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Le retour de Baptiste Histoire gay publiée le 05/05/2024
Quelques temps après m’être fait démonter par Baptiste, il me recontacte, on devait se voir la semaine d’après et il avait un plan de prévu ce soir mais son plan été en fait un fake, alors il me propose qu’on se capte dès ce soir. C’est compliqué mais j’accepte vers 22h00 et il me préviens qu’il aimerait rester dormir, je lui confirme qu’il peut. Il arrive donc quelques heures plus tard, il est en pantalon cargo kaki , cho7 blanches de sport et TN3 grises. Rien que le voir me fait déjà un peu bander, on monte et on s’installe avec une bière. Son pantalon est un peu large mais je vois quand même son paquet qui grossi en dessous alors sans attendre je me rapproche et le caresse. Il me propose de commencer par ses skets et il y a du boulot ! Elles sentent hyper fort et il y a des traces de sperme dessus que je lèche comme une chienne. Je retire lentement sa TN3 pour découvrir des cho7 vieilles et crades comme j’aime, c’était des Freegun tachées de son jus. Je ne perd pas de temps et sniff à fond, ca sent fort mais c’est tellement bon, elles sont humides et chaudes comme j’aime. Il retire son cargo mais garde son boxer. Je remonte doucement le long de sa jambe, le caresse, le lèche et arrive à son entrejambe. Alors que me doigts soulèvent lentement son boxer, je le lèche et sens sa bite bien dure avec son gland humide. Il bande tellement que sa bite est dressé devant et menace de craquer son boxer, je le retire alors. Sans attendre je le suce et passe rapidement en gorge profonde. Il me baise carrément la bouche et en fait un simple trou à queue. Il s’allonge ensuite sur le dos et me demande de me mettre par dessus lui en 69 afin qu’il me lèche le cul et que je profite de ses cho7 Freegun. Après quelques minutes, il me demande d’aller sur le canapé, à quatre pattes pour qu’il m’encule. Il me demande alors si j’ai du poppers, ce qui m’intrigue car il m’a toujours dit qu’il n’avait pas envie de tester et que ca ne l’intéressait pas. Je vais en chercher, en sniff et lui donne le flacon. Pendant que je me positionne sur le canapé, il en prend quelques respirations et après m’avoir donné le flacon, il me dit « c’est trop bon, j’ai encore plus envie de t’enculer salope ». Alors qu’il ne ma presque pas doigté et à simplement mit un peu de lubrifiant anesthésiant, il rentre sa bite sans aucun problème et enfonce doucement ses 20 cm par petits va-et-viens jusqu’au bout avant d’accélérer rapidement ses mouvements. Je ne sens plus mon trou avec son gel et le poppers, la seule chose que je ressent ce sont ses mouvements de bassins amples pour faire rentrer au maximum sa bite. Alors que je reprends du poppers, il m’en redemande et kiff sentir la chaleur monter pour me faire encaisser encore plus fort sa bite. Après quelques minutes, il me dit qu’il est trop chaud et va bientôt jouir. Il veut jouir dans ses Freegun et se retire en laissant un trou énorme en manque de grosse queue. Il s’assoit, prend sa cho7 et l’enfile sur sa queue. Il jouit rapidement et lâche une bonne dose de jus sur sa cho7 qu’il remet ainsi que son boxer et un short qu’il à apporté avant d'enfiller sa TN et sentir son sperme de boss coller à la semelle. Je termine par me jouir sur le torse branlé par Baptiste qui kiff. Je me vide et kiff de le voir torse nu face à moi après m’avoir démonté comme il se doit. La nuit sera encore bien chaude entre nous 2 mais ca sera dans une prochaine histoire.
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UN ÉTALON SPORTIF REBEU M'A INITIE Histoire gay publiée le 05/05/2024
Yo les mecs ! Ici Jimmy, 36 ans, une bonne lope à rebeu, type mec masculin mais qui devient femelle devant un bon mâle. Je vais vous raconter ma première fois avec un mec qui m'a fait vriller en soumis. J'avais 27 ans, je kiffais faire des plans en mode passif, ma chatte encaisse bien... mais j'avais jamais encore eu un mec qui me domine vraiment. Vacances de Noël, ma coloc est pas là, j'ai l'appart pour moi. Je me connecte sur Chaturbite et un mec commence à me parler. Il est en mode discret, sportif, photo de torse avec des pecs parfaits. On parle un peu, il cherche un passif à démonter. Je lui propose de passer, lui demande d'autres photos mais il refuse, je vois que son torse hyper sexy... ça m'excite et ça me fait peur de pas voir son visage, mais il me dit qu'il lache pas de pics car il a une copine et veut pas d'histoire. Elle est partie voir sa famille et il a besoin de se vider les couilles. Il me demande des photos de ma chatte, en bonne salope je lui envoie tout ce que j'ai et je croise les doigts pour qu'il accepte de venir me défoncer. Bingo, il me demande les codes, etc... je vais me doucher, le coeur qui bat plus fort, le mec a l'air tellement macho ça me rend dingue. Il me demande de l'attendre torse nu en survet, sans rien dessous à genoux porte ouverte. Je me prépare, il sonne j'ouvre la porte et attend sagement comme une bonne chienne. Je l'entends monter les escaliers, il pousse ma porte et me plaque la tête direct sur son paquet déjà dur à travers son jogging. Vas-y sens la bien, sens ma bonne teub. Putain, elle doit faire un bon 20cm et bien large..... Tu vas bien me la sucer, pas comme ma meuf qui sait pas faire de gorge profonde. Je le regarde, sa photo était pas mytho, grand 1m86, les muscles qui tendent son t-shirt et une bonne gueule d'étalon rebeu où on lit la rage prête à sortir. Il s'installe dans mon canap jambes écartées et me fait venir à quatre patte devant lui. Et me dit vas-y bouffe moi le gland. Je commence à bien l'engloutir mais il me retiens la tête et me donne une bonne baffe. Vas-y doucement salle chienne, t'es pas un aspirateur. Il me dirige, me fait tirer la langue et joue avec son gland à l'entrée de ma geule de pute, lentement, il se fait kiffer. J'adore comment il me traite et me dirige. Il est grave dur, sa teub magnifique sort d'une grosse touffe bien noire, j'ai trop envie d'aller lécher ses couilles poilues, mais il me tient toujours par les cheveux et joue dans ma bouche son petit va et vien bien lent. Il me dit, c'est bien, c'est comme ça que je kif ma chienne ! et tout à coup il m'appuie sur la tête et me l'enfonce tout au fond de la gorge. Je m'y attendais pas, j'ai envie de reculer mais il m'appuie hyper fort dessus, j'ai pas le choix ce mec est beaucoup trop fort pour que je résiste. Il me baise la bouche, j'arrive pas à respirer et je sens la bave qui remonte de mon estomac... j'essaie de le repousser avec mes mains mais il me les prends et me les mets derrière le dos. Tu crois quoi sale chienne, tu m'as fait venir maintenant tu encaisses, je vais te faire gagguer comme j'aime, bien trempé dans ta bave de chienne. Et il me défonce la gueule, sa teub est tellement grande, j'ai du mal à la prendre en gorge mais à chaque fois il force et ça finit par passer. J'ai les cheveux bouclés donc c'est parfait pour lui pour bien agripper ma tête et il continue à me baiser la bouche pendant 5 bonne minutes, j'ai de la bave plein la gueule qui coule en filets par terre.... J'ai mal en fond de gorge mais quand ça teub est au fond et que j'ai le nez écrasé dans sa grosse touffe de poils qui sentent le bon mâle ça m'excite tellement que je continue à me laisser faire. Il m'insulte régulièrement et me demande de lui dire que je suis sa pute alors qu'il a sa teub dans ma bouche. Je comprends rien salope, articule plus et il me baffe bien fort. Je réessaye mais avec sa teub dans ma gueule j'arrive pas à articuler "j'suis ta salope"... j'ai l'air d'un gros débile et il me gifle encore tout en m'enfonçant à nouveau sa teub tout au fond.... j'ai perdu toute dignité... suis plus que son objet et il a l'air de kiffer ça. Sa teub est hyper raide. Après une bonne série de baffes il me sort la teub de la geule et plein de bave tombe sur le plancher. Il me dit vas-y c'est dégeu chez toi. Nettoie moi ça avec ta langue, vas-y recycle bien toute ta bave de chienne. Et il me prend par le cou et me plaque la gueule au sol, rajoute un petit mollard en plus et me fait tout lécher jusque ce soit nickel. Il me dit viens me lécher les couilles tarba pour me faire juter sur ta gueule. J'obéis direct, ses couilles sont bien grosses et poilues. J'ai pas juté depuis trois jours salope, tu vas avoir de quoi bouffer des bonnes protéines de rebeu. Il me prend par les cheveux et me fait faire des va et vient avec ma langue sur ses couilles langue bien tirée. Je sens ça bite dure qui pulse, il va bientôt juter sans même se toucher. Je m'applique de mon mieux, suis devenu complètement accro à sa teub et je ne pense plus qu'à une chose : sentir son sperme chad m'inonder la gueule. J'ai jamais été aussi soumis avant. Mais avec lui c'est naturel, un vrai alpha qui me révèle ma vraie nature de salope. Vas-y tarba lèche mon gland doucement je suis pas loin, je vais te nourrir avec mon bon jus. Et regarde moi quand tu suce, il me dit avec une grosse baffe dans ma gueule. Je le regarde, le cou tendu vers le haut tout en suçant doucement son gland. Il me regarde comme si il allait me détruire puis les spasmes arrive et je sens le premier jet chaud dans ma bouche là il m'appuie sur la gueule et me fait prendre les autres en fond de gorge. Pour être sûr que tu avales bien tout tarba... son sperme est délicieux, bien épais. Il sort sa teub et me la fais bien nettoyer... Puis il sort une clope et se l'allume et me dit, vient me masser... j'étais à l'entrainement avant de te niquer et j'ai les muscles fatigués... masse bien, applique toi et ensuite je te défonce le cul. ... LA SUITE dans la prochaine histoire
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 Mon bogoss de tanger Histoire gay publiée le 01/05/2024
Wesh les amis ça va ? Le rebeu lyonnais est de retour. Je vous raconte la suite de mon plan sur Tanger avec mon petit marocain bogoss skynni avec bon zeb. Le kiff, on a fini sous la douche on c'est lavés séchés, on c'est posé dans le salon, d’ailleurs très beau salon marocain dans la pure tradition marocaine. Bref on est posés, on discute, on rigole puis il me regarde et me dit, j’ai envie de te baizer. Je lui dit go, on fait çà, du coup on va à la chambre on s’embrasse, il embrasse super bien, il a des lèvres exceptionnelles, un sourire de fou. Je descends doucement le long de son torse, bouffe ses tétons. Je sens à travers son caleçon qu’il bande comme un fou. Moi pareil, il me relève m’embrasse me mange les téton et me retourne. Il se colle à moi je sents son zeb à travers nos caleçons et en même temps il me mange le cou derrière l’oreille et l’oreille aussi. Je suis comme un fou, il se frotte et moi je me cambre, il me jette sur le lit et je me mets à quatre pattes comme une salope sur le lit. Il déchire mon caleçon et me l’arrache puis écarte mon cul et le bouffe littéralement. Je gémis tellement il s’y prend bien. Il accompagne son bourrage de cul par de bonnes grosses fessées. Je kiff de fou il me bz avec sa langue puis se relève et frotte son gros zeb moi je continue à bien donner mon cul. Il bifle mon cul plein de sa bave, je me retourne tjr à quatre pattes pour bouffer son zeb en gorge profonde, il kiff sa race. Il en profite pour préparer mon cul, il crache sur ses doigts, étale sa bave sur mon cul et me met des doigts profond, un puis deux. Il les sors, recrache dans sa main et recommence un puis deux puis trois. Je gémis de fou je suis en folie. Il me retourne, agrippe mes hanches d’une main et crache dans l’autre pour astiquer son zeb puis agrippé l’autre main et dirige son zeb vers mon trou et me pénètre doucement je sens son zeb m’ouvrir la chatte je gémis de douleurs et de plaisir mais j’en ai tellement envi que je le laisse faire sans faire de grimace je lui demande de continuer et là y me dit putin tu as tout pris hummm je gémis je lui dit que c trop bon il reste profond comme quelque instant et me relève pour m’embrasser je suis comme un dingue et comme on est en kiff pendant qu’il m’embrasse il commence ses va et viens c trop bon mon cul mouille de fou ils s’ouvrent plus de douleur que du plaisir je gémis pendant il m’embrasse il lache ma bouche et me dit à l’oreille tu es trop bon toi je lui répond fais toi plaisir zine et la il commence une bz je pense que jamais on la baise comme sa intense énergétique mais un plaisir y tape bien ou il faut comme il faut je mouille du cul il me bz et accélère crenchendo je suis au max du plaisir il accélère et qd je suis sur lépoint de jouir de fou il ralenti je kiff je sens ma mouille couler entre mes cuisse il me bz à 4 patte pendant 20 min puis sors et me retourne il m’embrasse encore bien baveuse je lui dit continue bz moi stp et y me répond oui habibi je vais te bz toi et que toi il la remet je gémis et il y va il pousse mes jambes au niveau de mes oreilles ce qui lui donne le champs libre sur mon cul et aucun obstacle et il se fais pas prier il tape de plus en plus fort ses coup de zeb résonne encore plus fort dans la pièce mon cul coule de mouille il sors entièrement et rerentre plusieurs fois je suis comme un fou et il continue il me bz profond et fort puis d’un coup il reste au fond de mon cul et donne des coup court mais bien au fond je gémis de fou je lui dit de continuer et là sans prévenir je me met à gémir et je gicle des quantités de sperme de fou j’en ai plein le torse se qui déclenche chez lui une ejac de fou il sors son zeb de mon cul qd il sent que sa va sortir à peine sorti de mon cul il a peiné à relevé son zeb qu’il m’en fou partout jusqu’au cheveux je le cul ouvert plein de mouille et je suis rempli de sperme je suis en kiff et lui s’écroule tellement il est ko son explose de rire et il me dit t’es trop bon toi et cool je lui repond’làmm chose in reste allongé 10 minute puis on va se lave on sors de la douche il me donne un caleçon propre à lui on s’habille et je l’invite à manger depuis on est rester en contact et ceci tous les jours on se parle c'est un bon mon bg de Tanger
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 Qui tente rien n'a rien Histoire gay publiée le 28/04/2024
C'est la première fois que je raconte mon expérience dans un blog mais vu ce qu'il s'est passé, je me sentais un peu obligé de devoir le partager. Tout d'abord, je suis un mec bi de 23 ans et mes proches (famille et amis) sont au courant. Je suis toujours étudiant tandis que la plupart de mes potes travaillent déjà. L'histoire ici concerne un pote avec qui je ne suis pas le plus proche mais il y a un très bon feeling. On s'est rencontré lors de mes études à l'université. On était pas dans la même section, en faite je suis dans un groupe d'ami dans lequel se trouve sa meuf. C'est donc par elle que je l'ai rencontré. Il est plus âgé que moi (29 ans) et est un beau rebeu bien viril et bien costaud (pas spécialement musclés mais une corpulence assez massive). On va l'appeler Mehdi. Avec lui, on avait déjà eu quelques discussions, notamment quand je lui ai avoué que j'étais bi. Il m'a dit que lorsqu'il avait mon âge, lui-même pensait être bi et avait déjà tenté avec un mec. Malheureusement son expérience n'était pas satisfaisante et il se considère maintenant plus comme hétéro. Avec sa meuf, ça se passe super bien, cela faisait déjà 4 ans qu'ils étaient ensemble et ils venaient d'emménager dans un appartement dans lequel, nous (groupe d'amis) nous réunissons de temps en temps pour nous amuser, faire des soirées, etc. Par rapport à la personnalité de Mehdi, c'est quelqu'un qui me ressemble : assez calme et mature mais avec des moments un peu impulsif. Le courant entre nous deux passe très bien et je sens qu'il est assez attentionné envers moi malgré le peu de contact qu'on ait, peut-être qu'il se voit un peu en moi ? Bref, maintenant venons-en aux faits. L'histoire s'est déroulé il y a trois semaines, durant un week-end. La meuf à Mehdi était partie avec les meufs de notre groupe en séjour au sud de l'Espagne. Elles sont parties le vendredi matin tandis que Mehdi, un autre pote et moi allions profiter de la journée. Mes deux potes avaient pris congé et moi j'ai séché mes cours ce jour-là pour faire une journée entre mecs. Nous sommes aller faire un tour en ville, faire les magasins etc. On a été mangé au resto puis le soir s'amuser dans une boite. (Ah oui, à préciser que Mehdi n'est plus musulman depuis quelques années bien qu'il vienne d'une famille religieuse). En boite j'ai un peu abusé sur l'alcool comme Mehdi qui se trouve généralement assez vite en état d'ébriété avec peu d'alcool. Seul mon troisième pote n'a pas bu car il conduit et est parti plus tôt car il devait faire quelque chose le lendemain au matin.Il était vraiment tard quand Mehdi et moi sommes sortis de la boite. Comme j'habite encore chez mes parents, je ne voulais pas rentrer seul à cette heure tardive et dans cet état. Mehdi m'a alors tout de suite proposé de dormir chez lui. Sans hésiter j'ai accepté. On s'est donc rendu dans son appart. Là bas on a un peu discuté de tout et n'importe pendant une heure en buvant de l'eau en abondance, le temps que l'effet alcool redescend. À la fin, je lui ai proposé mon aide pour installer le canapé lit, mais il rigolait et m'a dit que je pouvais dormir à côté de lui dans son lit double sauf si cela me gênait. J'ai accepté et on s'est déshabillé. C'est la première fois que je le voyais en sous-vêtement. C'est vrai qu'il avait une corpulence assez imposante et j'étais surpris de constater le peu de poils qu'il avait sur le ventre et les pecs. Lui part contre était étonné de voir la masse poilue sur mon corps. Je lui ai dit que j'avais hérité ça de mon côté espagnol. On a continuer à se mater quelques secondes jusqu'au moment où je tombe sur son caleçon. Il portait un boxer qui laissait transparaitre une belle forme de gland. Bien évidemment il était circoncis. C'est alors que je sentais ma bite bouger, je ressentais une certaine excitation quant à la scène comme je suis bi. Je me suis vite retourner pour pas qu'il remarque et je me suis couché dans le lit avec la couverture. Je me demandais si lui, comme ancien bi, il ressentait aussi de l'excitation. Après je me suis quand même souvenu qu'il avait une meuf qui était quand même une de mes potes. Mais en faite, ça m'excitait encore plus. Là ma bite était en érection totale. Mehdi me demandait si je voulais me doucher avant et me laver les dents mais je lui ai menti en disant que j'étais trop fatigué pour me relever. Il se balada dans son appart pour prendre un essui et retira ses chaussettes devant moi. D'un coup une odeur forte frottait mon nez. Lorsqu'il vit ma réaction il s'excusa en disant qu'il transpirait souvent des pieds et qu'il puait souvent des pieds. C'est pourquoi il allait prendre sa douche. Ses chaussettes puantes étaient au sol devant mon nez. Il aurait pu quand même les mettre à la manne. D'un coup une idée me passa par la tête. Je ne sais pas pourquoi mais en entendant l'eau de la douche coulée, je me suis jeté sur ses chaussettes et je les ai senties. L'odeur m'excitait tellement. Pourtant je n'étais pas spécialement fétichiste des pieds, mais sachant que cela appartenait à Mehdi, ça m'excitait grave. Lorsque je n'entendais plus l'eau couler, je me suis vite recouché j'ai fait semblant de dormir. Bien évidemment mes yeux étaient légèrement ouverts. Mehdi sortait de la salle de bain et s'approcha du lit. En voyant que "je dormais" il enleva son essuie. Bien que je voyais un peu flou, j'ai pu apercevoir sa belle bite. Pas très grande mais bien épaisse (finalement comme sa corpulence). Ma bite était bien levée et je me la touchais discrètement sous les draps. Il mit son essuie à sécher, ne faisait toujours pas attention à ses chaussettes et alla de l'autre côté du lit. Je suppose à ce moment là qu'il a mis un boxer et s'est couché. Je ne sais pas pourquoi mais, dans le doute, je me suis légèrement cambré, sachant que mon cul se trouvait de son côté. Il éteignit la lumière de sa lampe. Avant de m'endormir réellement, j'avais pensé à plein de scénarios érotiques avec lui dans ma tête. Puis à un moment je me suis endormi et c'est là que j'ai fait un rêve très étrange. Je me souviens pas de tout le rêve, mais seulement d'un moment. C'était avec Mehdi, on avait fait ensemble une expédition puis il retire ses chaussures et là il s’exclame en disant que ça pue. Puis il me demande si je veux sentir. Alors je me penche vers ses pieds avec des chaussettes trouées et je sens puis d'un coup je commence à lécher. Il retire vite son pieds et m'engueule puis il met ses pieds dans un sac. (Si quelqu'un sait analyser les rêves et me dire la signification, je suis preneur). C'était la première fois que je faisais un rêve érotique de ce genre. Ensuite, le matin j'ouvre mes yeux. J'étais un peu déçu que ce n'était qu'un rêve au final. Je vois que Mehdi était déjà réveillé et faisait du bruit dans la cuisine. J'attends que ma gaule de matin redescend et puis je le rejoins. Il me demande si tout allait bien et me faisait un café. Il était en peignoir et m'a dit que je pouvais prendre le deuxième qu'il a dans sa penderie, chose que je fais. Dans la chambre j'ai remarqué qu'il n'y avait plus ses chaussettes et qu'il avait mis ses chaussures à aérer. J'étais un peu dég, j'aurais bien voulu ressentir son odeur de pieds. Je le rejoins à table sur laquelle se trouvait ma tasse de café et à manger. C'est alord qu'il engagea directement la conversation en me disant que je bougeais beaucoup la nuit et que je tirais souvent la couverture. -Tu as fait un cauchemar ? Me demande-t-il. On en vient déjà aux faits. Que dois-je lui dire. J'ai pris mon courage à deux mains et je lui ai dit plus ou moins : -Tu vas trouver ça bizarre mais j'ai fait un rêve où on était parti en treck tout les 2. Puis tu as retiré tes chaussures et tu m'as demandé de sentir tes pieds qui puent. Je pense que j'ai été traumatisé par ton odeur de pieds hier. -Oui désolé pour ça, j'ai oublié de mettre mes chaussettes dans le panier à linge, peut-être que l'odeur a pénétré tes narines pendant que tu dormais ! J'ai rigolé (je pense plus par gêne) mais au moins je lui ai raconté mon rêve étrange et il a l'air de ne pas l'avoir mal pris (en même temps je suis pas aller au bout de ce qu'il s'est passé) -Mais du coup tu les as sentis dans ton rêve ? enchaine-t-il. Alors là, j'étais supris. Je ne savais pas quoi lui répondre. Mais comme un débile j'ai hoché de la tête en disant oui. -Ah ouais je comprends mieux le côté bizarre du rêve maintenant ! Mais je te rassure maintenant mes pieds ne puent pas. Il dit ça en mettant un de ses gros panard sur la tard à quelques centimètres de moi. Son pied était pas très grand (je dirai qu'il fait du 42 ou 43) par contre comme sa bite, bien gros. -Vas-y tu peux sentir ! dit-il -Bah non je te crois t'inquiète. Mais même en lui disant sa, je faisais mine de baisser ma tête et je sentais ses orteils. Même après s'être lavé hier, une légère odeur persistait. Puis d'un coup il leva son pied et le plaqua sur mon visage. Mon réflexe n'a pas été de retirer tout de suite ma tête mais au contraire de renifler et de donner quelques petits coups de langues comme dans le rêve pendant peut-être 3 secondes. Puis j'essaye de retirer ma tête mais il colla son pied encore en rigolant. Moi pendant ce temps j'essayais de faire une mine dégoûtée mais je profitais pour sentir et sortir ma langue. Le contact était tellement excitant ! Puis il finit par retirer son pieds. Pour essayer de ne pas me faire cramer je fis semblant d'être dégouté. -Beurk Mehdi c'est vraiment dégueulasse mais oui ça sens un peu mieux que dans le rêve. -Un peu mieux, tu exagères quand même ! Je suis content que tu considères ça comme un rêve plutôt qu'un cauchemar. Là je me suis un peu braqué mais Mehdi avait vraiment un sourire sur le coin. -C'est bon, tu peux me l'avouer que t'es en kiff sur moi, je suis pas dupe. J'ai bien aimé ton bout de langue sur mon pied. Forcément j'ai nié les faits en lui rétorquant qu'il se faisait trop de films. En même temps j'étais surpris de sa réaction. Il ne semblait pas remonté alors que normalement ça aurait dû être le cas. Cette situation était lunaire. D'un coup, il termina sa tasse de café, se leva et me dit : -Viens me rejoindre sur le lit on va s'amuser un peu. Je me lève et je proteste en lui disant qu'il était en couple et que je me sentais pas spécialement à l'aise. -Ça restera entre nous et puis c'est pas du sérieux. Puis, toi aussi tu m'excites en vrai donc on pourrait bien se partager un petit plaisir entre mecs tu penses pas ? Il me convainc et je le suis direct dans la chambre. Il s'allonge sur le lit et ouvrit légèrement son peignoir. Son boxer affichait une belle bosse qui grossissait. Je me mis au pied de son lit et je commence à renifler ses pieds. -Vas-y lèche-les moi, me dit-il. Sans hésiter je commençais à sortir ma langue qui se frottait sur la plante de ses pieds. J'allais de bas en haut puis je m'occupais de ses orteils. Je lui bouffais son gros orteil et je le suçais en lui faisant des tourbillons de langue dans ma bouche. -Ouah, c'est la première fois qu'on me lèche les pieds, je devrais demander à ma meuf de faire de même la prochaine fois. Vas-y passe ta langue entre mes orteils. J'exécute ses ordres tel un chien. Ça s'est fait automatiquement mais je me suis soumis à ses ordres alors que de base je ne suis pas spécialement passif. La partie entre ses orteils était la partie qui sentait le plus chez lui. Je passais ma langue orteil par orteil. Il était en plein extase et il commença à se caresser la bite. Ses pieds étaient complètement mouillés par ma langue et brillaient c'était tellement excitant que je commençais à me toucher la bite à mon tour. D'un coup il commença à coller ses pieds sur mon visage et j'ai essayé de débattre comme tout à l'heure. Puis il arrêta et se redressa sur le lit. -Viens sur le lit. Lorsque je le rejoins sur le lit, on commença à se caresser le corps. On ne s'embrassait pas mais on se faisait des bisous sur le cou, le torse, le ventre pour garder un côté sensuel. Puis il me retourna sur le dos et cette fois-ci c'est lui qui s'occupa de mes pieds. Il les sentit et les lécha comme je l'ai fait. Ça me chatouilla énormément et je gigotais. -Toi aussi ils sentent tes pieds. Pour arrêter de gigotter, il plaqua un de ses pieds sur mon visage et je le lécha. Cette fois ci, je retire ma bite de mon caleçon et je commençais à me branler. Il arrêta de lécher mes pieds et suça ma bite. J'étais un peu pris de court, je ne m'attendais pas à ce qu'il se jette sur ma bite comme s'il était affamé. -mmmh putain c'est bon ça, tu suces trop bien pour quelqu'un qui n'a eu qu'une expérience avec un mec. Sur mes encouragement il s'appliqua encore plus. Il tenta quelques gorges profondes et englouti mes 17 cm tout en laissant une masse de salive. -Maintenant occupe toi de mes couilles, lui dis-je. Il goba mes couilles, les lécha et les massa avec sa bouche tout en branlant ma queue. C'était beaucoup trop excitant au point que je ne pouvais pas m'empêcher de déjà cracher la sauce sur sa gueule. -Merde je suis désolé ! -Ah ouais ça t'excite à ce point ? dit-il en continuant de sucer ma bite. Prend un mouchoir sur ma table de nuit et essuie moi. Je fais ce qu'il me demande et en l'essuyant nos regards se croisent continuellement. On ne pouvait pas s'en empêcher, la tension était trop grande. On commença à s'embrasser langoureusement. On se donnait des coups de langue. À ce moment-là j'avais tellement envie de le défoncer et je pense qu'il avait la même pensée vis-à-vis de moi. Il s'allongea sur le dos et je me mis sur lui. Je commençais à faire des bisous sur son cou, puis son torse et je descendis jusqu'à son boxer. Je fis de petits bisous sur la bosse qui n'arrêtait pas de gonfler. Puis je retire son boxer et je vis une grosse demi-molle. Je tâtais son gland et ses couilles. Il commença à me caresser mes cheveux. Sa bite grossissait de plus en plus jusqu'à être en érection totale. Elle devait faire à peu-près 15 ou 16 cm mais (contrairement à la mienne) elle était très très épaisse. Comme si je compare un concombre à une aubergine. -Vas-y suce moi, dit-il. Je m’exécute et goba sa belle bite bien épaisse. Elle était incroyable. Pas trop dure, un peu moelleuse. J'essayais de lui faire quelques gorges profondes. Il m'enfonça la tête pendant quelque seconde puis me releva. J'avais un filet de bave énorme. On se regarda et s'embrassa langoureusement. On continua comme ça pendant quelques dizaines de minutes puis on a pris la douche. On a passé la journée ensemble et on s'est acheté des capotes et du lubrifiant. Le soir on a recommencé avec des sextoys et cette fois ci on a pratiqué la sodomie. Sa bite m'a bien élargi le trou du cul que j'ai eu du mal à m'asseoir pendant quelques jours. C'était une expérience incroyable et assez lunaire, comme quoi qui tente rien n'a rien. Ça fait 3 semaines que sa meuf est revenue, mais on sait qu'un jour, on se retrouvera pour recommencer notre petit plaisir secret. Je tiens à préciser que cette histoire est bien réelle ce qui la rend encore plus excitante. Je reviendrais ici si jamais il y a du nouveau avec Mehdi. J'espère que vous avez pris beaucoup de plaisir à lire mon expérience ;)
Voivi l'histoire de Tony le chatouilleux publiée le 26 avril 2024
C'était un samedi après-midi comme les autres. Alex et Ronald, deux amis farceurs et plaisantins notoires, avaient terminé leur séance d'entraînement à la salle de sport Leo's Iron Man et traversaient le parking en direction de leur véhicule lorsqu'Alex s'arrêta net, plaçant un bras tendu devant Ronald, le stoppant lui aussi. "Mec, c'est quoi ce bordel ?" demande Ronald. "Regarde, regarde là !" dit Alex, presque essoufflé, en pointant du doigt une voiture blanche garée. En regardant là où son ami l'indiquait, Ronald vit, suspendue à l'une des fenêtres de la banquette arrière... ...une paire de grands pieds bleu clair chaussés de chaussettes transparentes... "Putain de merde, c'est quoi ça, un cadeau d'en haut ?" demande Ronald... ...tandis qu'Alex et lui se dirigent furtivement vers la voiture blanche. Je ne sais pas si c'est un don d'en haut ou d'en bas, mais un tel don ne peut pas être contourné, Ronald, mon gars", dit Alex en riant malicieusement. Lorsque les deux hommes atteignirent la fenêtre arrière de la voiture blanche, les deux farceurs virent que le type dans la voiture était endormi, allongé sur les sièges arrière, et, comme indiqué, ses pieds bleu clair en chaussettes transparentes pendaient par la fenêtre. Les deux hommes se sont regardés, ont hoché la tête, tous deux ont souri, et ont rapidement saisi chacun un des pieds chaussés du dormeur à deux mains puissantes... ...le tirant un peu plus vers l'avant, de sorte que ses pieds dépassent maintenant de la fenêtre jusqu'aux mollets... ...ou, pour être plus précis, ses mollets en chaussettes... "HUH...HEY...c'est quoi ce bordel ? ??" hurle le blond sale aux cheveux ondulés dans la voiture, soudainement réveillé. "H-hey !!! Qu'est-ce que c'est que ça ? Lâchez mes pieds les gars ! !!" S'efforçant d'extraire ses pieds chaussés de l'emprise des deux hommes bien musclés, le type dans la voiture s'est mis à tituber : "Lâchez mes pieds, j'ai dit !!! C'est quoi le but de tout ça ???" "Le but, beau mec ?" Alex se moque en saisissant fermement le pied droit de l'homme. "La question est plutôt de savoir pourquoi tu dormais dans ta voiture avec tes jolis pieds chaussés qui pendaient par la fenêtre. Se recroquevillant sur ses coudes, regardant les deux hommes presser ses pieds en chaussettes transparentes, le blond sale a bavardé : "Si vous voulez savoir et si cela peut vous faire lâcher mes, comme vous les avez appelés, mes jolis pieds en chaussettes transparentes, je me suis soumis à un entraînement exténuant dans le gymnase Iron Man de Leo et je n'avais pas de chaussettes de sudation propres dans mon tiroir à chaussettes à la maison, alors je me suis entraîné avec ces chaussettes transparentes que je porte habituellement pour mon travail de bureau. Mes pieds sentent toujours très mauvais après l'entraînement et ma femme ne tolère pas cette odeur. Je me suis donc dit que j'allais aérer un peu mes chaussettes avant de le conduire et je suppose que je me suis simplement endormi. Satisfait ?" Alex et Ronald se sont regardés, ont eu un sourire diabolique... ...et soulèvent un peu les pieds chaussettes du gars, se penchent un peu et reniflent tous les deux ses chaussettes... "PHEW !!!" s'exclame Ronald. "Tu as tout à fait raison, et ta femme aussi ! Tes chaussettes sentent vraiment mauvais !!" Un regard d'incrédulité envahit le visage du blond sale et il aboya bruyamment : "Vous venez de renifler mes chaussettes ? ??? Qu'est-ce que vous faites, les gars ? Lâchez mes pieds ! Je ne sais pas ce que vous faites, mais je suis sûr que ce n'est pas quelque chose que je ferais... AAAAYYYYYY !!!". Soudain, les mots de l'homme aux chaussettes sont coupés, Alex et Ronald l'attrapent par les pieds d'une main forte chacun... ...et ont commencé à utiliser leurs mains libres pour chatouiller le bas de ses pieds en chaussettes. "OOOOOOOOO OH NO, OHHHH NO !!!" hurle l'homme... et se met à rire. "S-STOP, stop !!! HAHAHAHAHAHAHA ARRÊTE ÇA ! !! Vous n'avez pas idée, je suis tellement chatouilleux ! !!" "Et nous sommes ravis d'entendre ce beau gars aux chaussettes transparentes qui sentent mauvais", dit Alex en plaisantant, en serrant plus fort le pied droit du gars et en faisant glisser le bout de ses doigts sur le pied du gars aux chaussettes transparentes, encore et encore. "AAAAYYYYYY, HEEEEEEE !!!!", le type gloussait et se débattait furieusement dans sa position d'impuissance sur les sièges arrière de sa voiture. "STOP IT !!! ARRÊTEZ CELA ! !! Ce n'est pas drôle !!! HEEEEEEEEEHHHEEEE !!! OH MY GOD !!!" "Pas drôle, mec ?" lui demande Ronald. "Si ce n'est pas drôle, pourquoi ris-tu comme tu le fais ? En réponse, le type aux chaussettes transparentes s'est emporté : "C'est parce que je suis hyper chatouilleux ! HEEEEEEEEEEE, HAAAAAAAAA !!!! Je suis plus chatouilleux que la plupart des autres ! HAAAAAHAAAAA, oh pour l'amour de Dieu, oh DIEU, STOP !!!!" Mais au lieu d'écouter la demande (l'exigence ?) du gars, Alex et Ronald ont chatouillé de plus en plus vigoureusement ses pieds couverts de chaussettes transparentes, en augmentant de plus en plus leur rythme. "Je, je, HAAAAAAAA !!!!", a crié/rêvé le type dans la voiture. "Je vais appeler la police ! Vous verrez si je ne le fais pas ! HHHHAAAAAAA, JE VAIS APPELER...HAAAAAAA...JE VAIS APPELER LA POLICE !!!!" Voyant que le type portait un pantalon bleu foncé sans poche de type sport et apercevant son sac de sport sur le siège du passager avant, Alex a dit : "Vraiment, mon pote ? Et où serait ton téléphone portable ? Dans ton sac de sport hors de portée peut-être ? HA, HA, HA pour toi, le gars aux pieds chaussés qui sentent mauvais !!!". "SHIT, SHIT, SHHHIIITTTTT !!!!", s'écrie le gars, réalisant que sa menace n'a servi à rien. "HAAAAAA, je n'en peux plus ! !! Je ne peux pas supporter..." Mais une fois de plus, ses paroles furent coupées, Alex et Ronald commençant à chatouiller les parties de ses pieds situées directement sous ses orteils... ...en déplaçant leurs doigts épais dans un mouvement circulaire. "OH NOOOOOO, NOOOOOOO, pas là, HEEEEEEEE !!!! Pas là, oh s'il vous plaît les gars !!!", rugit le rieur à ce moment-là. "On dirait qu'on a trouvé un vrai point de chatouillement/pression, Ronald mon gars", dit Alex. "Augmentez la vitesse du bout des doigts..." Pendant que les deux hommes font cela, le type dans la voiture commence à se tortiller et à se débattre sur les sièges et à se frapper les mains et les bras de haut en bas. "Bande de salauds ! Espèces de salauds !!!", criait-il en riant. Dix minutes plus tard, Alex et Ronald chatouillaient toujours les pieds chaussés du jeune homme, en se concentrant sur ses voûtes plantaires très galbées. Alors que des rires incontrôlés émanaient de l'intérieur de la voiture, l'homme qui riait a soudain entendu une voix familière venant de l'extérieur du véhicule. "La voix de Leo, propriétaire de la salle de sport Leo's Iron Man, demande aux deux chatouilleurs. Mais avant qu'Alex ou Ronald ne puissent répondre, le chatouilleur a crié de l'intérieur de la voiture : "L-LEO !!!! LEO !!! HAAAAAAA !!!! TH-grâce à Dieu, tu es là, mec ! !! HAAAAAHAAAA !!!!" Leo a vu les pieds chaussés d'Alex et de Ronald, a regardé vers le bas dans la voiture et a dit : "Tony, Tony Romolo, qu'est-ce qui se passe ici ?" Suant à grosses gouttes, le visage rouge, le chatouilleux, dont on venait de découvrir qu'il s'appelait Tony, s'est mis à fulminer contre le propriétaire de la salle de sport : "Qu'est-ce qui se passe ici, vous demandez ? HEEEEEEEE !!!! N'est-ce pas évident ce qui se passe ici, Leo ???? HAAAAAAAA !!! Ces deux clowns torturent mes pauvres pieds avec leurs chatouilles !!! HEEEEEEEE !!! Qu'ils arrêtent ! !! S'il vous plaît Léo, s'il vous plaît, faites-les cesser ! !!" Pendant qu'Alex et Ronald continuaient à chatouiller les pieds en chaussettes de Tony, Alex expliquait à Leo comment ils l'avaient trouvé endormi dans sa voiture avec ses "jolis" pieds en chaussettes pendants par la fenêtre. "Alors, parce que vous avez vu ses pieds pendre par la fenêtre de sa voiture, vous avez décidé de les attraper et de les chatouiller ? demande Léo, incrédule. "OUI, OUI, OUI, HAAAAAAAAA !!!!" s'écrie Tony. "C'est ce qu'ils ont fait, c'est ce qu'ils font encore !!!! S'il te plaît Leo, fais-les arrêter ! !! QU'ILS ARRÊTENT, PUTAIN ! !! HAAAAAAA !!!!!" Regardant le rieur dans la voiture, Léo sourit et dit : "Je le ferais, Tony, je le ferais vraiment. Mais il n'y a pas de loi interdisant de chatouiller les pieds d'un homme, du moins pas de loi dont j'ai entendu parler". En entendant cela, Alex et Ronald se mirent à nouveau au travail pour chatouiller les boules des pieds de Tony, maintenant chatouillés et attendris... "OH GOD LEO, OH GOD !!!! HAAAAAAA !!!! Non, il n'y a pas de loi contre les chatouilles... les chatouilles sur les pieds d'un homme..." Tony réussit à dire. "Mais il devrait y avoir une loi contre le fait de chatouiller MES PIEDS ! JE SUIS HYPER CHATOUILLEUX, LEO !!! HAAAAAAA, HEEEEEEEE...OH MON DIEU !!!!" Quelques instants plus tard, à la grande surprise de Tony et avec un sentiment de trahison totale, il regarda, impuissant... ...et rire, impuissant, alors que Léo chatouillait maintenant ses pieds chaussés... ...tandis qu'Alex et Ronald les tenaient fermement et fermement. "OH NON, NON, LEO, pas toi, pas toi non plus !!!" Tony s'est mis à tituber. "HAAAA, HAAAA, HEEEEE, OH MON DIEU, je vais être chatouillé à mort ici !!!" Le chatouilleux avait cessé de se débattre à ce moment-là... ...car il s'est rendu compte que c'était inutile et que ses forces étaient déjà épuisées. Musclé et fort comme il l'était, Tony ne pouvait rien faire pour dégager ses pieds de l'emprise des hommes à l'extérieur de sa voiture. Il s'était entraîné pendant les deux heures habituelles à l'Iron Man Gym de Leo avec des poids libres, des machines de musculation et avait fait une heure de vélo stationnaire, et même s'il était totalement gonflé à bloc, il était impuissant à empêcher les trois hommes qui se trouvaient maintenant devant sa voiture de chatouiller ses pieds en chaussettes transparentes. Alors que Leo chatouillait le bas des pieds de Tony, ses doigts dextres se déplaçant à une vitesse qui semblait bionique pour l'homme littéralement piégé dans sa voiture, le propriétaire de la salle de sport, souriant méchamment, déclara : "Mec, ses chaussettes sont vraiment toutes humides et pleines de sueur. Sans parler de la puanteur qu'elles dégagent ici !" "Il nous a dit qu'il n'avait pas de chaussettes de sudation propres dans son tiroir à chaussettes et que c'était pour cela qu'il portait des chaussettes de ville transparentes pour s'entraîner", a expliqué Alex. En réponse à ce qu'Alex venait de lui dire, Léo augmenta la vitesse de ses chatouilles, déplaçant une de ses mains vers le haut et, tout en chatouillant le bas du pied droit de l'homme, il chatouilla les couilles de son pied gauche, cet endroit faisant vraiment rire le pauvre Tony chatouilleux comme le ferait le caquetage d'une hyène. "LEO, LEO, OH LEOOOOOO, ce n'est pas juste, OH MON DIEU... HAAAAAA, HEEEEEEEE," Tony se débattait follement, serrant ses doigts et ses pouces en poings le long de son corps. "Oh, c'est juste Tony, c'est tout à fait juste, et je vais te dire pourquoi," dit Leo, ressemblant à un professeur d'école en colère à ce moment-là. "Quel genre d'homme porte des chaussettes pudiques pour s'entraîner ? Tu n'avais donc pas de chaussettes de sudation propres dans ton tiroir à chaussettes, tu sais que nous vendons des chaussettes de sudation ici dans le magasin de fournitures de sport ! Avant que Tony ne puisse répondre à la leçon de Leo sur les chaussettes, l'homme a doublé sa vitesse pour chatouiller les pieds en chaussettes transparentes de l'homme hyper chatouilleux. "HHHHHHAAAAAAAAAAAAA !!!! OH GOD LEO !!!" Tony hurla à ce moment-là, baigné de sueur. "Que cela te serve de leçon", poursuit Léo, tout en continuant à chatouiller les pieds en chaussettes de Tony. "HAAAAAAA, qui l'aurait cru ? ??? HAAAAAAA !!!!" Tony hurla, sa voix emplissant la voiture à ce moment-là. "Être puni par des chatouilles parce que je porte des chaussettes transparentes à mon entraînement, HAAAAAA, HEEEEEE, c'est presque drôle, mais ce que vous me faites n'est PAS drôle du tout...HEEEEEEEEE !!!!" Lorsque Leo a cessé de chatouiller les pieds de Tony, Alex et Ronald ont rapidement recommencé à les chatouiller... "HAAAAAAAA, HAAAAAHHHHH, HAAAAAEEEEEHAAA !!!!" Tony s'emporta, riant follement à ce moment-là, sentant qu'il allait perdre tout ce qu'il lui restait de raison. "Il n'y a pas de repos pour les fatigués des chatouilles, hein, MUGS ???". "Il faut que tu continues à rire, Tony," dit Alex à son interlocuteur. "Depuis combien de temps faites-vous cela tous les deux ? Leo demande à Alex et Ronald. "Eh bien, nous avons vu ses pieds pendre de la voiture lorsque nous avons quitté votre gymnase et que nous nous dirigions vers notre voiture pour rentrer à la maison", dit Ronald, qui doit parler un peu plus fort à ce moment-là, car au lieu que les rires, les gloussements et les ricanements de Tony s'atténuent, ils s'amplifient à chaque seconde qui passe. "Et nous avons commencé à faire des chatouilles tout de suite... puis tu l'as chatouillé..." "Et maintenant, nous allons le chatouiller !", dit une voix venant de l'arrière des trois hommes et de Tony qui se faisait chatouiller. Dans la voiture, en entendant la nouvelle voix de quelqu'un d'autre qui voulait le chatouiller, le pauvre gars a gazouillé : "EH ???". C'est Leo qui s'est retourné, a vu et a dit à deux entraîneurs de sa salle de sport qui venaient de quitter leur poste : "Hey Ralph, hey Tommy..." "Hé, patron", dit Ralph. "Nous ne pouvions évidemment pas ne pas voir ce qui se passait ici, et oui, nous voulons absolument participer à la fête..." Sans un mot, Alex et Ronald laissent Ralph et Tommy prendre les pieds de Tony dans leurs poignées... ...et les deux entraîneurs personnels se mirent immédiatement au travail, commençant par chatouiller les talons rugueux de Tony à travers ses chaussettes transparentes... "WWWWHHHHEEEEE !!!!" fut la réponse de Tony lorsque ses talons furent chatouillés. "OH MY GOD you bastards, new bastards now tickling my poor feet !!!! HEEEEEEEE !!! La peau des talons est si fine... HEEEEEEEAAAAAAHHHHH, ce qui rend les talons d'autant plus... d'autant plus... HAAAAAA... chatouilleux... HEEEEEEE !!!!" Pendant que Ralph et Tommy chatouillent les talons de Tony, Leo ouvre son sac de sport, en sort une bouteille d'eau de source, se place de l'autre côté de la voiture et fait couler l'eau sur le visage de Tony. "Merci Léo, merci ! !!" Tony gémit et rit en faisant pénétrer le plus possible d'eau fraîche et rafraîchissante dans sa bouche, à travers ses lèvres tremblantes et dans sa gorge. Quelques minutes plus tard, une fois la bouteille d'eau vide, Léo est revenu vers Alex, Ronald, Ralph et Tommy. Il vit qu'Alex et Ronald étaient de nouveau en train de chatouiller les pieds chaussés de Tony. "Combien de temps avez-vous l'intention de lui chatouiller les pieds ? demanda Leo. "HEH, eh bien, nous n'avons nulle part où nous devons être avant la fin de la soirée," dit Alex en riant. "Donc, de la façon dont je vois les choses, moi et Ronald pouvons le chatouiller pendant les prochaines heures". "NOOOOOO, OH NOOOOOOO !!!!" Tony grogna à travers son rire impuissant, sa belle tête arquée en arrière à cet endroit du siège de la voiture. "HEEEEEE, HEEEEE, HAAWWWWW, j'ai une femme et des enfants à ramener à la maison...HHHAAAAWWWW, HAWWWWWW, à ramener à la maison !!!! OH GOD, STOP, PLEEEEEEZZZZ, s'il vous plaît laissez-moi partir déjà !!!! Vous vous êtes tous amusés avec mes maudits pieds !!!" "Qu'est-ce qui nous a amusés avec toi ?" s'exclame Ralph. "Tommy et moi n'avons pas eu assez de plaisir à chatouiller tes jolis pieds chaussés." "P-PRETTY, HEEEEEEEEE, PRETTY SHEER SOCKED FEET, HEEEEEEEE... si j'entends ça encore une fois... HAAAAAA !!!!!" Tony s'esclaffe follement. "Je jure que je ne porterai plus jamais de chaussettes transparentes... HHHAAAWWWWWW, même pas pour le travail !!!!" "Bon, il faut que je me mette en route les gars, comme Tony, j'ai une femme et des enfants à retrouver", dit Leo en serrant la main d'Alex et de Ronald, tandis que Ralph et Tommy se mettent rapidement à chatouiller les pieds du pauvre Tony. "Merci de vous être amusés..." "OH SURE, HAAAAA, HAAAAA...tu rentres chez toi Leo !!!!" Tony gloussa, se redressant sur ses coudes, trempé de sueur et riant...riant...riant... "Mais je dois rester ici pendant que ces gars torturent mes pauvres pieds...EEEEEEEEEEE !!!!" "Comme le disait cette chanson, ce sont les pauses," dit Léo, pressa l'un des gros orteils de Tony à travers sa chaussette transparente et se dirigea vers sa voiture. "HHHHAAAAA, HAAAAAA, oh si drôle tu es Léo", s'écrie Tony. "Si drôle indeeeeeeeee...EEEEEEEEEEEEE...en effet..." Alors que Ralph et Tommy continuaient à chatouiller les pieds de Tony, Alex regarda sa montre et ses yeux s'écarquillèrent comme des soucoupes. "Merde, ça fait presque une heure qu'on est là, Tony, le chatouilleur, en prend pour son grade", dit Alex. "C'est là que tu te trompes, espèce de salaud visqueux, HAAAAWWWW, HAAWWWW !!!!" fut la réponse de Tony. "Je ne peux pas le supporter... Je ne peux pas le supporter !!!! S'IL VOUS PLAÎT, ARRÊTEZ DÉJÀ !!!!!" "Hé, les gars, nous avons chatouillé ses pieds avec ces chaussettes transparentes qui sentent mauvais", dit Tommy. "Et si on lui chatouillait maintenant les pieds avec ses chaussettes sans ses pieds... pour l'heure à venir ? Alex, Ronald, Ralph et Tommy ont tous ri aux éclats... ...et Tony rit avec un sentiment de malheur... "Putain de pervers ! !!" Tony s'est mis à tituber depuis l'intérieur de la voiture. "Vous pouvez avoir mes putains de chaussettes !!! Laissez-moi partir et s'il vous plaît, PLUS de chatouilles..." ...mais les paroles du chatouilleux furent à nouveau interrompues, alors qu'il regardait avec effroi Ralph et Tony passer la main sous le bas de son pantalon de sport et tirer ses chaussettes transparentes jusqu'au mollet... ...et l'enlevèrent. "OH NON, NO !!!!" Tony a plaidé dans l'oreille d'un sourd, semble-t-il... ...alors qu'il voyait ensuite ses chaussettes remises à Alex, qui s'empressait de les empocher. Et une fois de plus, le chatouilleux partait dans une nouvelle crise de rire... ...et Alex et Ronald, puis 10 minutes plus tard, Ralph et Tommy se relayaient pour chatouiller ses pieds nus, humides et en sueur... "AAAAAYYYYYYYYY !!!!! HAAAAAAAA, HEEEEEEEE, salauds, vous êtes tous des fous ! !!" s'écrie Tony entre deux éclats de rire. "Si je pouvais avoir mon téléphone portable, j'appellerais les flics et vous iriez tous en prison... HEEEEEEE, OH MY GOD, en prison... HAAAAHAHHHHHAAA, pour agression par chatouilles !!!" Alors qu'il chatouillait l'un des pieds de Tony, Tommy a ajouté : "HA, ce serait une première, arrêté pour agression par chatouillement". "Je pense que si les flics se présentaient, ils se joindraient plus que probablement au plaisir des chatouilles", dit Alex d'un ton narquois. "Oh, quelle horreur ce serait pour moi, HEEEEEEEE, HEEEEEEE !!!!!!" Tony s'époumone. "Quand est-ce que ça va s'arrêter ? HAAAAAA !!!!!!!" "Quand ta deuxième heure de chatouilles pieds nus sera écoulée, peut-être, et c'est un gros PEUT-ÊTRE gars chatouilleux, peut-être qu'on s'arrêtera", a dit Ralph. Tony a répondu : "OH GOD, OH GOD, HAAAAA, HAAAAA, HAAAA !!!!". "Deux heures de torture de chatouilles non-stop !!!! HEEEEEE, HEEEEE, HAAWWWWWW, vous êtes tous des sadiques, des tortionnaires !!!" Au bout de la deuxième heure de chatouilles, alors que Tony pensait ne plus avoir de souffle ni de rire, il poussait des cris qui ressemblaient aux do aigus d'un chanteur d'opéra... ...tandis que les deux entraîneurs personnels lui chatouillaient chacun le pied gauche nu... ...tandis qu'Alex et Ronald lui chatouillaient chacun le pied nu droit... Et cette fois, le chatouilleux était totalement incapable de formuler des mots cohérents pour plaider sa cause... Peu de temps après... Après que les quatre jeunes hommes aient enfin, ENFIN, lâché ses pieds et cessé de les chatouiller, il semble que Tony ne s'en soit même pas rendu compte... ...car tandis que Ralph, Tommy, Alex et Ronald se dirigeaient vers leurs voitures respectives sur le parking du gymnase, Tony continuait à rire de façon incontrôlable... C'est lorsqu'il regarda par hasard hors de la voiture et vit deux jeunes gens qui s'entraînaient dans la salle de sport se diriger vers leur voiture que l'esprit de Tony sembla revenir à la réalité... "HEEEEE, HEEEEEE, HEEEEE... Oh putain de merde !!!" s'écria-t-il en tirant ses pieds nus dans la voiture et en serrant ses genoux contre lui. "Oh mon Dieu, c'est fini, c'est fini, c'est fini... ces putains de salauds m'ont chatouillé à un cheveu de ma vie..." Tremblant, transpirant et avec des larmes de rire mêlées de colère dans les yeux, Tony sortit du siège arrière de sa voiture et s'installa sur le siège du conducteur, tremblant encore de la tête aux pieds. Alors qu'il s'installait sur le siège du conducteur, laissant la portière temporairement ouverte pour respirer l'air frais, il marmonna : "Putain de truc merdique qu'ils m'ont fait... ce n'était pas drôle du tout...". ...mais je dois rentrer à la maison, Carla doit se demander pourquoi je suis restée si longtemps à la salle de sport... ...elle pense probablement que j'ai été kidnappé ou quelque chose comme ça..." Alors qu'il se dirigeait vers la portière du conducteur pour la fermer et sortir ses baskets et ses clés de voiture de son sac de sport, l'avant-bras de Tony fut saisi par une sorte d'étau... "ULLLLPPPPPP...", sursaute le beau gosse. "Qu'est-ce que..." Tony est arraché sans ménagement à la voiture... ...et la prochaine chose que le gars épuisé par les chatouilles réalisa fut qu'il était porté en bandoulière par les épaules massives d'un entraîneur personnel, dans un portage de pompier à une main... ...et qu'on le traînait vers l'entrée du gymnase... "Je suis content que Tommy m'ait appelé avant que Ralph et lui ne partent et qu'ils m'aient parlé de vous, M. le chatouilleux", dit la brute qui porte Tony d'une voix très grave... ...une voix que Tony ne connaissait que trop bien... ...la voix de l'entraîneur personnel, massothérapeute et ancien marine, Bruce, l'entraîneur et massothérapeute le mieux payé de l'Iron Man Gym de Leo... La prochaine fois que Tony rit de façon incontrôlée, il se retrouve allongé sur le ventre sur une table de massage rembourrée dans la salle de massage de Bruce dans le gymnase, bien attaché et l'homme à la musculature colossale chatouille à nouveau le dessous des pieds nus de Tony... "OOOOOOOOOOHHHHHHAAAAAAAAA !!!!" Tony hurlait de rire, sa tête tournait comme sur une orbite inversée. "MON DIEU, oh mon DIEU, quelle journée pour moi, HAAAAA, HAAAAA, HHHHEEEEEE... et tout ça parce que j'ai voulu être prévenant et aérer mes maudites chaussettes... HHHHEEEEEEEEE..." La fin ???
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Nabil le sniffeur Histoire gay publiée le 25/04/2024
Un beau jour, alors que je descendais dans la cave de mon HLM, il y avait Nabil en bas des escaliers occupé à et frotter ses TN crades l'une sur l'autre. Le bobos un peu efféminé avait déjà une réputation d'être bisex dans le quartier. Pour en avoir le coeur net, je me suis approché et je lui ai pris la tête direct pour qu'il sniffe mon paquet à travers mon survet blanc. Il n'a pas résisté une seconde et a commencé à me caresser le paquet qui gonflait rapidos. Suite à çà, je l'ai bousculé et je lui ai mis ma TN bien odorante sur la tronche en appuyant bien sur son visage (tellement fort que sur sa joue, y avait imprimé TN). Je l'ai ensuite emmené dans ma cave et on s'est déssapé tous les deux, on a sniffé, décrassé mutuellement nos skets. On a fini a poil en TN au yep et je lui ai défoncé son boule avec ma grosse teub pendant qu'il avait mes sneakers (qui trainaient dans la cave) sur la gueule. Nabil était tellement excité qui a craché rapidos une première fois pdt que je le pilonnais puis une deuxième fois après que je lui ai balancé mon foutre sur sa gueule. Lui a juté sur mes TN et les a léché. La totale pour les rendre propres avant qu'on se quitte en se promettant de se revoir. Depuis, on se croise régulièrement en bas de ma cité et parfois on se cale dans un coin et on recommence.
Mon plan cul à Tanger au Maroc Histoire gay publiée le 25/04/2024
Wesh l’équipe ça va ou quoi ? C'est le rebeu versa passif+++ de Lyon. Je reviens vous faire bander les amis, avec mes plan cul. Donc je rappelle je mesure 1,83 pèse 76 kg brun, les yeux noisette sportif, boxeur amateur, bogoss et viril. Cà se voit pas du tout, uniquement quand je suis en mode passif, je suis une vrai salope mdr. Ce plan c'est passé au Maroc au mois de février passé. Je suis de passage sur Tanger, très belle ville au passage, du coup je suis de passage et décide de me connecter à domiaddict et en se moment ma came c'est les jeunes de 20 a 24 ans skinny avec de bons zobs et surtout les footeux. Du coup je me connecte et je tombe sur un profil que je kiff le pelo de 21 ans mesure 1,87 pour 69 kilo il a un zob aussi long que large 20*6 il me dit que là il va faire un match en ville près de la corniche et qu'après il sera dispo. Du coup moi je tiens plus en place. Je vais sur la corniche pour essayer de repérer le pelo. Ils sont une quinzaine de beaux mecs tous entre 18 et 22 ans tous skinny tous bogoss de fou des marocains des vrais. Je bande comme un dingue dans mon survet et là, je repère l’étalon, il est vraiment bogoss et je pense qu’il a capté que c'est avec moi qui a parlé sur le tchat parcequ'il se tourne souvent vers moi en se touchant le zob. Bon ! après ici les jeunes kiffent se toucher le zob en public mdrr... Bref il joue, quand il a fini, il se pose sort son téléphone et me dit qu’il a fini qu'il va aller prendre une douche. Je lui répond vu comme tu t'es donné sur le terrain t'as besoin d’une bonne douche et d’une bonne pipe sous la douche. Il me répond, suis moi on va chez moi, je suis seul comme ça, je prends ma douche pendant tu me suces. Il se lève et prend le chemin de chez lui. Je lui emboîte le pas. Arrivé chez lui on parle, on se présente, on rigole puis on va à la douche ensemble. On se fou à poil comme si on se connaissaient depuis longtemps et une fois sous la douche on s’embrassent et je commence à nettoyer sa teub et ses boules. Il commence à bander fort, très fort, sa queue est impressionnante et magnifique en même temps je le met à genoux pour le sucer. Je lèche le gland, il kiff comme un fou et me le fais savoir. Ensuite j’attaque le morceau en bouffant petit à petit son zob il kiff et gémie. C'est un kiff ce pelo, ensuite je prend sa teub en gorge profonde. Il est choqué et me dit que habituellement les mecs on peur de l’avaler entièrement. Il kiffe, je continue à le sucer en me branlant, après 25 min de branle et de suce il me dit qu’il va gicler. Il me prend par les cheveux et me baize la bouche avec vigueur et d’un coup sors son zob pour me faire une faciale comme jamais. Il m’en a mis partout. C’était trop bon je nettoie sa teub et me relève pour me laver le visage. Lui est appuyé contre la paroie de la douche épuisé vidé mdrr. Il me dit on passe la soirée ensemble stp ? Je lui répond avec plaisir la suite très vite les amis ……
Plan cul avec des beurs gay et bisex en direct live
L'embauche de mon commercial Histoire gay publiée le 23/04/2024
En tant que responsable d'une petite entreprise à Orléans, je suis actuellement en plein recrutement d'un commercial. Nous avons peu de moyens et l'offre n'est pas très attractive, j'ai peu de candidature. Il y a quelques jours, je reçois cependant un jeune trentenaire qui a répondu à l'offre. Nous avons échangé par téléphone. Il m'indique s'être installé dans le coin depuis quelques mois, avoir trouvé un travail alimentaire qui ne le satisfait pas, et chercher autre chose. Je lui ai proposé que nous puissions nous rencontrer, ce qu'il a accepté bien volontiers. En ce moment, je suis en manque, et je cherche sur plusieurs applications bien connues. J'ai échangé ces derniers jours avec un black, bien domi, qui cherche une lope. Il a exigé quelques photos, sans rien montrer de son côté. Je sais juste qu'il a 32 ans, fait 1,75m pour 78 kg et à une grosse queue épaisse. Je reçois donc ce monsieur pour l'entretien d'embauche, qui est agréable. Nous échangeons pendant près d'1h30. Régulièrement au court de l'échange, il se touche les couilles. Je vois progressivement une belle barre se dresser, même s'il ne bande pas complètement. Nous terminons l'entretien en prévoyant de se revoir, nous nous saluons et il quitte mon bureau. Il faut préciser qu'il est 19h et que tous les autres salariés sont partis, je suis seul. Il monte dans sa voiture mais ne part pas tout de suite. De mon côté, je range mes affaires afin de rentrer chez moi. C'est à ce moment là que je reçois une notification sur mon portable du black avec qui j'ai échangé sur l'appli : "T'es vraiment une belle salope, tu m'as donné la gaule tout au long de l'entretien. Vas mettre la clé sur la porte extérieure. Et fous toi à poil dans ton bureau". Ma surprise est énorme. Je ne réponds pas. Nouvelle notification : "Tu crois que tes employés aimeraient recevoir les belles photos que j'ai de toi ?" Je suis pris au piège. Et en même temps, je dois avouer que ce mec m'a plu, tant dans nos échanges sur l'appli que lors de notre rencontre. Et le mode salope prend le dessus. Je vais poser les clés sur la porte extérieure, et reviens dans mon bureau. Je jette un œil à l'extérieur pour voir ce qu'il fait. "C'est bien, je vois que t'as compris le message. Je te veux à poil, à genoux, mains sur la tête. Montre-moi ta vraie nature ?" Je m'exécute. Moins d'une minute plus tard, je l'entends rentrer et fermer la porte. Je finis de me déshabiller et prends la position qu'il souhaite. J'ai éteint la lumière, on est dans la pénombre, de l'extérieur, on ne voit pas ce qu'il se passe. J'attrape dans mon sac, mon poppers que je garde dans la main. Et je l'attends. C'est la première fois que je me retrouve dans cette situation, c'est très humiliant. Et aussi très excitant. Depuis 3 jours, je porte en permanence un gros ballstretcher de 600g qui m'étire bien les couilles. Elles sont hyper sensibles et à poil, elles pendent bien. Et ma petite bite est toute rabougrie. C'est comme cela qu'il me trouve à côté de mon bureau. Il a pris son temps pour arriver en mode pacha. "T'es vraiment une salope. Je pensais pas que t'en était réduit à ça. Baisse les yeux et ouvre la bouche." Il s'approche, dégrafe son jeans, baisse son boxer, sort sa queue et me la met direct en bouche. Je commence à vouloir la lécher. Il me met une grande calotte derrière la tête. "Bouge pas. Je t'ai rien demandé et tu fais uniquement ce que je te dis." Il laisse sa queue dans ma bouche, sans bouger. Je sais qu'il aime ça, il me l'a dit. Il a exigé une totale obéissance. Avec son pied gauche, il joue avec mes couilles, comme avec une petite balle. Ca a beau ne pas etre fort, je le sens bien. Et ça me fait couiner. "Bouge pas. Ou t'as plus de couilles !". Et à ce moment-là, je sens quelque chose couler de sa queue. Il se met à pisser. "Avale tout. On ne gaspille pas ce qui vient de son Boss". Malgré la surprise, j'ai refermé ma bouche sur sa queue pour que rien ne coule et j'avale comme je peux. De son côté, il maîtrise le flux. Mais il a quand même une énorme envie et la situation dure un bon moment. Il continue à me taper dans les couilles. Concentré sur sa queue, je ne me suis pas rendu compte qu'il a augmenté la force et la cadence. C'est quand il a fini de pisser que je m'en rends compte. Ca commence à être dur à supporter. "Putain, t'es une vraie chienne toi. Je suis content de toi, t'encaisse bien pour le moment. Je veux voir jusqu'où tu peux aller. Alors, débrouille-toi pour tenir." A ce moment-là, il sort sa queue de ma bouche et fait un pas en arrière. Et à la place de sa queue, il me met trois doigts dans la bouche, et va explorer le fond. "Suce bien", ce que je fais. Avec son autre main, il vient prendre les miennes sur la tête et les empoigne fermement. "T'as quoi dans la main. Donne. Du poppers ? très bien..." Il attrape le flacon, l'ouvre et me le met sous le nez. "Vas-y prends-en un max, tu vas en avoir besoin". La dose est énorme, surtout comme ça direct d'un coup. Ca me fait partir direct. Et là, il commence à me latter véritablement les couilles. C'est très dur, je me concentre sur ses doigts dans ma bouche. Mais je couine. Il m'a repris les mains et m'empêche de me tordre en deux. Ça dure bien un longue minutes. J'en peux plus. Il arrête, me lâche les mains et va attraper mes couilles. En tirant dessus, il me dit : "Debout, salope. Ça te sert vraiment à rien ça". Et il sert au max tout en continuant de me tâter le fond de la gorge avec 3 doigts. Mes couilles sont à vif. Je suis à sa totale merci. Heureusement que le poppers fait toujours effet. "Montre ta chatte". Et par mes couilles qu'il étire au max ver le haut, il me fait tourner. "Penche toi. Écarte ta rondelle avec tes mains". J'attrape mes deux fesses et lui offre ma rondelle. La, il me sort les doigts de la bouche et les positionne direct sur mon cul. Tout ça m'a bien excité et mon cul s'ouvre direct. Il y rentre aussitôt ses trois doigts bien lubrifiés par ma salive et va directement au fond. "Tout ce que j'aime, tu m'as pas menti. Bouffe moi la queue maintenant." D'une main, il m'étire toujours les couilles ; de l'autre, il m'ouvre le cul en écartant bien les doigts et en allant au plus profond de moi. Moi je suis plié en deux, et je doit me contorsionner pour attraper sa queue en bouche. Elle a doublé de volume. Un bon 22x7. Elle est énorme, et surtout hyper dure. Il il me met des grands coups dans la gueule. J'encaisse. Je me sens à ma place. C'est un vrai domi comme j'aime, et en plus un bon black, un magnifique mâle, puissant, qui sait s'occuper d'une lope comme moi. Je ne sens plus mes couilles. Il ne les lâche pas, fait rouler chacune de mes boules dans sa grosse main, tout en tirant à fond la caisse dessus. Il sort sa queue de ma bouche alors que je commençais à manquer d'air, me retourne, me colle à plat ventre sur le bureau, et m'enfile direct sa grosse queue dans le cul, dans lequel il a aussi laissé un doigt. Il me tient toujours les couilles qui me remontent maintenant jusqu'au nombril. Sa queue est au fond de moi, il essaie de faire rentrer un 2e doigt. J'ai mal. Il sort sa queue, met le 2e doigt et rentre direct sa queue. Et il commence un pilonnage en règle. "Enlève ton tire couilles-là, ca me fait mal aux doigts." - "Je peux pas, Boss, c'est pas moi qui ai la clé". A cet instant, il sort de mon cul, me retourne sur le bureau, pour disposer de ses deux mains. Avec la première, il m'attrape une boule sur laquelle il tire, et avec l'autre, il pousse la 2e boule à travers l'anneau qui m'enserre les couilles. "Gaze-toi car je veux pas que tu gardes ca. C'est moi ton boss maintenant. C'est moi qui décide de ce que tu portes et ce que tu fais." Je le sens en colère. La douleur est grande. Alors je me dépêche de me gazer pour repartir le plus loin possible et etre à sa disposition. Ma première boule s'engage difficilement dans l'anneau. J'ai l'impression qu'elle va éclater. Il pousse à fond. Et elle passe. Un vrai soulagement. Alors il attrape le ballstretcher et tire dessus. Si la première boule était bien descendue, la deuxième se met en travers. Je gueule, c'est ignoble. Mais finalement ca passe. Il me relève les jambes, m'enfile direct sa queue et essaie maintenant de mettre 3 doigts avec. Ça finit par rentrer. Il annonce le 4e et continue à me tringler. Sa queue tape au fonds, le plaisir est là en même temps que la douleur. Il a repris mes couilles et me soulève littéralement par les couilles. Je suis comme en lévitation. Ca dure comme ca bien 5 ou 6 minutes. Je couine ce qui l'excite je le sens bien. Et la il jouis dans mon cul, se vide littéralement. Je sens une quantité énorme. "Ça fait une semaine que j'ai pas juté. Fallait que je t'engrosse. T'es marqué au jus et à la pisse. Tu m'appartiens." Il sort sa queue et me la met en bouche. "Nettoie moi ça". Je m'applique à enlever toutes les traces qui m'acculent sa queue. C'est aussi pour moi la première fois que je goutte son jus. Humm, délicieux. Ses quatre doigts qui eux n'ont pas quitté mon cul rentrent maintenant plus profond, ca force avec le poing. "C'est pas fini, gaze toi". Ce que je fais. Sans forcer, avec délicatesse même, en moins de deux minutes, il a son poing dans mon cul. C'est le premier de toute ma vie. Et la sensation est énorme. Je le sens bouger à l'intérieur. Étendre ses doigts pour avancer. Et je le sens rentrer encore plus profond. "Tu m'avais pas dit que tu te faisais fister, salope". - "C'est la première fois, Boss". "Ah oui ! T'es faite pour ça. C'est quand la dernière fois que t'as juté ? "Hier, Boss" " Et maintenant, c'est moi qui décide quand tu te vide les couilles. Je vais te cager pour en être sur. En attendant, tu vas juter maintenant. Branle toi." Son poing dans mon cul me travaille fort la prostate après sa queue. Il m'étire les couilles a fond, je les sens plus, ca me remonte jusque dans le ventre. Mais je me suis mis à bander. J'attrape ma queue et à peine je l'effleure que je me vide. "C'est bien ma truie. Étale ce jus sur ton ventre, je veux que t'en ai partout." Je m'exécute. Il sort d'un coup son poing de mon cul. J'ai l'impression que tout bien avec et la sensation de vide est énorme. "Bon on va se revoir..." Il se rhabille sans rien dire de plus. Et s'en va. Comme ça. Je suis toujours couché sur mon bureau. Il me faut bien 5 minutes pour reprendre mes esprit. J'ai horriblement mal aux couilles. Et je sens plus mon cul, son jus dégouline le long de ma cuisse. Je mets bien 15 minutes à me rhabiller et je rentre chez moi prendre une douche. A 23h, j'ai un message sur l'appli : "Demain, je veux une offre d'emploi pertinente en accord avec mon savoir faire."
 Soirée trash Histoire gay publiée le 22/04/2024
Hier soir j’ai servi de lope et de vide couilles au trash de Marseille en bas dans la salle, deux mecs m'ont attaché les poignets. Il m’ont forcé à mettre mes nike tn neuve des tn de mon anniversaire dans la poubelle du backroom. Ils m’ont dit t'inquiètes pas, ils vont te les baptiser au jus, je me suis retrouver en cho7 et toute la soirée ils m'ont limé la bouche et le cul. J’avais au moins 15 spermes différents dans le cul et c’était pas fini. J’ai vu un rebeu super beau bien monté qui m'a fixé du regard toute la soirée. Il a dit purée tu encaisses grave toi et j’ai vu tesi tn dans la poubelle elle ont pris cher. Là on discute et j’ai trop envie de finir au bout de sa bite alors je le suce pendant au moins 20 min. Il me fait sentir ses tn utility noire et ni une ni deux il commence à me déboîter le cul. J'étais tellement lubrifié au jus que ça glissait tout seul. Il m’a pris dans toute les positions. J’ai sniffé ses skets à donf, cette odeur de mal m'a exité grave j’avais ma teub dans sa sket pendant qu’il m’enfonçait, j’ai réussi à jouir dedans en 10 min. Il était vénère car il voulait pas, ses skets pleine de jus. il m’a insulté ma race et au bout de 1 h il c’est vidé sur ma gueule tient prend ça salope ! Il m’a remis sa teub dans le cul dégoulinant de jus et c’est essuyé le gland sur mes cho7 et j’ai avalé son jus chaud. Il m’a ordonné de nettoyer ces skets avant de les remettre. Le kiff ont doit ce revoir, miam on a échangé nos 06 et moi j'ai remis mon jogging et mon t-shirt qui traîné plus loin bien tâché. En partant j'ai remis mes tn dans la poubelle qui avait servi de vide couilles et il y avait au moins 20 capotes pleines dedans et d’autres où le jus avais coulé dedans et des mouchoirs ou les mecs c'étaient essuyés le gland. J’ai enfilé mes tn malgré toute la purée. J’ai mis les cho7 qui collaient dedans. Je vous dit pas le soir quant je les ai enlevé à la maison, l’odeur était hard des tn noires neuves refaites au jus d’au moins plusieurs mecs j’avais le cul démonté aussi. J’ai dormi comme un bb direct et j’ai gardé les cho7 au pieds puantes salies au jus.
 Le rebeu du Bois de Vincennes Histoire gay publiée le 15/04/2024
Cette histoire est totalement vraie et m'est arrivé hier. Dans ma vie quotidienne, je ne suis pas efféminé. En me regardant, c'est difficile de savoir à quel point je kiffe la bite et comment je trouve ma vraie place à genoux devant une teub bien raide. Mais quand j'ai devant moi un vrai mâle, je deviens une vraie salope bien affamée qui ne demande qu'à se faire remplir encore et encore. Et ma faiblesse, évidemment, sont les rebeus. Quand un maître arabe fait de moi sa femelle, c'est là que je trouve le sens de ma vie. Revenons à l'histoire. Vers 22h j'étais passé au Bois de Vincennes pour prendre ma dose de jus de rebeu, et je m'avais déjà fait remplir la chatte par un marocain et la bouche par un autre mec. Passé minuit, même si j'avais toujours faim et soif, il n'y avait plus rien d'intéressant donc j'étais sur le point de rentrer chez moi, quand je vois un beur bien beau gosse, environ 1m80, barbe de quelques jours, regard assez sombre et habillé en survet noir, se diriger à pas décidés vers le lieu plus fréquenté pour draguer. Je fais demi-tour et je le suis. Il arrive au coin, traverse entre les arbres, passe d'un chemin à l'autre et continue sans faire attention à personne. Je le croise et essaie de capter son attention, mais sans succès. Le mec sort de l'autre côté du secteur et continue sa route comme s'il ne cherchait rien. Je décide de le suivre et j'accélère afin d'essayer de passer devant lui. Il se dirige vers une partie assez sombre et solitaire du bois, je marche quelques mètres derrière lui, il ne se retourne pas. J'accélère, je passe à côté, on se regarde mais genre normal, comme on regarde n'importe qui dans la rue. Aucun geste, aucun signe. Je continue à marcher vite afin de gagner une distance de quelques mètres devant lui, et continue à marcher. On continue comme ça environ 5 minutes. À un moment donné je me penche en faisant semblant d'ajuster mes chaussures, bien cambré pour le chauffer. Il est environ 4 mètres derrière, mais il ne dit rien, même pas un son. Je passe de droite à gauche du chemin, je croise d'un côté à l'autre, ne suis même pas sûr qu'il est intéressé, mais je continue en faisant attention à ne pas trop m'éloigner. Je vois un endroit assez discret, séparé du chemin principal et où il y a des banquettes, donc je m'y dirige. Le mec me suit, c'est bon, j'ai la confirmation. Je m'assois sur un banc, le mec s'assoit à côté sans rien dire, sans même me regarder, et écarte bien les jambes. Je n'ai pas besoin de plus de signes, je me mets direct à genoux entre ses jambes et commence à toucher sa bite, déjà molle. Je la sors du survêt et la mets dans ma bouche, et je la sens durcir au max. Un bon morceau, on dirait environ 18 cm et bien grosse. Le mec se laisse faire, la tête penchée en arrière, les yeux fermés. Il kiffe ma pipe et je m'applique en gorge profonde. Après quelques minutes, il me prend entre ses bras, me mène au niveau de sa tête et commence à me rouler des pelles. Qu'est-ce qu'il embrasse bien ce mec ! Je sens sa langue partout. Il est bien passionné, en même temps il touche mes fesses et me caresse partout. Sa bite va exploser. Je le suce encore un peu, après je descends mon pantalon, me retourne et m'empale sur sa teub. On est dans un parc et on s'en fiche. Il me baise et je sens ses couilles taper forte contre ma raie. Je me lève et lui dis de me suivre, on va derrière un arbuste et je lui demande de me baiser. Il ne se fait pas supplier et me défonce comme il faut. Je sens son corps contre le mien et ses coups bien au fond de moi. Au bout de quelques minutes, il me demande doucement à l'oreille si je veux son jus dans moi, et évidemment je réponds oui. Je sens sa teub se raidir et son jus me remplir complètement. Il me donne encore quelques coups et finit par sortir sa bite. Je me mets à genoux direct pour la nettoyer, et je vois avec surprise qu'il bande encore. J'avale les dernières gouttes de jus et je continue à lui sucer, et le mec ne s'arrête pas et m'enfonce sa teub dans ma gorge. Je posse sa mans derriere ma tête et il comprend, il se défoule et me pilonna la bouche encore quelques minutes. Après il se sépare, range son matos dans son pantalon, me sourit et me dit d'un ton amical : "ça a été sympa", et se barre sans même se retourner.
Baise en forêt Vidéo gay. Durée: 16 min
 Les deux potes (la suite) Histoire gay publiée le 15/04/2024
Comme expliqué lors du précédent chapitre Mohammed et Samir ce sont occupés de me faire couiner pendant leur séjour dans le sud. Après la fameuse nuit dans leur hôtel, j’ai revu mes deux arabes un soir sur une plage de notre département où ils voulaient faire un bain de minuit… A l’heure du rendez-vous, en pleine nuit, j’ai rejoint les deux mâles sur la plage où ils étaient déjà nu et couchés sur leur serviette. Personne en proximité pour nous déranger. Je me suis mis à 4 pattes entre les deux mâles et j’ai commencé à pomper les deux bites en me disant que j’allais passer un bon moment à 3 comme la dernière fois. Pendant que je pomper, Samir utilisé son portable pour me filmer. Je lui fis la réflexion et il me dis : t’inquiète pas ! c’est pour deux autres potes vacanciers qui vont arriver… Je commençais à paniquer. Mohamed sentis que j’étais perturbé et pour me détendre me galocha en me disant tu vas kiffer on veut juste s’amuser… Il me demanda de chevaucher sont 22/5… ce que je fis… Samir me donner à téter pendant que je sauter sur la bite de Mohamed. D’un coup, un flash de téléphone se rapproché. c’était leurs potes. 2 blacks bien gauler qui à peine arrivé me fis pomper leur bite. J’étais à cheval sur la bite de Mohammed et 3 bites devant ma bouche. Les deux blacks avait des engins assez long…23/24 cm je pense. Samir eu l’idée de demander à chacun de se coucher et j’ai eu l’ordre de chevaucher chacun à tour de rôle… C’était formidable… il y avait alternance de moment tranquille avec galoche pour que je m’habitue aux engins et des moments où ils soulevaient leurs bassins à fond pour me déboîter. Après 15 min de se traitement, un des blacks me serra contre lui et a demander à son collègue de venir le rejoindre dans mon cul….je paniquais et je lui dis que ça aller être impossible avec leur monstre. Il sortit une fiole de Popers de sa sacoche et me dis de sniffer pour me détendre…. Une fois dans les vapes les deux ont commencé à forcer mon cul… mon anneau céda avec un cri qui sortie de ma bouche. Pour éviter trop de bruit, Mohamed m’étouffa avec sa bite…Samir filmait la double pénétration. Cela dira pendant 10 min et les rôles ont changé. Les deux arabes dans mon cul et les deux blacks alternant dans ma bouche… D’un coup je sentis les rebeux se vider dans mon cul, les deux blacks se masturber pour me gicler sur le visage. Après cette baise intense, nous sommes allé se baigner nu dans la mer pour se rincer. Ensuite nous avons discuté, et j’ai compris le besoin de sexe chaud qu’avaient les mecs de quartiers.
Les deux potes rebeus Histoire gay publiée le 14/04/2024
Un soir en recherche de plan sexe sur domiaddict, je suis tombé sur l’annonce suivante: Deux potes rebeu en vacance sur Perpignan envie d’un plan avec une lope soumise. Moi 30 ans 177cm 70 kg brun type espagnol sportif….. J’ai répondu à l’annonce. Suite à différents échanges je me retrouve en pleine nuit à taper à la porte de leur chambre d’hôtel. Le mec qui m’ouvre est à poil. Grand arabe bien foutu avec un matos de 22x5 déjà bien tendu. Il m’a mis de suite à genoux pour le pomper. J’alternais entre gorge profonde et léchage de couille pour exciter à fond se beau mâle. Au bout de 3 min il me leva par les cheveux pour m’amener sur le lit où son pote était couché la bite tendu. Un 17cm d’une super épaisseur, style cannette de coca…. A peine sur le lit, que le mec couché viens me mettre sa bite en bouche en se couchant sur ma face. Il me baisa littéralement la bouche. Pendant se temps, le premier mec me releva les jambes pour travailler ma rondelle. Il alternait entre crachat, coup de langue et doigts pour bien m’ouvrir. Au bout de 5 min de se traitement, ils m’ont mis à 4 pattes pour m’embrocher de chaque côté. J’ai subis une alternance des 2 bites dans mes orifices pendant 15 min. Entre baise, suce, insultes, crachats et fessées ils se sont défoulés…. Ils ont finis sur ma face en se branlant pour faire une énorme facial. Je pensais que le plan se finirait là, mais qu’elle fut pas ma surprise quand ils m’ont levé pour me mettre dans la baignoire et qu’ils m’ont pissé dessus. Il me traiter de salope et me disait qu’il me rincé pour continuer leur défoulement… En effet, il m’ont remis sur le lit pour encore me faire couiner et finir en double pénétration avec un remplissage en règle. Ils m’ont laissé me doucher. Avant de partir nous avons discuté. J’ai appris qu’ils s’appelaient Mohamed et Samir, 2 footeux de la région Parisienne en vacance pour profiter de nos plages du sud. On a garder contact pendant leur séjour, où ils ont profiter pour pousser mes limites…
Deux cailleras de cité, transforment Lucas en bon passif Vidéo gay. Durée: 22 min
Histoire gay d'Eliot publiée le 12/04/2024
J'ai accompagné un ami à sa séance de lutte l'autre jour. Je l'ai regardé lutter environ 1 heure. Puis il s'est arrêté de s'entrainer et il a discuté avec le mec contre qui il combattait. Zoubir c'est mon pote, il a les cheveux noirs, une belle bouche des pecs et des abdos au top. Il me fait bander rien en le regardant. Le mec avec qui il parlait était un black, cheveux rasés, des bras et des jambes à désintégrer un taureau s'il l'attrape. Puis zoubir est venu vers moi et m'a demandé avec son regard noir et perçant, "on y va, j'vais prendre une douche tu m'suis" ? Cela n'était manifestement pas une question, c'était plutôt un ordre. Pas de problème pour moi, je l'ai suivi aux douches, il n'y avait personne. Zoubir s'assoit sur un banc et commence à se toucher la bite au travers de sa tenue de lutteur hyper moulante. Il me dit direct: "viens me faire une gâterie", avec son sourire carnassier. Je me suis mis à genoux, il sentait la sueur mais je m'en fou. Il attrape ma tête et me la sert contre son bas ventre, sa queue était déjà dure. Il a enlevé sa combi et m'a tendu sa teub (24cm) le gland luisant de mouille. J'ai enfourné le morceau dans ma bouche, il a aimé ça. Il a attrapé ma tête et a commencé à me niquer la bouche. Puis il m'a ordonné d'enlever mon froc. Bien entendu je me suis exécuté. J'ai pensé, il va me défoncer la rondelle, ça aussi j'aime. Mais non, il a voulu que je continu à le sucer. Mais j'ai senti un doigt me pénétrer le cul, j'ai voulu me retourner pour voir à qui était ce doigt, mais Zoubir m'a maintenu la tête en continuant à me niquer la bouche ! Le doigt qui venait de pénétrer mon anus travaillait de plus en plus mon cul. Puis je sent que l'on me graisse le fion et à la place du doigt je ressens comme une grosse batte, un gourdin énorme me perfore le cul. Zoubir lui rigole, "vas-y, éclate lui le cul à cette salope, elle aime ça ! Mon enculeur est rentré en moi, il me lime de plus en plus vite, heureusement maintenant mon cul en a pris l'habitude. C'est trop bon Zoubir me gicle sur la gueule et quelques minutes après c'est l'autre qui jouit. Je suis mort, ma bouche et mon cul me font mal, "va t'laver", me dit Zoubir, je me relève et je vois le noir de tout à l'heure assis sur le banc qui rigole avec zoubir. Il me fait un signe genre trop bon, à une prochaine. Après sa douche Zoubir fini de mettre sa veste en cuir, il sent bon, il m'attrape par les épaules et me félicite pour ceux qui vient de se passer. On part et il me ramène chez moi.
Vide-couilles à partager Vidéo gay. Durée: 26 min
 Le goût de soumission Histoire gay publiée le 07/04/2024
Bonjour, je suis un homme de 61 ans, 1.80 m 120 kg, Passif. Mon fantasme : être ta chienne, ta salope, sucer à la chaîne des bites. J'avais décidé de me lancer et de réaliser mon fantasme de soumission. Alors prenant mon courage, j'ai rédigé cette annonce et l'ai posée sur plusieurs pare-brise de voiture du foyer des travailleurs immigrés, boulevard du fier à Annecy. Le matin même, fébrilement, j'allais consulter ma boîte et hélas toujours rien. Ce n'est qu'au bout de trois jours que quelqu'un me répondit. Après quelques échanges de mails, de photos et d'une conversation téléphonique afin de nous assurer de la véracité de nos dires, il me donna rendez-vous un vendredi soir sur le parking devant le stade. Il me disait s'appeler Ahmed, il avait 35 ans et recherchait un passif assez soumis pour le baiser et après, le faire baiser par deux ou trois autres. J'étais très excité et m'étais bien branlé en pensant à cette aventure malgré l'appréhension de me retrouver à poil avec des mecs que je ne connaissais pas, et à l'idée de me faire sodomiser à la chaîne sans vraiment avoir de prise sur le déroulement de la soirée. J'arrivai juste à l'heure. C'était assez désert ce soir, il n'y avait pas de match. Très vite, un homme s'approcha de ma voiture. Il est assez baraqué. Il ouvre la porte et s'assoit rapidement dans la voiture, à côté de moi. De suite, il sort sa queue et me prend la main pour que je le branle, ce que je fais avec plaisir. Il a une queue de taille et d'épaisseur moyenne. Après un bref instant, il devint plus autoritaire " Suce moi salope ! " Je commence à le prendre en bouche mais dans la voiture, c'est vraiment pas évident et loin d'être confortable. J'y vais doucement mais en essayant d'en mettre le plus possible dans ma bouche. Il m'appuie brutalement la tête en avant et me met sa bite au bien au fond de la bouche et je manque d'étouffer. " Allez ! À fond chienne ! " Et il m'imprime un mouvement rapide de succion. Je l'avale de plus en plus, descends et remonte le long de sa tige, j'adore bouffer de la queue. Il grogne, m'insulte, j'adore. Puis après 5 minutes, il m'appuie à fond la tête, s'enfonce en moi et je sens son foutre m'inonder la bouche. " Avale tout grosse pute ! " Ce que je suis obligé de faire, ne pouvant me relever ou recracher tant sa bite est enfoncée dans ma bouche. " Tu es vraiment une bonne salope, on va passer aux choses sérieuses. Fous-toi à poil. " Je m'exécute, ce qui n'est pas chose aisée dans cette voiture, mais mes vêtements finissent sur la banquette arrière. Il sort soudain un petit sac avec des cordes et une laisse. Je me fais attacher les mains avec le cou. Puis il m'entrave de la laisse, il tire fortement dessus, mon visage se plaque contre lui, ce qui me coupe un peu la respiration. " Tu es à moi maintenant. Tu as voulu faire la pute. J'ai tout organisé tu vas en prendre de la bite, chienne. " Il sort de la voiture, m'obligeant à des contorsions pour sortir de son côté tout en évitant de me faire trop étrangler. J'ai un peu peur, me voir ainsi à poil dehors sous les ordres de ce mec. Heureusement, il ne faut que 30m pour aller jusqu'à l'entrée de l'immeuble. Notre entrée déclenche la lumière et c'est tout honteux que je le suis dans les escaliers déserts. Arrivés au deuxième étage, changement de décor, il y a du monde. J'ai un mouvement de recul et tente de me cacher mais les attaches de cordes m'en empêchent. De plus, mon mac tire sur ma laisse, m'obligeant à avancer, courbé en avant, mettant ainsi mon gros cul laiteux bien en évidence. Alors que je passe à côté de ces mecs, je suis peloté, fouillé des fesses, les commentaires salaces fusent. Il me fait entrer dans sa chambre et m'oblige à me coucher en avant sur la table centrale. Dans cette position, j'ai le cul à la limite de la table, ma queue est écrasée sous moi et ma tête se retrouve menton relevé à l'autre bout. Il vient ensuite positionner une espèce de coussin sous mon bassin et, en me ligotant les chevilles aux pieds de chaque côté, il offre bien en évidence mon cul à ses visiteurs. Les questions d'argent ayant été sûrement réglées à l'avance entre eux, c'est plusieurs mecs qui entrent pour profiter de moi. Je les suce à peu près 30 secondes chacun, à peine une queue sort de ma bouche qu'une autre y entre profondément. J'ai même parfois du mal à respirer. Je fais exprès de laisser couler des filets de salive de ma bouche. Je suis le centre d'intérêt et j'adore ça. Ils me mettent leurs couilles au niveau de la bouche et j'ai leur queue contre mon visage, c'est encore plus impressionnant avec certaines grosses queuePendant que je suce, je sens des mains qui me caressent les fesses puis un me caresse le trou du cul. Un doigt s'enfonce brutalement dans mon cul. Je suis en train de sucer deux queues, chacune leur tour, pendant qu'un troisième me doigte profondément. Il me fouille le cul tellement il va dans des endroits que je ne soupçonnais pas. En face, les deux m'enfoncent tous les deux leurs queues dans ma bouche en même temps. J'ai la bouche toute distendue mais j'adore ça. Le mec derrière moi arrête de me doigter. Je sens sa queue venir appuyer contre mon anus et enfonce sa queue jusqu'à ce que ses couilles touchent mes fesses. Je ressens une douleur pendant que le gland me pénètre. Il commence ses allées et retours sans même s'inquiéter de ma crispation et des mes suppliques d'y aller mollo. Il me lime pendant quelques minutes en prenant appui sur mes hanches pour bien s'empaler à fond. Puis un autre demande à m'empaler. L'autre laisse sa place, ce nouveau venu me tire alors vers lui jusqu'à ce que sa queue soit tout entière dans mon cul, j'ai un peu moins mal. Au bout de quelques minutes, il accélère le mouvement et pour la première fois, je pousse des petits cris, je commence prendre plaisir du cul. Un autre me bascule la tête en arrière et me met sa queue dans la bouche. Je le suce goulûment, c'est le pied. J'ai au minimum toujours trois bites autour de moi, je passe de l'une à l'autre, ils me tiennent la tête et me baisent la bouche en me traitant de salope. Maintenant je suce deux queues. J'ai donc deux bites dans la bouche et une grosse dans le cul. Le mec qui m'encule augmente le rythme et surtout enfonce sa queue au maximum. Il est penché en avant, il me tient les épaules et me met d'énormes coups de bites. J'ai mal mais le plaisir et tellement grand que je prends mon pied. Ceux qui étaient dans la pièce après avoir tous joui, soit sur mon visage, sur mon dos, voire dans ma bouche, se retirent. Et d'autres entrent et ils se mettent tous sur moi. Ils me baisent dans toutes les positions mais encore plus fort. La douleur est plus grande mais le plaisir aussi. Ils font tout pour enfoncer leur queue le plus profond possible, ils s'appuient de tout leur poids sur leur bite, je suis littéralement empalé. Des bites plus grosses que d'autres agrandissant mon cul à chaque passage. Ils se déchaînent et me baisent par tous les trous. Maintenant j'en peux plus, la douleur de mon cul, ouvert à vif, se réveille. J'attends que ça se finisse, j'ai plus de salive et ce n'est pas facile de les sucer, alors je les branle mais tous veulent finir dans ma bouche ou dans mon cul. Mon cul plein de sperme fait un bruit terriblement excitant à chaque fois qu'un mec me lime et puis surtout, ça coule le long de ma cuisse. Je suis plein de sperme car de grandes giclées me tombent sur le nez, les joues et la bouche. Justement, j'entrouvre la bouche pour que le sperme coule doucement à l'intérieur. Toutes ces éjacs sur un visage, ça fait beaucoup de sperme. L'un d'entre eux m'étale le sperme partout sur le visage avec sa main; c'est chaud et bon. Finalement, j'ai vraiment pris goût à cette soumission et je me suis fait niquer avec plaisir.
T’ES NOTRE MEUF ET ON TE FISTE Vidéo gay. Durée: 14 min
 Je suis devenue leur salope Histoire gay publiée le 03/04/2024
Salut moi c'est Jimmy, le patron de bar et le boss de Liam. J'ai toujours été attiré par les mecs, tout particulièrement les rebeux. Je commençais de plus en plus à m’intéresser aux hommes. Un soir dans mon bar entrent deux mecs un rebeu magnifique et un pote de mon jeune serveur. Il leurs sert à boire, je me mets dans la cuisine et les mattes discrètement. Je pouvais observer les deux mecs biens musclés transpirant. Ce jour là, j’étais à coté d'un pur bogoss rebeu. Lui je l'avais déjà repéré depuis un moment, 1m80 brun musclé sec avec un short qui avait l'air bien rempli. Je décidais de revenir au bar, en m'installant devant lui pour bien lui montrer mon cul. J'étais en chaleur. Je n’arrêtais pas de le regarder. Il parle à l'oreille de mon serveur et éclate de rire. Il me regarde dans les yeux, j'ai du mal à soutenir son regard. Je suis troublé, putain de mec, il me chauffe, je sorts à l’extérieur du bar, il me suis. Je vois une énorme bosse dans son caleçon ma bite grossit instantanément. J'essaie de me dissimuler avec mon blouson. Il s'en aperçoit, il s’approche de moi et me dit à l'oreille "c'est moi qui te fait cet effet petite salope ?" Je ne réponds pas. D'un coup il me plaque contre le mur et me dit "réponds-moi salope". Tu crois que je t'ai pas vu me regarder depuis tout à l'heure. Aller dis le que t'a envie de ma bite. "Oui j'en ai envie. "Ah voila enfin le patron de mon pote qui assume d’être une "une grosse lope et un bon vide couilles à rebeu". File ton numéro salope dans 30 min je t'envoi mon adresse et tu te pointes chez moi après la fermeture de ton bar" "Ok" OK qui ? oui maître. J’étais si excité à l' idée d'aller chez lui et en même temps j'avais un peu peur. Car il avait l'air très domi. Tu m'offres les boissons. Aller ciao salope à plus ! 30 min plus tard je reçois son adresse. Je me rends chez lui, il m'ouvre en boxer et me saute dessus. On s'embrasse je lui mange sa bouche humm ll c'est trop bon. Je sent sa bite gonfler. Putain que c'est gros ... Je me met à genoux et sort ce monstre 23cm/6 hummmm. Je lui bouffe la teub comme une salope. J'entends derrière moi un rire. Putain mon serveur, je suis rouge de honte "Je me doutais que mon boss était une salope à rebeu". Allez suce " mon serveur me prends la tête et m'oblige à sucer et à prendre la bite du rebeu en gorge profonde et je manque de m’étouffer, et d'un coup il met ses mains sur ma tête et il m'impose la cadence, le beur me défonce la bouche. Putain que c'est bon. J'ai les larmes aux yeux . "Allez suis moi dans mon lit salope" mets toi a 4 pattes et avance petite chienne". Je sais pas ce qui m'arrive je lui obéis et j'aime ça. Je rentre dans sa chambre, il s'assoie sur son lit et me dit de rester a 4 pattes. Il me donne ses pieds et me dit "lèche salope" pendant que mon serveur me bouffe le cul. Putain j'en peux plus. Mon rebeu me met son pied dans la gueule je recule un peu car j'ai jamais fais ça. Il le met un coup de pied et insiste. Je finis par lui lécher ses ieps. " voila salope tu es faite pour ça. Tu es à la bonne place sale salope. Allez viens me sucer "Je le suce comme si ma vie en dépendait pendant ce temps mon serveur me met ses doigts dans le cul. Je suis excité comme un fou. Il me lèche le trou, putain que c'est bon! Il me remet 1 puis 2 doigts dans mon trou vierge, mon rebeu me met deux doigts. "Putain tu es serré salope. Tu vas te faire dépuceler par un bon rebeu par ton maître ma salope. " D'un coup je me sens comme transpercé. J'ai mal. Il y va doucement. Je commence à m’habituer . Les va et vien sont puissants il accélère la cadence. Il me défonce comme un dieu, je gémis comme une salope. T'aimes ça hein salope? Mon serveur me baise la gueule en me travaillant les tétons. Putain elle est trop bonne la chatte de ma patronne. "Oh oui défonce moi". Je me sens comme transpercé putain que c'est bon. Mon corps tremble et je jouis sans même me toucher, que c'est bon, mon serveur me jouit sur la gueule. Il prends mon sperme avec ses doigts et me fait lécher. Mon maître rebeu sort de mon trou et me met sa bite devant mon visage et éjacule 5 jets puissants, j'en ai partout. Avant de partir il me met à genoux et il me dit maintenant tu m'appartiens et avec mon serveur ils me pissent dessus . Maintenant tu es à moi ma salope Quand je veux me vider tu viens salope. Depuis ce jour je suis devenue leurs salope.