et j'avale comme je peux. De son côté, il maîtrise le flux. Mais il a quand même une énorme envie et la situation dure un bon moment. Il continue à me taper dans les couilles. Concentré sur sa queue, je ne me suis pas rendu compte qu'il a augmenté la force et la cadence. C'est quand il a fini de pisser que je m'en rends compte. Ca commence à être dur à supporter. "Putain, t'es une vraie chienne toi. Je suis content de toi, t'encaisse bien pour le moment. Je veux voir jusqu'où tu peux aller. Alors, débrouille-toi pour tenir." A ce moment-là, il sort sa queue de ma bouche et fait un pas en arrière. Et à la place de sa queue, il me met trois doigts dans la bouche, et va explorer le fond. "Suce bien", ce que je fais. Avec son autre main, il vient prendre les miennes sur la tête et les empoigne fermement. "T'as quoi dans la main. Donne. Du poppers ? très bien..." Il attrape le flacon, l'ouvre et me le met sous le nez. "Vas-y prends-en un max, tu vas en avoir besoin". La dose est énorme, surtout comme ça direct d'un coup. Ca me fait partir direct. Et là, il commence à me latter véritablement les couilles. C'est très dur, je me concentre sur ses doigts dans ma bouche. Mais je couine. Il m'a repris les mains et m'empêche de me tordre en deux. Ça dure bien un longue minutes. J'en peux plus. Il arrête, me lâche les mains et va attraper mes couilles. En tirant dessus, il me dit : "Debout, salope. Ça te sert vraiment à rien ça". Et il sert au max tout en continuant de me tâter le fond de la gorge avec 3 doigts. Mes couilles sont à vif. Je suis à sa totale merci. Heureusement que le poppers fait toujours effet. "Montre ta chatte". Et par mes couilles qu'il étire au max ver le haut, il me fait tourner. "Penche toi. Écarte ta rondelle avec tes mains". J'attrape mes deux fesses et lui offre ma rondelle. La, il me sort les doigts de la bouche et les positionne direct sur mon cul. Tout ça m'a bien excité et mon cul s'ouvre direct. Il y rentre aussitôt ses trois doigts bien lubrifiés par ma salive et va directement au fond. "Tout ce que j'aime, tu m'as pas menti. Bouffe moi la queue maintenant." D'une main, il m'étire toujours les couilles ; de l'autre, il m'ouvre le cul en écartant bien les doigts et en allant au plus profond de moi. Moi je suis plié en deux, et je doit me contorsionner pour attraper sa queue en bouche. Elle a doublé de volume. Un bon 22x7. Elle est énorme, et surtout hyper dure. Il il me met des grands coups dans la gueule. J'encaisse. Je me sens à ma place. C'est un vrai domi comme j'aime, et en plus un bon black, un magnifique mâle, puissant, qui sait s'occuper d'une lope comme moi. Je ne sens plus mes couilles. Il ne les lâche pas, fait rouler chacune de mes boules dans sa grosse main, tout en tirant à fond la caisse dessus. Il sort sa queue de ma bouche alors que je commençais à manquer d'air, me retourne, me colle à plat ventre sur le bureau, et m'enfile direct sa grosse queue dans le cul, dans lequel il a aussi laissé un doigt. Il me tient toujours les couilles qui me remontent maintenant jusqu'au nombril. Sa queue est au fond de moi, il essaie de faire rentrer un 2e doigt. J'ai mal. Il sort sa queue, met le 2e doigt et rentre direct sa queue. Et il commence un pilonnage en règle. "Enlève ton tire couilles-là, ca me fait mal aux doigts." - "Je peux pas, Boss, c'est pas moi qui ai la clé". A cet instant, il sort de mon cul, me retourne sur le bureau, pour disposer de ses deux mains. Avec la première, il m'attrape une boule sur laquelle il tire, et avec l'autre, il pousse la 2e boule à travers l'anneau qui m'enserre les couilles. "Gaze-toi car je veux pas que tu gardes ca. C'est moi ton boss maintenant. C'est moi qui décide de ce que tu portes et ce que tu fais." Je le sens en colère. La douleur est grande. Alors je me dépêche de me gazer pour repartir le plus loin possible et etre à sa disposition. Ma première boule s'engage difficilement dans l'anneau. J'ai l'impression qu'elle va éclater. Il pousse à fond. Et elle passe. Un vrai soulagement. Alors il attrape le ballstretcher et tire dessus. Si la première boule était bien descendue, la deuxième se met en travers. Je gueule, c'est ignoble. Mais finalement ca passe. Il me relève les jambes, m'enfile direct sa queue et essaie maintenant de mettre 3 doigts avec. Ça finit par rentrer. Il annonce le 4e et continue à me tringler. Sa queue tape au fonds, le plaisir est là en même temps que la douleur. Il a repris mes couilles et me soulève littéralement par les couilles. Je suis comme en lévitation. Ca dure comme ca bien 5 ou 6 minutes. Je couine ce qui l'excite je le sens bien. Et la il jouis dans mon cul, se vide littéralement. Je sens une quantité énorme. "Ça fait une semaine que j'ai pas juté. Fallait que je t'engrosse. T'es marqué au jus et à la pisse. Tu m'appartiens." Il sort sa queue et me la met en bouche. "Nettoie moi ça". Je m'applique à enlever toutes les traces qui m'acculent sa queue. C'est aussi pour moi la première fois que je goutte son jus. Humm, délicieux. Ses quatre doigts qui eux n'ont pas quitté mon cul rentrent maintenant plus profond, ca force avec le poing. "C'est pas fini, gaze toi". Ce que je fais. Sans forcer, avec délicatesse même, en moins de deux minutes, il a son poing dans mon cul. C'est le premier de toute ma vie. Et la sensation est énorme. Je le sens bouger à l'intérieur. Étendre ses doigts pour avancer. Et je le sens rentrer encore plus profond. "Tu m'avais pas dit que tu te faisais fister, salope". - "C'est la première fois, Boss". "Ah oui ! T'es faite pour ça. C'est quand la dernière fois que t'as juté ? "Hier, Boss" " Et maintenant, c'est moi qui décide quand tu te vide les couilles. Je vais te cager pour en être sur. En attendant, tu vas juter maintenant. Branle toi." Son poing dans mon cul me travaille fort la prostate après sa queue. Il m'étire les couilles a fond, je les sens plus, ca me remonte jusque dans le ventre. Mais je me suis mis à bander. J'attrape ma queue et à peine je l'effleure que je me vide. "C'est bien ma truie. Étale ce jus sur ton ventre, je veux que t'en ai partout." Je m'exécute. Il sort d'un coup son poing de mon cul. J'ai l'impression que tout bien avec et la sensation de vide est énorme. "Bon on va se revoir..." Il se rhabille sans rien dire de plus. Et s'en va. Comme ça. Je suis toujours couché sur mon bureau. Il me faut bien 5 minutes pour reprendre mes esprit. J'ai horriblement mal aux couilles. Et je sens plus mon cul, son jus dégouline le long de ma cuisse. Je mets bien 15 minutes à me rhabiller et je rentre chez moi prendre une douche. A 23h, j'ai un message sur l'appli : "Demain, je veux une offre d'emploi pertinente en accord avec mon savoir faire."
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 Soirée trash Histoire gay publiée le 22/04/2024
Hier soir j’ai servi de lope et de vide couilles au trash de Marseille en bas dans la salle, deux mecs m'ont attaché les poignets. Il m’ont forcé à mettre mes nike tn neuve des tn de mon anniversaire dans la poubelle du backroom. Ils m’ont dit t'inquiètes pas, ils vont te les baptiser au jus, je me suis retrouver en cho7 et toute la soirée ils m'ont limé la bouche et le cul. J’avais au moins 15 spermes différents dans le cul et c’était pas fini. J’ai vu un rebeu super beau bien monté qui m'a fixé du regard toute la soirée. Il a dit purée tu encaisses grave toi et j’ai vu tesi tn dans la poubelle elle ont pris cher. Là on discute et j’ai trop envie de finir au bout de sa bite alors je le suce pendant au moins 20 min. Il me fait sentir ses tn utility noire et ni une ni deux il commence à me déboîter le cul. J'étais tellement lubrifié au jus que ça glissait tout seul. Il m’a pris dans toute les positions. J’ai sniffé ses skets à donf, cette odeur de mal m'a exité grave j’avais ma teub dans sa sket pendant qu’il m’enfonçait, j’ai réussi à jouir dedans en 10 min. Il était vénère car il voulait pas, ses skets pleine de jus. il m’a insulté ma race et au bout de 1 h il c’est vidé sur ma gueule tient prend ça salope ! Il m’a remis sa teub dans le cul dégoulinant de jus et c’est essuyé le gland sur mes cho7 et j’ai avalé son jus chaud. Il m’a ordonné de nettoyer ces skets avant de les remettre. Le kiff ont doit ce revoir, miam on a échangé nos 06 et moi j'ai remis mon jogging et mon t-shirt qui traîné plus loin bien tâché. En partant j'ai remis mes tn dans la poubelle qui avait servi de vide couilles et il y avait au moins 20 capotes pleines dedans et d’autres où le jus avais coulé dedans et des mouchoirs ou les mecs c'étaient essuyés le gland. J’ai enfilé mes tn malgré toute la purée. J’ai mis les cho7 qui collaient dedans. Je vous dit pas le soir quant je les ai enlevé à la maison, l’odeur était hard des tn noires neuves refaites au jus d’au moins plusieurs mecs j’avais le cul démonté aussi. J’ai dormi comme un bb direct et j’ai gardé les cho7 au pieds puantes salies au jus.
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 Le rebeu du Bois de Vincennes Histoire gay publiée le 15/04/2024
Cette histoire est totalement vraie et m'est arrivé hier. Dans ma vie quotidienne, je ne suis pas efféminé. En me regardant, c'est difficile de savoir à quel point je kiffe la bite et comment je trouve ma vraie place à genoux devant une teub bien raide. Mais quand j'ai devant moi un vrai mâle, je deviens une vraie salope bien affamée qui ne demande qu'à se faire remplir encore et encore. Et ma faiblesse, évidemment, sont les rebeus. Quand un maître arabe fait de moi sa femelle, c'est là que je trouve le sens de ma vie. Revenons à l'histoire. Vers 22h j'étais passé au Bois de Vincennes pour prendre ma dose de jus de rebeu, et je m'avais déjà fait remplir la chatte par un marocain et la bouche par un autre mec. Passé minuit, même si j'avais toujours faim et soif, il n'y avait plus rien d'intéressant donc j'étais sur le point de rentrer chez moi, quand je vois un beur bien beau gosse, environ 1m80, barbe de quelques jours, regard assez sombre et habillé en survet noir, se diriger à pas décidés vers le lieu plus fréquenté pour draguer. Je fais demi-tour et je le suis. Il arrive au coin, traverse entre les arbres, passe d'un chemin à l'autre et continue sans faire attention à personne. Je le croise et essaie de capter son attention, mais sans succès. Le mec sort de l'autre côté du secteur et continue sa route comme s'il ne cherchait rien. Je décide de le suivre et j'accélère afin d'essayer de passer devant lui. Il se dirige vers une partie assez sombre et solitaire du bois, je marche quelques mètres derrière lui, il ne se retourne pas. J'accélère, je passe à côté, on se regarde mais genre normal, comme on regarde n'importe qui dans la rue. Aucun geste, aucun signe. Je continue à marcher vite afin de gagner une distance de quelques mètres devant lui, et continue à marcher. On continue comme ça environ 5 minutes. À un moment donné je me penche en faisant semblant d'ajuster mes chaussures, bien cambré pour le chauffer. Il est environ 4 mètres derrière, mais il ne dit rien, même pas un son. Je passe de droite à gauche du chemin, je croise d'un côté à l'autre, ne suis même pas sûr qu'il est intéressé, mais je continue en faisant attention à ne pas trop m'éloigner. Je vois un endroit assez discret, séparé du chemin principal et où il y a des banquettes, donc je m'y dirige. Le mec me suit, c'est bon, j'ai la confirmation. Je m'assois sur un banc, le mec s'assoit à côté sans rien dire, sans même me regarder, et écarte bien les jambes. Je n'ai pas besoin de plus de signes, je me mets direct à genoux entre ses jambes et commence à toucher sa bite, déjà molle. Je la sors du survêt et la mets dans ma bouche, et je la sens durcir au max. Un bon morceau, on dirait environ 18 cm et bien grosse. Le mec se laisse faire, la tête penchée en arrière, les yeux fermés. Il kiffe ma pipe et je m'applique en gorge profonde. Après quelques minutes, il me prend entre ses bras, me mène au niveau de sa tête et commence à me rouler des pelles. Qu'est-ce qu'il embrasse bien ce mec ! Je sens sa langue partout. Il est bien passionné, en même temps il touche mes fesses et me caresse partout. Sa bite va exploser. Je le suce encore un peu, après je descends mon pantalon, me retourne et m'empale sur sa teub. On est dans un parc et on s'en fiche. Il me baise et je sens ses couilles taper forte contre ma raie. Je me lève et lui dis de me suivre, on va derrière un arbuste et je lui demande de me baiser. Il ne se fait pas supplier et me défonce comme il faut. Je sens son corps contre le mien et ses coups bien au fond de moi. Au bout de quelques minutes, il me demande doucement à l'oreille si je veux son jus dans moi, et évidemment je réponds oui. Je sens sa teub se raidir et son jus me remplir complètement. Il me donne encore quelques coups et finit par sortir sa bite. Je me mets à genoux direct pour la nettoyer, et je vois avec surprise qu'il bande encore. J'avale les dernières gouttes de jus et je continue à lui sucer, et le mec ne s'arrête pas et m'enfonce sa teub dans ma gorge. Je posse sa mans derriere ma tête et il comprend, il se défoule et me pilonna la bouche encore quelques minutes. Après il se sépare, range son matos dans son pantalon, me sourit et me dit d'un ton amical : "ça a été sympa", et se barre sans même se retourner.
Baise en forêt Vidéo gay. Durée: 16 min
 Les deux potes (la suite) Histoire gay publiée le 15/04/2024
Comme expliqué lors du précédent chapitre Mohammed et Samir ce sont occupés de me faire couiner pendant leur séjour dans le sud. Après la fameuse nuit dans leur hôtel, j’ai revu mes deux arabes un soir sur une plage de notre département où ils voulaient faire un bain de minuit… A l’heure du rendez-vous, en pleine nuit, j’ai rejoint les deux mâles sur la plage où ils étaient déjà nu et couchés sur leur serviette. Personne en proximité pour nous déranger. Je me suis mis à 4 pattes entre les deux mâles et j’ai commencé à pomper les deux bites en me disant que j’allais passer un bon moment à 3 comme la dernière fois. Pendant que je pomper, Samir utilisé son portable pour me filmer. Je lui fis la réflexion et il me dis : t’inquiète pas ! c’est pour deux autres potes vacanciers qui vont arriver… Je commençais à paniquer. Mohamed sentis que j’étais perturbé et pour me détendre me galocha en me disant tu vas kiffer on veut juste s’amuser… Il me demanda de chevaucher sont 22/5… ce que je fis… Samir me donner à téter pendant que je sauter sur la bite de Mohamed. D’un coup, un flash de téléphone se rapproché. c’était leurs potes. 2 blacks bien gauler qui à peine arrivé me fis pomper leur bite. J’étais à cheval sur la bite de Mohammed et 3 bites devant ma bouche. Les deux blacks avait des engins assez long…23/24 cm je pense. Samir eu l’idée de demander à chacun de se coucher et j’ai eu l’ordre de chevaucher chacun à tour de rôle… C’était formidable… il y avait alternance de moment tranquille avec galoche pour que je m’habitue aux engins et des moments où ils soulevaient leurs bassins à fond pour me déboîter. Après 15 min de se traitement, un des blacks me serra contre lui et a demander à son collègue de venir le rejoindre dans mon cul….je paniquais et je lui dis que ça aller être impossible avec leur monstre. Il sortit une fiole de Popers de sa sacoche et me dis de sniffer pour me détendre…. Une fois dans les vapes les deux ont commencé à forcer mon cul… mon anneau céda avec un cri qui sortie de ma bouche. Pour éviter trop de bruit, Mohamed m’étouffa avec sa bite…Samir filmait la double pénétration. Cela dira pendant 10 min et les rôles ont changé. Les deux arabes dans mon cul et les deux blacks alternant dans ma bouche… D’un coup je sentis les rebeux se vider dans mon cul, les deux blacks se masturber pour me gicler sur le visage. Après cette baise intense, nous sommes allé se baigner nu dans la mer pour se rincer. Ensuite nous avons discuté, et j’ai compris le besoin de sexe chaud qu’avaient les mecs de quartiers.
Les deux potes rebeus Histoire gay publiée le 14/04/2024
Un soir en recherche de plan sexe sur domiaddict, je suis tombé sur l’annonce suivante: Deux potes rebeu en vacance sur Perpignan envie d’un plan avec une lope soumise. Moi 30 ans 177cm 70 kg brun type espagnol sportif….. J’ai répondu à l’annonce. Suite à différents échanges je me retrouve en pleine nuit à taper à la porte de leur chambre d’hôtel. Le mec qui m’ouvre est à poil. Grand arabe bien foutu avec un matos de 22x5 déjà bien tendu. Il m’a mis de suite à genoux pour le pomper. J’alternais entre gorge profonde et léchage de couille pour exciter à fond se beau mâle. Au bout de 3 min il me leva par les cheveux pour m’amener sur le lit où son pote était couché la bite tendu. Un 17cm d’une super épaisseur, style cannette de coca…. A peine sur le lit, que le mec couché viens me mettre sa bite en bouche en se couchant sur ma face. Il me baisa littéralement la bouche. Pendant se temps, le premier mec me releva les jambes pour travailler ma rondelle. Il alternait entre crachat, coup de langue et doigts pour bien m’ouvrir. Au bout de 5 min de se traitement, ils m’ont mis à 4 pattes pour m’embrocher de chaque côté. J’ai subis une alternance des 2 bites dans mes orifices pendant 15 min. Entre baise, suce, insultes, crachats et fessées ils se sont défoulés…. Ils ont finis sur ma face en se branlant pour faire une énorme facial. Je pensais que le plan se finirait là, mais qu’elle fut pas ma surprise quand ils m’ont levé pour me mettre dans la baignoire et qu’ils m’ont pissé dessus. Il me traiter de salope et me disait qu’il me rincé pour continuer leur défoulement… En effet, il m’ont remis sur le lit pour encore me faire couiner et finir en double pénétration avec un remplissage en règle. Ils m’ont laissé me doucher. Avant de partir nous avons discuté. J’ai appris qu’ils s’appelaient Mohamed et Samir, 2 footeux de la région Parisienne en vacance pour profiter de nos plages du sud. On a garder contact pendant leur séjour, où ils ont profiter pour pousser mes limites…
Deux cailleras de cité, transforment Lucas en bon passif Vidéo gay. Durée: 22 min
Histoire gay d'Eliot publiée le 12/04/2024
J'ai accompagné un ami à sa séance de lutte l'autre jour. Je l'ai regardé lutter environ 1 heure. Puis il s'est arrêté de s'entrainer et il a discuté avec le mec contre qui il combattait. Zoubir c'est mon pote, il a les cheveux noirs, une belle bouche des pecs et des abdos au top. Il me fait bander rien en le regardant. Le mec avec qui il parlait était un black, cheveux rasés, des bras et des jambes à désintégrer un taureau s'il l'attrape. Puis zoubir est venu vers moi et m'a demandé avec son regard noir et perçant, "on y va, j'vais prendre une douche tu m'suis" ? Cela n'était manifestement pas une question, c'était plutôt un ordre. Pas de problème pour moi, je l'ai suivi aux douches, il n'y avait personne. Zoubir s'assoit sur un banc et commence à se toucher la bite au travers de sa tenue de lutteur hyper moulante. Il me dit direct: "viens me faire une gâterie", avec son sourire carnassier. Je me suis mis à genoux, il sentait la sueur mais je m'en fou. Il attrape ma tête et me la sert contre son bas ventre, sa queue était déjà dure. Il a enlevé sa combi et m'a tendu sa teub (24cm) le gland luisant de mouille. J'ai enfourné le morceau dans ma bouche, il a aimé ça. Il a attrapé ma tête et a commencé à me niquer la bouche. Puis il m'a ordonné d'enlever mon froc. Bien entendu je me suis exécuté. J'ai pensé, il va me défoncer la rondelle, ça aussi j'aime. Mais non, il a voulu que je continu à le sucer. Mais j'ai senti un doigt me pénétrer le cul, j'ai voulu me retourner pour voir à qui était ce doigt, mais Zoubir m'a maintenu la tête en continuant à me niquer la bouche ! Le doigt qui venait de pénétrer mon anus travaillait de plus en plus mon cul. Puis je sent que l'on me graisse le fion et à la place du doigt je ressens comme une grosse batte, un gourdin énorme me perfore le cul. Zoubir lui rigole, "vas-y, éclate lui le cul à cette salope, elle aime ça ! Mon enculeur est rentré en moi, il me lime de plus en plus vite, heureusement maintenant mon cul en a pris l'habitude. C'est trop bon Zoubir me gicle sur la gueule et quelques minutes après c'est l'autre qui jouit. Je suis mort, ma bouche et mon cul me font mal, "va t'laver", me dit Zoubir, je me relève et je vois le noir de tout à l'heure assis sur le banc qui rigole avec zoubir. Il me fait un signe genre trop bon, à une prochaine. Après sa douche Zoubir fini de mettre sa veste en cuir, il sent bon, il m'attrape par les épaules et me félicite pour ceux qui vient de se passer. On part et il me ramène chez moi.
Vide-couilles à partager Vidéo gay. Durée: 26 min
 Le goût de soumission Histoire gay publiée le 07/04/2024
Bonjour, je suis un homme de 61 ans, 1.80 m 120 kg, Passif. Mon fantasme : être ta chienne, ta salope, sucer à la chaîne des bites. J'avais décidé de me lancer et de réaliser mon fantasme de soumission. Alors prenant mon courage, j'ai rédigé cette annonce et l'ai posée sur plusieurs pare-brise de voiture du foyer des travailleurs immigrés, boulevard du fier à Annecy. Le matin même, fébrilement, j'allais consulter ma boîte et hélas toujours rien. Ce n'est qu'au bout de trois jours que quelqu'un me répondit. Après quelques échanges de mails, de photos et d'une conversation téléphonique afin de nous assurer de la véracité de nos dires, il me donna rendez-vous un vendredi soir sur le parking devant le stade. Il me disait s'appeler Ahmed, il avait 35 ans et recherchait un passif assez soumis pour le baiser et après, le faire baiser par deux ou trois autres. J'étais très excité et m'étais bien branlé en pensant à cette aventure malgré l'appréhension de me retrouver à poil avec des mecs que je ne connaissais pas, et à l'idée de me faire sodomiser à la chaîne sans vraiment avoir de prise sur le déroulement de la soirée. J'arrivai juste à l'heure. C'était assez désert ce soir, il n'y avait pas de match. Très vite, un homme s'approcha de ma voiture. Il est assez baraqué. Il ouvre la porte et s'assoit rapidement dans la voiture, à côté de moi. De suite, il sort sa queue et me prend la main pour que je le branle, ce que je fais avec plaisir. Il a une queue de taille et d'épaisseur moyenne. Après un bref instant, il devint plus autoritaire " Suce moi salope ! " Je commence à le prendre en bouche mais dans la voiture, c'est vraiment pas évident et loin d'être confortable. J'y vais doucement mais en essayant d'en mettre le plus possible dans ma bouche. Il m'appuie brutalement la tête en avant et me met sa bite au bien au fond de la bouche et je manque d'étouffer. " Allez ! À fond chienne ! " Et il m'imprime un mouvement rapide de succion. Je l'avale de plus en plus, descends et remonte le long de sa tige, j'adore bouffer de la queue. Il grogne, m'insulte, j'adore. Puis après 5 minutes, il m'appuie à fond la tête, s'enfonce en moi et je sens son foutre m'inonder la bouche. " Avale tout grosse pute ! " Ce que je suis obligé de faire, ne pouvant me relever ou recracher tant sa bite est enfoncée dans ma bouche. " Tu es vraiment une bonne salope, on va passer aux choses sérieuses. Fous-toi à poil. " Je m'exécute, ce qui n'est pas chose aisée dans cette voiture, mais mes vêtements finissent sur la banquette arrière. Il sort soudain un petit sac avec des cordes et une laisse. Je me fais attacher les mains avec le cou. Puis il m'entrave de la laisse, il tire fortement dessus, mon visage se plaque contre lui, ce qui me coupe un peu la respiration. " Tu es à moi maintenant. Tu as voulu faire la pute. J'ai tout organisé tu vas en prendre de la bite, chienne. " Il sort de la voiture, m'obligeant à des contorsions pour sortir de son côté tout en évitant de me faire trop étrangler. J'ai un peu peur, me voir ainsi à poil dehors sous les ordres de ce mec. Heureusement, il ne faut que 30m pour aller jusqu'à l'entrée de l'immeuble. Notre entrée déclenche la lumière et c'est tout honteux que je le suis dans les escaliers déserts. Arrivés au deuxième étage, changement de décor, il y a du monde. J'ai un mouvement de recul et tente de me cacher mais les attaches de cordes m'en empêchent. De plus, mon mac tire sur ma laisse, m'obligeant à avancer, courbé en avant, mettant ainsi mon gros cul laiteux bien en évidence. Alors que je passe à côté de ces mecs, je suis peloté, fouillé des fesses, les commentaires salaces fusent. Il me fait entrer dans sa chambre et m'oblige à me coucher en avant sur la table centrale. Dans cette position, j'ai le cul à la limite de la table, ma queue est écrasée sous moi et ma tête se retrouve menton relevé à l'autre bout. Il vient ensuite positionner une espèce de coussin sous mon bassin et, en me ligotant les chevilles aux pieds de chaque côté, il offre bien en évidence mon cul à ses visiteurs. Les questions d'argent ayant été sûrement réglées à l'avance entre eux, c'est plusieurs mecs qui entrent pour profiter de moi. Je les suce à peu près 30 secondes chacun, à peine une queue sort de ma bouche qu'une autre y entre profondément. J'ai même parfois du mal à respirer. Je fais exprès de laisser couler des filets de salive de ma bouche. Je suis le centre d'intérêt et j'adore ça. Ils me mettent leurs couilles au niveau de la bouche et j'ai leur queue contre mon visage, c'est encore plus impressionnant avec certaines grosses queuePendant que je suce, je sens des mains qui me caressent les fesses puis un me caresse le trou du cul. Un doigt s'enfonce brutalement dans mon cul. Je suis en train de sucer deux queues, chacune leur tour, pendant qu'un troisième me doigte profondément. Il me fouille le cul tellement il va dans des endroits que je ne soupçonnais pas. En face, les deux m'enfoncent tous les deux leurs queues dans ma bouche en même temps. J'ai la bouche toute distendue mais j'adore ça. Le mec derrière moi arrête de me doigter. Je sens sa queue venir appuyer contre mon anus et enfonce sa queue jusqu'à ce que ses couilles touchent mes fesses. Je ressens une douleur pendant que le gland me pénètre. Il commence ses allées et retours sans même s'inquiéter de ma crispation et des mes suppliques d'y aller mollo. Il me lime pendant quelques minutes en prenant appui sur mes hanches pour bien s'empaler à fond. Puis un autre demande à m'empaler. L'autre laisse sa place, ce nouveau venu me tire alors vers lui jusqu'à ce que sa queue soit tout entière dans mon cul, j'ai un peu moins mal. Au bout de quelques minutes, il accélère le mouvement et pour la première fois, je pousse des petits cris, je commence prendre plaisir du cul. Un autre me bascule la tête en arrière et me met sa queue dans la bouche. Je le suce goulûment, c'est le pied. J'ai au minimum toujours trois bites autour de moi, je passe de l'une à l'autre, ils me tiennent la tête et me baisent la bouche en me traitant de salope. Maintenant je suce deux queues. J'ai donc deux bites dans la bouche et une grosse dans le cul. Le mec qui m'encule augmente le rythme et surtout enfonce sa queue au maximum. Il est penché en avant, il me tient les épaules et me met d'énormes coups de bites. J'ai mal mais le plaisir et tellement grand que je prends mon pied. Ceux qui étaient dans la pièce après avoir tous joui, soit sur mon visage, sur mon dos, voire dans ma bouche, se retirent. Et d'autres entrent et ils se mettent tous sur moi. Ils me baisent dans toutes les positions mais encore plus fort. La douleur est plus grande mais le plaisir aussi. Ils font tout pour enfoncer leur queue le plus profond possible, ils s'appuient de tout leur poids sur leur bite, je suis littéralement empalé. Des bites plus grosses que d'autres agrandissant mon cul à chaque passage. Ils se déchaînent et me baisent par tous les trous. Maintenant j'en peux plus, la douleur de mon cul, ouvert à vif, se réveille. J'attends que ça se finisse, j'ai plus de salive et ce n'est pas facile de les sucer, alors je les branle mais tous veulent finir dans ma bouche ou dans mon cul. Mon cul plein de sperme fait un bruit terriblement excitant à chaque fois qu'un mec me lime et puis surtout, ça coule le long de ma cuisse. Je suis plein de sperme car de grandes giclées me tombent sur le nez, les joues et la bouche. Justement, j'entrouvre la bouche pour que le sperme coule doucement à l'intérieur. Toutes ces éjacs sur un visage, ça fait beaucoup de sperme. L'un d'entre eux m'étale le sperme partout sur le visage avec sa main; c'est chaud et bon. Finalement, j'ai vraiment pris goût à cette soumission et je me suis fait niquer avec plaisir.
T’ES NOTRE MEUF ET ON TE FISTE Vidéo gay. Durée: 14 min
 Je suis devenue leur salope Histoire gay publiée le 03/04/2024
Salut moi c'est Jimmy, le patron de bar et le boss de Liam. J'ai toujours été attiré par les mecs, tout particulièrement les rebeux. Je commençais de plus en plus à m’intéresser aux hommes. Un soir dans mon bar entrent deux mecs un rebeu magnifique et un pote de mon jeune serveur. Il leurs sert à boire, je me mets dans la cuisine et les mattes discrètement. Je pouvais observer les deux mecs biens musclés transpirant. Ce jour là, j’étais à coté d'un pur bogoss rebeu. Lui je l'avais déjà repéré depuis un moment, 1m80 brun musclé sec avec un short qui avait l'air bien rempli. Je décidais de revenir au bar, en m'installant devant lui pour bien lui montrer mon cul. J'étais en chaleur. Je n’arrêtais pas de le regarder. Il parle à l'oreille de mon serveur et éclate de rire. Il me regarde dans les yeux, j'ai du mal à soutenir son regard. Je suis troublé, putain de mec, il me chauffe, je sorts à l’extérieur du bar, il me suis. Je vois une énorme bosse dans son caleçon ma bite grossit instantanément. J'essaie de me dissimuler avec mon blouson. Il s'en aperçoit, il s’approche de moi et me dit à l'oreille "c'est moi qui te fait cet effet petite salope ?" Je ne réponds pas. D'un coup il me plaque contre le mur et me dit "réponds-moi salope". Tu crois que je t'ai pas vu me regarder depuis tout à l'heure. Aller dis le que t'a envie de ma bite. "Oui j'en ai envie. "Ah voila enfin le patron de mon pote qui assume d’être une "une grosse lope et un bon vide couilles à rebeu". File ton numéro salope dans 30 min je t'envoi mon adresse et tu te pointes chez moi après la fermeture de ton bar" "Ok" OK qui ? oui maître. J’étais si excité à l' idée d'aller chez lui et en même temps j'avais un peu peur. Car il avait l'air très domi. Tu m'offres les boissons. Aller ciao salope à plus ! 30 min plus tard je reçois son adresse. Je me rends chez lui, il m'ouvre en boxer et me saute dessus. On s'embrasse je lui mange sa bouche humm ll c'est trop bon. Je sent sa bite gonfler. Putain que c'est gros ... Je me met à genoux et sort ce monstre 23cm/6 hummmm. Je lui bouffe la teub comme une salope. J'entends derrière moi un rire. Putain mon serveur, je suis rouge de honte "Je me doutais que mon boss était une salope à rebeu". Allez suce " mon serveur me prends la tête et m'oblige à sucer et à prendre la bite du rebeu en gorge profonde et je manque de m’étouffer, et d'un coup il met ses mains sur ma tête et il m'impose la cadence, le beur me défonce la bouche. Putain que c'est bon. J'ai les larmes aux yeux . "Allez suis moi dans mon lit salope" mets toi a 4 pattes et avance petite chienne". Je sais pas ce qui m'arrive je lui obéis et j'aime ça. Je rentre dans sa chambre, il s'assoie sur son lit et me dit de rester a 4 pattes. Il me donne ses pieds et me dit "lèche salope" pendant que mon serveur me bouffe le cul. Putain j'en peux plus. Mon rebeu me met son pied dans la gueule je recule un peu car j'ai jamais fais ça. Il le met un coup de pied et insiste. Je finis par lui lécher ses ieps. " voila salope tu es faite pour ça. Tu es à la bonne place sale salope. Allez viens me sucer "Je le suce comme si ma vie en dépendait pendant ce temps mon serveur me met ses doigts dans le cul. Je suis excité comme un fou. Il me lèche le trou, putain que c'est bon! Il me remet 1 puis 2 doigts dans mon trou vierge, mon rebeu me met deux doigts. "Putain tu es serré salope. Tu vas te faire dépuceler par un bon rebeu par ton maître ma salope. " D'un coup je me sens comme transpercé. J'ai mal. Il y va doucement. Je commence à m’habituer . Les va et vien sont puissants il accélère la cadence. Il me défonce comme un dieu, je gémis comme une salope. T'aimes ça hein salope? Mon serveur me baise la gueule en me travaillant les tétons. Putain elle est trop bonne la chatte de ma patronne. "Oh oui défonce moi". Je me sens comme transpercé putain que c'est bon. Mon corps tremble et je jouis sans même me toucher, que c'est bon, mon serveur me jouit sur la gueule. Il prends mon sperme avec ses doigts et me fait lécher. Mon maître rebeu sort de mon trou et me met sa bite devant mon visage et éjacule 5 jets puissants, j'en ai partout. Avant de partir il me met à genoux et il me dit maintenant tu m'appartiens et avec mon serveur ils me pissent dessus . Maintenant tu es à moi ma salope Quand je veux me vider tu viens salope. Depuis ce jour je suis devenue leurs salope.
Valentin salope gay Histoire gay publiée le 04/04/2024
Je me prénomme Valentin, je suis grand yeux brun j’ai une allure plutôt fine. Je suis un gars plutôt banal à l’exception que je ne vis qu’au travers de la soumission. Je pense même que je suis né pour être dominé. Je suis bien évidemment kiffeur de survet et de bonnes skets bien daubantes. Mon histoire se déroule en 2023 au courant de l’été, je travaillais alors dans un hypermarché et le hasard a fait qu’un de mes fantasmes de toujours était mon collègue. Pour vous le décrire, il s’appelle Valentin également a une sacré carrure est légèrement plus vieux que moi et surtout c’est un footballeur amateur de très bon niveaux, a tel point qu’il m’est déjà arrivé de regarder son profil Instagram où il y publiait les photos de ses matchs avec le plus grand des désirs. Au moment où j’ai découvert cela, j’ai essayé d’investiguer le plus possible sur lui sans vraiment croire à ma chance car Valentin a une copine qu’il poste souvent en story. Mais, au fur et à mesure des jours, j’ai découvert notamment le fait que son casier était juste au dessus du miens, et j’ai également appris ses horaires pour faire en sorte de le croiser le plus possible. À force d’investigation, j’ai fini par découvrir le code de son cadenas qui n’était autre que le sa date d’anniversaire et la j’ai eu la chance d’y découvrir sa paire de vapormax un peu crade mais surtout bien odorante ainsi qu’une sacoche dans la quelle se trouvait ses documents personnels et ses clés de voitures. J’ai pris une grande bouffée dans sa paire de vapormax et je suis donc retourné au travail. Plus les jours passait et plus j’allais sniffer ses skets, un coup des vapormax, d’autres des tn et d’autres des air max 97. Après environ deux bonnes semaines à répéter la même opération aux casiers, l’idée de prendre ses clés de voiture me monta a la tête. Prochaine pause, je me saisis de ses clés et me dirige à vive allure sur le parking des employés et la bingo, je déverrouille le coffre et trouve le sac d’entraînement de Valentin qui n’avait manifestement pas lavé sa tenue après son dernier entraînement pour mon grand plaisir. J’ai rapidement fouillé et je ne sais pas ce qui m’a pris j’ai simplement pris son sac d’entraînement que j’ai mis dans le coffre de ma voiture. Le soir chez moi, je me retrouve rapidement dans ma chambre et déballe ce sac comme une pochette surprise, j’y trouve alors un maillot, un short, un boxer sale ses cho7 de foot le tout aux couleurs de son équipe, un magnifique bleu foncé qui lui allait merveilleusement bien. Mais ce n’est pas tout il y’avait également et surtout sa paire de crampons, des nikes mercurial absolument magnifiques usées par les différents matchs et l’odeur s’en ressentait sacrement. J’enfila alors la tenue complète à l’exception d’un crampon que j’utilise pour me branler dedans, je ne tarde pas à venir dedans et m’endors pleins de sueurs enveloppées par les odeurs de l’homme qui m’a longtemps fait fantasmer. Avoir réussi à porter sa tenue a été pour moi l’un des plus grands sentiments de victoire de toute mon existence. Seulement, ce que je ne savais pas c’était que en dérobant ce sac j’avais couru à ma perte, Valentin conscient qu’il égarait beaucoup de choses avait placé un AirTag dans son sac d’entraînement qui lui a indiqué la position de son sac et donc de mon adresse. C’est alors que le lendemain alors que je rentrai chez moi je me retrouvera face à Valentin l’air contrarié qui ne cherchant même pas à discuter me demande ses affaires. Je le fais entrer et lui ramène son sac couvert de honte. Valentin me demanda alors pourquoi j’avais fait ça et qu’est ce que cela m’avait apporté. Je lui ai répondu dans la plus grande des sincérités tout ce que je vous ai dit et j’ai vu que je l’avais déstabilisé et qu’il ne s’attendait pas à ça. C’est alors que son regard a changé du tout au tout, il est devenu ferme, il m’a craché un molars au visage m’a traité de batard et m’a dit de me mettre à genou. - « maintenant tu sera mon esclave si c’est ce que tu souhaite » - « Oui, maître je rêve d’être votre esclave » C’est le seul échange qu’il y’a eu entre nous avant quelques minutes. Ensuite, Valentin a revêtu sa tenue complète et m’a ordonné de le décrasser de bas en haut. Avec la chaleur de l’été il avait une odeur divine, m’a fait décrasser ses crampons et sentir l’odeur et il m’a ensuite pissé dans la bouche au beau milieu de mon salon tout en prenant des photos. Il est parti dans sa tenue laissant ses vapormax et le survet du psg dans le quel il était venu chez moi, je me suis donc évidemment empressé de vénérer la tenue que cet étalon avait porté. Le lendemain au boulot, je croisa Valentin qui m’indiqua de me rendre dans un rayon un peu reculé, il me donna alors rendez vous le dimanche qui suivait au vestiaire du stade à 16h. Je savais qu’il y jouais un match et je me dis que ce rendez-vous n’étais pas pris pour rien, je n’avais de toute façon évidemment pas d’autres choix que de m’y rendre. Le dimanche, j’arrive un peu 16h le match bat son pleins, je rentre alors dans le vestiaire complètement anxieux me doutant de ce qui allait m’arriver mais ne voulant pas y croire. Les minutes paraissait être des heures quand soudain, le bruit des chaussures à crampons contre le carrelage se faisait entendre de plus en plus près, Valentin entra suivi du reste de son équipe, il me plaqua au sol et me marcha dessus avec ses crampons dègeu et criant « alors les gars vous la trouvez comment la nouvelle salope que je vous ramène ! ». Les coéquipiers de Valentin s’écrièrent alors de joie face à l’idée de démonter une énième salope dans ce vestiaire. Rapidement, je me retrouve sur le dos, absolument tout les crampons de l’équipe se présente à mon visage et demande à être décrassés, par chance ma salive n’est jamais à court car je suis souvent alimenté de crachats. Une fois le décrassage fini, les crampons sont remplacés par les bites des joueurs, et la je peux vous dire qu’il y’a de la variété. Avant de commencer le match pour mon cul, il me font revêtir une tenue comme la leurs mais avec pour particularité d’avoir un trou au niveau du cul. Une fois en tenue les joueurs se défoulèrent aussi bien dans la bouche que dans mon cul, deux coéquipiers trop impatients ont mêmes tenté de rentrer en même temps forçant le passage de mon train en vain. J’ai tourné dans ce vestiaire dans différentes position pendant aux moins une heure et demie. Après cela, la plupart des joueurs sont partis sans même prendre de douche à la fin, il ne restait plus que Valentin qui avait regardé de loin tout ce que j’avais subis sans jamais intervenir. Il me dit alors de me relever et me demande ce que j’en ai pensé, je lui répond que j’ai aimé mais que j’ai trouvé ça, il me répond simplement que je vais devoir m’y habituer que je l’ai cherché et que les autres gars m’ont kiffé. Il me dit alors dans les yeux que je suis la salope officielle de l’équipe et que je devrais satisfaire leurs tensions sexuelles après chaque entraînement et chaque matchs toutes les semaines. Il m’attrapa alors et rentra son manche en moi avec une intensité extrême comme quand il donne un coup dans la balle, je ne souffre même pas car ses coéquipiers avais juté en moi ce qui m’avait lubrifier, il me pilonna jusqu’à venir dans mon cul et me féconder, me porta jusqu’aux douches et lâcha un énorme jet de pisse sur moi qui suit toujours dans ma tenue de salope de l’équipe. Une fois vide de tout ses fluides, Valentin m’ordonna de partir comme ça de ne pas laver la tenue et de revenir mardi à 18h pour leur entraînement. Après cela, je n’ai raté aucuns entraînement et matchs et suis là pour soutenir mon équipe favorite dans la victoire comme dans la défaite. Étant la salope de Valentin, il m’appelle souvent pour se vider les couilles ou viens directement chez moi sans demander. Je lui dois bien ça, il a été gentil et ne m’a jamais balancé au travail !
Domine-moi XXL - Vidéo gay. Durée: 16 min
FAIS MOI MAL
Je me suis fait accoster récemment par un couple de garçons qui, se basant sans doute sur certaines photos de mon compte DomiAddict, m’ont demandé comment s’y prendre pour avoir une relation Domi/soumis. Comment commencer et par où ? Vaste question qui m’a demandé un bon moment de réflexion. Je sais qu’il existe par exemple, des ateliers de partage et de discussion sur les pratiques SM comme le « cercle des maîtres et des soumis » de l’ASMF que je ne saurais trop vous conseiller mais essayons ensemble de nous pencher sur le sujet. J’ai découvert les rapports SM il y a un bon moment déjà et un peu par hasard. Dans un sexclub parisien, simplement vêtu d’un chaps en néoprène que j’avais bricolé et que je portais sur un jean très serré, le torse nu, je suis tombé sur un mec qui m’a tout de suite fait comprendre qu’il cherchait du brutal. Instinctivement, j’ai répondu fermement. Dans les jours qui suivirent, j’ai enchaîné les plans hard, toujours plus violents, toujours plus débridés. Mais très vite, j’ai ressenti un malaise, une peur. Peur de ce plaisir sadique que j’exprimais sans le contrôler, sans le mesurer. J’ai pris un virage à 360° et suis retourné à une sexualité plus classique. Bien plus tard, lorsque mon envie de cuir à été trop forte pour être contenue, l’appel de la domination s’est de nouveau manifesté mais entre-temps, j’avais mûri et appris à me connaître. Et j’ai commencé des rapports Domi/soumis établis sur des fondations plus solides. Je crois que certaines pratiques ne s’improvisent pas et je conçois les rapports Domi/soumis comme un jeu de l’esprit en duo plus qu’une simple paire de baffes ou un crachat bien gras dans la gueule. On va oublier tout de suite les lieux communs sur les couples Domi/soumis ou Maître/esclave permanents. Même s’ ils semblent abonder sur les réseaux sociaux, la majorité des Maîtres et de leurs soumis ont souvent une vie sociale des plus classiques, leurs rapports servent d’exutoire et d’équilibrage mais je connais peu d’adeptes 24/24, à moins de parler des professionnels qui ont des comptes twitter à approvisionner. Basique. En premier lieu, savoir qu’un rapport SM se construit sur une confiance mutuelle, une envie commune de se réaliser. Le soumis accepte de lâcher prise et s’abandonne aux désirs de son Maître en totale liberté. Il accepte de n’être plus responsable des actes commis et les reçoit volontiers. De son côté, le Domi, prend sur lui la responsabilité entière des actes commis, le soumis est placé sous ses ordres, c’est lui et lui seul qui œuvre au bon déroulement de la session. Ce qui s’y fait, dans quel ordre, avec plus ou moins de violence est anecdotique, il n’y a pas de schéma établi à suivre. Certains Domis ne parlent pas, d’autres sont orduriers, certains soumis n’acceptent pas les coups, d’autres se laissent fouetter jusqu’au sang. Rien n’est écrit, rien n’est obligatoire, sauf le plaisir partagé de se laisser soumettre et dépasser ses limites pour l’un, surprendre, conduire vers des sensations extrêmes et inattendues pour l’autre. Aucun des deux n’est là uniquement pour son propre plaisir et si le soumis s’accomplit dans son abandon, le Domi se réalisera dans sa façon de guider son soumis vers des plaisirs puissants. Si il y a du plaisir à se faire vénérer par son soumis, il y en a aussi à le voir adorer lécher les bottes du Maître. Décor. On a pas tous la chance d’avoir un donjon équipé, et alors ? Le matos coûte cher mais les enseignes de bricolage sont très pratiques, on y trouve de la chaîne au mètre, des cordages et plein d’autres idées, perso je me suis fabriqué une croix de Saint-André pour moins de 30 €. Le décor à son importance bien sûr mais ce qui compte avant tout, c’est l’imagination et un plan sur une table de cuisine peut se révéler tout aussi chaud que dans un sling haut de gamme. Respect. Un Domi qui méprise son soumis est pour moi, à côté de la plaque. Il faut une grande volonté, une grande force de caractère pour s’abandonner et chercher à aller au bout de la souffrance, de l’humiliation. Avec le respect, il y a l’écoute. On doit décider d’un mot de passe commun qui indique que le jeu doit s’arrêter ou, si le soumis est bâillonné, un geste fera l’affaire. Dans tous les cas, le Maître doit garder en tête qu’il est inutile de forcer inutilement son soumis. Il risque au moins de se faire reprocher un manque d’écoute et de faire capoter la séance, au pire de perdre son soumis qui ira voir ailleurs. Lucidité. Au risque de me répéter, on s'interdit tout mélange Chems/ BDSM. Garder les idées claires est le meilleur moyen d’éviter les accidents autant pour le donneur que le receveur. Le Maître reste en plein éveil sur les réactions de son soumis et celui-ci perçoit lucidement son corps. Timing. Je vais peut-être vous surprendre mais je crois qu’il y a un temps pour les coups et un temps pour les câlins. Caresser un cul qu’on a fessé ou fouetté vigoureusement est un grand moment de complicité que je recommande. Il n’y a rien de contradictoire à remercier celui qui s’est donné, avec qui on a vécu un moment si intense. Le BDSM n’est pas un plaisir solitaire. Les baisers sont aussi indiqués. Une fois la session finie, on prend son temps, on revient calmement à la réalité des choses, cela remet bien les choses en place et aide à sortir du jeu. Voilà quelques pistes de réflexion, et ce que l’expérience m’a appris. Je reste à l’écoute pour vos commentaires.
Apprends-moi en me dominant Vidéo gay. Durée: 28 min
 Ma première fois… avec un rebeu de ma classe Histoire gay publiée le 29/03/2024
Ma première fois… Je m’appelle Raphaël, j’ai 20 ans et j’habite dans le 06. Quand j’avais 18 ans, j’avais ce mec dans ma classe, Yaniss, qui était super beau et musclé. On se parlait parfois, mais on avait jamais fait de sortie ensemble, ou quoi que ce soit. Un jour, en sortant des cours il pleuvait, et comme j’étais pas loin de lui, il m’a entendu appeler ma mère pour lui dire que j’allais prendre le bus. Bizarrement, il est venu vers moi et m’a proposé de me ramener chez moi, vu qu’il avait une voiture sans permis. Après avoir hésité, j’ai accepté en le remerciant. Alors qu’on avançait sous la pluie pour aller à sa voiture, l’eau rendait son t-shirt blanc de plus en plus transparent, et je voyais ses tétons percer à travers le tissu… Je n’osais pas le regarder trop longtemps de peur qu’il remarque. En m’asseyant dans sa voiture, j’attache ma ceinture et on commence à parler. Il me raconte sa vie, j’aimais bien discuter avec lui, entendre sa voix grave, l’écouter me parler de lui… alors qu’on se connaissait à peine ! A un moment, il me demande si j’ai déjà été en couple, alors j’ai répondu que oui avec une meuf, mais que j’aimerais bien tester avec un mec. Et c’est la qu’il m’a répondu que lui aussi ! Pour rigoler j’ai dit « on devrait essayer » mais apparemment il l’a pris au sérieux… Il a commencé à poser la main sur ma cuisse, et j’ai tout de suite paniqué. C’était nouveau pour moi ! Quand il m’a vu stresser il m’a dit de me calmer et bizarrement, sa voix m’a calmé immédiatement. Je me sentais protégé, à l’aise. Dans les embouteillages, il a essayé de se garer à la première place qu’il a trouvé et il a baissé nos sièges. Je voyais la bosse sous son jogging grandir, et l’excitation montait. Il a baissé son pantalon et m’a pris par les cheveux. Quand je suis arrivé au niveau de sa queue, j’ai commencé à sucer sa queue circoncise, à commencer par son gland. Je sentais sa bite grandir dans ma bouche, et j’accélérais les va et vient. Je l’entendais gémir, et je sentais mes poils se dresser sur mes bras. A un moment il a passé sa main dans mon caleçon et m’a malaxé le cul, et ma dit de m’asseoir sur lui. J’ai écarté mon cul et après il m’a mis sa teub dans mon trou. Je commençais à monter et descendre, et je sentais mon cul se resserrer autour de sa grosse queue. Elle devait faire environ 16 cm, 16cm de pur plaisir !! Dans un souffle et un gémissement si viril, j’ai senti son sperme couler dans mon cul, le jus bien chaud dégouliner sur mes fesses. Après m’avoir embrassé longuement, il a remis son jogging et a pris mon snap (il m’avait jamais ajouté alors qu’on était ensemble sur le groupe de classe…) Depuis, on se revoit souvent et je prends toujours autant plaisir à chevaucher sa queue.
Grosse bite de rebeu Tahar pour un cul Vidéo gay. Durée: 21 min
 Dépucelage de mon cul par un Marocain de rêve Histoire gay publiée le 25/03/2024
Je vais vous raconter mon plan qui devait juste être un plan soft qui a fini en dépucelage de mon cul. Cet été j’avais rencontré un bogoss marocain sur un tchat. Il était magnifique un corps de rêve, un visage de rêve et une queue de rêve ! 22cm de pure marocain avec des couilles énormes. On avait parlé quelques jours après on s'est rapidement vu mais en journée sans rien faire car je partais le soir même. Histoire juste de se voir et de savoir vraiment comment on est en vrai. Après ça, pratiquement tout l’été on a parlé ensemble tous les jours sur snap etc. Franchement il me faisait rêver de fou ! Juste en snap il me rendait dingue. Alors en réalité ça devait être quoi ! Mais après les vacances j’avais décidé de faire une pause, pour me consacrer à mes études et j’ai fait l’erreur de le supprimer. J’ai bien vite regretté cet erreur car pendant des mois j’ai essayé de le retrouver, mais en vain. Mais par chance, il y a quelques jours j’ai retrouvé son snap on s’est rajoutés parlés etc. Il me propose un plan directement le jour d’après. Un plan soft vu que j’étais vierge, à ce moment là. Le jour arriva, on fait nos vies etc. Je me prépare bien et j’ai même préparé mon cul sans savoir ce qui allait arriver. A 22h il passe me chercher en bas de chez moi pour aller se trouver un coin tranquille ou se poser. Il roule pendant 15 min et il trouva un coin bien sombre avec autour, que des champs et rien d’autre c’était parfait ! De là on se pose directement à l'arrière de la voiture pour avoir plus de place. On se galoche vite fait et vraiment il galoche comme un roi ! De là on se met direct nu on sent la chaleur monter etc. Je prend sa queue directement en bouche et de là il m’attrape le cou et commence à me faire faire des gorges profondes. C'était devenu mon maître à partir de ce moment là. Il me dominait comme un fou ! J’en pouvais plus j’étais à deux doigt de vomir mais je kiffais tellement ça. De là il m’attrape le cul et commence à me le claquer j’adore ça ! Je gémis comme une vraie chienne. Et de là il me rentre un doigt, puis deux et trois doigts. Je criais de plaisir comme une vraie chienne à son maître. Et je pouvais bien crier on était solos. Et il m’a dit de monter sur lui juste histoire de frotter ma rondelle sur sa bonne grosse queue. De la je commence à bouger mon cul de salope sur cette grosse queue et d'un seul coup sans me prévenir il prend sa queue et me la rentre dans le cul!