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Bon minet en appartenance
Minet gay pour plan cul attaché, ma petite croupe lisse à la dispo de mon Maitre. Ici pour me faire dresser, corriger je ne peux renier l'évidence : j'aime appartenir à un dominateur et je veux lui obéir sexuellement à jamais. Je me sent si vivant quand un Maitre baise mon cul et m'arrose la gueule de son sperme. je kiffe qu'un master me regarde bien dans les yeux pour que je me sente un inférieur, excité, formaté.
FESSEE une bonne correction pour avoir CHAUD AU CUL
Une bonne correction, il n’y a que cela de vrai ! Mais se faire claquer le cul nécessite un certain état d'esprit. Les jeux autour de la fessée font souvent partie d’une mise en bouche avant l’acte sexuel, sorte de rituel préliminaire à une pénétration. Pour d’autres, elle arrive au moment de la pénétration elle-même, lorsque l’actif dans ses assauts fougueux abat sa main sur le postérieur du mec qu’il prend comme une marque de domination et d’encouragement, invitation à se donner encore plus. Pour les adorateurs de la fessée, c’est un tout autre délire qui s’opère. Cette pratique s’inscrit dans une démarque sexuelle à part entière, comprenez que cette séance de fessée est le centre de l’intérêt et se suffira à elle-même, tout se focalise sur ces belles fesses qui vont être travaillées pour s’échauffer, rougir et donner une forme de jouissance intense autant à celui qui applique les coups que pour celui qui reçoit. On a en tête la punition infligée lorsque l’on est gamin par un parent en guise de remise sur le droit chemin pour nous faire comprendre l’erreur qui vient d'être commise. Cette éducation par le châtiment corporel a été longtemps sujet à débat jusqu’à son interdiction. Il n’empêche que dans le cadre intime, cette notion qui perdure offre un champ de jeux qu’il est intéressant de découvrir si vous ne l’avez jamais encore fait. Se faire fesser de manière consentante ! Une idée qui a fait son chemin depuis longtemps chez les gays qui y voient une manière de procurer du plaisir dans le spectre des disciplines BDSM. La fessée est un art qui s’apprend. Que l’on soit receveur ou donneur, la flagellation manuelle ou par un objet qui fait office de continuité de la main participe à un trip hard qui peut être en fonction de votre niveau de connaissance et d’expérience de soft à très sévère. Lorsque l’on est passif, cette raclée est autant bénéfique qu’appréhendée, la boîte à fantasmes se met en branle et l’envie se décuple car chaque fessée est différente, chaque main l’est tout autant, sans compter sur votre sensibilité à ce moment précis et votre état d’esprit. De l’autre côté, le savoir faire du fesseur est un gage de qualité. Une main qui s’applique à marquer comme il se doit un cul, sera une satisfaction supplémentaire autant pour l’un que pour l’autre. Qui plus est le fait de sentir une miche après l’autre chauffer sous les coups répétés, voir la couleur changer, sentir le soumis se tendre sur chaque impact puis se relâcher instantanément avant la prochaine volée est jouissive pour les deux partenaires. La fessée comme pratique sexuelle est pour ceux qui en sont fans, un concept avec des principes. A commencer par celui qui va se faire châtier. Il faut être clair, il faut trouver dans la douleur et la souffrance, la performance et le défi, une base de plaisir. Car il faut savoir endurer ces paumes de mains qui s’abattent à tour de rôle sur les fesses tendues. Pour le bourreau, il possède entre ces mains le savoir, l’élégance et la beauté du geste bien fait. Une fessée ne s’administre pas à la dérobade. C’est une méthode, de nombreux échanges qui forgent le Maître fesseur que l’on souhaite devenir. Pour donner encore plus de piquant à la pratique, certaines règles sont à suivre. Il est de coutume à ce que le fessé ne soit pas forcément nu directement. Cela peut venir avec le temps mais la présence du sous-vêtement donne une dimension plus sensuelle à l’exercice. On privilégie donc le port du slip blanc de préférence ou d’un slip de bain. Par là passent les premiers coups qui s’étalent à travers le tissu pour commencer le cérémonial. Viendra le temps de descendre le tout sur les chevilles. Les jockstraps trouvent aussi un écho, dans le coté sportif qu’ils incarnent, le fait de n’exhiber que les fesses comme les slips qui concentrent l’attention sur ces masses charnues à labourer. La tenue "chemise sans slip" est aussi très prisée. Cela laisse encore le champ libre à une vision sublimée du pétard qui va se faire canarder. Coté fesseur, on reste habillé ou torse nu, c’est ainsi ! Chacun à sa place ! UN PACTE DE PLAISIR MUTUEL\r\nDe la tenue vestimentaire qui s'ajoute au jeu, la mise en scène est primordiale pour nourrir cette raclée volontaire. Et pour cela, le coté théâtral prend le dessus. Les duos se forment et se déforment à volonté en fonction du fantasme du jour. Le daddy et son fiston, le maton et le taulard, le flic et le criminel, le prof et son élève, le boss et son employé… toutes les versions de rapports de subordination sont prétextes à justifier que l’on en arrive à taquiner des culs pour remettre les choses à leur place. Se faire reprocher un travail mal fait, une faute, un regard de travers et c’est parti. La loi du dominant-dominé prend alors tout son essor lorsque vient la mise en place du jeu. De tout ce décorum en découle l’inévitable et si cinglante sanction. Le passif avec le cul tendu s’installe sur le fesseur, se met contre un mur ou sur un lit, littéralement offert, il attend avec impatience que les mains fassent leur office. A partir de là, tout un processus psychologique et physique se met en place. C’est autant l’attente du coup qui va se poser, que le bruit de l’impact, que la rougeur qui va en découler et la sensation de chaleur qui va se répandre sur les fesses, puis la sensation de douleur mêlée au plaisir que celle-ci engendre qui va s’emparer du fessé. Et quand on devient afficionados et que le plaisir d’avoir des marques de doigts sur le cul, que celui-ci est de plus en plus rouge puis violacée bleu et que l’on aimerait découvrir de nouvelles sensations, le monde de la fessée s’ouvre sur les accessoires qui permettent de pousser le plaisir du sado- masochisme toujours plus loin. Et pour l’imagination n’a pas de limites pour faire toujours plus mal : badine, martinet, martinet bêche, fouet court, fouet long, cannes en bambou épaisse ou en rotin, paddles, paddle de poche, tapette cloutée, tapette loop, tapette en 5 branches, tapette clap, cravache en aluminium, cravache souple en cuir, gant en cuir avec pointes, matraque en cuir, matraque en bois ou caoutchouc, il y en a pour tous les goûts VERS DE NOUVELLES SENSATIONS L’idée étant de progresser et que chaque outil par sa maîtrise donne des sensations uniques et différentes. Vous pensez bien que la largeur du paddle couvrant la fesse laisse une marque plus brute qu’un fouet plus fin qui strie le derrière d’une multitude de traces et met votre cul à vif. C’est aussi la répétition du geste sur la même zone d’impact qui forge le fessé. Il faut qu’il aille au-delà de ses appréhensions pour surmonter la violence des coups qui s’abattent sur lui. Il doit encaisser et en redemander sans broncher. Le fesseur attentif et bienveillant, observe, progresse, ajuste, pousse dans ses retranchements le receveur. Il va sans dire que c’est une discussion préalable lors de la mise en place du jeu qui met tous les protagonistes en condition et que le Mot de sécurité est réexpliqué et précisé à nouveau. Le fameux Safe Word qui permet à l’un comme l’autre de dire « stop » quand il considère que le temps est venu de mettre un terme au jeu. Les « spankers », comme tout le milieu DBSM, sont très attachés à ce respect. 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Extrait video OFFERT par Hard Kinks