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Valentin salope gay Histoire gay publiée le 04/04/2024
Je me prénomme Valentin, je suis grand yeux brun j’ai une allure plutôt fine. Je suis un gars plutôt banal à l’exception que je ne vis qu’au travers de la soumission. Je pense même que je suis né pour être dominé. Je suis bien évidemment kiffeur de survet et de bonnes skets bien daubantes. Mon histoire se déroule en 2023 au courant de l’été, je travaillais alors dans un hypermarché et le hasard a fait qu’un de mes fantasmes de toujours était mon collègue. Pour vous le décrire, il s’appelle Valentin également a une sacré carrure est légèrement plus vieux que moi et surtout c’est un footballeur amateur de très bon niveaux, a tel point qu’il m’est déjà arrivé de regarder son profil Instagram où il y publiait les photos de ses matchs avec le plus grand des désirs. Au moment où j’ai découvert cela, j’ai essayé d’investiguer le plus possible sur lui sans vraiment croire à ma chance car Valentin a une copine qu’il poste souvent en story. Mais, au fur et à mesure des jours, j’ai découvert notamment le fait que son casier était juste au dessus du miens, et j’ai également appris ses horaires pour faire en sorte de le croiser le plus possible. À force d’investigation, j’ai fini par découvrir le code de son cadenas qui n’était autre que le sa date d’anniversaire et la j’ai eu la chance d’y découvrir sa paire de vapormax un peu crade mais surtout bien odorante ainsi qu’une sacoche dans la quelle se trouvait ses documents personnels et ses clés de voitures. J’ai pris une grande bouffée dans sa paire de vapormax et je suis donc retourné au travail. Plus les jours passait et plus j’allais sniffer ses skets, un coup des vapormax, d’autres des tn et d’autres des air max 97. Après environ deux bonnes semaines à répéter la même opération aux casiers, l’idée de prendre ses clés de voiture me monta a la tête. Prochaine pause, je me saisis de ses clés et me dirige à vive allure sur le parking des employés et la bingo, je déverrouille le coffre et trouve le sac d’entraînement de Valentin qui n’avait manifestement pas lavé sa tenue après son dernier entraînement pour mon grand plaisir. J’ai rapidement fouillé et je ne sais pas ce qui m’a pris j’ai simplement pris son sac d’entraînement que j’ai mis dans le coffre de ma voiture. Le soir chez moi, je me retrouve rapidement dans ma chambre et déballe ce sac comme une pochette surprise, j’y trouve alors un maillot, un short, un boxer sale ses cho7 de foot le tout aux couleurs de son équipe, un magnifique bleu foncé qui lui allait merveilleusement bien. Mais ce n’est pas tout il y’avait également et surtout sa paire de crampons, des nikes mercurial absolument magnifiques usées par les différents matchs et l’odeur s’en ressentait sacrement. J’enfila alors la tenue complète à l’exception d’un crampon que j’utilise pour me branler dedans, je ne tarde pas à venir dedans et m’endors pleins de sueurs enveloppées par les odeurs de l’homme qui m’a longtemps fait fantasmer. Avoir réussi à porter sa tenue a été pour moi l’un des plus grands sentiments de victoire de toute mon existence. Seulement, ce que je ne savais pas c’était que en dérobant ce sac j’avais couru à ma perte, Valentin conscient qu’il égarait beaucoup de choses avait placé un AirTag dans son sac d’entraînement qui lui a indiqué la position de son sac et donc de mon adresse. C’est alors que le lendemain alors que je rentrai chez moi je me retrouvera face à Valentin l’air contrarié qui ne cherchant même pas à discuter me demande ses affaires. Je le fais entrer et lui ramène son sac couvert de honte. Valentin me demanda alors pourquoi j’avais fait ça et qu’est ce que cela m’avait apporté. Je lui ai répondu dans la plus grande des sincérités tout ce que je vous ai dit et j’ai vu que je l’avais déstabilisé et qu’il ne s’attendait pas à ça. C’est alors que son regard a changé du tout au tout, il est devenu ferme, il m’a craché un molars au visage m’a traité de batard et m’a dit de me mettre à genou. - « maintenant tu sera mon esclave si c’est ce que tu souhaite » - « Oui, maître je rêve d’être votre esclave » C’est le seul échange qu’il y’a eu entre nous avant quelques minutes. Ensuite, Valentin a revêtu sa tenue complète et m’a ordonné de le décrasser de bas en haut. Avec la chaleur de l’été il avait une odeur divine, m’a fait décrasser ses crampons et sentir l’odeur et il m’a ensuite pissé dans la bouche au beau milieu de mon salon tout en prenant des photos. Il est parti dans sa tenue laissant ses vapormax et le survet du psg dans le quel il était venu chez moi, je me suis donc évidemment empressé de vénérer la tenue que cet étalon avait porté. Le lendemain au boulot, je croisa Valentin qui m’indiqua de me rendre dans un rayon un peu reculé, il me donna alors rendez vous le dimanche qui suivait au vestiaire du stade à 16h. Je savais qu’il y jouais un match et je me dis que ce rendez-vous n’étais pas pris pour rien, je n’avais de toute façon évidemment pas d’autres choix que de m’y rendre. Le dimanche, j’arrive un peu 16h le match bat son pleins, je rentre alors dans le vestiaire complètement anxieux me doutant de ce qui allait m’arriver mais ne voulant pas y croire. Les minutes paraissait être des heures quand soudain, le bruit des chaussures à crampons contre le carrelage se faisait entendre de plus en plus près, Valentin entra suivi du reste de son équipe, il me plaqua au sol et me marcha dessus avec ses crampons dègeu et criant « alors les gars vous la trouvez comment la nouvelle salope que je vous ramène ! ». Les coéquipiers de Valentin s’écrièrent alors de joie face à l’idée de démonter une énième salope dans ce vestiaire. Rapidement, je me retrouve sur le dos, absolument tout les crampons de l’équipe se présente à mon visage et demande à être décrassés, par chance ma salive n’est jamais à court car je suis souvent alimenté de crachats. Une fois le décrassage fini, les crampons sont remplacés par les bites des joueurs, et la je peux vous dire qu’il y’a de la variété. Avant de commencer le match pour mon cul, il me font revêtir une tenue comme la leurs mais avec pour particularité d’avoir un trou au niveau du cul. Une fois en tenue les joueurs se défoulèrent aussi bien dans la bouche que dans mon cul, deux coéquipiers trop impatients ont mêmes tenté de rentrer en même temps forçant le passage de mon train en vain. J’ai tourné dans ce vestiaire dans différentes position pendant aux moins une heure et demie. Après cela, la plupart des joueurs sont partis sans même prendre de douche à la fin, il ne restait plus que Valentin qui avait regardé de loin tout ce que j’avais subis sans jamais intervenir. Il me dit alors de me relever et me demande ce que j’en ai pensé, je lui répond que j’ai aimé mais que j’ai trouvé ça, il me répond simplement que je vais devoir m’y habituer que je l’ai cherché et que les autres gars m’ont kiffé. Il me dit alors dans les yeux que je suis la salope officielle de l’équipe et que je devrais satisfaire leurs tensions sexuelles après chaque entraînement et chaque matchs toutes les semaines. Il m’attrapa alors et rentra son manche en moi avec une intensité extrême comme quand il donne un coup dans la balle, je ne souffre même pas car ses coéquipiers avais juté en moi ce qui m’avait lubrifier, il me pilonna jusqu’à venir dans mon cul et me féconder, me porta jusqu’aux douches et lâcha un énorme jet de pisse sur moi qui suit toujours dans ma tenue de salope de l’équipe. Une fois vide de tout ses fluides, Valentin m’ordonna de partir comme ça de ne pas laver la tenue et de revenir mardi à 18h pour leur entraînement. Après cela, je n’ai raté aucuns entraînement et matchs et suis là pour soutenir mon équipe favorite dans la victoire comme dans la défaite. Étant la salope de Valentin, il m’appelle souvent pour se vider les couilles ou viens directement chez moi sans demander. Je lui dois bien ça, il a été gentil et ne m’a jamais balancé au travail !
Domine-moi XXL - Vidéo gay. Durée: 16 min
FAIS MOI MAL
Je me suis fait accoster récemment par un couple de garçons qui, se basant sans doute sur certaines photos de mon compte DomiAddict, m’ont demandé comment s’y prendre pour avoir une relation Domi/soumis. Comment commencer et par où ? Vaste question qui m’a demandé un bon moment de réflexion. Je sais qu’il existe par exemple, des ateliers de partage et de discussion sur les pratiques SM comme le « cercle des maîtres et des soumis » de l’ASMF que je ne saurais trop vous conseiller mais essayons ensemble de nous pencher sur le sujet. J’ai découvert les rapports SM il y a un bon moment déjà et un peu par hasard. Dans un sexclub parisien, simplement vêtu d’un chaps en néoprène que j’avais bricolé et que je portais sur un jean très serré, le torse nu, je suis tombé sur un mec qui m’a tout de suite fait comprendre qu’il cherchait du brutal. Instinctivement, j’ai répondu fermement. Dans les jours qui suivirent, j’ai enchaîné les plans hard, toujours plus violents, toujours plus débridés. Mais très vite, j’ai ressenti un malaise, une peur. Peur de ce plaisir sadique que j’exprimais sans le contrôler, sans le mesurer. J’ai pris un virage à 360° et suis retourné à une sexualité plus classique. Bien plus tard, lorsque mon envie de cuir à été trop forte pour être contenue, l’appel de la domination s’est de nouveau manifesté mais entre-temps, j’avais mûri et appris à me connaître. Et j’ai commencé des rapports Domi/soumis établis sur des fondations plus solides. Je crois que certaines pratiques ne s’improvisent pas et je conçois les rapports Domi/soumis comme un jeu de l’esprit en duo plus qu’une simple paire de baffes ou un crachat bien gras dans la gueule. On va oublier tout de suite les lieux communs sur les couples Domi/soumis ou Maître/esclave permanents. Même s’ ils semblent abonder sur les réseaux sociaux, la majorité des Maîtres et de leurs soumis ont souvent une vie sociale des plus classiques, leurs rapports servent d’exutoire et d’équilibrage mais je connais peu d’adeptes 24/24, à moins de parler des professionnels qui ont des comptes twitter à approvisionner. Basique. En premier lieu, savoir qu’un rapport SM se construit sur une confiance mutuelle, une envie commune de se réaliser. Le soumis accepte de lâcher prise et s’abandonne aux désirs de son Maître en totale liberté. Il accepte de n’être plus responsable des actes commis et les reçoit volontiers. De son côté, le Domi, prend sur lui la responsabilité entière des actes commis, le soumis est placé sous ses ordres, c’est lui et lui seul qui œuvre au bon déroulement de la session. Ce qui s’y fait, dans quel ordre, avec plus ou moins de violence est anecdotique, il n’y a pas de schéma établi à suivre. Certains Domis ne parlent pas, d’autres sont orduriers, certains soumis n’acceptent pas les coups, d’autres se laissent fouetter jusqu’au sang. Rien n’est écrit, rien n’est obligatoire, sauf le plaisir partagé de se laisser soumettre et dépasser ses limites pour l’un, surprendre, conduire vers des sensations extrêmes et inattendues pour l’autre. Aucun des deux n’est là uniquement pour son propre plaisir et si le soumis s’accomplit dans son abandon, le Domi se réalisera dans sa façon de guider son soumis vers des plaisirs puissants. Si il y a du plaisir à se faire vénérer par son soumis, il y en a aussi à le voir adorer lécher les bottes du Maître. Décor. On a pas tous la chance d’avoir un donjon équipé, et alors ? Le matos coûte cher mais les enseignes de bricolage sont très pratiques, on y trouve de la chaîne au mètre, des cordages et plein d’autres idées, perso je me suis fabriqué une croix de Saint-André pour moins de 30 €. Le décor à son importance bien sûr mais ce qui compte avant tout, c’est l’imagination et un plan sur une table de cuisine peut se révéler tout aussi chaud que dans un sling haut de gamme. Respect. Un Domi qui méprise son soumis est pour moi, à côté de la plaque. Il faut une grande volonté, une grande force de caractère pour s’abandonner et chercher à aller au bout de la souffrance, de l’humiliation. Avec le respect, il y a l’écoute. On doit décider d’un mot de passe commun qui indique que le jeu doit s’arrêter ou, si le soumis est bâillonné, un geste fera l’affaire. Dans tous les cas, le Maître doit garder en tête qu’il est inutile de forcer inutilement son soumis. Il risque au moins de se faire reprocher un manque d’écoute et de faire capoter la séance, au pire de perdre son soumis qui ira voir ailleurs. Lucidité. Au risque de me répéter, on s'interdit tout mélange Chems/ BDSM. Garder les idées claires est le meilleur moyen d’éviter les accidents autant pour le donneur que le receveur. Le Maître reste en plein éveil sur les réactions de son soumis et celui-ci perçoit lucidement son corps. Timing. Je vais peut-être vous surprendre mais je crois qu’il y a un temps pour les coups et un temps pour les câlins. Caresser un cul qu’on a fessé ou fouetté vigoureusement est un grand moment de complicité que je recommande. Il n’y a rien de contradictoire à remercier celui qui s’est donné, avec qui on a vécu un moment si intense. Le BDSM n’est pas un plaisir solitaire. Les baisers sont aussi indiqués. Une fois la session finie, on prend son temps, on revient calmement à la réalité des choses, cela remet bien les choses en place et aide à sortir du jeu. Voilà quelques pistes de réflexion, et ce que l’expérience m’a appris. Je reste à l’écoute pour vos commentaires.
Apprends-moi en me dominant Vidéo gay. Durée: 28 min
 Ma première fois… avec un rebeu de ma classe Histoire gay publiée le 29/03/2024
Ma première fois… Je m’appelle Raphaël, j’ai 20 ans et j’habite dans le 06. Quand j’avais 18 ans, j’avais ce mec dans ma classe, Yaniss, qui était super beau et musclé. On se parlait parfois, mais on avait jamais fait de sortie ensemble, ou quoi que ce soit. Un jour, en sortant des cours il pleuvait, et comme j’étais pas loin de lui, il m’a entendu appeler ma mère pour lui dire que j’allais prendre le bus. Bizarrement, il est venu vers moi et m’a proposé de me ramener chez moi, vu qu’il avait une voiture sans permis. Après avoir hésité, j’ai accepté en le remerciant. Alors qu’on avançait sous la pluie pour aller à sa voiture, l’eau rendait son t-shirt blanc de plus en plus transparent, et je voyais ses tétons percer à travers le tissu… Je n’osais pas le regarder trop longtemps de peur qu’il remarque. En m’asseyant dans sa voiture, j’attache ma ceinture et on commence à parler. Il me raconte sa vie, j’aimais bien discuter avec lui, entendre sa voix grave, l’écouter me parler de lui… alors qu’on se connaissait à peine ! A un moment, il me demande si j’ai déjà été en couple, alors j’ai répondu que oui avec une meuf, mais que j’aimerais bien tester avec un mec. Et c’est la qu’il m’a répondu que lui aussi ! Pour rigoler j’ai dit « on devrait essayer » mais apparemment il l’a pris au sérieux… Il a commencé à poser la main sur ma cuisse, et j’ai tout de suite paniqué. C’était nouveau pour moi ! Quand il m’a vu stresser il m’a dit de me calmer et bizarrement, sa voix m’a calmé immédiatement. Je me sentais protégé, à l’aise. Dans les embouteillages, il a essayé de se garer à la première place qu’il a trouvé et il a baissé nos sièges. Je voyais la bosse sous son jogging grandir, et l’excitation montait. Il a baissé son pantalon et m’a pris par les cheveux. Quand je suis arrivé au niveau de sa queue, j’ai commencé à sucer sa queue circoncise, à commencer par son gland. Je sentais sa bite grandir dans ma bouche, et j’accélérais les va et vient. Je l’entendais gémir, et je sentais mes poils se dresser sur mes bras. A un moment il a passé sa main dans mon caleçon et m’a malaxé le cul, et ma dit de m’asseoir sur lui. J’ai écarté mon cul et après il m’a mis sa teub dans mon trou. Je commençais à monter et descendre, et je sentais mon cul se resserrer autour de sa grosse queue. Elle devait faire environ 16 cm, 16cm de pur plaisir !! Dans un souffle et un gémissement si viril, j’ai senti son sperme couler dans mon cul, le jus bien chaud dégouliner sur mes fesses. Après m’avoir embrassé longuement, il a remis son jogging et a pris mon snap (il m’avait jamais ajouté alors qu’on était ensemble sur le groupe de classe…) Depuis, on se revoit souvent et je prends toujours autant plaisir à chevaucher sa queue.
Grosse bite de rebeu Tahar pour un cul Vidéo gay. Durée: 21 min
 Dépucelage de mon cul par un Marocain de rêve Histoire gay publiée le 25/03/2024
Je vais vous raconter mon plan qui devait juste être un plan soft qui a fini en dépucelage de mon cul. Cet été j’avais rencontré un bogoss marocain sur un tchat. Il était magnifique un corps de rêve, un visage de rêve et une queue de rêve ! 22cm de pure marocain avec des couilles énormes. On avait parlé quelques jours après on s'est rapidement vu mais en journée sans rien faire car je partais le soir même. Histoire juste de se voir et de savoir vraiment comment on est en vrai. Après ça, pratiquement tout l’été on a parlé ensemble tous les jours sur snap etc. Franchement il me faisait rêver de fou ! Juste en snap il me rendait dingue. Alors en réalité ça devait être quoi ! Mais après les vacances j’avais décidé de faire une pause, pour me consacrer à mes études et j’ai fait l’erreur de le supprimer. J’ai bien vite regretté cet erreur car pendant des mois j’ai essayé de le retrouver, mais en vain. Mais par chance, il y a quelques jours j’ai retrouvé son snap on s’est rajoutés parlés etc. Il me propose un plan directement le jour d’après. Un plan soft vu que j’étais vierge, à ce moment là. Le jour arriva, on fait nos vies etc. Je me prépare bien et j’ai même préparé mon cul sans savoir ce qui allait arriver. A 22h il passe me chercher en bas de chez moi pour aller se trouver un coin tranquille ou se poser. Il roule pendant 15 min et il trouva un coin bien sombre avec autour, que des champs et rien d’autre c’était parfait ! De là on se pose directement à l'arrière de la voiture pour avoir plus de place. On se galoche vite fait et vraiment il galoche comme un roi ! De là on se met direct nu on sent la chaleur monter etc. Je prend sa queue directement en bouche et de là il m’attrape le cou et commence à me faire faire des gorges profondes. C'était devenu mon maître à partir de ce moment là. Il me dominait comme un fou ! J’en pouvais plus j’étais à deux doigt de vomir mais je kiffais tellement ça. De là il m’attrape le cul et commence à me le claquer j’adore ça ! Je gémis comme une vraie chienne. Et de là il me rentre un doigt, puis deux et trois doigts. Je criais de plaisir comme une vraie chienne à son maître. Et je pouvais bien crier on était solos. Et il m’a dit de monter sur lui juste histoire de frotter ma rondelle sur sa bonne grosse queue. De la je commence à bouger mon cul de salope sur cette grosse queue et d'un seul coup sans me prévenir il prend sa queue et me la rentre dans le cul!
Suce banale et gorge profonde  Histoire gay publiée le 23/03/2024
Bonjour à tous les fans de DomiAddict, je suis Jules, j'ai la trentaine pour 1m70 et 72kg. Je vais vous raconter ce qui m'est arrivé la semaine dernière. Vers 22h, je m'ennuyais chez moi, j'ai attrapé mon iPhone et je suis allé sur DomiAddict pour me trouver un beau rebeu. J'ai rapidement obtenu un contact via le tchat avec un rebeu de 27 ans qui cherchait à se faire vider les couilles. Après une petite conversation je me suis rendu chez lui (il faut dire que la localisation des annonces facilite grandement les rencontres réelles) il m'attendait sur son canapé en survet mais la queue sortie. Direct, il me dit "dépêche salope j'ai les couilles pleines" il n'a pas eu besoin de me le demander un e seconde fois, je me suis mis aussitôt à genoux pour avaler sa belle qui devait faire un bon 21 cm et 4 cm de large. Au bout de 5 minutes de pompage intensif, il a pris ma tête et il m'a enfoncé sa grosse bite au fond de ma gorge. J'ai donc alterné entre fellation classique et gorge profonde. Je me rendais compte que mon sublime rebeu aimait çà parce-qu’il poussait des gémissements de plaisir. Environ 10 minutes plus tard, il m'attrapa la tête et m'envoya son sperme chaud au fond de ma gorge, en faisant en sorte que j'avale tout. Lorsque je suis sorti de chez lui, sur le palier, il m'a dit " la prochaine fois je te démonte le cul" je ne manquerai pas de vous tenir au courant si j'ai la chance de le revoir.
Mon appartenance à Ahmed et Ali Histoire gay publiée le 18/03/2024
C'était au début des années 1990. Je m'étais arrêté en fin d'après-midi dans un bar à Barbès où les arabes du quartier venaient se détendre après leur journée du travail. Peu musclé, j'étais à 23 ans, avec mon corps souple et imberbe de crunchboy, la proie idéale pour un rebeu qui voulait vivre une revanche sociale en dominant un jeune blanc pour en faire sa pute d'un soir. Ce jour-là, ils étaient six ou sept à me mater quand l'un d'entre eux vient s'asseoir à côté de moi pour me demander si j'étais du quartier. C'était un trentenaire basané et râblé, dont le visage bronzé et fin se prolongeait d'une barbe mal taillée. Je lui répondais que non, je n'habitais pas le quartier, mais que j'aimais l'atmosphère de ce bar et la clientèle qu'on y trouvait. Il me demande alors ce que j'attends de la clientèle, et je lui réponds que j'aimerai savoir ce qu'elle espère de moi et que suis prêt à servir. Il me demande mon prénom et me dit qu'il s'appelle Ahmed, puis il me prend la main pour la poser sur sa braguette, et je comprends illico le message et commence à masser à travers le tissu de son jean son sexe déjà gonflé. Au bout d'une ou deux minutes, il parle en arabe au patron. Je ne comprends rien mais devine qu'ils parlent de moi, et que je ne suis peut-être pas la première lopsa à me perdre ici. Le patron, un jeune mec d'une vingtaine d'années, musclé, les cheveux crépus coupés ras, un visage osseux traversé par deux yeux noirs au regard dur, lui tend une clé. Ahmed s'en saisit et prend mon bras pour m'amener à gauche du bar où se trouve une porte qu'il ouvre avec la clé avant de me pousser dans la pièce. C'est une arrière salle peu meublée, avec seulement un vestiaire et une banquette-lit rouge, et dans un coin un bidet en porcelaine blanche. La présence de ce sanitaire vieillot ne peut s'expliquer que pour permettre de se laver après avoir été baisé, ce qui illustre bien pourquoi cette pièce est aménagée et confirme que je ne suis pas le premier qui va y passer. Ahmed referme la porte sans la verrouiller, dépose son blouson sur un cintre, puis s'assied sur la banquette et m'ordonne de me déshabiller intégralement et de ranger mes affaires dans le vestiaire, et je m'exécute immédiatement pour être à poil en deux minutes, ce qui ne l'empêche pas de me dire d'un ton autoritaire de me dépêcher. Je referme la porte du vestiaire et me tourne vers lui, en lui présentant mon corps nu, lisse et clair, et il me fait signe d'approcher. Il m'attrape le bras pour me mettre à genoux sur la banquette à côté de lui et je lui présente docilement mon cul. Il écarte les jambes en ouvrant sa braguette, en m'ordonnant d'y passer la main pour aller sous son slip pour masser la peau chaude et moite de son scrotum et de sa verge, et J'enserre entre mes doigts son pénis turgescent et affamé que je masse docilement. Pendant ce temps, il m'examine, apprécie la courbure de mes hanches, mon ventre arrondi, ma peau de pêche, puis soupèse mes couilles d'une main ferme, palpe mes fesses pour en apprécier la fermeté et le galbe, avant de m'infliger plusieurs claques sonores qui doivent s'entendre de l'autre côté du mur dans le bar, comme son commentaire lancé d'une voix forte : "t'est une belle salope toi, on va te dresser pour que tu deviennes une bonne pute". Son doigt se glisse dans la raie de mes fesses pour examiner ma rondelle anale, qu'il force pour s'assurer de sa souplesse avant de conclure : " t'as déjà donné ton cul, hein ?". Je réponds "Oui Maître" pour lui manifester ma soumission et qu'il voie que j'ai compris que je lui appartenais et que je savais que je n'avais plus qu'à obéir. Constatant que j'ai reçu ses claques et ses insultes sans protester et que me suis laissé examiner comme un animal sans me rebeller, il a l'air satisfait et décidé à aller plus loin avec moi. Après avoir dégrafé son ceinturon qu'il retire de son pantalon, il enlève ma main de sa braguette pour le baisser avec son slip sur ses chevilles, et après avoir enlevé ses baskets qu'il repousse le long d'un des murs de la pièce, il se défait totalement de son jean et de son slip qu'il envoie d'un coup de pied rejoindre ses pompes. Il m'attrape alors brutalement par les cheveux pour littéralement me jeter à genoux entre ses jambes. Il est assis en mode pacha, simplement vêtu de son T-shirt, exhibant son sexe long et épais, déjà fermement bandé grâce au massage que je lui ai docilement prodigué. J'ai à peine le temps de l'admirer que, sans me laisser le temps d'y porter mes lèvres pour tenter de lui prodiguer une fellation, il tire mes cheveux en arrière pour m'obliger à le regarder, en agitant sous mes yeux son ceinturon qu'il a gardé dans sa main droite et en me disant d'une voix forte, pour être entendu de l'autre côté du mur : "tu vois ça, si tu n'es pas obéissant, je vais te caresser avec. Et même si tu obéis au doigt et à l'œil, je te caresserai avec pour le plaisir", et joignant le geste à la parole, il m'assène une dizaine de coup sur le dos et les fesses, et le claquement du cuir sur ma peau résonne jusque dans le bar, tandis que je serre les dents pour ne pas crier sous la morsure de la ceinture et les brûlures qu'elle m'inflige, dont ma peau porte pendant quelques minutes des marques rouge vif. J'ai trop peur que mes cris de douleur l'excitent et qu'il redouble les coups et prolonge mon supplice. Mais il a constaté que j'avais bien compris qu'étant enfermé avec lui à l'abri des regards et de la rue, j'étais totalement à sa merci et lui appartenais, et qu'il ne me restait plus qu'à obéir et être une bonne pute. Au demeurant, l'humiliation de n'être plus que sa chose me convenait, et il avait vu dès le départ que j'étais fait pour ça et n'aspirais qu'à trouver le seigneur et maître à satisfaire comme une fille soumise. Convaincu de m'avoir bien en main, il me met au travail et amène ma tête entre ses cuisses, et pendant que mon regard se perd sur ses abdos et ses poils pubiens, son pénis force mes lèvres heureuses de l'accueillir, et il me possède immédiatement à fond de gorge, son gland venant heurter ma glotte en provoquant une envie de vomir que je maîtrise à grand peine, et il m'impose des va-et-vient de plus en plus frénétiques, usant de ma bouche comme d'un vagin, en me criant "ouvre bien la bouche salope, je ne veux pas sentir tes dents", illustrant la sanction qu'il m'imposerait par deux violents coups de ceinturon sur le dos. A chaque mouvement, je suis contraint de l'accueillir à fond de gorge, et la seule liberté qu'il me laisse, c'est de masser le dessous de sa queue et son frein avec ma langue que sa possession a rendu baveuse. Docile et désireux d'être une bonne pute soumise pour le satisfaire, je garde donc ma bouche grande ouverte, et très vite ma mâchoire me fait mal, mais il prend son temps et a d'évidence décidé de faire durer son plaisir, et je ne peux qu'accepter ma douleur en cherchant à prendre dans l'humiliation qu'elle m'inflige mon propre plaisir et à accepter de subir la loi du mâle dominant à qui j'appartiens désormais. Mais j'entends la porte s'ouvrir et se refermer, et une voix juvénile lui demande si je suis "bonne", et il répond que j'apprends vite. Deux mains empoignent mes fesses pour les écarter et exhiber ma rondelle anale, et tout en continuant à me contraindre à le sucer, Ahmed appuie sur mon dos pour m'obliger à cambrer les reins et mieux offrir mon cul à la vue du nouvel arrivant. "T'as envie, baise cette salope" dit-il à l'inconnu qui abaisse pantalon et slip et je sens bientôt son sexe bandé et dur flairer puis niquer à sec ma rondelle anale. Une douleur intense me prend quand son gland heurte la muqueuse de mon ventre qu'il ramone, mais mon cri est étouffé par la bite d'Ahmed qui continue de posséder ma bouche et ma gorge et me bâillonne, tandis que je dois faire attention de ne pas la heurter avec mes dents. La douleur s'estompe vite, et au bout de quelques minutes, je ne sens plus que la queue qui possède mon cul et me lime avec avidité. Complètement possédé par les deux beurs, je jouis de me sentir exploré et exploité par leurs bites et de subir l'humiliation de n'être plus qu'un bout de viande à baiser. "Ouai, elle est bonne et soumise cette pute, va falloir qu'on la garde" dit l'inconnu, et je reste à leur disposition pendant une dizaine de minutes, la position me fait mal aux genoux et au dos et ma mâchoire s’ankylose à force d'être grande ouverte, mais je n'ai pas d'autre choix que subir pour les satisfaire et je jouis et bande du plaisir d'être possédé comme une bonne salope par la bouche et le cul et d'attendre d'être fécondé. Puis Ahmed et l'inconnu jouissent ensemble dans un grand râle de satisfaction dont tout le bar ne manque pas une miette, et je n'ai toujours pas le choix et avale le sperme crémeux et sucré d'Ahmed qui gicle à fond de gorge, tandis qu'un liquide chaud envahit mon ventre. L'inconnu s'est retiré, et je sens ce liquide chaud qui goutte hors de mon cul, tandis qu'Ahmed présente devant mes lèvres son gland circoncis ou perle une gouttelette blanchâtre en me donnant l'ordre de le nettoyer avec ma langue, et je m'exécute immédiatement avec le bonheur d'être docile et de lui appartenir. L'inconnu s'est rhabillé et sort sans même que j'ai pu le voir, et la porte se referme. Je croyais que nous étions seuls mais en quelques secondes, je sens une présence, et une voix s'adresse en arabe à Ahmed, sans doute pour demander s'il peut en profiter lui aussi, et sur la réponse d'Ahmed, un homme d'une cinquantaine d'années vient s'asseoir à côté de lui. En jean et chemise de coton blanche à carreaux rouges et bleus, l'inconnu, un peu enrobé, a un visage rubicond barré d'une épaisse moustache. Il baisse son pantalon et son caleçon sur ses chevilles et me présente un sexe court et épais mal lavé et qui sent l'urine. L'homme ne m'excite pas et l'odeur forte d'urine déclenche chez moi un mouvement de recul, mais Ahmed ne l'entend pas de cette oreille et veut montrer au cinquantenaire que je lui appartiens, qu'il m'a bien en main et qu'il sait se faire obéir. Il appuie fermement sur ma tête pour que ma bouche soit prête à acceuillir le sexe odorant du quinquagénaire, et une dizaine de coups de ceinturon marquent mon dos et mes fesses pour confirmer que je n'ai pas d'autre choix que d'obéir et servir. Alors, pour la plus grande fierté et satisfaction de mon seigneur et maître, j'accueille à fond de gorge la bite malodorante qui laisse dans ma bouche le goût acre de l'urine en entamant un va-et-vient laborieux, tandis que les replis gras d'un gros ventre rebondi tressautent devant mes yeux à chaque mouvement. Je croyais que le cinquantenaire était rentré seul, mais deux mains qui empoignent mes fesses avant d'y asséner quelques claques me font comprendre qu'un autre l'a accompagné, et une voix grave se réjouit de mater mon cul qu'il s'apprête à baiser. Je vois un jean et un slip tomber sur le sol à côté de moi, et j'entends l'homme qui s'agenouille avant de me pénétrer brutalement. Mais mon cul est lubrifié par le sperme de celui qui vient de me baiser, dont la queue était plus longue et plus grosse que celle qui me travaille maintenant, et j'accueille sans douleur son gland qui cherche avidement à me posséder de plus en plus profondément, et la caresse de son sexe bandé dans mon ventre me procure un plaisir qui me fait jouir. Mon sperme tâche le carrelage sous moi, tandis que ma queue débande pour pendre humblement et laisser quelques gouttes blanchâtres tomber sur le sol, pendant que les deux beurs liment consciencieusement ma bouche et mon cul. "Il est meilleur qu'une fille" dit la voix grave dans mon dos, qui devait être en manque et très vite, un liquide chaud me féconde à nouveau, tandis que mon niqueur se retire et je l'entends se nettoyer sur le bidet. Puis un bruit de tissu froissé et de boucle de ceinture me révèle qu'il s'est rhabillé, et le cinquantenaire qui n'a toujours pas joui se retire de ma bouche et se lève pour lui céder la place. Je vois s'asseoir un homme d'une soixantaine d'années, au corps mince sous un jean et une chemise unie bleue, dont le visage basané, surmonté de cheveux blancs et crépus, est parsemé de rides. Le cinquantenaire m'attrape fermement par les cheveux pour me prendre maladroitement en levrette, et il réussit à prendre enfin pleinement possession de mon cul pour jouir et me féconder en quelques minutes, sous le regard satisfait d'Ahmed. Ahmed m'ordonne devant les deux hommes de nettoyer avec ma langue le carrelage que j'ai sali, et je m'exécute et lèche mon propre sperme avec dans le ventre une boule de plaisir née de l'humiliation d'être soumis et obéissant en public. Les deux chibanis sortent, et Ahmed déplie la banquette-lit avant de m'ordonner de m'y coucher sur le dos. Il s'allonge sur moi et me chevauche en m'ordonnant de relever mes jambes et de les placer sur ses épaules, et il bâillonne mes lèvres avec les siennes et sa langue explore ma bouche, tandis que son sexe, toujours dur et bandé, nique ma rondelle anale et me lime de plus en plus profondément, ses couilles venant heurter mes fesses à chaque mouvement. Mes sphincters et mon colon sont pleinement détendus, et je me donne totalement. Après un bon quart d'heure, il jouit une nouvelle fois et me féconde, et je sens son sperme chaud remplir mon ventre. Il se retire et m'ordonne de l'accompagner au bidet pour nettoyer sa bite, en commençant avec ma langue avant de finir à l'eau. L'odeur entêtante de mon propre cul emplit ma bouche, que je rince à l'eau claire après avoir fini de nettoyer la queue de mon maître. J’écarte ensuite avec deux doigts de ma main gauche ma petite rondelle pour m'asseoir sur le bidet et asperger d’eau mon cul avant d'y introduire les doigts de ma main droite pour me nettoyer et être propre pour accueillir un nouveau venu à satisfaire. C'est alors Ali, le patron du bar, qui rentre et referme la porte, et les deux hommes s'asseyent côte à côte sur la banquette toujours dépliée, et d'un claquement de doigts vers le sol devant lui, Ahmed m'intime l'ordre de venir en restant à quatre pattes à ses pieds et contrôle mon cul, sans pudeur ni aucun égard pour moi, afin d’en vérifier la propreté. Tout en discutant, Ali se déshabille pour "m'essayer", et en quittant ses vêtements, il révèle un corps basané, mince et musclé. Sa poitrine velue laisse apparaître deux tétons surplombant des aréoles plus claires sur des pectoraux bronzés, qui dominent un ventre plat que parcourent des abdos entourant un nombril profond et chiffonné, tandis que devant ses cuisses musclées, je vois des couilles bien pleines et une bite gonflée, offrant un foret épais d'une vingtaine de centimètres, et je frémis à l'idée de la douleur qui va déchirer ma rondelle quand il va me prendre à sec. Ali m'attrape par les cheveux et, assis en mode pacha, il me regarde durement et force mes lèvres pour commencer un va-et-vient très fort . Comme Ahmed, Ali prend son temps, et ma mâchoire commence à me faire mal avant de s'endolorir, mais il saisit ma nuque pour me bloquer et me posséder plus d'une minute à fond de gorge, et je respire difficilement, le visage écrasé sur la peau musclée de son ventre, pendant qu'il me regarde fixement en me traitant de lopette juste bonne à faire la pute. Vingt minutes s'écouleront encore avant qu'il pousse un cri rauque en éjaculant dans ma gorge, et alors que j'avale docilement son sperme chaud, il se retire pour m'ordonner de me mette à genoux sur la banquette et de présenter mon cul en levrette. Ali transperce sans ménagement ma rondelle anale. Les parois de mon colon, heurtées par son gland, brûlent et la douleur qui irradie m'arrache un petit cri, qui l'excite et il accélère le va-et-vient qu'il a entamé sans attendre, lime sans ménagement mon cul à la recherche de son plaisir de possédant et de prédateur, en disant "elle a un bon cul cette pute, je prends mon pied", avant de donner de sa main libre une grosse claque sur mes fesses. Sa bite déchire ma rondelle anale en labourant mon ventre, et il fait traîner les choses et durer les sensations qui lui traversent tout le corps, et tout en criant "Aaaah oui, c'est bon, il est vraiment fait pour faire la pute", avant de tirer encore plus fort mes cheveux au point que la peau de mon crâne est rouge écarlate à leur racine. Après presque une demi-heure pendant lesquelles Ali connaît l'extase, il atteint l'orgasme et me féconde dans un grand râle, et je sens sa semence chaude remplir mon ventre. Le flot abondant est à la hauteur du temps passé à me limer, et Ali se retire alors pour s'asseoir sur la banquette, avant de me donner l'ordre de nettoyer son gland et sa queue avec ma langue. Puis il se rhabille et sort, et Ahmed me dit d'en faire de même et conclut, avant que je sorte, que je peux revenir quand je veux. Je suis fréquemment revenu pour satisfaire mes nouveaux amis et aujourd'hui encore, il ne se passe pas une semaine sans que je retrouve Ahmed et Ali à qui j'appartiens désormais.
SPORT D'HIVER  Histoire gay publiée le 13/03/2024
J'ai rien contre les températures en dessous de zéro mais sous réserve qu'il y ait de la neige, des montagnes et des sapins et à Paris, c'est pas top quand il fait froid. Du coup, quand mon pote m'a proposé de partir une semaine aux Deux Alpes, j'ai tout de suite dit OK. Un pur bon plan qu'il a eu par un mec qu'il nique de temps en temps et qui craque sur lui. Comme il est plein aux as, Monsieur a un bel appart à la montagne et s'est proposé de laisser les clés à mon pote. En moins de deux je prépare mon sac de sport avec tout ce que j'ai de plus chaud à me mettre … en espérant trouver encore plus chaud sur place ! On se retrouve à la gare avec l'intention de prendre un train en fraude, sans billet pour retrouver les pentes enneigées qui vont nous changer de l'air de la capitale. Mon pote a une bonne technique : on chope un train de nuit avec couchettes et y'a plus qu'à attendre un voyageur docile pour squatter dans son compartiment. La chance est avec nous car on repère vite fait un petit couple de pd plutôt chaud. On déboule dans leur compartiment et on leur pose le deal cash : ils nous cachent en cas de contrôle et en échange, on leur promets de bien s'occuper d'eux. Les deux minets n'hésitent pas une seconde et je sens que le commencement de ces vacances hivernales vont être placées sous le signe de la baise. Il sont plutôt bien foutus les deux p'tits pd : un blond et un brun, y'a pas de blème on va les niquer tout shuss ! Bien assis sur une couchette à côté de mon pote, les deux keums se collent à genoux et commencent à nous pomper le zob. Le ballottement du train accompagne leurs mouvements de bouche et on est tous les deux graves chauds : c'est le Pic du midi qui se dresse sous nos survêts ! Alors que je prends le temps de kiffer la bouche experte du petit blond qui s'occupe de moi, mon pote a déjà retiré le pantalon du brun et le pose à quatre pattes sur la couchette. Il lui mollarde dans le fion et lui écarte les fesses pour lui coller deux doigts. Le keum commence à gémir pendant que son pote mate le spectacle en douce en se tirant sur la nouille comme un ouf. Mon pote enfile une capote et commence à doser le keum qui se met à gueuler comme une chienne. Putain il va ameuter toute la rame s'il continue à brailler comme ça. Deux minutes plus tard, un contrôleur frappe à la porte et entre dans notre compartiment. Il tombe sur le suceur qui s'occupe de moi et s'assois sur la banquette qui nous fait face. Mon pote le boule à l'air en train de niquer, moi, la teub bien raide avec ma suceuse au bout, le contrôleur en croit pas ses yeux. Un petit sourire de vice s'affiche sur son visage et sans rien dire, il matte et commence à se palper la teub à travers le pantalon de son uniforme. Apparemment, il a envie de se faire payer son amende en nature. Il a un putain de zob pour un céfran, plus de vingt centimètres hyper large et il s'astique tranquillement en palpant le cul du blondinet qui continue à baver sur mon braquemard. Je lui tends une capote avec un sourire, histoire qu'il se lâche et qu'après il nous lâche les couilles avec son contrôle. Le contrôleur se fait pas prier et déroule le préservatif sur sa big teub pour aller se caler dans le boule de ma lopsa. Ca baise à tout va dans la couchette. Mon pote a positionné le petit brun sur le dos et lui pilonne le fion à grands coups de reins. Le contrôleur y va franco et ne s'occupe guère des râles étouffés du blond sur ma teub. C'est le compartiment du vice ici ! Soudain, j'entends mon pote pousser un cri que je connais bien, le rebeu vient de jouir à donf et il se retire du trou de la petite pédale qui en réclame encore. Vite fait j'enfile une capote et je vais prendre sa place pendant que mon pote va se faire nettoyer sa teub pleine de foutre par le blondinet qui n'est pas encore rassasié. Je lime comme un malade et je kiffe grave de suivre les sursauts des rails pour bien enfoncer ma teub au fond du trou de lopsa qui m'est offert. Le contrôleur commence à transpirer comme un bœuf et il sort sa queue pour se finir à la main et cracher son sperme sur le cul du blond en grognant comme un ours. Rapidement je sens la pression qui monte et je suis tellement chaud que j'ai même pas le temps de me retirer pour éjaculer. J'envois tout direct au fond de ma capote dans le boule de ma lopsa. Autant vous dire qu'après ce contrôle en profondeur le mec n'a pas vérifié nos billets. Après tout, il a déjà pas mal poinçonné le blondinet, c'est pas la peine d'en rajouter. Après ça on s'est endormi tranquillement en laissant les deux lopsas s'exciter sur le plan trop chaud qu'elles venaient de se faire. Sympa ces vacances à la neige, on est encore pas arrivé qu'on s'est déjà bien éclatés. Après notre début de périple bien chaud dans le train, je suis arrivé aux Deux Alpes avec mon pote. C'est hallucinant comme l'air qu'on respire ici est trop bon, rien à voir le micro climat au carbone de Paname. Du bon air pur plein la tête, on a été poser vite fait nos affaires dans le bel appart genre chalet en bois sur la montagne, on a enfilé nos tenues de ski et direct on a été sur les pistes. Mon pote a voulu qu'on test le surf. Un passage rapide à la location et nous sommes partis sur une piste bleue pour tester cette nouvelle discipline de glisse, sans prendre de cours. On est comme çà nous les lascars, tout a l'instinct, rien ne nous arrête ! Sauf qu'on s'improvise pas surfer du jour au lendemain. Les deux premières heures de glisse, on les a plus passées sur le cul à speeder l'un sur l'autre qu'à kiffer la vitesse sur les pentes. Au bout d'une demie heure, je commençais à grave maîtriser la bête et je m'éclatais à slalomer comme un ouf entre les skieurs. Mais c'est finalement dans un sapin que je me suis éclaté et j'ai compris qu'un tronc d'arbre, c'est plus fort que moi. Tombé dans la poudreuse, je souffrais ma race et j'arrivais pas à me relever, j'avais trop mal à la jambe droite. Mon pote a déboulé en panique devant ma chute spectaculaire et comme j'arrivais pas à bouger sans crier ma race, il est allé chercher des secours. Un mec est arrivé en ski avec une civière spéciale glisse et il m'a installé dessus, direction le poste de secours. Fais chier, je sens que mes vacances au ski vont être écourtées pour cause de patte en vrac ! Dans le local des secours, je m'aperçois que le keum qui m'a allongé sur sa luge de secours est pas mal du tout. Bronzage de skieur, épaules carrées de montagnard et sourire ultra bright comme les surfeurs dans les pubs pour chewing gum, il a de la chance que je peux pas bouger sinon je me serais bien occuper de lui. Le keum enlève délicatement mon fute déchiré pour observer la blessure. Je me retrouve en caleçon devant lui qui me palpe la jambe et même si la situation est plutôt chaude et pourrait dégénérée, j'ai trop mal pour penser à m'éclater avec ce montagnard maintenant. Comme je gueule pas mal, il me file un tranquillisant et en moins de deux, je m'endort gentiment pendant que le keum continue son inspection. Verdict : une luxation, il va falloir me bander la jambe, de la cuisse à la cheville. C'est alors que je vois le keum sortir un rasoir, il va me faire une épilation complète de la jambe. Le secouriste commence à me raser en partant de la cheville et plus il monte et plus il me chauffe grave. Quand il arrive en haut de ma cuisse, il me demande d'enlever mon caleçon pour finir son rasage. Je me retrouve la teub à l'air et le sauveteur n'arrête pas de jeter des coups d'œil sur ma queue. Ses doigts agiles naviguent à cinq centimètres de mon zob, je commence à choper une trique d'enfer. Comme si de rien n'était, le gars continue son rasage et commence à me palper les couilles pour soi disant pouvoir finir sa séance d'épilation. Je suis trop och et je chope sa main pour la ramener sur ma bite bien raide. La montagne, ça vous gagne et apparemment la teub de rebeu gagne bien les surfeurs de la montagne. Le keum me balance son sourire de ouf et commence à me branler délicatement. Puis je vois sa tête s'approcher de ma bite et il commence à me sucer. Je sens sa langue donner des petits coups autour de mon gland circoncis. Il me malaxe les boules en même temps et j'oublie complètement la douleur, je suis au paradis des surfeurs. Sa bouche descend tout shuss le long de ma teub et il s'active comme une vraie tepu. C'est hot le contraste entre le physique de tombeur hétéro de ce keum et la façon dont il pompe comme une vraie chienne ! La séance de sucette a duré plus d'une demie heure avec les cachetons qui avaient anesthésiés ma libido. Dommage que j'étais pas en état physique de lui mettre un coup, je serais bien aller faire du free style dans son petit cul ! Je me suis tranquillement décontractée me faisant pomper jusqu'à ce qu'une avalanche de sperme arrive dans la bouche de mon sauveur. Après ça le gars m'a bandé la jambe et m'a promis de passer me voir au chalet pour prendre de mes nouvelles. Dès le lendemain il était là et j'ai pas pu m'empêcher de lui demander si je pouvais baiser avec ma jambe blessés sans risque. Il m'a assuré que c'était possible et qu'il allait me montrer la technique. A poil devant moi allongé sur le pieu, le surfeur sauveteur est venu se mettre à cheval au dessus de moi et a commencé à remuer son boule sur ma teub. En moins de deux il s'est assis dessus et j'ai rien eu à faire qu'à le mater prendre son pied en glissant sur mon zob. Comme une poupée mécanique, il s'est éclaté à monter et descendre sur mon zboub jusqu'à ce que je remplisse la capote de jus. Après ça, il est venu tous les jours de la semaine pour me « soigner » je garderai longtemps les souvenirs kiffants de ce petit séjour à la montagne !
Plan cul avec des beurs gay et bisex en direct live
Je vais te doser ptit pute Histoire gay publiée le 09/03/2024
Je vais vous raconter ce qui m'est arrivé il y a une semaine. j'ai 32 ans et je me prénomme Jules, je suis plutôt mince musclé sec et j'ai un bon petit cul rebondit. Tous les soirs avant d'aller me coucher je fume ma clope à l'extérieur car je vis au rez-de-chaussée donnant sur la cour de mon immeuble. Tous les vendredi soir vers minuit je vois sortir de la cage d'escalier un beau rebeu ayant moins de 30 ans mesurant dans les 1m85 et avec un corps assez musclé style lascars en survêtement casquette et sket TN au pied. j'en ai déduit qu'il devait aller voir sa meuf ou un plan Q régulier dans l'immeuble. Chaque vendredi quand je le vois passer il allume sa clope devant moi et me fait un sourire en touchant son paquet, mais moi je reste en admiration sans jamais l'accoster. Mais vendredi dernier j'ai décidé de prendre mon courage à deux mains. j'attends minuit décide de mettre un string et un short un peut trop grand pour moi. il sort de l'immeuble et je décide de lui parler: " tu aurais du feu pour moi bogoss" le lascars étonné se mis à sourire et me tendit son briquet, je fis exprès de faire tomber son feu et de tendre mon cul lors du ramassage. Il vit rapidement mon string et rigola en me disant " tu y vas direct salope " il enchaîna " tu habites au rez-de-chaussée c'est bien ça ? " je lui répondis " Oui tu veux rentrer ? " Puis il ce dirigea vers ma porte et j'avoue que j'étais grave excité. Arrivé dans mon appartement il prit directement ses aises et alla s'asseoir sur le canapé alluma une clope et en me regardant me réplica " tu es gay ? moi je suis hétéro mais tant que je prends du plaisir et que je me vide les couilles ça me va " je ne me fis pas prier et je suis allé me mettre à genoux devant son bas de survêtement. On pouvait déjà deviner que ce bogoss bandait à moitié. Je pris sa queue en bouche et commença à lui sucer le gland en alternant des gorges profondes. Je vis qu'il était en train de me filmer et quand je le regarda il me dit " je vais montrer ça à ma reuf de la téci " il commença à m'insulter de salope et me demandait si je kiffait sa bite d'arabe ? pour lui répondre j'augmentais mes gémissements. Sa queue devait mesurer 22cm et 5 cm de largeur un vrai délice. Puis au bout de 15 minutes il me demanda de me mettre à 4 pattes sur le canapé, j'obéis puis il crachat sur ma petite rondelle et me dit " Gaze toi un max au poppers car je vais y aller en mode bourrin" je pris mon poppers et me gaza au moins 2 minutes chaque narines. Il mit de la salive sur sa queue puis mis son gland sur ma rondelle et força le passage. Je ressentis une douleur immense suivi d'un certain plaisir procuré par l'excitation. Au bout de 20 minutes mon maître bourrin cria " je vais te doser ptit pute" puis je sentis une chaleur m'envahir. Il donna quelques coups de bassin avec sa queue afin de bien tasser son jus d'arabe puis ce retira et partit comme il était venu. J'ai hâte de le revoir vendredi prochain.
Extrait video offert par DomiAddict
POTE NO LIMIT
Connaissez-vous POTE ? Ce nom ne vous dit peut-être pas grand-chose mais si vous êtes amateurs de BDSM en mode bien barré, vous êtes à la bonne adresse. Depuis dix ans, cet artiste brésilien de Sao Paolo met en images sur son blog, les fantasmes les plus hard et trash du monde BDSM gay mais pas seulement… CRUAUTÉ ASSUMÉE Dans son univers, la sexualité ne se réduit qu’aux sévices les plus déjantés. La violence est omniprésente. Depuis 2012, il partage avec un public d’amateurs, des dessins qui mettent en lumière le milieu BDSM dans ses versions les plus jusqu’au-boutistes. Depuis la création de son blog, véritable théâtre de ses fantaisies les plus perverses, il n’a eu de cesse de monter en puissance dans ses illustrations. De mecs qu’il représentait seuls lacérés par les coups, il en est arrivé à des planches entières de dessins qui déroulent de véritables histoires illustrées, qu’il prolonge par des textes qui nous font entrer encore plus profondément dans les scènes. Pote ne fait jamais dans la douceur, explorant les méandres de la nature humaine dans ses aspects les plus sombres. Il est fasciné par le jeu de domination-soumission et par le fait que des esclaves puissent prendre du plaisir par les tortures qui leurs sont infligées. Son coup de crayon pose une ambiance particulière. Les expressions sont perceptibles, le goût pour la brutalité transcendée, les traits fluides et les couleurs franches attisent le sentiment d’autorité de son univers. ÊTRE RÉDUIT À RIEN A partir de ce point de départ, il échafaude des situations toujours plus démesurées où un ou plusieurs mecs sont littéralement mis en pâture à un individu ou un groupe ultra sadique qui ne rechignent devant absolument rien pour assouvir leurs pulsions destructrices. Il laisse entrevoir que la mentalité de certains soumis est telle qu’ils s’abandonnent corps et âmes. Et là, c’est un déchaînement non-stop, trash, violent, scabreux, dérangeant et pourtant si excitant. La force de ces dessins est indéniable. On y voit la quintessence de l’esprit de lope, mis à e dispo, l’esclave ultime, l’avilissement complet de certains qui appartiennent sans limite à leur propriétaire. De ces gars, il en fait des larbins, des larves, des sous hommes. Ils sont vendus, prêtés, offerts, subissent des pluies de coups de fouets, des émasculations, des étranglements, des pénétrations brutales, des mutilations, des viols, servent d’urinoir, sont considérés comme des porcs au vrai sens du terme. SANGLANTES HISTOIRES Tout cela pour les bons petits plaisirs de tortionnaires qu’ils soient hommes, femmes, religieux sans vergognes qui s’amusent à les humilier, à faire de ces hommes de véritables moins que rien, des objets de distraction. Eux ne sont plus que les ombres d’eux-mêmes. Castration, vasectomie, amputation, gavage, tout n’est qu’asservissement et dégradation consentis comme une normalité dans leur vie de slave. On pourrait imaginer que cette vie où ils ne doivent qu’encaisser, ne jamais se plaindre, endurer, en redemander est un calvaire et c’est le cas pour certains, à n’en pas douter. Et pourtant face à la dureté des sévices qui leurs sont infligés, ces gaillards y trouvent leurs comptes, eux aussi. Bites tendues, piétinés, culs démontés, écartelés et foutre dégoulinant démontrent qu’ils tirent du plaisir à se faire exploiter et dégrader. C’est leur condition, ils l’ont cherché, ils vivent leur destiné. La lubricité et la perversion prennent forme sous les traits de dessins parmi les plus trash et hard possibles que vous puissiez trouver sur le web. Ceci n'est que fantasmes bien sûr. Âmes sensibles s’abstenir.
Extrait video offert par DomiAddict
Franconville: Je suis une salope, je suis a votre disposition
Je suis un mec de 25 ans hetero bi passif. J'aime lécher une chatte, la baiser mais j'aime également sucer de la bite et me faire sodomiser depuis que je suis tombé dur un couple bien hard qui m'a initié aux relations bi. Mais c'est une autre histoire... La maintenant j'ai besoin de sucer régulièrement, j'ai besoin de sentir un mec envahir mon cul. Suis devenu accro... Dernièrement je me suis connecté pour chercher une queue. Au fil des annonces, j'ai vu qu'un mec mur cherchait une salope motivée. Prise de contact, le mec me dit qu'il a 68a, qu'il est gros, qu'il est arabe et qu'il aime se vider les couilles sans blabla dans une vraie salope, une chienne docile. Un arabe mur !? Jamais eu d'expérience avec. Je lui dit que je suis motivé. Que je bouge en journée. Rdv pris pour le lendemain. Il me donne son adresse. Cite banlieue de Franconville. Il m'attendra à l'arrêt de bus de l'école primaire. Il veut que je porte string et bas pour le rdv. Ok ça me dérange pas. Et que je porte un polo ou teeshirt bien flashy rose, orange ou jaune. Ça sera orange pour moi. Le lendemain arrive, je me prépare le cul et file au rdv. 10mn à l'avance... j'attends à l'arrêt. Des mecs passent, me matent, rigolent. Un homme mur arrive, il a l'air vieux, mais il est gros. Ça doit être lui. Il m'accoste et me dit que j'ai un beau polo orange. Il me dit aussi qu'ici c'est les lopes qui portent ce genre de couleur comme le rose ou le jaune flashy. C'est bien lui. Il me dit de le suivre quelques mètres à l'arrière, tête baisse, mains dans le dos. J'obéis, je le suis. On arrive au bas de son immeuble... 10-12 étages. Il prend l'ascenseur et me dit de monter à l'escalier. De l'attendre au palier entre le 8 et le 9. J'arrive au palier intermédiaire. Il est là. Il me dit fout toi à poil et il me tend un sac poubelle pour mes affaires. "j'espère que tu as mis ce que je voulais" "Oui monsieur j'ai mes bas et mon string." Dis je. "bien à poil, tu gardes tes bas, ton string et tu me rejoins a la porte de droite le 902, tu sonneras, je t'ouvrirais, tu poseras ton sac et tu te mets a 4 pattes à ma porte, tu rentreras a 4 pattes comme une chienne" "... euh ... oui monsieur" " fais pas de bruit car le voisin est souvent a sa porte, il mate ce qu il se passe sur son pallier." Je déglutis... il remonte chez lui... Vite fait je réfléchis, je pars ou je reste et je suis sa salope ? Je me déshabille, suis joueur et tres salope. Je me dépêche, je monte le reste d'étage sans bruit, pieds nus. Je sonne, bon sang ca fait un bruit sans nom ! Un chien aboie, vite, vite ouvrez me dis je. Suis au pas de porte du 902, nu en bas et string !!! Il ouvre, he me met a 4 pattes, il tarde a ouvrir complètement... son voisin mate peut être à son judas... Finalement je rentre, il ferme la porte. Suis a 4 pattes, une laisse au sol m'attend. "Met la, tu veux être ma chienne, alors met la !" J'obéis, il s'assure que le clips est mis. Il tire sur la laisse pour que je le suive le long de son couloir. On arrive dans son salon. J'attends à 4 pattes. Il s assied dans son canapé... "Montre moi tes fesses, approche ton cul que j'évalue la marchandise" Je recule pour approcher mon cul de ses mains. Il caresse mes fesses, tire le string pour fouiller mon cul. Un doigt, il l'introduit sans douceur, 2 doigts sans ménagements, je couine légèrement. Son autre main s'abat violemment sur ma fesses gauches. "ferme la, t'es une salope ou pas ?" "oui monsieur" "Pas oui monsieur ! Oui Maitre". Vlan une autre claque sur ma fesse droite ! je serre les dents... "Alors j'attends " dit il. "Oui maitre, je suis une salope, je suis a votre disposition" Il sort ses doigts de mon cul, se penche, et les tends à ma bouche. "Suce les bien, mouilles les biens" J'obtempère résigné, je suce ses doigts, il les enfonce bien dans ma bouche. Je suis venu pour un coup de bite de vieux et je me retrouve a 4 pattes soumis a un mec mur, bien mur, dominant et vicieux. Il retire ses doigts et les remet dans mon cul, 3 doigts qu'il activent dans mon fion. "Ça va ça me plait bien" dit il "ton cul est encore bien serré, je vais en faire une chatte béante" Il se lève, se met devant moi fait tomber son pantalon, son slip. Il enlève sa chemisette. Il est a poil, je vois sa bite tendue. Visiblement je l'excite... Je vois aussi son gros ventre. Le plus vieux que j'ai suce c'était 60a, le plus gros pesé 100k. La il a au moins 72 ans, il pese au moins 120-130k. Tant pis, on verra pour la suite. Je voulais de la bite ! Etre la salope d'un arabe c'était mon fantasme, j'y suis j'y reste !!! Mes yeux sont rivés sur sa queue. Elle est bien. 17 cm pour 4. Pas trop grosse, pas trop petite. "Allez suce !! Suce salope, t'es la pour ça " "Oui maitre" Ma bouche s approche de sa queue tendue j'ouvre la bouche pour l'avoir et commencer à sucer. Sa bite sent bon. Je suce, je pompe. Il me fait lécher ses couilles. "Gobe les, prend les en bouche, chauffe moi le jus avec ta bouche" J'obéis, je les gobe délicatement. Il aime ça. Il plaque ma tête contre ses couilles. Il relâche la pression, s'avance à son canapé, se met à genoux dessus et tend son cul. "Lèche mon cul, montre que t'es une salope à ton maitre" "Oui maitre" J'avance sur les genoux, écarte ses fesses d'arabe mur et j'enfonce mon visage, j'embrasse d'abord sa rosette, puis je commence à lécher. Dans ma tête ça se culbute... je suis une salope, je bouffe le cul d'un maitre arabe mur. "Une salope ça enfonce la langue ! Alors tu attends quoi " J'obéis à nouveau, je pointe ma langue sur sa rosette et je l'enfonce. Je baise le cul de mon maitre avec ma langue... d'habitude c'était le cul des femmes que je bouffais !! "Branle moi pendant que tu me bouffes le cul, salope" Je saisis sa queue, je commence a le branler alors que ma langue s'active avec ardeur dans son fion. Sa bite est dure, très dure. Beaucoup plus dure qu'au départ. Elle doit bien faire 19x5 maintenant. Ça devient sérieux !! "Arrête putain de salope, tu vas me faire jouir trop vite, je veux ton cul de lope" "Tu choisis ! Avec capote, je te baise et tu te casses, on se revoit plus ou sans capote et tu prendras 2 doses et tu deviens une de mes salopes" Silence... gros blanc... " alors tu décides quoi ?" "Sans maitre, j'aime être une salope" Il avait quelque chose d'envoutant en plus de mon envie de sa bite... Il s est relève, il s'est mis derrière moi, il a craché sur mon fion, il a remis 2 doigts. "T'es sur ?" "Oui maitre, allez y, a cru, fécondez moi" J'allais prendre ma première dose de jus arabe dans le cul. J'étais en transe. Il a posé son gland sur mon cul à la place de ses doigts, il a agrippe mes hanches et m'a attiré a lui, empalant sa bite dans mon cul. Une brulure m'a transpercé le cul, j'ai gueulé, il a continué son forage jusqu'à écraser mes fesses sur son pubis. "Voila ma salope, je suis en toi bien a fond, maintenant je vais te tarauder ton cul de pute pour en faire un trou béant. Tu vas être accro réellement à ma queue" Moi je serrais les dents, mon conduit anal me brulait a mourir. Il a alors commencé ses vas et viens doucement d'abord et ensuite de plus en plus vite. Je me sentais transpercé de toute part. Je voulais de la bite là j'étais servi. Il prenait ses aises dans mon cul. Je m'étais jamais fait enculer comme ça. Il essayait de s'enfoncer toujours plus, il tapait au fond de mon cul. Au bout de 10mn il a ralenti, il s'est retiré. Floc! ca a fait... Comme un bouchon de champagne... Il s'est remis sur son canapé a genoux, m'a fait me mettre entre ses cuisses, sa bite dans ma bouche. Là il m'a baisé la bouche à fond de glotte, j'étouffais, il forçait comme avec mon cul. Il me limait la bouche. "alors salope ma bite a bon gout ? Elle sort de ton cul de chienne. Et je vais y retourner. Mais tu vas me rebouffer le cul, tu le fais bien ça m\'excite un max" J'étais toujours la tête en arrière sur le rebord du canapé. J'avais maintenant son cul qui s'écrasait sur ma figure, sa rondelle pile poil sur ma bouche. Je commençais mon travail de succion, de forage de son cul avec ma langue. "bouffe moi le cul et branle moi, je vais te défoncer" "tu vas avoir le jus de ton maitre dans tes entrailles. Je vais te féconder comme la dernière des putes que tu es" dit il. Sa queue était à nouveau très dure. Je participais à ma douleur on lui fouillant le cul comme il aime. Il se leva, me fit remonter sur l'assise du canapé, me fit relever les jambes, sa queue pointait sur mon cul, il s'enfonça net dedans. Je ne pus laisser échapper un cri de douleur à nouveau. "Ta gueule salope, j'ai des voisins ! "1 baffe s'abattit sur ma figure. Sa main se mit sur ma bouche. Son autre main s'attaqua à mon téton droit alors qu il me pilonnait le cul. Sa queue s activait dans mon cul, j'avais l'impression qu'il étaient 2. Il me limait et faisait des mouvements en petit cercle. Il m'ouvrait le fion. J'avais mal au téton et à mon cul mais je me sentais bien en même temps. " c'est comme çà que je baise des salopes, je les ouvre en 2. J'ai 50 ans d'expériences à tarauder des culs comme ça. Personne ne s'est plaint ! N'est ce pas salope ?" "oui maitre" fis je à travers sa main collée sur ma bouche. Ses coups de bite étaient de plus en plus profond dans mon cul. Il était a genoux, sa bite arabe fichée dans mon cul. Il pinça mon teton, que je ne sentais plus, ainsi que ma bouche. Il agrippa mes hanches pour se foutre au plus profond de moi et me fit. "Tiens salope, prend mon jus, prend ta 1ère dose dans ta chatte de chienne" il se mit a râler de plaisir, il en finissait pas, cela semblait une éternité. Il se vidait en moi. Il resta fiché en moi un moment avant de se retirer doucement. Il me fit redescendre du canapé la tête à nouveau en arrière et introduit sa queue qui ramollissait dans ma bouche. Son gros ventre reposait sur ma figure. Sa queue était pleine de jus, chaude, mi dure, gouteuse un peu acre. "Nettoie salope, nettoie ton maitre avec ta langue, goute a ton cul. Tu dois avoir l'habitude" "Ça sera toujours comme ça. Tu me nettoieras ma queue pour remercier ton maitre de te féconder" Je m'activais car j'étais excite. La situation était nouvelle comme expérience. Je voulais sucer et me faire enculer et la en fait je me sentais vraiment salope. J'ai servi de salope a un mec mur, 70a, arabe, gros, vicieux et j'ai adoré. "Je pensais jouir 2x mais là tu m'as épuisé, salope. Tu es une vraie chienne et on va se revoir" "mais avant finissons ton initiation de femelle à rebeus" Il se leva, tira sur la laisse pour que je le suive. "Serre les fesses, salope, ne perd pas mon jus en route, ne salis pas chez moi !" Il m'emmena a sa salle de bain. Me fit me mettre sur les pieds, accroupi dans sa douche, plaque contre le mur. Il se mit face a moi. "Découle salope, découle mon jus au sol, je vais t'arroser" Sur ce, il me pissa dessus alors que je poussais sur mon sphincter meurtri pour éjaculer son jus que j'avais en moi. Il me pissait sur la tête, sur le corps. "Ouvre la bouche salope !" J'ouvrais machinalement ma bouche, son jet visait juste, par saccade ma bouche. "Retourne toi et lèche et avale mon jus que tu as découlé" Il continuait à me pisser dessus, sur ma raie, dans mon fion encore ouvert. Et moi je léchais le sol, je léchais son sperme déposé quelques minutes au fond de mon cul. "Retourne toi salope, gobe ma bite que je finisse de pisser" "Voila, c est bien. Tu as mon jus dans ton cul, dans ton estomac et tu as ma pisse dans ton cul et ton estomac aussi" scandait'il. " t'es une bonne salope motivée, c'est bien. La prochaine fois on va évoluer dans ta soumission aux arabes" C'était pas ce pourquoi j'étais venu au départ... Mais l'idée me plaisait bien... à voir quand même a quoi il pensait. "Lève toi tiens toi debout je reviens." Il s'absenta et revint avec le sac. Il déballa mes fringues. "Remets les car tu te casses maintenant" Interloqué, pas de douche ?. "Je veux que tu retournes chez trou imprégné de moi, ton maitre. Je veux que sur la route tu sentes mes odeurs intimes sur toi. Que tu sentes qui est le maitre et qui est la salope." "Mais avant un dernier souvenir de moi" sourit il. Il pris mon polo orange, essuya sur sa face avant mon cul. " voila, ton cul sera propre, je l'ai bien essuyé., vas y remet le" Je l'enfile et constate qu'il est bien taché sur le devant, du sperme et de la pisse.. de mon maitre. "Tu vas sortir discrètement, te fais pas remarquer, on ne sait jamais..." "Donne ton numéro de téléphone, pour que t'envoie la date du prochain rdv, si tu acceptes d'être ma salope régulière, tu t'allonges au sol et tu baises mes pieds en signe d'acceptation et ensuite tu peux partir salope" J'ai hésité une demie seconde, en fait non, je me suis allongé de suite et j'ai baisé ses pieds. Me suis relevé et suis sorti sur son pallier. Sa porte a claqué. Discret m'a t'il dit ! Je savais pas si je devais prendre l'ascenseur ou les escaliers... Escalier... ascenseur le voisin d'en face ouvre sa porte, il sourit vicieusement... je m'engouffre dans l'escalier, je descend 4 a 4... j'entends des voix quand j'arrive presque au 1er... merde ils vont s'apercevoir que je pue le foutre, la pisse le sexe... je m'arrête, j'attends. Et rezut ! Quelqu'un prend l'escalier au 2eme ou 3eme... je reprends ma descente... tant pis... "Au rez de chaussée, il y a 3 jeunes et 1 moins jeune, ils discutent entre eux. L'un est au téléphone. Ils rigolent quand j'arrive à leur hauteur, le polo souillé. La j 'ntend le mec au téléphone dire " oui il vient d'arriver" Un autre surenchérit en m'interpelant : "Alors le 902 ! C'était bien ? Tu as kiffé ??? Salope" Je me suis pas arrêté, je suis sorti, ils ont rigolé plus fort... " à la prochaine ... Salope" J'ai marché vite à ma voiture, le polo plein de pisse et de foutre collé à mon torse. Je suis monté dedans et j'ai filé. ... Ça fusait de partout dans ma tête, "qu'ai je fait ? Qu'ai je accepté, suis-je une vraie salope ? Suis-je une femelle a rebeu, ai-je aimé ?" Arrivé chez moi, j'ai filé à la douche, je me suis récuré. Dans 1 heure ma femme sera rentrée...
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BRANLETTE SUR CHATURBITE Histoire gay publiée le 20/02/2024
Je suis cho, comme d'hab et je me taperais bien un petit cul. Je me pose devant mon Mac et je vais tchater sur chaturbite.fr, histoire de voir s'il y'a un cousin à choper. Ca fait un bail que j'ai pas tchaté et je découvre que sur ce tchat gratos, les mecs peuvent laisser une vidéo perso. Je défini mes critères de sélection et je me retrouve avec une dizaine de beaux keums qui s'exhibent dans leur webcam. Ca va du gros teubeur qui s'astique le zeub en gros plan devant sa cam à la petite lopsa qui fait bouger son petit cul pour exciter les mateurs. Mmmm ça commence à me chauffer tout ça. Je tombe sur le profil d'un céfran qui se filme pendant ses plans baises et qui les fait tourner en visio sur le site. Le keum est actif passif, avec une bonne teub et sur ses 2 vidéos on le voit une fois en train de se faire baiser par un gros kebla qui lui déchire le boule et sur l'autre vidéo, c'est lui qui se fait pomper par un rebeu. Il me faut pas longtemps pour glisser la main dans mon survêt et commencer à me palper les boules. Ma teub durcit et se dresse en moins de deux et j'ai plus qu'à passer en mode manuel. Si je suis un nikeur de nature, jouer les mateurs c'est pas pour me déplaire. Surtout quand j'ai la flemme de bouger et qu'il faut que je me soulage le zboub. Le zob bien décaloté, je m'astique comme un ouf devant mon écran, imaginant le bon plan que je pourrai me taper avec tous ces keums bien excités. Je flash au final sur un rebeu anonyme qui donne son gros morceau de 22cm à mater en branle. Une putain de bonne queue halal que je prendrais bien dans ma bouche. Le cousin s'astique et on l'entend soupirer de kiff et je me branle en calant mes mouvements de poignets sur les siens. C'est comme si on se paluchaient ensemble. D'un coup on voit ses boules remonter et il asperge ses beaux abdos bien dessinés de grosses giclées de yop en gueulant comme un porc. Trop puissant le cousin ! Il me faut pas longtemps pour faire la même chose sauf que moi c'est un mouchoir qui se ramasse mon jus de lascar bien chaud. Waouh ! Quel kiff cette branle express sur les écrans de chaturbite. Du coup j'en profite pour envoyer un mail au rebeu de la vidéo qui m'a bien excité. J'attends sa réponse pour passer à du concret et du réel mais ça, c'est une autre histoire.
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Réseau DomiAddict  Histoire gay publiée le 19/02/2024
Je me suis connecté sur DomiAddict. Je rédige le texte de mon annonce. Lascar cherche pote rebeu pour plan très och. C'est court mais précis, l'annonce étant déposée il ne me reste plus qu'à attendre qu'un keum s'intéresse à mon annonce, et qu'il se connecte sur le tchat. Je reçois plusieurs commentaires sur ma PA et je dois dire que franchement il n'y a presque personne qui me plaise sauf un rebeu qui recherche d'après son annonce un mec actif ttbm pour plan direct. C'est super, je lui réponds et il me demande un contact sur chaturbite. On en vient très vite à l'essentiel sur le tchat. Il me lâche son 06 et je le rappelle aussitôt. Momo, c'est le prénom du keum qui a franchement une voix trop excitante, il habite dans le 93 et il préfère recevoir. Pour moi c'est trankil car je préfère bouger que recevoir. D'autant plus qu'il se trouve à une demi-heure. Ce qui me laisse le temps de partir récupérer chez un pote de quoi passer un bon moment. J'arrive pas loin de chez lui et lui passe un coup de phone pour qu'il puisse me rejoindre à la station de métro en face de chez lui quand soudain je vois un beau petit lascars rebeu avec un look qui attend une clope à la main devant la station de métro, il jette un coup d'œil autour de lui quand une meuf vient le rejoindre. Dommage pour moi, ils s'embrassent et repartent ensemble. Alors j'attends toujours Momo qui tarde à arriver. Bon personne, je commence à penser que ça doit être le style de petit branleur, qui pendant que tu tchate avec lui, il se branle. Vous devez voir ce que je veux dire. Donc je rentre chez moi, et je me reconnecte sur le Tchat de DomiAddict.fr. Et c'est reparti, me voilà en duo avec un autre keum qui se fait appeler Sky. Je lui demande son 06 mais cette fois-ci je lui envoie un texto pour vérifier (plus sûr) on discute on parle de nos trips en visio et voilà c'est reparti rdv chez lui dans le 18ème pour peut-être un plan hardcore. Moi j'ai la gaule grave, je suis bien chaud et j'ai grave envie de me vider les couilles. En 20 minutes j'arrive devant chez lui et de ma caisse je l'appelle pour qu'il vienne me rejoindre. Cette fois le gars est là et en plus comme il s'est présenté 21 ans, 188 cm, 75 kg, musclé sec bien dessiné, cheveux courts, des yeux de ouf. Bref le kiff quoi. Donc nous voilà partis tous les deux dans ma voiture pour aller fumer un petit calumet de la paix, on apprend à se connaître et je suis content d'être avec lui. En plus d'être sexe, il est cool, reste à voir ce qu'il va donner comme plan cul. Je refais un petit joint et il commence à me mettre sa main sur le paquet et forcément moi je me mets à bander. Ma queue commence à devenir plus dure, il defait ma braguette sort ma queue et la prend direct en bouche en passant sa langue délicatement autour de mon gland. Je kiffe ma race et continue à essayer de rouler le joint pour que je puisse le fumer pendant qu'il continue de me sucer comme un ouf, il aime çà. La cigarette magique étant allumée je lui propose de fumer avant de continuer à s'activer sur ma teub. J'ai une super envie de lui casser le cul, ça va être le pied. Il tire sur le joint comme un ouf et se remet à me pomper. De mon côté je finis de tirer les dernières taffes de ma clope qui me fait partir en live. Je lui demande de retirer son survêt et lui attrape les fesses pour commencer à lui bouffer le cul à grands coups de langue histoire de bien mouiller son petit cul. Je lui introduit un doigt et puis un deuxième, j'enfile une capote sur ma teub bien dure et lui enfonce d'un coup. Il se met à gémir pendant que moi je continue à donner des coups de reins qui n'en finissent plus. La voiture étant trop petite pour baiser à l'aise, je lui propose d'aller ailleurs. On reprend la route et lui se met à rouler un joint et me guide direct vers un endroit plus cool et surtout plus trankil pour que je puisse le baiser à donf. Après quelques minutes je trouve une voie sans issue près de la Porte de la Chapelle. Il me dit qu'il kiffe grave ma teub. C'est cool car j'ai vraiment envie de lui niquer le cul comme jamais. Il enlève son survêt et me voilà reparti à lui donner des coups de bite de plus en plus fort dans son cul. Je lui écarte bien les jambes et prends avec mes mains son cul en claquant ses fesses histoire de le réchauffer un peu plus car dehors il fait froid. Je le prends dans toutes les positions, levrette, assis sur moi, debout….et après quelques va-et-vient je me mets à jouir en lui. Putin il m'a vite fait venir celui-là. On se rhabille puis je le raccompagne chez lui et il me demande s'il sera possible de se revoir. Pas de problème cousin c'est quand tu veux où tu veux. Trop le kiffe ce réseau. Allez un petit coup de main pour ceux qui ne le connaissent pas encore c'est DomiAddict.fr Bonne chasse à vous. Skarlane
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DELIRE SUR DOMIADDICT Histoire gay publiée le 18/02/2024
Je m'emmerde et j'ai la flemme d'aller traîner à l'extérieur pour trouver une bouche ou un cul de keum pour soulager mon envie de baiser nocturne. Je branche la cam sur mon ordi et je vais sur Chaturbite histoire d'essayer de lever un bogoss en sexcam pour du plaisir virtuel. Ca m'est déjà arrivé de me taper des branlettes en camtocam avec de bonnes lopes pour me faire monter la pression. Mais là, je pense que ça va être le kiff. Webcam pour l'image, micro casque pour le son, je vais pouvoir me soulager la teub avec une baise virtuelle en cybersexe. Je tape mon pseudo spécial cam « rebeu tbm och en cam » et ça mord direct sur le site. En trois minutes chrono je suis submergé de messages de mes prêts à partager mon kiff en échange de gros plan sur ma grosse bite déjà raide. Je me pause dans mon fauteuil de bureau en caleçon, torse nu, les plaquette d'abdos bien cadrées à l'image. J'ai plus qu'à faire mon choix dans les nombreux messages. Je capte un soit disant bogoss très passif et sportif et quand l'image s'affiche, je tombe sur un vieux bedonnant avec une petite queue en branle. Le batard ! Apparemment des mythos aussi sur ce genre de plan ! Je chope alors un cousin dont le pseudo est « Jamal exhib pour couz » et la je suis pas déçu. Putain c'est une bombe atomique le Jamal ! Il me fait bander à fond direct ! Le couz est trop bien et il exhibe son corps de ouf devant la cam assis sur un fauteuil les jambes écartées sur les accoudoirs. Sa grosse teub de rebeu bande à mort et il se titille le trou de balle devant mes yeux écarquillés. Je trique grave sous mon caleçon et je sors mon zob pour lui donner en gros plan devant ma cam. On dialogue en même temps et je peux entendre mon cousin qui kiffe devant notre séance d'exhib. C'est trop le pied la cyber baise. C'est comme si le keum était avec moi et il est prêt à satisfaire le moindre de mes désirs. Jamal se caresse les pecs devant moi et se frotte sa chatte de lope comme un ouf. Je m'astique le zob comme un malade et mon cousin me chauffe en me disant des trucs bien hards sur ma grosse queue qui lui retourne le cerveau. Et la ou le gars me bluffe, c'est quand il sort un gode d'au moins 25cm ! Il en veut c'est clair et je vais lui en donner. Je prends ma voix de lascar et je lui ordonne de se goder devant la cam. Il s'exécute sans broncher et commence à se rentrer le gode dans le cul en gémissant comme une salope. J'ai la teub super raide et je me paluche comme un ouf, guidant mes coups de poignets au rythme de son cul qui s'enfonce sur le gros gode en latex. C'est trop le kiffe ! Je le chauffe tout ce que je peux à distance : vas y couzin rentre le bien ! branle toi bien le boule avec en pensant à ma grosse teub ! Jamal prend son pied et se branle le trou comme un malade, le gode rentre et sort de son anus dilaté et il branle en même temps sa bonne teub de 19cm bien épaisse. Tout à coup il se met à hurler et se jouit de supers jets de sperme de lascar sur le torse, le gode enfoncé à fond entre les fesses. Je suis tellement och que je crache aussi et je m'envoie directement une rasade de sperme qui atterrie dans mon cou. On continue à se mater tous les deux recouverts du jus de nos teubs circoncises et ramollies devant les cams. Je peux être tranquille pour mes études d'hiver, j'aurai de quoi m'occuper avec ma webcam. Alors si tu veux me rejoindre à l'occase sur Chaturbite, recherche « rebeu tbm och en cam » et on pourra se taper un bon trip tous les deux !
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MA RENCONTRE via DOMIADDICT Histoire gay publiée le 16/02/2024
Pas cool de passer ses vacances sur Paris quand tout les mecs vont aux sports d'hiver. Surtout après mon petit périple à Marseille, le retour à panam en cette saison est un peu dur à encaisser. Ici, le soleil se fait rare. La meilleure solution quand on a un coup de blues, c'est un plan sexe rapide et sans prise de tête : faute de pouvoir se vider la tête, j'ai décidé d'aller me vider les couilles ! C'est dingue de voir comme pendant les périodes de vacances, tu peux t'emmerder encore plus que d'habitude. j'ai pas envie de me prendre la tête à chercher un mec en direct dans la rue, je préfère aller faire un tour sur DomiAddict histoire de pécho une bonne lope pour du plaisir rapide et sans prise de tête. Je me connecte sur DomiAddict et c'est parti pour un peu de tchat en webcam. Pseudo habituel, « rebeu caillera actif bien och, direct now se déplace » et y'a plus qu'à attendre que ça morde ! en deux minutes chrono j'ai déjà reçu huit messages et j'ai plus qu'à faire le tri trankil. Cool, le site, avec les pics tu peux faire ton choix direct en évitant les mythos et les lapins qui t'attendent au final, c'est pas du virtuel ! Ok c'est énorme qui va avoir droit aux faveurs de ma grosse queue cette aprem, je suis le Roi du net et je crois que j'ai accroché une salope trop bonne. C'est un céfran de 26 ans, 182 pour 76 kg tout en muscles avec un bon boule bien rebondi. Il pose à poil sur sa pic et je suis émerveillé par la marchandise. Il squatte vers Voltaire chez un pote à lui, je trace direct après avoir enfiler mes skets et mon survêt en pensant que vu la forme que je tiens, je vais coller direct mon braquemard entre les fesses. Il est hot le keum ! J'ai à peine franchi la porte qu'il est devant moi en string rouge et qu'il se jette à genoux pour me sucer direct. Il me mordille la teub à travers le survêt et bouge ses petites fesses musclées sous mon nez. Je crois que j'ai dégoté la Miss Lopsa du Net de l'hiver 2024 ! Je sors ma queue déjà hyper raide direct et il vient coller sa langue sur mon gland pour me la téter comme une chienne. Il me chauffe grave avec ses coups de langues baveuses et rapidement, il engloutit la totalité de mon zboub en me fixant dans les yeux avec son regard de vicieuse. Avec moi, si t'en veux je vais t'en donner. Je le chope par la nuque et je lui bifle la face à grands coups de queue, puis il prend ma teub toute entière qui vient lui racler le fond de la gorge et mes grosses couilles pendantes et bien pleines rebondissent sur son menton. Il s'étouffe mais il me lâche pas des yeux pour autant. Je lui gave la bouche comme un ouf mais c'est clair que la lopsa en veut plus. Il lâche mon zob et commence à me bouffer les couilles comme un malade. Je me penche sur lui pour lui caresser le boule : il a deux fesses bien rondes et bien lisses, un vrai cul de salope à défoncer direct. D'un seul coup il s'effondre devant moi et se vautre à mes pieds sur le dos. Il s'agrippe à mes chevilles et se met à me lécher les skets en se tortillant sur le sol comme une pure lope en manque de bite. Je vire mon survêt, j'enfile une capote sur ma teub bien raide et le gars vient s'appuyer contre le mur en me présentant son boule. Je vais me caler derrière lui, la teub à la main, et je commence à le doigter en me branlant sur son cul. J'ai eu aucun mal à lui rentrer trois doigts dans son anus qui mouille comme la chatte d'une vraie meuf. Il s'excite sur mes doigts en gémissant comme une pute et je viens poser mon gland circoncis sur son trou. Pas la peine de commencer des préliminaires, il est plus cho que les plages de Djerba en plein mois d'Août ! Je lui enfonce mon zboub direct dans le cul avec un bon coup de rein et il s'ouvre sans aucun problème. J'attaque un limage hardos en règle en le tirant par les cheveux et l'insultant avec un bon vocabulaire de racaille. Le céfran kiffe grave et donne son cul comme la pire lopsa. Il se trémousse pour mieux faire rentrer ma teub dans son cul, et je sens le latex qui chauffe dans son trou tellement je le lime comme un ouf. Il gueule sa mère quand mes couilles qui commencent à gonfler viennent lui taper sur le cul et qu'il sent toute ma teub lui éclater les entrailles. La face écrasée contre le mur, ma lopsa du web est entrain de monter au septième ciel pendant que son cul chauffe comme s'il était dans les brasiers de l'enfer. Avec un coup pareil, je me prends pour une star de film porno. Après Rocco, me voici avec ma teub magique qui fait jouir les lopsa ! Je suis de plus en plus och et je self contrôle pour pas balancer le jus direct au fond de la capote. Une chienne comme celle là çà mérite bien une petite éjac faciale. Je retire ma queue du cul de cette chienne en chaleur et je le chope par l'épaule pour qu'il se colle à genoux devant moi. Je vire la capote et je branle mon énorme queue devant ses yeux brillants de plaisir, apparemment, le keum a du mal à redescendre du paradis où je l'ai fait monter. Je sens mes burnes qui bouillonnent à et je lui balance de grands jets de sperme sur la gueule. En quinze secondes chrono sa face et son torse ruissellent de mon foutre encore chaud. En bon pro, il se finit à la main en gémissant et nettoie en même temps ma teub avec sa langue. Je lui ai demandé de faire une pic de son super cul avec mon iPhone et je l'ai planté direct dans sa chambre et suis passé vite fait me rincer la teub à la salle de bain. Une fois le matos nettoyé, je me suis tiré direct. C'est ça qu'est cool avec le Net, tu consommes du réel et dès que t'as les couilles vides, tu te transformes en virtuel et tu te casses ! C'est la photo de son super cul ci-joint.
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20 ans après
Au collège, Gilles d’origine italienne était très gentil et très beau avec ses cheveux châtains clairs… 20 ans après, l’homme est magnifique avec son gros cul à pervertir l'hétéro que je suis. Première conjonctivite de ma vie un dimanche après midi, je rentre dans sa pharmacie et lui demande un produit sans ordonnance. Je lui demande de me mettre les gouttes dans les yeux et il engage la conversation sur nos vies respectives. Excité par ses formes malgré le sable dans mes yeux, je me mets à bander comme un chien en rut: il le remarque et me demande si j’ai besoin d’autre chose…Je lui dis que je reviendrai le payer en liquide quand ma vue sera revenue. Le Dr Gilles a un regard très lubrique et me dit de rentrer me soigner. 15 jours après, je rentre à nouveau un dimanche dans sa pharmacie de garde en le remerciant de m’avoir fait crédit. Il me propose un café dans son bureau et me dit vouloir être payé en nature. Dévoue à ce pharmacien musclé, je me mets à poil et lui tends ma bite de fer qu’il lèche vigoureusement. Je l’encule à sec en mode Broke Back Mountain: il gueule pendant 10 minutes et je lui tasse mon jus bien au fion. Il me dit que la prochaine fois, il me dépucellera aussi violemment: rendez-vous est pris au printemps…
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