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Quand la food se fait accessoire dans les jeux sexuels, les délires sont illimités. Solide, liquide, crémeux, croquant, gourmand, il y en a pour tous les goûts et toutes envies. On passe à table !
Oubliez l’injonction du «on ne joue pas avec la nourriture»; à la fois frustrante et moralisatrice ! Vous savez pertinemment que c’est le genre d’interdiction qui a l’effet inverse. Le sex-food est un véritable fétichisme qui dépasse et de loin les incontournables banane, concombre et autre courgette, traditionnels substituts au phallus humain. Elle a même son terme dédié : la sitophilie. Et en matière de victuailles avec lesquelles nous pouvons pimenter nos ébats, il y a franchement de quoi faire et ça ne date pas d’hier. Dans la Grèce antique, les fêtes dionysiaques proposaient les plaisirs de la chair mêlées au ceux de ventre. Ces orgies étaient l’occasion de profiter en bon épicurien des joies de la vie et de s’empiffrer sans retenue des meilleurs mets tout en forniquant allègrement. Les aliments ont toujours été présents de près ou de loin dans cet environnement festif et charnel. Symboles de partage, ils évoquent des moments agréables, conviviaux et savoureux.
AU MENU
Certains de ces mets ont depuis longtemps été intégrés dans l’inconscient comme des représentations explicites de parties du corps, comme l’aubergine et l’abricot qui sont devenus les émojis les plus célèbres pour évoquer le pénis et les fesses dans des sextos. Ce n’est pas le fruit du hasard si ces raccourcis sont si souvent utilisés dans les conversations, elles traduisent bien l’image que l’on a de ces produits de consommation courante qui peuvent vite trouver d’autres utilisations. Et dans ce domaine-là, les rayons des magasins se transforment vite en sexshop. Si l’on sort des valeurs sûres qui par leur forme phallique, leur rigidité et leur taille généreuse pour les plus gourmands trouveront toujours une place bien au chaud dans les tréfonds, certains d’entre nous plus téméraires sont des férus de fruits et légumes, végétariens d’un autre genre. À eux les pommes, kiwis, oranges et autres délices du primeur à se fourrer dans le séant quand d’autres explorent de nouvelles saveurs plus exotiques.
ERSATZ
Il faut avouer que ce terrain de jeu est gourmand à plusieurs titres. On peut laisser libre champ à nos fantasmes et faire de chaque comestible, une aventure orgasmique. Les fruits de petits calibres feront la joie des jeunes passifs qui découvriront les balbutiements du plaisir anal quand les habitués emploieront des œufs durs comme autant de boules de geisha à s’enfiler à la chaine en chapelet, plusieurs en même temps pour ensuite les pousser. Les plus experts en dilatations extrêmes goberont des ananas défaits de leurs épines pour élargir leur trou glouton. Pour les actifs, des fruits et cucurbitacées ouverts comme la pastèque, le melon ou encore la citrouille remplaceront idéalement une bouche quand une platée de pâtes tièdes reproduira la texture de l’intérieur d’un anus que l’on martèle.
Dans le même esprit, la semence masculine se métamorphosera en lait juteux et gras que l’on rajoute pour une pause café-latte ou en nouvelle sauce protéinée qui boostera les casse-dalles en lieu et place de la traditionnelle mayonnaise.
À TABLE !
En mode solo ou dans une partie de jambes en l’air, la cuisine est un paradis pour coquins imaginatifs.
Quand l’envie se porte sur les produits liquides que l’on aimerait voir couler, pour ensuite lécher le corps, là c’est une autre affaire.
On peut irrémédiablement penser à la crème chantilly ou au miel qui pulvérisés sur une teub invitent à une fellation version fond de gorge des plus délicieuses. Dans le top 5 des denrées les plus utilisées pour baiser, on retrouve le lait et la bière. On les boit et les régurgite dans le gosier de l’autre, on va même jusqu’à remplir à ras bord des culs pour ensuite les vidanger en se faisant asperger ou en avalant tout ce qui ressort des orifices. Les variantes sont innombrables. Les pâtes à tartiner sont aussi de la partie. Qu'elles soient à base de cacao ou de beurre de cacahouète, leur étalage est prisé. Les mecs s'en délectent en lapant les parties intimes qui en sont recouvertes. On déguste, tout en cleanant son ou ses partenaires. Il y a aussi l'histoire des sandwiches et hot-dogs qui voient la saucisse fraiche et dodue d'un bon gaillard se substituer à la traditionnelle saucisse de Francfort.
Becs sucrés ou salés, tout se consomme, se déguste. Que vous soyez friands de bonbons ou de 21 shamallows ou fans de ramens, de gyozas ou des raviolis italiens, les glisser dans le rectum d’un mec pour ensuite s’en baffrer, voici l’une des régalades que certains pigs gastronomes ne rateraient pour rien au monde.
SM
La bouffe tient également un rôle dans le monde du BDSM. Quoi de plus rabaissant que du « manger» pour rabaisser et humilier un bâtard pour bien lui faire comprendre où est sa place. Les scénarios sont multiples, mais le plus important est de jouer sur les codes et d’avilir le slave qui doit juste obéir. Pour cela, la soumission s’exprime notamment par des gâteaux ou un plat lambda réduit en bouilli, puis écrasé dans la gueule du larbin ou l’obligeant à bouffer les morceaux de ce qui reste entre les orteils et sous les pieds du domi.
Les injections à la seringue sont courantes. Que ce soit du lait ou sa version concentrée, ces simulacres de jus trouveront leur place au fond des orifices. Tout est bon pour que ça glisse. Justement, des litres de boissons versés dans un entonnoir innondent les tripes d’une lope mise à disposition afin qu’ensuite il expulse le liquide de son cul comme il le ferait après avoir été souillé non-stop par une horde de mecs venus se décharger en lui….
Dernière coquetterie, imaginez que votre cul se transforme en coupe à dessert où l’on vient se servir à loisir. Des fruits grignotés et insérés dans le fondement que l’on vient déguster à l’envie, la bouffetance flirte avec l’indécence lorsqu’elle s’immisce dans la sexualité. La nourriture stimule les sens à tous les niveaux, elle excite les papilles, exacerbe-les ressentis au contact de nouvelles textures… Vous le savez à chaque fois que vous introduisez quelque chose dans votre bouche.
Alors songez a ce que cela pourrait être si cela devenait une source d’amusement sexuel. Il ne nous reste qu’à vous souhaiter un bon appétit !
Extrait video offert par DomiAddict
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