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L'embauche de mon commercial Histoire gay publiée le 23/04/2024
En tant que responsable d'une petite entreprise à Orléans, je suis actuellement en plein recrutement d'un commercial. Nous avons peu de moyens et l'offre n'est pas très attractive, j'ai peu de candidature. Il y a quelques jours, je reçois cependant un jeune trentenaire qui a répondu à l'offre. Nous avons échangé par téléphone. Il m'indique s'être installé dans le coin depuis quelques mois, avoir trouvé un travail alimentaire qui ne le satisfait pas, et chercher autre chose. Je lui ai proposé que nous puissions nous rencontrer, ce qu'il a accepté bien volontiers. En ce moment, je suis en manque, et je cherche sur plusieurs applications bien connues. J'ai échangé ces derniers jours avec un black, bien domi, qui cherche une lope. Il a exigé quelques photos, sans rien montrer de son côté. Je sais juste qu'il a 32 ans, fait 1,75m pour 78 kg et à une grosse queue épaisse. Je reçois donc ce monsieur pour l'entretien d'embauche, qui est agréable. Nous échangeons pendant près d'1h30. Régulièrement au court de l'échange, il se touche les couilles. Je vois progressivement une belle barre se dresser, même s'il ne bande pas complètement. Nous terminons l'entretien en prévoyant de se revoir, nous nous saluons et il quitte mon bureau. Il faut préciser qu'il est 19h et que tous les autres salariés sont partis, je suis seul. Il monte dans sa voiture mais ne part pas tout de suite. De mon côté, je range mes affaires afin de rentrer chez moi. C'est à ce moment là que je reçois une notification sur mon portable du black avec qui j'ai échangé sur l'appli : "T'es vraiment une belle salope, tu m'as donné la gaule tout au long de l'entretien. Vas mettre la clé sur la porte extérieure. Et fous toi à poil dans ton bureau". Ma surprise est énorme. Je ne réponds pas. Nouvelle notification : "Tu crois que tes employés aimeraient recevoir les belles photos que j'ai de toi ?" Je suis pris au piège. Et en même temps, je dois avouer que ce mec m'a plu, tant dans nos échanges sur l'appli que lors de notre rencontre. Et le mode salope prend le dessus. Je vais poser les clés sur la porte extérieure, et reviens dans mon bureau. Je jette un œil à l'extérieur pour voir ce qu'il fait. "C'est bien, je vois que t'as compris le message. Je te veux à poil, à genoux, mains sur la tête. Montre-moi ta vraie nature ?" Je m'exécute. Moins d'une minute plus tard, je l'entends rentrer et fermer la porte. Je finis de me déshabiller et prends la position qu'il souhaite. J'ai éteint la lumière, on est dans la pénombre, de l'extérieur, on ne voit pas ce qu'il se passe. J'attrape dans mon sac, mon poppers que je garde dans la main. Et je l'attends. C'est la première fois que je me retrouve dans cette situation, c'est très humiliant. Et aussi très excitant. Depuis 3 jours, je porte en permanence un gros ballstretcher de 600g qui m'étire bien les couilles. Elles sont hyper sensibles et à poil, elles pendent bien. Et ma petite bite est toute rabougrie. C'est comme cela qu'il me trouve à côté de mon bureau. Il a pris son temps pour arriver en mode pacha. "T'es vraiment une salope. Je pensais pas que t'en était réduit à ça. Baisse les yeux et ouvre la bouche." Il s'approche, dégrafe son jeans, baisse son boxer, sort sa queue et me la met direct en bouche. Je commence à vouloir la lécher. Il me met une grande calotte derrière la tête. "Bouge pas. Je t'ai rien demandé et tu fais uniquement ce que je te dis." Il laisse sa queue dans ma bouche, sans bouger. Je sais qu'il aime ça, il me l'a dit. Il a exigé une totale obéissance. Avec son pied gauche, il joue avec mes couilles, comme avec une petite balle. Ca a beau ne pas etre fort, je le sens bien. Et ça me fait couiner. "Bouge pas. Ou t'as plus de couilles !". Et à ce moment-là, je sens quelque chose couler de sa queue. Il se met à pisser. "Avale tout. On ne gaspille pas ce qui vient de son Boss". Malgré la surprise, j'ai refermé ma bouche sur sa queue pour que rien ne coule et j'avale comme je peux. De son côté, il maîtrise le flux. Mais il a quand même une énorme envie et la situation dure un bon moment. Il continue à me taper dans les couilles. Concentré sur sa queue, je ne me suis pas rendu compte qu'il a augmenté la force et la cadence. C'est quand il a fini de pisser que je m'en rends compte. Ca commence à être dur à supporter. "Putain, t'es une vraie chienne toi. Je suis content de toi, t'encaisse bien pour le moment. Je veux voir jusqu'où tu peux aller. Alors, débrouille-toi pour tenir." A ce moment-là, il sort sa queue de ma bouche et fait un pas en arrière. Et à la place de sa queue, il me met trois doigts dans la bouche, et va explorer le fond. "Suce bien", ce que je fais. Avec son autre main, il vient prendre les miennes sur la tête et les empoigne fermement. "T'as quoi dans la main. Donne. Du poppers ? très bien..." Il attrape le flacon, l'ouvre et me le met sous le nez. "Vas-y prends-en un max, tu vas en avoir besoin". La dose est énorme, surtout comme ça direct d'un coup. Ca me fait partir direct. Et là, il commence à me latter véritablement les couilles. C'est très dur, je me concentre sur ses doigts dans ma bouche. Mais je couine. Il m'a repris les mains et m'empêche de me tordre en deux. Ça dure bien un longue minutes. J'en peux plus. Il arrête, me lâche les mains et va attraper mes couilles. En tirant dessus, il me dit : "Debout, salope. Ça te sert vraiment à rien ça". Et il sert au max tout en continuant de me tâter le fond de la gorge avec 3 doigts. Mes couilles sont à vif. Je suis à sa totale merci. Heureusement que le poppers fait toujours effet. "Montre ta chatte". Et par mes couilles qu'il étire au max ver le haut, il me fait tourner. "Penche toi. Écarte ta rondelle avec tes mains". J'attrape mes deux fesses et lui offre ma rondelle. La, il me sort les doigts de la bouche et les positionne direct sur mon cul. Tout ça m'a bien excité et mon cul s'ouvre direct. Il y rentre aussitôt ses trois doigts bien lubrifiés par ma salive et va directement au fond. "Tout ce que j'aime, tu m'as pas menti. Bouffe moi la queue maintenant." D'une main, il m'étire toujours les couilles ; de l'autre, il m'ouvre le cul en écartant bien les doigts et en allant au plus profond de moi. Moi je suis plié en deux, et je doit me contorsionner pour attraper sa queue en bouche. Elle a doublé de volume. Un bon 22x7. Elle est énorme, et surtout hyper dure. Il il me met des grands coups dans la gueule. J'encaisse. Je me sens à ma place. C'est un vrai domi comme j'aime, et en plus un bon black, un magnifique mâle, puissant, qui sait s'occuper d'une lope comme moi. Je ne sens plus mes couilles. Il ne les lâche pas, fait rouler chacune de mes boules dans sa grosse main, tout en tirant à fond la caisse dessus. Il sort sa queue de ma bouche alors que je commençais à manquer d'air, me retourne, me colle à plat ventre sur le bureau, et m'enfile direct sa grosse queue dans le cul, dans lequel il a aussi laissé un doigt. Il me tient toujours les couilles qui me remontent maintenant jusqu'au nombril. Sa queue est au fond de moi, il essaie de faire rentrer un 2e doigt. J'ai mal. Il sort sa queue, met le 2e doigt et rentre direct sa queue. Et il commence un pilonnage en règle. "Enlève ton tire couilles-là, ca me fait mal aux doigts." - "Je peux pas, Boss, c'est pas moi qui ai la clé". A cet instant, il sort de mon cul, me retourne sur le bureau, pour disposer de ses deux mains. Avec la première, il m'attrape une boule sur laquelle il tire, et avec l'autre, il pousse la 2e boule à travers l'anneau qui m'enserre les couilles. "Gaze-toi car je veux pas que tu gardes ca. C'est moi ton boss maintenant. C'est moi qui décide de ce que tu portes et ce que tu fais." Je le sens en colère. La douleur est grande. Alors je me dépêche de me gazer pour repartir le plus loin possible et etre à sa disposition. Ma première boule s'engage difficilement dans l'anneau. J'ai l'impression qu'elle va éclater. Il pousse à fond. Et elle passe. Un vrai soulagement. Alors il attrape le ballstretcher et tire dessus. Si la première boule était bien descendue, la deuxième se met en travers. Je gueule, c'est ignoble. Mais finalement ca passe. Il me relève les jambes, m'enfile direct sa queue et essaie maintenant de mettre 3 doigts avec. Ça finit par rentrer. Il annonce le 4e et continue à me tringler. Sa queue tape au fonds, le plaisir est là en même temps que la douleur. Il a repris mes couilles et me soulève littéralement par les couilles. Je suis comme en lévitation. Ca dure comme ca bien 5 ou 6 minutes. Je couine ce qui l'excite je le sens bien. Et la il jouis dans mon cul, se vide littéralement. Je sens une quantité énorme. "Ça fait une semaine que j'ai pas juté. Fallait que je t'engrosse. T'es marqué au jus et à la pisse. Tu m'appartiens." Il sort sa queue et me la met en bouche. "Nettoie moi ça". Je m'applique à enlever toutes les traces qui m'acculent sa queue. C'est aussi pour moi la première fois que je goutte son jus. Humm, délicieux. Ses quatre doigts qui eux n'ont pas quitté mon cul rentrent maintenant plus profond, ca force avec le poing. "C'est pas fini, gaze toi". Ce que je fais. Sans forcer, avec délicatesse même, en moins de deux minutes, il a son poing dans mon cul. C'est le premier de toute ma vie. Et la sensation est énorme. Je le sens bouger à l'intérieur. Étendre ses doigts pour avancer. Et je le sens rentrer encore plus profond. "Tu m'avais pas dit que tu te faisais fister, salope". - "C'est la première fois, Boss". "Ah oui ! T'es faite pour ça. C'est quand la dernière fois que t'as juté ? "Hier, Boss" " Et maintenant, c'est moi qui décide quand tu te vide les couilles. Je vais te cager pour en être sur. En attendant, tu vas juter maintenant. Branle toi." Son poing dans mon cul me travaille fort la prostate après sa queue. Il m'étire les couilles a fond, je les sens plus, ca me remonte jusque dans le ventre. Mais je me suis mis à bander. J'attrape ma queue et à peine je l'effleure que je me vide. "C'est bien ma truie. Étale ce jus sur ton ventre, je veux que t'en ai partout." Je m'exécute. Il sort d'un coup son poing de mon cul. J'ai l'impression que tout bien avec et la sensation de vide est énorme. "Bon on va se revoir..." Il se rhabille sans rien dire de plus. Et s'en va. Comme ça. Je suis toujours couché sur mon bureau. Il me faut bien 5 minutes pour reprendre mes esprit. J'ai horriblement mal aux couilles. Et je sens plus mon cul, son jus dégouline le long de ma cuisse. Je mets bien 15 minutes à me rhabiller et je rentre chez moi prendre une douche. A 23h, j'ai un message sur l'appli : "Demain, je veux une offre d'emploi pertinente en accord avec mon savoir faire."
Les deux potes rebeus Histoire gay publiée le 14/04/2024
Un soir en recherche de plan sexe sur domiaddict, je suis tombé sur l’annonce suivante: Deux potes rebeu en vacance sur Perpignan envie d’un plan avec une lope soumise. Moi 30 ans 177cm 70 kg brun type espagnol sportif….. J’ai répondu à l’annonce. Suite à différents échanges je me retrouve en pleine nuit à taper à la porte de leur chambre d’hôtel. Le mec qui m’ouvre est à poil. Grand arabe bien foutu avec un matos de 22x5 déjà bien tendu. Il m’a mis de suite à genoux pour le pomper. J’alternais entre gorge profonde et léchage de couille pour exciter à fond se beau mâle. Au bout de 3 min il me leva par les cheveux pour m’amener sur le lit où son pote était couché la bite tendu. Un 17cm d’une super épaisseur, style cannette de coca…. A peine sur le lit, que le mec couché viens me mettre sa bite en bouche en se couchant sur ma face. Il me baisa littéralement la bouche. Pendant se temps, le premier mec me releva les jambes pour travailler ma rondelle. Il alternait entre crachat, coup de langue et doigts pour bien m’ouvrir. Au bout de 5 min de se traitement, ils m’ont mis à 4 pattes pour m’embrocher de chaque côté. J’ai subis une alternance des 2 bites dans mes orifices pendant 15 min. Entre baise, suce, insultes, crachats et fessées ils se sont défoulés…. Ils ont finis sur ma face en se branlant pour faire une énorme facial. Je pensais que le plan se finirait là, mais qu’elle fut pas ma surprise quand ils m’ont levé pour me mettre dans la baignoire et qu’ils m’ont pissé dessus. Il me traiter de salope et me disait qu’il me rincé pour continuer leur défoulement… En effet, il m’ont remis sur le lit pour encore me faire couiner et finir en double pénétration avec un remplissage en règle. Ils m’ont laissé me doucher. Avant de partir nous avons discuté. J’ai appris qu’ils s’appelaient Mohamed et Samir, 2 footeux de la région Parisienne en vacance pour profiter de nos plages du sud. On a garder contact pendant leur séjour, où ils ont profiter pour pousser mes limites…
Deux cailleras de cité, transforment Lucas en bon passif Vidéo gay. Durée: 22 min
MA RENCONTRE via DOMIADDICT Histoire gay publiée le 16/02/2024
Pas cool de passer ses vacances sur Paris quand tout les mecs vont aux sports d'hiver. Surtout après mon petit périple à Marseille, le retour à panam en cette saison est un peu dur à encaisser. Ici, le soleil se fait rare. La meilleure solution quand on a un coup de blues, c'est un plan sexe rapide et sans prise de tête : faute de pouvoir se vider la tête, j'ai décidé d'aller me vider les couilles ! C'est dingue de voir comme pendant les périodes de vacances, tu peux t'emmerder encore plus que d'habitude. j'ai pas envie de me prendre la tête à chercher un mec en direct dans la rue, je préfère aller faire un tour sur DomiAddict histoire de pécho une bonne lope pour du plaisir rapide et sans prise de tête. Je me connecte sur DomiAddict et c'est parti pour un peu de tchat en webcam. Pseudo habituel, « rebeu caillera actif bien och, direct now se déplace » et y'a plus qu'à attendre que ça morde ! en deux minutes chrono j'ai déjà reçu huit messages et j'ai plus qu'à faire le tri trankil. Cool, le site, avec les pics tu peux faire ton choix direct en évitant les mythos et les lapins qui t'attendent au final, c'est pas du virtuel ! Ok c'est énorme qui va avoir droit aux faveurs de ma grosse queue cette aprem, je suis le Roi du net et je crois que j'ai accroché une salope trop bonne. C'est un céfran de 26 ans, 182 pour 76 kg tout en muscles avec un bon boule bien rebondi. Il pose à poil sur sa pic et je suis émerveillé par la marchandise. Il squatte vers Voltaire chez un pote à lui, je trace direct après avoir enfiler mes skets et mon survêt en pensant que vu la forme que je tiens, je vais coller direct mon braquemard entre les fesses. Il est hot le keum ! J'ai à peine franchi la porte qu'il est devant moi en string rouge et qu'il se jette à genoux pour me sucer direct. Il me mordille la teub à travers le survêt et bouge ses petites fesses musclées sous mon nez. Je crois que j'ai dégoté la Miss Lopsa du Net de l'hiver 2024 ! Je sors ma queue déjà hyper raide direct et il vient coller sa langue sur mon gland pour me la téter comme une chienne. Il me chauffe grave avec ses coups de langues baveuses et rapidement, il engloutit la totalité de mon zboub en me fixant dans les yeux avec son regard de vicieuse. Avec moi, si t'en veux je vais t'en donner. Je le chope par la nuque et je lui bifle la face à grands coups de queue, puis il prend ma teub toute entière qui vient lui racler le fond de la gorge et mes grosses couilles pendantes et bien pleines rebondissent sur son menton. Il s'étouffe mais il me lâche pas des yeux pour autant. Je lui gave la bouche comme un ouf mais c'est clair que la lopsa en veut plus. Il lâche mon zob et commence à me bouffer les couilles comme un malade. Je me penche sur lui pour lui caresser le boule : il a deux fesses bien rondes et bien lisses, un vrai cul de salope à défoncer direct. D'un seul coup il s'effondre devant moi et se vautre à mes pieds sur le dos. Il s'agrippe à mes chevilles et se met à me lécher les skets en se tortillant sur le sol comme une pure lope en manque de bite. Je vire mon survêt, j'enfile une capote sur ma teub bien raide et le gars vient s'appuyer contre le mur en me présentant son boule. Je vais me caler derrière lui, la teub à la main, et je commence à le doigter en me branlant sur son cul. J'ai eu aucun mal à lui rentrer trois doigts dans son anus qui mouille comme la chatte d'une vraie meuf. Il s'excite sur mes doigts en gémissant comme une pute et je viens poser mon gland circoncis sur son trou. Pas la peine de commencer des préliminaires, il est plus cho que les plages de Djerba en plein mois d'Août ! Je lui enfonce mon zboub direct dans le cul avec un bon coup de rein et il s'ouvre sans aucun problème. J'attaque un limage hardos en règle en le tirant par les cheveux et l'insultant avec un bon vocabulaire de racaille. Le céfran kiffe grave et donne son cul comme la pire lopsa. Il se trémousse pour mieux faire rentrer ma teub dans son cul, et je sens le latex qui chauffe dans son trou tellement je le lime comme un ouf. Il gueule sa mère quand mes couilles qui commencent à gonfler viennent lui taper sur le cul et qu'il sent toute ma teub lui éclater les entrailles. La face écrasée contre le mur, ma lopsa du web est entrain de monter au septième ciel pendant que son cul chauffe comme s'il était dans les brasiers de l'enfer. Avec un coup pareil, je me prends pour une star de film porno. Après Rocco, me voici avec ma teub magique qui fait jouir les lopsa ! Je suis de plus en plus och et je self contrôle pour pas balancer le jus direct au fond de la capote. Une chienne comme celle là çà mérite bien une petite éjac faciale. Je retire ma queue du cul de cette chienne en chaleur et je le chope par l'épaule pour qu'il se colle à genoux devant moi. Je vire la capote et je branle mon énorme queue devant ses yeux brillants de plaisir, apparemment, le keum a du mal à redescendre du paradis où je l'ai fait monter. Je sens mes burnes qui bouillonnent à et je lui balance de grands jets de sperme sur la gueule. En quinze secondes chrono sa face et son torse ruissellent de mon foutre encore chaud. En bon pro, il se finit à la main en gémissant et nettoie en même temps ma teub avec sa langue. Je lui ai demandé de faire une pic de son super cul avec mon iPhone et je l'ai planté direct dans sa chambre et suis passé vite fait me rincer la teub à la salle de bain. Une fois le matos nettoyé, je me suis tiré direct. C'est ça qu'est cool avec le Net, tu consommes du réel et dès que t'as les couilles vides, tu te transformes en virtuel et tu te casses ! C'est la photo de son super cul ci-joint.
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20 ans après
Au collège, Gilles d’origine italienne était très gentil et très beau avec ses cheveux châtains clairs… 20 ans après, l’homme est magnifique avec son gros cul à pervertir l'hétéro que je suis. Première conjonctivite de ma vie un dimanche après midi, je rentre dans sa pharmacie et lui demande un produit sans ordonnance. Je lui demande de me mettre les gouttes dans les yeux et il engage la conversation sur nos vies respectives. Excité par ses formes malgré le sable dans mes yeux, je me mets à bander comme un chien en rut: il le remarque et me demande si j’ai besoin d’autre chose…Je lui dis que je reviendrai le payer en liquide quand ma vue sera revenue. Le Dr Gilles a un regard très lubrique et me dit de rentrer me soigner. 15 jours après, je rentre à nouveau un dimanche dans sa pharmacie de garde en le remerciant de m’avoir fait crédit. Il me propose un café dans son bureau et me dit vouloir être payé en nature. Dévoue à ce pharmacien musclé, je me mets à poil et lui tends ma bite de fer qu’il lèche vigoureusement. Je l’encule à sec en mode Broke Back Mountain: il gueule pendant 10 minutes et je lui tasse mon jus bien au fion. Il me dit que la prochaine fois, il me dépucellera aussi violemment: rendez-vous est pris au printemps…
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Ce Dominant de 33 ans, appelé AUTORITAIRE, m’a joint par mail après avoir repéré une de mes nombreuses annonces
J’ai tout de suite accepté avec enthousiasme sa demande de rencontre, me promettant d’être tout de suite autoritaire, sévère et sans scrupule ! Il exigeait que je fusse, dès la 1re fois, son objet sexuel total, à sa disposition pour être totalement humilié et soumis, lui servant en plus de vide-couilles efficace. Il ajoutait, très sûr de lui, que c'est mon statut de larve sexuelle qui m’obligeait à venir le servir dès que je le pouvais ! Je me suis rendu près de Beauvais à l’adresse indiquée. Voici le récit aussi détaillé que possible de cette séance, là encore assez mémorable ! J'arrive chez lui, sonne à la porte. Aussitôt, il ouvre, me regarde un instant et beugle sourdement : "Salope, enfile ton collier de clebs et ta laisse". Je prends le collier tendu par Le Maitre (LM) et le mets à mon cou. Il ajoute fermement : « Que tu te sentes bien soumis et que tu comprennes que tu n’es qu’une « pute exhibe » en dressage ! » Puis il y attache une laisse, prend la laisse en main et un sac dans lequel se trouve (je le constaterai après) le matériel nécessaire pour me dominer et me Bdsmé ; ensuite, il me tire dehors en disant : "Allons en forêt que je profite de toi, chienne" ! Je précise que c’était l’année dernière, à peu près à la même époque, mais lors de belles journées un peu moins fraîches qu’actuellement. On monte dans la voiture mais avant que je démarre, alors que LM me tient toujours en laisse, il exige : "Sors tes couilles et ta bite de ton pantalon. Tu vas rouler ainsi comme une putasse soumise au service de son Maitre". Je réponds : "Bien Maitre", et je m’exécute aussitôt, ouvrant mon pantalon, sortant totalement mes couilles et ma bite et les exhibant complètement. Nous roulons vers la forêt jusqu'à l'endroit où il veut aller pendant qu’il m'explique que : "Tu m'es totalement soumis, totalement prêt, extrêmement et totalement ouvert pour moi, j'use et abuse de toi, Salope, je t'humilie et te baise brutalement quand je veux, où je veux et avec qui je veux ! » C’est clair, net et précis… Toutefois, vous l’avez compris, j’en ai l’habitude car je ne suis qu’une larve ! Je dis : « Oui Maitre » et il ajoute : "Je fais avec ta bite tout ce que je veux et ton trou du cul je l'utilise de quelque manière que je la juge appropriée, y compris l'insertion d'objets ou les doigts, tant que c’est sans danger. Je t’humilie rituellement pour te rappeler ton statut d’esclave. Le reste de ton corps est aussi totalement à la disposition de ton Maître." Encore une fois, respectueusement, je réponds Oui et je vois que Mon Maitre est satisfait. Alors il me tape plusieurs fois sur la bite et les couilles, sans trop forcer car je conduis. J'aime beaucoup. Arrivé sur les lieux, Le Maitre me dit : « À poil intégral ! Histoire de te sentir bien lope à dispo ! » J’enlève vêtements puis chaussettes et baskets, les range dans le sac en plastique qu’il me tend et qu’il glisse dans la voiture, me prenant les clés. Je suis pieds nus, à poil total. Mon Maitre me réexplique une fois de plus : "Évident qu’un soumis doit être nu. Surtout les pieds car c’est la marque de sa dépossession totale. La nudité est de rigueur pour un soumis/esclave afin d'être entièrement ouvert aux désirs des Masters. » C’est limpide et explicite ; je n’ai qu’à m’exécuter, où qu’on soit en intérieur comme en extérieur. LM sort du sac un ensemble menottes et corde et, rapidement, il m’attache les bras dans le dos et fixe le tout au collier, tirant bien dessus pour que j’ai les bras bien remontés et que ça me tire sur le cou. Et c’est parti pour la déambulation dans la forêt : il me fait marcher ainsi, murmurant : "J'aimerais bien qu'il y ait un ou deux voyeurs pour que je t'exhibe et t'offre à eux pour bien te loper". J’articule : "Bien sûr, Maitre". LM ajoute : "N'aie pas peur, ils mettront une Kpote et te gicleront sur le visage car je n'ai pas envie de mettre en danger mon matériel !". Je réponds : "Je suis en effet ton objet Maitre. Je marche difficilement, j'ai mal aux pieds. Heureusement, au bout de peu de temps, dans une sorte de clairière herbacée, Le Maitre dit : "Ça suffit. Arrête-toi". Puis il ajoute : - « À genoux, putasse de merde et renifle-moi la bite comme un bon clébard que tu es… ». Il ouvre mon pantalon et plaque ma tête sur son slip ; je renifle bien. Il m’avise : "Ma larve, avec tes dents, descends mon slip et renifle ma bite". Je m'exécute encore, bien servile. Puis je dois lécher par petits coups sa bite, puis l'embrasser. Sa teub est maintenant bien dure et grosse, fière et imposante, une belle queue d’environ 19X6 ! Je me dis que lorsque je vais avoir ça dans la bouche et dans le cul, je vais le sentir passer ! Mais, là encore, j’adore et je suis là pour ça ! - « As-tu froid ? », demande-t-il ; je ne me rappelle même plus de ma réponse mais juste de la sienne : « Je m'en fous, tu resteras ici à poil jusqu'à ce que tu aies rempli ta mission de salope soumise et vide-couilles ». Là, au soleil, sa verge est bien érigée... D’un seul coup, il plaque ma tête sur ma bite raidie pour bien montrer que c’est lui qui commande. Toujours sans broncher, car je suis une lope soumise et une bonne salope, je le lèche, donne des coups de langue, pompe alternativement selon ses désirs et ses ordres, tirant sur ma laisse. Parfois il enfonce sa pine jusqu’à m’étouffer ; je salive vigoureusement et ça fait bien glisser sa bite dans ma bouche bien chaude ; la bave dégouline sur mon menton et mon corps de pute à dispo pour lui. Il sort de ton sac des pinces à linge et me les pose sur les seins, ma bite et mes couilles et dit :"ça va bien t'exciter ça ma salope !". Puis il continue à réclamer que je le suce longuement jusqu’à écœurement : je suis un bon slave, capable de sucer jusqu’à en dégueuler. Il râle : "J'adore gorge profonde et avec toi, je ne vais pas me gêner. Te ferai dégueuler moi, suis ton Maitre. » Il exige aussi que je lèche ses fesses et les mordille, lèche son gland doucement avant d’encore enfoncer brutalement sa queue dans ma gueule. Il crie : - « Salope, je considère ta bouche comme une chatte et te baise ta gueule de putasse... Tu vois p'tit bâtard… t’es là que pour faire la pute et t'as intérêt à avoir un bon rendement… » Sortant sa bite de ma bouche alors que j'étouffe, il se met à me claquer la gueule et me bifler en disant : "Dis-moi ce que t'es, Salope ?". Aussitôt je vocifère : « Suis une salope à machos, une putasse soumise bonne qu'à faire le tapin. » Alors il tire à fond sur la laisse et me met un bon coup sur les fesses. - « Oui ma pute et quoi encore » ? - « Je suis une lopette et une salope à routiers, une putain d’esclave et une chienne obéissante, une chaudasse exhib, Maître », et je prends encore un coup sur le cul, ceci une dizaine de fois, toujours en disant merci. Quand il voit que mon cul est assez rouge, LM me détache les mains et me fais mettre à 4 pattes ; je suis sa chienne qui déambule un peu dans l'herbe. Il crie : "Pisse sale chienne" ; alors je lève la patte et pisse comme un bon toutou qui fait ses besoins. Il rigole et m'insulte encore ! Après ce traitement, n’y tenant plus et sentant sa sève monter, il entreprend de m’enculer, me titille le cul, un doigt à sec, puis 2 et voyant que je m'ouvre bien, un 3ème et je couine comme une truie comme il me l’ordonne. - « Putain ! T’es vraiment une bonne salope toi… tu t’ouvres bien ma chienne… t’as envie de te faire enculer, hein salope… ? » Il m'ordonne de mettre le préservatif sur sa queue, puis pose sa bite à l'entrée de mon cul, moi toujours à 4 pattes, bien cambré, le cul offert. Après il me demande, en me tirant par les cheveux, si je sais ce que l'on fait aux salopes impuissantes comme moi ? Je réplique que non et il m’explique : « On les encule comme des gonzesses ! », en m'enfonçant d'un seul coup sa bite dans le cul ; il me baise brutalement à grand coups dans mes fesses, me traitant de salope impuissante, de morue, de putain à routiers, de trou à bites, etc., tout en me tirant par les cheveux et en me claquant les fesses. LM m'encule un bon moment... puis s'arrête soudainement. "Allez la pute, debout", dit-il, en tirant brutalement sur ma laisse. Je me lève et il me force à me pencher contre un arbre. D'un coup de pied, il me fait écarter les jambes, m'attache les mains au tronc puis me met un bâillon. LM tourne autour de moi en m'insultant et en me pinçant alternativement les seins, la bite, les fesses ou en me les claquant sec et même parfois me tordant la queue. J’ai mal mais j’aime être traité de la sorte. Il hurle : "Bastard de merde, t'adore être dominé, salopé et humilié, non ?" Soudainement, LM m'arrache le bâillon qu’il vient de me fixer. Il tient à ce que je réponde et m’avilisse encore plus ! Je murmure : « Oui Maitre… surtout devant d’autres voyeurs qui se moquent de moi et de ma situation de salope impuissante et même me brutalisent… » - « J’entends pas bien, Chienne de salope. Répète plus fort ! ». Alors je gueule : « Oui Maitre… surtout devant d’autres voyeurs qui se moquent de moi et de ma situation de salope impuissante et même me brutalisent… » - « Encore plusieurs fois et plus fort ». Je beugle la même phrase plusieurs fois jusqu’en avoir mal à la gorge. Je sens LM ravit. - « T'es qu'une larve qui ne sait plus que se comporter comme une bonne salope à ma disposition. » En même temps, les claques, les pincements et les coups pleuvent sur mon corps. - « Réponds à ton Maitre Putasse ! » Alors, je crie : « Oui, Maitre, j'adore, encore Maitre ! » LM continue : « Confesse-toi, grosse merde, et explique-moi pourquoi t'es une larve et un sous-homme ? » Alors j’énonce lentement : - « Petit à petit, je suis devenu de plus en plus passif et soumis… enfin totalement obéissant et incapable d'avoir un rôle dominant ou actif. Maintenant, je ne suis qu'une putasse prête à offrir à qui le veut ma bouche et mon cul pour servir de vide couilles, à lécher, à être attaché et puni même sévèrement ; on joue avec mon sexe, mes couilles et mes tétons et, si tel est le plaisir des Vrais hommes, on me féminise… Ils peuvent m'humilier avec des jeux pervers et imaginatifs, me pisser dessus, m'exhiber, me transformer en pute docile qu’on met à disposition de ses amis ou d'autres... » LM dit : « J'aime pouvoir te donner les consignes et que t'exécutes sans moufter. » - « Oui Maitre, je suis là pour ça ! Je dois servir pour toutes les pratiques de BDSM que vous souhaitez : Bondage, Domination et Soumission, Punition, Exhibition, Humiliation, Douleur et Contrainte, et Appartenance. Je suis votre soumis total, à votre entière disposition ; je suis prêt à m'offrir pleinement et à obéir à tous vos désir et ordres quand vous le voulez, où vous le désirez, avec qui vous le souhaitez ; vous décidez presque tout pour moi. » LM susurre : - « Ah, j\'aime entendre ça, ça me refait bander bien dur, Pute de merde ! » Le Maitre a de nouveau sa verge ragaillardie : forte et dressée ; à cet âge-là, ça revient vite, je me le rappelle et me souviens que j’étais capable de baiser 2 fois de suite les femmes à cette époque, les traitant comme des vide-couilles à mon service d’obsédé du sexe. Il s'installe derrière moi et m'encule encore durement et longuement. Il m’embroche comme une vulgaire putain tout en me claquant le cul ; il me lime furieusement comme pour tester mon endurance aux coups de bites... Il braille : - « Couine, ma truie, j'aime les putes qui se lâchent bien… » Je couine comme une petite chienne bien servile envers son Maitre. Les hanches du Maitre sont maintenant collées à mon postérieur. - « Tu la sens ma bite, grosse salope ? Tu sens comme je t’encule à fond ? » Il est profondément planté en moi un long instant puis se retire lentement. Son pénis bandé au maximum palpite en face de mon orifice distendu et il me tient fermement par les hanches. Mais tout de suite il se replace et sans attendre, il s’enfonce en moi violemment. Je pousse un cri, plus de surprise que de douleur. - « T’aime ça hein ma pute ? Ça t’excite de te faire enculer comme une truie ? T’es une salope hein ? Dis-le que t’es une grosse salope et que t’aimes que je te bourre le cul ! » Je voudrais pouvoir me masturber comme un dément en encaissant les terribles coups de bélier de mon Maitre. - « Oui c’est ça ! », se met à hurler LM, « Serre ton cul, salope ! Essore-moi les couilles, charogne ! » Il s'arrête enfin et me détache : - « À genoux la chienne ! » Il retire le préservatif, m’appuie sur les épaules pour que je me mette à ses pieds et crie : - « Suce à fond crevure ! » Il me tire durement par les cheveux pour m'enfoncer sa queue dans la bouche ; puis il me saisit la tête avec ses deux mains et me maintient ainsi jusqu'à ce que je sois au bord de l'étouffement complet ! Ça m’a paru fort long mais, enfin, il sort sa bite, la frotte sur ma figure et finit par éjaculer tout ton sperme chaud (j'adore cela) sur mon visage. En gémissant, il m’ordonne d’étaler son foutre sur toute ma gueule et de rester ainsi avec le jus sur moi. Au bout de quelques instants pendant lesquels il a récupéré, il me dit : - « Bon, ma crevure, il s'agit de te nettoyer un peu maintenant ! Et de plus j'ai envie de pisser. Tends-moi ton visage de chienne soumise. » Je sais ce qui m’attend… Là encore je m\'exécute tel que le souhaite mon Maitre. Je bascule la tête en arrière et lui tends mon visage et je patiente en fermant les yeux et la bouche. Le Maitre tient sa pine à moitié débandée entre son pouce et son index et la pisse jaillit, m’arrosant par de petits débordements de pisse. Des jets brefs et puissants viennent percuter ma peau. Il m'en arrose copieusement le visage mais aussi tourne autour de moi et m'en répand sur les épaules, les fesses et devant, sur le torse et la bite, partout sur le corps, en criant : - « Un vrai sac à pisse. Tu es vraiment une grosse salope toi ! » Entre chaque jet, il aime me parler : - « Regarde ce que je te fais, t’es qu’un pourri de bastard. » - « T’es un simple urinoir, ma chienne puante !" - « Tu sers vraiment à rien, sous-homme ! Sauf à donner du plaisir aux Vrais !" - « Je fais ce que je veux de toi, t’es ma lope soumise !", etc. Moi, je ne réponds pas, j’encaisse juste les jets d'urine sur mon corps. Le Maitre a du plaisir, je le ressens bien, il adore me voir là, humide, humilié, ruisselant de son urine. Ma respiration est saccadée et il observe les gouttes qui tombent de mon visage. Tant pis pour moi, il pense, ce n’est qu’une merde à utiliser comme on veut ! Il me laisse là, quelques longues minutes, entièrement mouillé ; je m'imprègne de cette odeur de pisse et surtout j'ai froid et je tremble. Mais pour Le Maitre l'idée de faire durer l'humiliation est exquise ! Malgré le froid, c’est un moment enchanteur. Quel plaisir de me faire uriner dessus par Le Maitre et de lui offrir mon humiliation. Quel bien-être il a ! Et je suis heureux pour lui ! Enfin, je le remercie pour ce qu’il me fait subir. Mais le Maitre me retourne : - « Attends grosse merde, c'est pas tout à fait fini. D'abord, tu vas te branler devant mo, sous mes ordres comme la larve que tu es et que je récompense car tu as bien servi ton Maitre ! Puis tu t’essuieras et tu retourneras à poil à 4 pattes avec la laisse jusqu'à la voiture, comme un bon toutou que je promène, grosse putasse ! » En effet, ce n'est donc pas fini. Je suis un peu épuisé mais je dois continuer servir LM comme une bonne chienne, bien salope et à dispo ! Le Maitre dit : - « Appuie-toi dos à l'arbre et branle-toi fort et durement en t'insultant de toutes les façons ! » Je m'installe, fatigué, et commence à me branler doucement mais Le Maitre n'est pas content : - « Plus fort connasse et je veux t'entendre ! » Je redouble de vigueur et exprime en même temps tout ce qu'il me passe dans la tête : - « Suis qu'une grosse merde, au service de Mon maitre, pour les Vrais Hommes !» ; - « Suis ton bon soumis passif et docile qui a besoin d'un bon Maitre patient et dur comme toi. J'ai besoin de me soumettre ! » - « Suis totalement soumis, totalement prêt, extrêmement et totalement ouvert pour vous, usez et abusez de moi, ô Maitre, humiliez-moi et baisez-moi brutalement... mon corps est totalement, et sans exception, la possession de mon Maître et il peut en faire ce qu'il veut, y compris des éléments de forte douleur et l'humiliation... » - « Suis une Merde, une Lope vide-couilles... qui doit subir Bondage torture des seins et couilles Humiliation Chaines Stress Attachements et Positionnements durs… » Je me mets à énumérer toutes les pratiques que j’ai subies ou que je connais de nom : - « …Electro Poppers Pisse Cordes Colliers roue dentée Cire chaude de Bougie croix sexuelle de St André pinces a poids Pinces à linge sur tout le corps Féminisation Forcée Sissification Groupe scènes d'abus Exhibition Cages urinoir humain Esclavage et Vente forcée Fessées Captif BDSM pinces chinoises boules piquantes Tirage des couilles, bouche et cul ouverts et offerts… » Je crie tout ça en me branlant à mort et soudain je lâche tout sous le regard moqueur du Maitre qui me traite de tous les noms qu'il connait ! C’est bon : j’ai rarement joui aussi excellemment ! J’aime jouir dans la souffrance et l’avilissement ! Alors que je croyais LM satisfait et prêt à repartir, il m’annonce que je dois lécher mes gouttes de sperme sur l’herbe. Je regarde, ne les vois pas car où ont-elles giclé ? Mais LM insiste, alors je me mets à genoux et lèche l’herbe à divers endroits… - « Bon ça va, putasse de merde ! » Ce jeune Maitre aime beaucoup l’insulte. Il manque d’une certaine emprise mais ça viendra avec l’expérience. - « À quatre pattes maintenant, on va à la voiture ! » Je m’installe et lui tends la laisse ; il la saisit et tire brutalement dessus. J’essaie de suivre le rythme… mais c’est dur et j’ai mal car je m’érafle sur les mains et les genoux ! À la voiture, je peux me rhabiller, l'odeur de pisse m'enveloppant et je me trouve dégueulasse car je n'aime pas mettre mes vêtements propres sur mon corps sale ! Je le dis au Maître. Il se marre franchement : - "T'es qu'une pute, lope et chienne qui se vautre dans l'abjection et la déchéance et tu voudrais être propre, salope ?" Je prends conscience qu'il est inutile de tenter de lui expliquer les subtilités des personnalités et des jeux que l'on assume. Tant pis ! En montant dans la bagnole, Le Maitre me dit : - « Salope, tu conduis les couilles à l'air ! » Je m'exécute sagement et rapidement, craignant une réaction brutale du jeune Maitre. Rien ne se passe, il semble repu comme après un bon repas où l’on est relaxé et reposé et on n’a plus envie de quoi que ce soit. Mes couilles à l’air, je ramène le Maitre ; enthousiaste, il me dit : - « Vite, salope d'esclave, une autre séance ! » - « Oui, Maitre, avec grand plaisir dès que je peux ! J'ai obéi à AUTORITAIRE en faisant ici le récit ici de notre plan
Extrait video OFFERT par Univers Black
Mon week-end à Narbonne
Je me suis fait dragué par un bogoss de 31 ans sur DomiAddict qui m'a invité à passer quelques temps chez lui. Je fais le trajet de Marseille à Narbonne en voiture en me disant que si çà se trouve je vais vers une galère mais je préfère imaginer que le beau mec de la photo soit réel et qu'il est super cool pour m'offrir l'hospitalité et son cul... Arrivée à Narbonne je vais directement chez lui il habite rue droite près du canal super facile à trouver. Je tombe sur un mec encore plus bandant que sur la photo un sourire d'enfer, un bel appartement, le gars est juriste. Il y a un jacuzzi dans son logement avec une baie vitrée qui donne directement sur le canal. A peine arrivé il me propose d'aller me détendre dans son jacuzzi, aussitôt il se met à poil et m'invite à en faire autant de le rejoindre. Je m'assois sur le bord du jacuzzi et il commence immédiatement à me sucer et me gobe les couilles en les malaxant avec sa langue. Puis me biberone à nouveau comme un vrai pro, j'étais en érection maximum, super exicité dans il change de position pour me présenter son petit cul imberbe. Je chope un préservatif et l'encule direct, mes grosses couilles pendantes viennent claquer fortement sur ses fesses, il m'attrape les burnes en passant sa main entre ses jambes et tire dessus en les tirant et les pressant comme un malade, ce qui m'excite encore plus, je lui enfonce mon mandrin à donf dans son anus hyper dilaté. C'est tellement bon que la pression monte et j'envoie la sauce au bout de 15 minutes de baise intensive en hurlant de plaisir pendant que mon juriste au cul d'enfer se branle et éjacule dans le bain bouillonnant. Nous nous écroulons l'un dans les bras de l'autre, on se roule des pelles et ce n'est que le début de mon week-end à Narbonne. On est resté à nous balader à poil dans l'appart au risque d'être vu par les passants sur le canal, mais manifestement cela ne le dérangeait pas nous étions comme des pachas. Et puis être nu çà efface les différences sociales, par contre côté taille de bite, c'est bien moi qui est la plus grosse et d'ailleurs c'est clairement ce qui lui plait chez moi. En fin d'après-midi mon hôte me dit qu'il a envie d'organiser une petite partouze pour une soirée bien chaude dans son jacuzzi. Il me file l'adresse de ses potes rebeu et kebla qu'il a prévenu par téléphone et qui sont ok pour venir, je vais les chercher en banlieue de Narbonne avec ma caisse. Quand on arrive à l'appart le juriste est déjà à oilp dans son jucuzzi avec un pote heureusement il est prévu pour 6 personnes. Les mecs que j'ai ramené se foutent à poil et vont direct dans le bain à bulles, et là je m'aperçois que les queues du rebeu et du black sont carrément énormes. Les grosses bites arabe et noire sont déjà en train de se faire sucer par les cefrans. Du coup de déballe aussi mon matos et me rapproche du black avec sa queue de 24cm pour proposer ma queue à l'avocat qui se met à essayer de gober nos grosses queues en même temps, le kiffe total. Le mec s'est pris une double décharge en pleine tronche. La nuit a continué super chaude après avoir bu beaucoup de Malibu, de bières et de pastis, j'ai joui plusieurs fois mais j'ai tellement bu qu'à un moment j'ai perdu connaissance ou bien avec la fatigue du voyage je me suis endormi. Le lendemain je me suis réveillé dans ma voiture à poil dans la clape, le mec m'avait clairement viré de chez lui avec ses potes et son téléphone ne répondait plus.
Extrait video OFFERT par CITE BEUR