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Mon appartenance à Ahmed et Ali Histoire gay publiée le 18/03/2024
C'était au début des années 1990. Je m'étais arrêté en fin d'après-midi dans un bar à Barbès où les arabes du quartier venaient se détendre après leur journée du travail. Peu musclé, j'étais à 23 ans, avec mon corps souple et imberbe de crunchboy, la proie idéale pour un rebeu qui voulait vivre une revanche sociale en dominant un jeune blanc pour en faire sa pute d'un soir. Ce jour-là, ils étaient six ou sept à me mater quand l'un d'entre eux vient s'asseoir à côté de moi pour me demander si j'étais du quartier. C'était un trentenaire basané et râblé, dont le visage bronzé et fin se prolongeait d'une barbe mal taillée. Je lui répondais que non, je n'habitais pas le quartier, mais que j'aimais l'atmosphère de ce bar et la clientèle qu'on y trouvait. Il me demande alors ce que j'attends de la clientèle, et je lui réponds que j'aimerai savoir ce qu'elle espère de moi et que suis prêt à servir. Il me demande mon prénom et me dit qu'il s'appelle Ahmed, puis il me prend la main pour la poser sur sa braguette, et je comprends illico le message et commence à masser à travers le tissu de son jean son sexe déjà gonflé. Au bout d'une ou deux minutes, il parle en arabe au patron. Je ne comprends rien mais devine qu'ils parlent de moi, et que je ne suis peut-être pas la première lopsa à me perdre ici. Le patron, un jeune mec d'une vingtaine d'années, musclé, les cheveux crépus coupés ras, un visage osseux traversé par deux yeux noirs au regard dur, lui tend une clé. Ahmed s'en saisit et prend mon bras pour m'amener à gauche du bar où se trouve une porte qu'il ouvre avec la clé avant de me pousser dans la pièce. C'est une arrière salle peu meublée, avec seulement un vestiaire et une banquette-lit rouge, et dans un coin un bidet en porcelaine blanche. La présence de ce sanitaire vieillot ne peut s'expliquer que pour permettre de se laver après avoir été baisé, ce qui illustre bien pourquoi cette pièce est aménagée et confirme que je ne suis pas le premier qui va y passer. Ahmed referme la porte sans la verrouiller, dépose son blouson sur un cintre, puis s'assied sur la banquette et m'ordonne de me déshabiller intégralement et de ranger mes affaires dans le vestiaire, et je m'exécute immédiatement pour être à poil en deux minutes, ce qui ne l'empêche pas de me dire d'un ton autoritaire de me dépêcher. Je referme la porte du vestiaire et me tourne vers lui, en lui présentant mon corps nu, lisse et clair, et il me fait signe d'approcher. Il m'attrape le bras pour me mettre à genoux sur la banquette à côté de lui et je lui présente docilement mon cul. Il écarte les jambes en ouvrant sa braguette, en m'ordonnant d'y passer la main pour aller sous son slip pour masser la peau chaude et moite de son scrotum et de sa verge, et J'enserre entre mes doigts son pénis turgescent et affamé que je masse docilement. Pendant ce temps, il m'examine, apprécie la courbure de mes hanches, mon ventre arrondi, ma peau de pêche, puis soupèse mes couilles d'une main ferme, palpe mes fesses pour en apprécier la fermeté et le galbe, avant de m'infliger plusieurs claques sonores qui doivent s'entendre de l'autre côté du mur dans le bar, comme son commentaire lancé d'une voix forte : "t'est une belle salope toi, on va te dresser pour que tu deviennes une bonne pute". Son doigt se glisse dans la raie de mes fesses pour examiner ma rondelle anale, qu'il force pour s'assurer de sa souplesse avant de conclure : " t'as déjà donné ton cul, hein ?". Je réponds "Oui Maître" pour lui manifester ma soumission et qu'il voie que j'ai compris que je lui appartenais et que je savais que je n'avais plus qu'à obéir. Constatant que j'ai reçu ses claques et ses insultes sans protester et que me suis laissé examiner comme un animal sans me rebeller, il a l'air satisfait et décidé à aller plus loin avec moi. Après avoir dégrafé son ceinturon qu'il retire de son pantalon, il enlève ma main de sa braguette pour le baisser avec son slip sur ses chevilles, et après avoir enlevé ses baskets qu'il repousse le long d'un des murs de la pièce, il se défait totalement de son jean et de son slip qu'il envoie d'un coup de pied rejoindre ses pompes. Il m'attrape alors brutalement par les cheveux pour littéralement me jeter à genoux entre ses jambes. Il est assis en mode pacha, simplement vêtu de son T-shirt, exhibant son sexe long et épais, déjà fermement bandé grâce au massage que je lui ai docilement prodigué. J'ai à peine le temps de l'admirer que, sans me laisser le temps d'y porter mes lèvres pour tenter de lui prodiguer une fellation, il tire mes cheveux en arrière pour m'obliger à le regarder, en agitant sous mes yeux son ceinturon qu'il a gardé dans sa main droite et en me disant d'une voix forte, pour être entendu de l'autre côté du mur : "tu vois ça, si tu n'es pas obéissant, je vais te caresser avec. Et même si tu obéis au doigt et à l'œil, je te caresserai avec pour le plaisir", et joignant le geste à la parole, il m'assène une dizaine de coup sur le dos et les fesses, et le claquement du cuir sur ma peau résonne jusque dans le bar, tandis que je serre les dents pour ne pas crier sous la morsure de la ceinture et les brûlures qu'elle m'inflige, dont ma peau porte pendant quelques minutes des marques rouge vif. J'ai trop peur que mes cris de douleur l'excitent et qu'il redouble les coups et prolonge mon supplice. Mais il a constaté que j'avais bien compris qu'étant enfermé avec lui à l'abri des regards et de la rue, j'étais totalement à sa merci et lui appartenais, et qu'il ne me restait plus qu'à obéir et être une bonne pute. Au demeurant, l'humiliation de n'être plus que sa chose me convenait, et il avait vu dès le départ que j'étais fait pour ça et n'aspirais qu'à trouver le seigneur et maître à satisfaire comme une fille soumise. Convaincu de m'avoir bien en main, il me met au travail et amène ma tête entre ses cuisses, et pendant que mon regard se perd sur ses abdos et ses poils pubiens, son pénis force mes lèvres heureuses de l'accueillir, et il me possède immédiatement à fond de gorge, son gland venant heurter ma glotte en provoquant une envie de vomir que je maîtrise à grand peine, et il m'impose des va-et-vient de plus en plus frénétiques, usant de ma bouche comme d'un vagin, en me criant "ouvre bien la bouche salope, je ne veux pas sentir tes dents", illustrant la sanction qu'il m'imposerait par deux violents coups de ceinturon sur le dos. A chaque mouvement, je suis contraint de l'accueillir à fond de gorge, et la seule liberté qu'il me laisse, c'est de masser le dessous de sa queue et son frein avec ma langue que sa possession a rendu baveuse. Docile et désireux d'être une bonne pute soumise pour le satisfaire, je garde donc ma bouche grande ouverte, et très vite ma mâchoire me fait mal, mais il prend son temps et a d'évidence décidé de faire durer son plaisir, et je ne peux qu'accepter ma douleur en cherchant à prendre dans l'humiliation qu'elle m'inflige mon propre plaisir et à accepter de subir la loi du mâle dominant à qui j'appartiens désormais. Mais j'entends la porte s'ouvrir et se refermer, et une voix juvénile lui demande si je suis "bonne", et il répond que j'apprends vite. Deux mains empoignent mes fesses pour les écarter et exhiber ma rondelle anale, et tout en continuant à me contraindre à le sucer, Ahmed appuie sur mon dos pour m'obliger à cambrer les reins et mieux offrir mon cul à la vue du nouvel arrivant. "T'as envie, baise cette salope" dit-il à l'inconnu qui abaisse pantalon et slip et je sens bientôt son sexe bandé et dur flairer puis niquer à sec ma rondelle anale. Une douleur intense me prend quand son gland heurte la muqueuse de mon ventre qu'il ramone, mais mon cri est étouffé par la bite d'Ahmed qui continue de posséder ma bouche et ma gorge et me bâillonne, tandis que je dois faire attention de ne pas la heurter avec mes dents. La douleur s'estompe vite, et au bout de quelques minutes, je ne sens plus que la queue qui possède mon cul et me lime avec avidité. Complètement possédé par les deux beurs, je jouis de me sentir exploré et exploité par leurs bites et de subir l'humiliation de n'être plus qu'un bout de viande à baiser. "Ouai, elle est bonne et soumise cette pute, va falloir qu'on la garde" dit l'inconnu, et je reste à leur disposition pendant une dizaine de minutes, la position me fait mal aux genoux et au dos et ma mâchoire s’ankylose à force d'être grande ouverte, mais je n'ai pas d'autre choix que subir pour les satisfaire et je jouis et bande du plaisir d'être possédé comme une bonne salope par la bouche et le cul et d'attendre d'être fécondé. Puis Ahmed et l'inconnu jouissent ensemble dans un grand râle de satisfaction dont tout le bar ne manque pas une miette, et je n'ai toujours pas le choix et avale le sperme crémeux et sucré d'Ahmed qui gicle à fond de gorge, tandis qu'un liquide chaud envahit mon ventre. L'inconnu s'est retiré, et je sens ce liquide chaud qui goutte hors de mon cul, tandis qu'Ahmed présente devant mes lèvres son gland circoncis ou perle une gouttelette blanchâtre en me donnant l'ordre de le nettoyer avec ma langue, et je m'exécute immédiatement avec le bonheur d'être docile et de lui appartenir. L'inconnu s'est rhabillé et sort sans même que j'ai pu le voir, et la porte se referme. Je croyais que nous étions seuls mais en quelques secondes, je sens une présence, et une voix s'adresse en arabe à Ahmed, sans doute pour demander s'il peut en profiter lui aussi, et sur la réponse d'Ahmed, un homme d'une cinquantaine d'années vient s'asseoir à côté de lui. En jean et chemise de coton blanche à carreaux rouges et bleus, l'inconnu, un peu enrobé, a un visage rubicond barré d'une épaisse moustache. Il baisse son pantalon et son caleçon sur ses chevilles et me présente un sexe court et épais mal lavé et qui sent l'urine. L'homme ne m'excite pas et l'odeur forte d'urine déclenche chez moi un mouvement de recul, mais Ahmed ne l'entend pas de cette oreille et veut montrer au cinquantenaire que je lui appartiens, qu'il m'a bien en main et qu'il sait se faire obéir. Il appuie fermement sur ma tête pour que ma bouche soit prête à acceuillir le sexe odorant du quinquagénaire, et une dizaine de coups de ceinturon marquent mon dos et mes fesses pour confirmer que je n'ai pas d'autre choix que d'obéir et servir. Alors, pour la plus grande fierté et satisfaction de mon seigneur et maître, j'accueille à fond de gorge la bite malodorante qui laisse dans ma bouche le goût acre de l'urine en entamant un va-et-vient laborieux, tandis que les replis gras d'un gros ventre rebondi tressautent devant mes yeux à chaque mouvement. Je croyais que le cinquantenaire était rentré seul, mais deux mains qui empoignent mes fesses avant d'y asséner quelques claques me font comprendre qu'un autre l'a accompagné, et une voix grave se réjouit de mater mon cul qu'il s'apprête à baiser. Je vois un jean et un slip tomber sur le sol à côté de moi, et j'entends l'homme qui s'agenouille avant de me pénétrer brutalement. Mais mon cul est lubrifié par le sperme de celui qui vient de me baiser, dont la queue était plus longue et plus grosse que celle qui me travaille maintenant, et j'accueille sans douleur son gland qui cherche avidement à me posséder de plus en plus profondément, et la caresse de son sexe bandé dans mon ventre me procure un plaisir qui me fait jouir. Mon sperme tâche le carrelage sous moi, tandis que ma queue débande pour pendre humblement et laisser quelques gouttes blanchâtres tomber sur le sol, pendant que les deux beurs liment consciencieusement ma bouche et mon cul. "Il est meilleur qu'une fille" dit la voix grave dans mon dos, qui devait être en manque et très vite, un liquide chaud me féconde à nouveau, tandis que mon niqueur se retire et je l'entends se nettoyer sur le bidet. Puis un bruit de tissu froissé et de boucle de ceinture me révèle qu'il s'est rhabillé, et le cinquantenaire qui n'a toujours pas joui se retire de ma bouche et se lève pour lui céder la place. Je vois s'asseoir un homme d'une soixantaine d'années, au corps mince sous un jean et une chemise unie bleue, dont le visage basané, surmonté de cheveux blancs et crépus, est parsemé de rides. Le cinquantenaire m'attrape fermement par les cheveux pour me prendre maladroitement en levrette, et il réussit à prendre enfin pleinement possession de mon cul pour jouir et me féconder en quelques minutes, sous le regard satisfait d'Ahmed. Ahmed m'ordonne devant les deux hommes de nettoyer avec ma langue le carrelage que j'ai sali, et je m'exécute et lèche mon propre sperme avec dans le ventre une boule de plaisir née de l'humiliation d'être soumis et obéissant en public. Les deux chibanis sortent, et Ahmed déplie la banquette-lit avant de m'ordonner de m'y coucher sur le dos. Il s'allonge sur moi et me chevauche en m'ordonnant de relever mes jambes et de les placer sur ses épaules, et il bâillonne mes lèvres avec les siennes et sa langue explore ma bouche, tandis que son sexe, toujours dur et bandé, nique ma rondelle anale et me lime de plus en plus profondément, ses couilles venant heurter mes fesses à chaque mouvement. Mes sphincters et mon colon sont pleinement détendus, et je me donne totalement. Après un bon quart d'heure, il jouit une nouvelle fois et me féconde, et je sens son sperme chaud remplir mon ventre. Il se retire et m'ordonne de l'accompagner au bidet pour nettoyer sa bite, en commençant avec ma langue avant de finir à l'eau. L'odeur entêtante de mon propre cul emplit ma bouche, que je rince à l'eau claire après avoir fini de nettoyer la queue de mon maître. J’écarte ensuite avec deux doigts de ma main gauche ma petite rondelle pour m'asseoir sur le bidet et asperger d’eau mon cul avant d'y introduire les doigts de ma main droite pour me nettoyer et être propre pour accueillir un nouveau venu à satisfaire. C'est alors Ali, le patron du bar, qui rentre et referme la porte, et les deux hommes s'asseyent côte à côte sur la banquette toujours dépliée, et d'un claquement de doigts vers le sol devant lui, Ahmed m'intime l'ordre de venir en restant à quatre pattes à ses pieds et contrôle mon cul, sans pudeur ni aucun égard pour moi, afin d’en vérifier la propreté. Tout en discutant, Ali se déshabille pour "m'essayer", et en quittant ses vêtements, il révèle un corps basané, mince et musclé. Sa poitrine velue laisse apparaître deux tétons surplombant des aréoles plus claires sur des pectoraux bronzés, qui dominent un ventre plat que parcourent des abdos entourant un nombril profond et chiffonné, tandis que devant ses cuisses musclées, je vois des couilles bien pleines et une bite gonflée, offrant un foret épais d'une vingtaine de centimètres, et je frémis à l'idée de la douleur qui va déchirer ma rondelle quand il va me prendre à sec. Ali m'attrape par les cheveux et, assis en mode pacha, il me regarde durement et force mes lèvres pour commencer un va-et-vient très fort . Comme Ahmed, Ali prend son temps, et ma mâchoire commence à me faire mal avant de s'endolorir, mais il saisit ma nuque pour me bloquer et me posséder plus d'une minute à fond de gorge, et je respire difficilement, le visage écrasé sur la peau musclée de son ventre, pendant qu'il me regarde fixement en me traitant de lopette juste bonne à faire la pute. Vingt minutes s'écouleront encore avant qu'il pousse un cri rauque en éjaculant dans ma gorge, et alors que j'avale docilement son sperme chaud, il se retire pour m'ordonner de me mette à genoux sur la banquette et de présenter mon cul en levrette. Ali transperce sans ménagement ma rondelle anale. Les parois de mon colon, heurtées par son gland, brûlent et la douleur qui irradie m'arrache un petit cri, qui l'excite et il accélère le va-et-vient qu'il a entamé sans attendre, lime sans ménagement mon cul à la recherche de son plaisir de possédant et de prédateur, en disant "elle a un bon cul cette pute, je prends mon pied", avant de donner de sa main libre une grosse claque sur mes fesses. Sa bite déchire ma rondelle anale en labourant mon ventre, et il fait traîner les choses et durer les sensations qui lui traversent tout le corps, et tout en criant "Aaaah oui, c'est bon, il est vraiment fait pour faire la pute", avant de tirer encore plus fort mes cheveux au point que la peau de mon crâne est rouge écarlate à leur racine. Après presque une demi-heure pendant lesquelles Ali connaît l'extase, il atteint l'orgasme et me féconde dans un grand râle, et je sens sa semence chaude remplir mon ventre. Le flot abondant est à la hauteur du temps passé à me limer, et Ali se retire alors pour s'asseoir sur la banquette, avant de me donner l'ordre de nettoyer son gland et sa queue avec ma langue. Puis il se rhabille et sort, et Ahmed me dit d'en faire de même et conclut, avant que je sorte, que je peux revenir quand je veux. Je suis fréquemment revenu pour satisfaire mes nouveaux amis et aujourd'hui encore, il ne se passe pas une semaine sans que je retrouve Ahmed et Ali à qui j'appartiens désormais.
POTE NO LIMIT
Connaissez-vous POTE ? Ce nom ne vous dit peut-être pas grand-chose mais si vous êtes amateurs de BDSM en mode bien barré, vous êtes à la bonne adresse. Depuis dix ans, cet artiste brésilien de Sao Paolo met en images sur son blog, les fantasmes les plus hard et trash du monde BDSM gay mais pas seulement… CRUAUTÉ ASSUMÉE Dans son univers, la sexualité ne se réduit qu’aux sévices les plus déjantés. La violence est omniprésente. Depuis 2012, il partage avec un public d’amateurs, des dessins qui mettent en lumière le milieu BDSM dans ses versions les plus jusqu’au-boutistes. Depuis la création de son blog, véritable théâtre de ses fantaisies les plus perverses, il n’a eu de cesse de monter en puissance dans ses illustrations. De mecs qu’il représentait seuls lacérés par les coups, il en est arrivé à des planches entières de dessins qui déroulent de véritables histoires illustrées, qu’il prolonge par des textes qui nous font entrer encore plus profondément dans les scènes. Pote ne fait jamais dans la douceur, explorant les méandres de la nature humaine dans ses aspects les plus sombres. Il est fasciné par le jeu de domination-soumission et par le fait que des esclaves puissent prendre du plaisir par les tortures qui leurs sont infligées. Son coup de crayon pose une ambiance particulière. Les expressions sont perceptibles, le goût pour la brutalité transcendée, les traits fluides et les couleurs franches attisent le sentiment d’autorité de son univers. ÊTRE RÉDUIT À RIEN A partir de ce point de départ, il échafaude des situations toujours plus démesurées où un ou plusieurs mecs sont littéralement mis en pâture à un individu ou un groupe ultra sadique qui ne rechignent devant absolument rien pour assouvir leurs pulsions destructrices. Il laisse entrevoir que la mentalité de certains soumis est telle qu’ils s’abandonnent corps et âmes. Et là, c’est un déchaînement non-stop, trash, violent, scabreux, dérangeant et pourtant si excitant. La force de ces dessins est indéniable. On y voit la quintessence de l’esprit de lope, mis à e dispo, l’esclave ultime, l’avilissement complet de certains qui appartiennent sans limite à leur propriétaire. De ces gars, il en fait des larbins, des larves, des sous hommes. Ils sont vendus, prêtés, offerts, subissent des pluies de coups de fouets, des émasculations, des étranglements, des pénétrations brutales, des mutilations, des viols, servent d’urinoir, sont considérés comme des porcs au vrai sens du terme. SANGLANTES HISTOIRES Tout cela pour les bons petits plaisirs de tortionnaires qu’ils soient hommes, femmes, religieux sans vergognes qui s’amusent à les humilier, à faire de ces hommes de véritables moins que rien, des objets de distraction. Eux ne sont plus que les ombres d’eux-mêmes. Castration, vasectomie, amputation, gavage, tout n’est qu’asservissement et dégradation consentis comme une normalité dans leur vie de slave. On pourrait imaginer que cette vie où ils ne doivent qu’encaisser, ne jamais se plaindre, endurer, en redemander est un calvaire et c’est le cas pour certains, à n’en pas douter. Et pourtant face à la dureté des sévices qui leurs sont infligés, ces gaillards y trouvent leurs comptes, eux aussi. Bites tendues, piétinés, culs démontés, écartelés et foutre dégoulinant démontrent qu’ils tirent du plaisir à se faire exploiter et dégrader. C’est leur condition, ils l’ont cherché, ils vivent leur destiné. La lubricité et la perversion prennent forme sous les traits de dessins parmi les plus trash et hard possibles que vous puissiez trouver sur le web. Ceci n'est que fantasmes bien sûr. Âmes sensibles s’abstenir.
Extrait video offert par DomiAddict
Ce Dominant de 33 ans, appelé AUTORITAIRE, m’a joint par mail après avoir repéré une de mes nombreuses annonces
J’ai tout de suite accepté avec enthousiasme sa demande de rencontre, me promettant d’être tout de suite autoritaire, sévère et sans scrupule ! Il exigeait que je fusse, dès la 1re fois, son objet sexuel total, à sa disposition pour être totalement humilié et soumis, lui servant en plus de vide-couilles efficace. Il ajoutait, très sûr de lui, que c'est mon statut de larve sexuelle qui m’obligeait à venir le servir dès que je le pouvais ! Je me suis rendu près de Beauvais à l’adresse indiquée. Voici le récit aussi détaillé que possible de cette séance, là encore assez mémorable ! J'arrive chez lui, sonne à la porte. Aussitôt, il ouvre, me regarde un instant et beugle sourdement : "Salope, enfile ton collier de clebs et ta laisse". Je prends le collier tendu par Le Maitre (LM) et le mets à mon cou. Il ajoute fermement : « Que tu te sentes bien soumis et que tu comprennes que tu n’es qu’une « pute exhibe » en dressage ! » Puis il y attache une laisse, prend la laisse en main et un sac dans lequel se trouve (je le constaterai après) le matériel nécessaire pour me dominer et me Bdsmé ; ensuite, il me tire dehors en disant : "Allons en forêt que je profite de toi, chienne" ! Je précise que c’était l’année dernière, à peu près à la même époque, mais lors de belles journées un peu moins fraîches qu’actuellement. On monte dans la voiture mais avant que je démarre, alors que LM me tient toujours en laisse, il exige : "Sors tes couilles et ta bite de ton pantalon. Tu vas rouler ainsi comme une putasse soumise au service de son Maitre". Je réponds : "Bien Maitre", et je m’exécute aussitôt, ouvrant mon pantalon, sortant totalement mes couilles et ma bite et les exhibant complètement. Nous roulons vers la forêt jusqu'à l'endroit où il veut aller pendant qu’il m'explique que : "Tu m'es totalement soumis, totalement prêt, extrêmement et totalement ouvert pour moi, j'use et abuse de toi, Salope, je t'humilie et te baise brutalement quand je veux, où je veux et avec qui je veux ! » C’est clair, net et précis… Toutefois, vous l’avez compris, j’en ai l’habitude car je ne suis qu’une larve ! Je dis : « Oui Maitre » et il ajoute : "Je fais avec ta bite tout ce que je veux et ton trou du cul je l'utilise de quelque manière que je la juge appropriée, y compris l'insertion d'objets ou les doigts, tant que c’est sans danger. Je t’humilie rituellement pour te rappeler ton statut d’esclave. Le reste de ton corps est aussi totalement à la disposition de ton Maître." Encore une fois, respectueusement, je réponds Oui et je vois que Mon Maitre est satisfait. Alors il me tape plusieurs fois sur la bite et les couilles, sans trop forcer car je conduis. J'aime beaucoup. Arrivé sur les lieux, Le Maitre me dit : « À poil intégral ! Histoire de te sentir bien lope à dispo ! » J’enlève vêtements puis chaussettes et baskets, les range dans le sac en plastique qu’il me tend et qu’il glisse dans la voiture, me prenant les clés. Je suis pieds nus, à poil total. Mon Maitre me réexplique une fois de plus : "Évident qu’un soumis doit être nu. Surtout les pieds car c’est la marque de sa dépossession totale. La nudité est de rigueur pour un soumis/esclave afin d'être entièrement ouvert aux désirs des Masters. » C’est limpide et explicite ; je n’ai qu’à m’exécuter, où qu’on soit en intérieur comme en extérieur. LM sort du sac un ensemble menottes et corde et, rapidement, il m’attache les bras dans le dos et fixe le tout au collier, tirant bien dessus pour que j’ai les bras bien remontés et que ça me tire sur le cou. Et c’est parti pour la déambulation dans la forêt : il me fait marcher ainsi, murmurant : "J'aimerais bien qu'il y ait un ou deux voyeurs pour que je t'exhibe et t'offre à eux pour bien te loper". J’articule : "Bien sûr, Maitre". LM ajoute : "N'aie pas peur, ils mettront une Kpote et te gicleront sur le visage car je n'ai pas envie de mettre en danger mon matériel !". Je réponds : "Je suis en effet ton objet Maitre. Je marche difficilement, j'ai mal aux pieds. Heureusement, au bout de peu de temps, dans une sorte de clairière herbacée, Le Maitre dit : "Ça suffit. Arrête-toi". Puis il ajoute : - « À genoux, putasse de merde et renifle-moi la bite comme un bon clébard que tu es… ». Il ouvre mon pantalon et plaque ma tête sur son slip ; je renifle bien. Il m’avise : "Ma larve, avec tes dents, descends mon slip et renifle ma bite". Je m'exécute encore, bien servile. Puis je dois lécher par petits coups sa bite, puis l'embrasser. Sa teub est maintenant bien dure et grosse, fière et imposante, une belle queue d’environ 19X6 ! Je me dis que lorsque je vais avoir ça dans la bouche et dans le cul, je vais le sentir passer ! Mais, là encore, j’adore et je suis là pour ça ! - « As-tu froid ? », demande-t-il ; je ne me rappelle même plus de ma réponse mais juste de la sienne : « Je m'en fous, tu resteras ici à poil jusqu'à ce que tu aies rempli ta mission de salope soumise et vide-couilles ». Là, au soleil, sa verge est bien érigée... D’un seul coup, il plaque ma tête sur ma bite raidie pour bien montrer que c’est lui qui commande. Toujours sans broncher, car je suis une lope soumise et une bonne salope, je le lèche, donne des coups de langue, pompe alternativement selon ses désirs et ses ordres, tirant sur ma laisse. Parfois il enfonce sa pine jusqu’à m’étouffer ; je salive vigoureusement et ça fait bien glisser sa bite dans ma bouche bien chaude ; la bave dégouline sur mon menton et mon corps de pute à dispo pour lui. Il sort de ton sac des pinces à linge et me les pose sur les seins, ma bite et mes couilles et dit :"ça va bien t'exciter ça ma salope !". Puis il continue à réclamer que je le suce longuement jusqu’à écœurement : je suis un bon slave, capable de sucer jusqu’à en dégueuler. Il râle : "J'adore gorge profonde et avec toi, je ne vais pas me gêner. Te ferai dégueuler moi, suis ton Maitre. » Il exige aussi que je lèche ses fesses et les mordille, lèche son gland doucement avant d’encore enfoncer brutalement sa queue dans ma gueule. Il crie : - « Salope, je considère ta bouche comme une chatte et te baise ta gueule de putasse... Tu vois p'tit bâtard… t’es là que pour faire la pute et t'as intérêt à avoir un bon rendement… » Sortant sa bite de ma bouche alors que j'étouffe, il se met à me claquer la gueule et me bifler en disant : "Dis-moi ce que t'es, Salope ?". Aussitôt je vocifère : « Suis une salope à machos, une putasse soumise bonne qu'à faire le tapin. » Alors il tire à fond sur la laisse et me met un bon coup sur les fesses. - « Oui ma pute et quoi encore » ? - « Je suis une lopette et une salope à routiers, une putain d’esclave et une chienne obéissante, une chaudasse exhib, Maître », et je prends encore un coup sur le cul, ceci une dizaine de fois, toujours en disant merci. Quand il voit que mon cul est assez rouge, LM me détache les mains et me fais mettre à 4 pattes ; je suis sa chienne qui déambule un peu dans l'herbe. Il crie : "Pisse sale chienne" ; alors je lève la patte et pisse comme un bon toutou qui fait ses besoins. Il rigole et m'insulte encore ! Après ce traitement, n’y tenant plus et sentant sa sève monter, il entreprend de m’enculer, me titille le cul, un doigt à sec, puis 2 et voyant que je m'ouvre bien, un 3ème et je couine comme une truie comme il me l’ordonne. - « Putain ! T’es vraiment une bonne salope toi… tu t’ouvres bien ma chienne… t’as envie de te faire enculer, hein salope… ? » Il m'ordonne de mettre le préservatif sur sa queue, puis pose sa bite à l'entrée de mon cul, moi toujours à 4 pattes, bien cambré, le cul offert. Après il me demande, en me tirant par les cheveux, si je sais ce que l'on fait aux salopes impuissantes comme moi ? Je réplique que non et il m’explique : « On les encule comme des gonzesses ! », en m'enfonçant d'un seul coup sa bite dans le cul ; il me baise brutalement à grand coups dans mes fesses, me traitant de salope impuissante, de morue, de putain à routiers, de trou à bites, etc., tout en me tirant par les cheveux et en me claquant les fesses. LM m'encule un bon moment... puis s'arrête soudainement. "Allez la pute, debout", dit-il, en tirant brutalement sur ma laisse. Je me lève et il me force à me pencher contre un arbre. D'un coup de pied, il me fait écarter les jambes, m'attache les mains au tronc puis me met un bâillon. LM tourne autour de moi en m'insultant et en me pinçant alternativement les seins, la bite, les fesses ou en me les claquant sec et même parfois me tordant la queue. J’ai mal mais j’aime être traité de la sorte. Il hurle : "Bastard de merde, t'adore être dominé, salopé et humilié, non ?" Soudainement, LM m'arrache le bâillon qu’il vient de me fixer. Il tient à ce que je réponde et m’avilisse encore plus ! Je murmure : « Oui Maitre… surtout devant d’autres voyeurs qui se moquent de moi et de ma situation de salope impuissante et même me brutalisent… » - « J’entends pas bien, Chienne de salope. Répète plus fort ! ». Alors je gueule : « Oui Maitre… surtout devant d’autres voyeurs qui se moquent de moi et de ma situation de salope impuissante et même me brutalisent… » - « Encore plusieurs fois et plus fort ». Je beugle la même phrase plusieurs fois jusqu’en avoir mal à la gorge. Je sens LM ravit. - « T'es qu'une larve qui ne sait plus que se comporter comme une bonne salope à ma disposition. » En même temps, les claques, les pincements et les coups pleuvent sur mon corps. - « Réponds à ton Maitre Putasse ! » Alors, je crie : « Oui, Maitre, j'adore, encore Maitre ! » LM continue : « Confesse-toi, grosse merde, et explique-moi pourquoi t'es une larve et un sous-homme ? » Alors j’énonce lentement : - « Petit à petit, je suis devenu de plus en plus passif et soumis… enfin totalement obéissant et incapable d'avoir un rôle dominant ou actif. Maintenant, je ne suis qu'une putasse prête à offrir à qui le veut ma bouche et mon cul pour servir de vide couilles, à lécher, à être attaché et puni même sévèrement ; on joue avec mon sexe, mes couilles et mes tétons et, si tel est le plaisir des Vrais hommes, on me féminise… Ils peuvent m'humilier avec des jeux pervers et imaginatifs, me pisser dessus, m'exhiber, me transformer en pute docile qu’on met à disposition de ses amis ou d'autres... » LM dit : « J'aime pouvoir te donner les consignes et que t'exécutes sans moufter. » - « Oui Maitre, je suis là pour ça ! Je dois servir pour toutes les pratiques de BDSM que vous souhaitez : Bondage, Domination et Soumission, Punition, Exhibition, Humiliation, Douleur et Contrainte, et Appartenance. Je suis votre soumis total, à votre entière disposition ; je suis prêt à m'offrir pleinement et à obéir à tous vos désir et ordres quand vous le voulez, où vous le désirez, avec qui vous le souhaitez ; vous décidez presque tout pour moi. » LM susurre : - « Ah, j\'aime entendre ça, ça me refait bander bien dur, Pute de merde ! » Le Maitre a de nouveau sa verge ragaillardie : forte et dressée ; à cet âge-là, ça revient vite, je me le rappelle et me souviens que j’étais capable de baiser 2 fois de suite les femmes à cette époque, les traitant comme des vide-couilles à mon service d’obsédé du sexe. Il s'installe derrière moi et m'encule encore durement et longuement. Il m’embroche comme une vulgaire putain tout en me claquant le cul ; il me lime furieusement comme pour tester mon endurance aux coups de bites... Il braille : - « Couine, ma truie, j'aime les putes qui se lâchent bien… » Je couine comme une petite chienne bien servile envers son Maitre. Les hanches du Maitre sont maintenant collées à mon postérieur. - « Tu la sens ma bite, grosse salope ? Tu sens comme je t’encule à fond ? » Il est profondément planté en moi un long instant puis se retire lentement. Son pénis bandé au maximum palpite en face de mon orifice distendu et il me tient fermement par les hanches. Mais tout de suite il se replace et sans attendre, il s’enfonce en moi violemment. Je pousse un cri, plus de surprise que de douleur. - « T’aime ça hein ma pute ? Ça t’excite de te faire enculer comme une truie ? T’es une salope hein ? Dis-le que t’es une grosse salope et que t’aimes que je te bourre le cul ! » Je voudrais pouvoir me masturber comme un dément en encaissant les terribles coups de bélier de mon Maitre. - « Oui c’est ça ! », se met à hurler LM, « Serre ton cul, salope ! Essore-moi les couilles, charogne ! » Il s'arrête enfin et me détache : - « À genoux la chienne ! » Il retire le préservatif, m’appuie sur les épaules pour que je me mette à ses pieds et crie : - « Suce à fond crevure ! » Il me tire durement par les cheveux pour m'enfoncer sa queue dans la bouche ; puis il me saisit la tête avec ses deux mains et me maintient ainsi jusqu'à ce que je sois au bord de l'étouffement complet ! Ça m’a paru fort long mais, enfin, il sort sa bite, la frotte sur ma figure et finit par éjaculer tout ton sperme chaud (j'adore cela) sur mon visage. En gémissant, il m’ordonne d’étaler son foutre sur toute ma gueule et de rester ainsi avec le jus sur moi. Au bout de quelques instants pendant lesquels il a récupéré, il me dit : - « Bon, ma crevure, il s'agit de te nettoyer un peu maintenant ! Et de plus j'ai envie de pisser. Tends-moi ton visage de chienne soumise. » Je sais ce qui m’attend… Là encore je m\'exécute tel que le souhaite mon Maitre. Je bascule la tête en arrière et lui tends mon visage et je patiente en fermant les yeux et la bouche. Le Maitre tient sa pine à moitié débandée entre son pouce et son index et la pisse jaillit, m’arrosant par de petits débordements de pisse. Des jets brefs et puissants viennent percuter ma peau. Il m'en arrose copieusement le visage mais aussi tourne autour de moi et m'en répand sur les épaules, les fesses et devant, sur le torse et la bite, partout sur le corps, en criant : - « Un vrai sac à pisse. Tu es vraiment une grosse salope toi ! » Entre chaque jet, il aime me parler : - « Regarde ce que je te fais, t’es qu’un pourri de bastard. » - « T’es un simple urinoir, ma chienne puante !" - « Tu sers vraiment à rien, sous-homme ! Sauf à donner du plaisir aux Vrais !" - « Je fais ce que je veux de toi, t’es ma lope soumise !", etc. Moi, je ne réponds pas, j’encaisse juste les jets d'urine sur mon corps. Le Maitre a du plaisir, je le ressens bien, il adore me voir là, humide, humilié, ruisselant de son urine. Ma respiration est saccadée et il observe les gouttes qui tombent de mon visage. Tant pis pour moi, il pense, ce n’est qu’une merde à utiliser comme on veut ! Il me laisse là, quelques longues minutes, entièrement mouillé ; je m'imprègne de cette odeur de pisse et surtout j'ai froid et je tremble. Mais pour Le Maitre l'idée de faire durer l'humiliation est exquise ! Malgré le froid, c’est un moment enchanteur. Quel plaisir de me faire uriner dessus par Le Maitre et de lui offrir mon humiliation. Quel bien-être il a ! Et je suis heureux pour lui ! Enfin, je le remercie pour ce qu’il me fait subir. Mais le Maitre me retourne : - « Attends grosse merde, c'est pas tout à fait fini. D'abord, tu vas te branler devant mo, sous mes ordres comme la larve que tu es et que je récompense car tu as bien servi ton Maitre ! Puis tu t’essuieras et tu retourneras à poil à 4 pattes avec la laisse jusqu'à la voiture, comme un bon toutou que je promène, grosse putasse ! » En effet, ce n'est donc pas fini. Je suis un peu épuisé mais je dois continuer servir LM comme une bonne chienne, bien salope et à dispo ! Le Maitre dit : - « Appuie-toi dos à l'arbre et branle-toi fort et durement en t'insultant de toutes les façons ! » Je m'installe, fatigué, et commence à me branler doucement mais Le Maitre n'est pas content : - « Plus fort connasse et je veux t'entendre ! » Je redouble de vigueur et exprime en même temps tout ce qu'il me passe dans la tête : - « Suis qu'une grosse merde, au service de Mon maitre, pour les Vrais Hommes !» ; - « Suis ton bon soumis passif et docile qui a besoin d'un bon Maitre patient et dur comme toi. J'ai besoin de me soumettre ! » - « Suis totalement soumis, totalement prêt, extrêmement et totalement ouvert pour vous, usez et abusez de moi, ô Maitre, humiliez-moi et baisez-moi brutalement... mon corps est totalement, et sans exception, la possession de mon Maître et il peut en faire ce qu'il veut, y compris des éléments de forte douleur et l'humiliation... » - « Suis une Merde, une Lope vide-couilles... qui doit subir Bondage torture des seins et couilles Humiliation Chaines Stress Attachements et Positionnements durs… » Je me mets à énumérer toutes les pratiques que j’ai subies ou que je connais de nom : - « …Electro Poppers Pisse Cordes Colliers roue dentée Cire chaude de Bougie croix sexuelle de St André pinces a poids Pinces à linge sur tout le corps Féminisation Forcée Sissification Groupe scènes d'abus Exhibition Cages urinoir humain Esclavage et Vente forcée Fessées Captif BDSM pinces chinoises boules piquantes Tirage des couilles, bouche et cul ouverts et offerts… » Je crie tout ça en me branlant à mort et soudain je lâche tout sous le regard moqueur du Maitre qui me traite de tous les noms qu'il connait ! C’est bon : j’ai rarement joui aussi excellemment ! J’aime jouir dans la souffrance et l’avilissement ! Alors que je croyais LM satisfait et prêt à repartir, il m’annonce que je dois lécher mes gouttes de sperme sur l’herbe. Je regarde, ne les vois pas car où ont-elles giclé ? Mais LM insiste, alors je me mets à genoux et lèche l’herbe à divers endroits… - « Bon ça va, putasse de merde ! » Ce jeune Maitre aime beaucoup l’insulte. Il manque d’une certaine emprise mais ça viendra avec l’expérience. - « À quatre pattes maintenant, on va à la voiture ! » Je m’installe et lui tends la laisse ; il la saisit et tire brutalement dessus. J’essaie de suivre le rythme… mais c’est dur et j’ai mal car je m’érafle sur les mains et les genoux ! À la voiture, je peux me rhabiller, l'odeur de pisse m'enveloppant et je me trouve dégueulasse car je n'aime pas mettre mes vêtements propres sur mon corps sale ! Je le dis au Maître. Il se marre franchement : - "T'es qu'une pute, lope et chienne qui se vautre dans l'abjection et la déchéance et tu voudrais être propre, salope ?" Je prends conscience qu'il est inutile de tenter de lui expliquer les subtilités des personnalités et des jeux que l'on assume. Tant pis ! En montant dans la bagnole, Le Maitre me dit : - « Salope, tu conduis les couilles à l'air ! » Je m'exécute sagement et rapidement, craignant une réaction brutale du jeune Maitre. Rien ne se passe, il semble repu comme après un bon repas où l’on est relaxé et reposé et on n’a plus envie de quoi que ce soit. Mes couilles à l’air, je ramène le Maitre ; enthousiaste, il me dit : - « Vite, salope d'esclave, une autre séance ! » - « Oui, Maitre, avec grand plaisir dès que je peux ! J'ai obéi à AUTORITAIRE en faisant ici le récit ici de notre plan
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