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 Ma première fois… avec un rebeu de ma classe Histoire gay publiée le 29/03/2024
Ma première fois… Je m’appelle Raphaël, j’ai 20 ans et j’habite dans le 06. Quand j’avais 18 ans, j’avais ce mec dans ma classe, Yaniss, qui était super beau et musclé. On se parlait parfois, mais on avait jamais fait de sortie ensemble, ou quoi que ce soit. Un jour, en sortant des cours il pleuvait, et comme j’étais pas loin de lui, il m’a entendu appeler ma mère pour lui dire que j’allais prendre le bus. Bizarrement, il est venu vers moi et m’a proposé de me ramener chez moi, vu qu’il avait une voiture sans permis. Après avoir hésité, j’ai accepté en le remerciant. Alors qu’on avançait sous la pluie pour aller à sa voiture, l’eau rendait son t-shirt blanc de plus en plus transparent, et je voyais ses tétons percer à travers le tissu… Je n’osais pas le regarder trop longtemps de peur qu’il remarque. En m’asseyant dans sa voiture, j’attache ma ceinture et on commence à parler. Il me raconte sa vie, j’aimais bien discuter avec lui, entendre sa voix grave, l’écouter me parler de lui… alors qu’on se connaissait à peine ! A un moment, il me demande si j’ai déjà été en couple, alors j’ai répondu que oui avec une meuf, mais que j’aimerais bien tester avec un mec. Et c’est la qu’il m’a répondu que lui aussi ! Pour rigoler j’ai dit « on devrait essayer » mais apparemment il l’a pris au sérieux… Il a commencé à poser la main sur ma cuisse, et j’ai tout de suite paniqué. C’était nouveau pour moi ! Quand il m’a vu stresser il m’a dit de me calmer et bizarrement, sa voix m’a calmé immédiatement. Je me sentais protégé, à l’aise. Dans les embouteillages, il a essayé de se garer à la première place qu’il a trouvé et il a baissé nos sièges. Je voyais la bosse sous son jogging grandir, et l’excitation montait. Il a baissé son pantalon et m’a pris par les cheveux. Quand je suis arrivé au niveau de sa queue, j’ai commencé à sucer sa queue circoncise, à commencer par son gland. Je sentais sa bite grandir dans ma bouche, et j’accélérais les va et vient. Je l’entendais gémir, et je sentais mes poils se dresser sur mes bras. A un moment il a passé sa main dans mon caleçon et m’a malaxé le cul, et ma dit de m’asseoir sur lui. J’ai écarté mon cul et après il m’a mis sa teub dans mon trou. Je commençais à monter et descendre, et je sentais mon cul se resserrer autour de sa grosse queue. Elle devait faire environ 16 cm, 16cm de pur plaisir !! Dans un souffle et un gémissement si viril, j’ai senti son sperme couler dans mon cul, le jus bien chaud dégouliner sur mes fesses. Après m’avoir embrassé longuement, il a remis son jogging et a pris mon snap (il m’avait jamais ajouté alors qu’on était ensemble sur le groupe de classe…) Depuis, on se revoit souvent et je prends toujours autant plaisir à chevaucher sa queue.
Grosse bite de rebeu Tahar pour un cul Vidéo gay. Durée: 21 min
Mon appartenance à Ahmed et Ali Histoire gay publiée le 18/03/2024
C'était au début des années 1990. Je m'étais arrêté en fin d'après-midi dans un bar à Barbès où les arabes du quartier venaient se détendre après leur journée du travail. Peu musclé, j'étais à 23 ans, avec mon corps souple et imberbe de crunchboy, la proie idéale pour un rebeu qui voulait vivre une revanche sociale en dominant un jeune blanc pour en faire sa pute d'un soir. Ce jour-là, ils étaient six ou sept à me mater quand l'un d'entre eux vient s'asseoir à côté de moi pour me demander si j'étais du quartier. C'était un trentenaire basané et râblé, dont le visage bronzé et fin se prolongeait d'une barbe mal taillée. Je lui répondais que non, je n'habitais pas le quartier, mais que j'aimais l'atmosphère de ce bar et la clientèle qu'on y trouvait. Il me demande alors ce que j'attends de la clientèle, et je lui réponds que j'aimerai savoir ce qu'elle espère de moi et que suis prêt à servir. Il me demande mon prénom et me dit qu'il s'appelle Ahmed, puis il me prend la main pour la poser sur sa braguette, et je comprends illico le message et commence à masser à travers le tissu de son jean son sexe déjà gonflé. Au bout d'une ou deux minutes, il parle en arabe au patron. Je ne comprends rien mais devine qu'ils parlent de moi, et que je ne suis peut-être pas la première lopsa à me perdre ici. Le patron, un jeune mec d'une vingtaine d'années, musclé, les cheveux crépus coupés ras, un visage osseux traversé par deux yeux noirs au regard dur, lui tend une clé. Ahmed s'en saisit et prend mon bras pour m'amener à gauche du bar où se trouve une porte qu'il ouvre avec la clé avant de me pousser dans la pièce. C'est une arrière salle peu meublée, avec seulement un vestiaire et une banquette-lit rouge, et dans un coin un bidet en porcelaine blanche. La présence de ce sanitaire vieillot ne peut s'expliquer que pour permettre de se laver après avoir été baisé, ce qui illustre bien pourquoi cette pièce est aménagée et confirme que je ne suis pas le premier qui va y passer. Ahmed referme la porte sans la verrouiller, dépose son blouson sur un cintre, puis s'assied sur la banquette et m'ordonne de me déshabiller intégralement et de ranger mes affaires dans le vestiaire, et je m'exécute immédiatement pour être à poil en deux minutes, ce qui ne l'empêche pas de me dire d'un ton autoritaire de me dépêcher. Je referme la porte du vestiaire et me tourne vers lui, en lui présentant mon corps nu, lisse et clair, et il me fait signe d'approcher. Il m'attrape le bras pour me mettre à genoux sur la banquette à côté de lui et je lui présente docilement mon cul. Il écarte les jambes en ouvrant sa braguette, en m'ordonnant d'y passer la main pour aller sous son slip pour masser la peau chaude et moite de son scrotum et de sa verge, et J'enserre entre mes doigts son pénis turgescent et affamé que je masse docilement. Pendant ce temps, il m'examine, apprécie la courbure de mes hanches, mon ventre arrondi, ma peau de pêche, puis soupèse mes couilles d'une main ferme, palpe mes fesses pour en apprécier la fermeté et le galbe, avant de m'infliger plusieurs claques sonores qui doivent s'entendre de l'autre côté du mur dans le bar, comme son commentaire lancé d'une voix forte : "t'est une belle salope toi, on va te dresser pour que tu deviennes une bonne pute". Son doigt se glisse dans la raie de mes fesses pour examiner ma rondelle anale, qu'il force pour s'assurer de sa souplesse avant de conclure : " t'as déjà donné ton cul, hein ?". Je réponds "Oui Maître" pour lui manifester ma soumission et qu'il voie que j'ai compris que je lui appartenais et que je savais que je n'avais plus qu'à obéir. Constatant que j'ai reçu ses claques et ses insultes sans protester et que me suis laissé examiner comme un animal sans me rebeller, il a l'air satisfait et décidé à aller plus loin avec moi. Après avoir dégrafé son ceinturon qu'il retire de son pantalon, il enlève ma main de sa braguette pour le baisser avec son slip sur ses chevilles, et après avoir enlevé ses baskets qu'il repousse le long d'un des murs de la pièce, il se défait totalement de son jean et de son slip qu'il envoie d'un coup de pied rejoindre ses pompes. Il m'attrape alors brutalement par les cheveux pour littéralement me jeter à genoux entre ses jambes. Il est assis en mode pacha, simplement vêtu de son T-shirt, exhibant son sexe long et épais, déjà fermement bandé grâce au massage que je lui ai docilement prodigué. J'ai à peine le temps de l'admirer que, sans me laisser le temps d'y porter mes lèvres pour tenter de lui prodiguer une fellation, il tire mes cheveux en arrière pour m'obliger à le regarder, en agitant sous mes yeux son ceinturon qu'il a gardé dans sa main droite et en me disant d'une voix forte, pour être entendu de l'autre côté du mur : "tu vois ça, si tu n'es pas obéissant, je vais te caresser avec. Et même si tu obéis au doigt et à l'œil, je te caresserai avec pour le plaisir", et joignant le geste à la parole, il m'assène une dizaine de coup sur le dos et les fesses, et le claquement du cuir sur ma peau résonne jusque dans le bar, tandis que je serre les dents pour ne pas crier sous la morsure de la ceinture et les brûlures qu'elle m'inflige, dont ma peau porte pendant quelques minutes des marques rouge vif. J'ai trop peur que mes cris de douleur l'excitent et qu'il redouble les coups et prolonge mon supplice. Mais il a constaté que j'avais bien compris qu'étant enfermé avec lui à l'abri des regards et de la rue, j'étais totalement à sa merci et lui appartenais, et qu'il ne me restait plus qu'à obéir et être une bonne pute. Au demeurant, l'humiliation de n'être plus que sa chose me convenait, et il avait vu dès le départ que j'étais fait pour ça et n'aspirais qu'à trouver le seigneur et maître à satisfaire comme une fille soumise. Convaincu de m'avoir bien en main, il me met au travail et amène ma tête entre ses cuisses, et pendant que mon regard se perd sur ses abdos et ses poils pubiens, son pénis force mes lèvres heureuses de l'accueillir, et il me possède immédiatement à fond de gorge, son gland venant heurter ma glotte en provoquant une envie de vomir que je maîtrise à grand peine, et il m'impose des va-et-vient de plus en plus frénétiques, usant de ma bouche comme d'un vagin, en me criant "ouvre bien la bouche salope, je ne veux pas sentir tes dents", illustrant la sanction qu'il m'imposerait par deux violents coups de ceinturon sur le dos. A chaque mouvement, je suis contraint de l'accueillir à fond de gorge, et la seule liberté qu'il me laisse, c'est de masser le dessous de sa queue et son frein avec ma langue que sa possession a rendu baveuse. Docile et désireux d'être une bonne pute soumise pour le satisfaire, je garde donc ma bouche grande ouverte, et très vite ma mâchoire me fait mal, mais il prend son temps et a d'évidence décidé de faire durer son plaisir, et je ne peux qu'accepter ma douleur en cherchant à prendre dans l'humiliation qu'elle m'inflige mon propre plaisir et à accepter de subir la loi du mâle dominant à qui j'appartiens désormais. Mais j'entends la porte s'ouvrir et se refermer, et une voix juvénile lui demande si je suis "bonne", et il répond que j'apprends vite. Deux mains empoignent mes fesses pour les écarter et exhiber ma rondelle anale, et tout en continuant à me contraindre à le sucer, Ahmed appuie sur mon dos pour m'obliger à cambrer les reins et mieux offrir mon cul à la vue du nouvel arrivant. "T'as envie, baise cette salope" dit-il à l'inconnu qui abaisse pantalon et slip et je sens bientôt son sexe bandé et dur flairer puis niquer à sec ma rondelle anale. Une douleur intense me prend quand son gland heurte la muqueuse de mon ventre qu'il ramone, mais mon cri est étouffé par la bite d'Ahmed qui continue de posséder ma bouche et ma gorge et me bâillonne, tandis que je dois faire attention de ne pas la heurter avec mes dents. La douleur s'estompe vite, et au bout de quelques minutes, je ne sens plus que la queue qui possède mon cul et me lime avec avidité. Complètement possédé par les deux beurs, je jouis de me sentir exploré et exploité par leurs bites et de subir l'humiliation de n'être plus qu'un bout de viande à baiser. "Ouai, elle est bonne et soumise cette pute, va falloir qu'on la garde" dit l'inconnu, et je reste à leur disposition pendant une dizaine de minutes, la position me fait mal aux genoux et au dos et ma mâchoire s’ankylose à force d'être grande ouverte, mais je n'ai pas d'autre choix que subir pour les satisfaire et je jouis et bande du plaisir d'être possédé comme une bonne salope par la bouche et le cul et d'attendre d'être fécondé. Puis Ahmed et l'inconnu jouissent ensemble dans un grand râle de satisfaction dont tout le bar ne manque pas une miette, et je n'ai toujours pas le choix et avale le sperme crémeux et sucré d'Ahmed qui gicle à fond de gorge, tandis qu'un liquide chaud envahit mon ventre. L'inconnu s'est retiré, et je sens ce liquide chaud qui goutte hors de mon cul, tandis qu'Ahmed présente devant mes lèvres son gland circoncis ou perle une gouttelette blanchâtre en me donnant l'ordre de le nettoyer avec ma langue, et je m'exécute immédiatement avec le bonheur d'être docile et de lui appartenir. L'inconnu s'est rhabillé et sort sans même que j'ai pu le voir, et la porte se referme. Je croyais que nous étions seuls mais en quelques secondes, je sens une présence, et une voix s'adresse en arabe à Ahmed, sans doute pour demander s'il peut en profiter lui aussi, et sur la réponse d'Ahmed, un homme d'une cinquantaine d'années vient s'asseoir à côté de lui. En jean et chemise de coton blanche à carreaux rouges et bleus, l'inconnu, un peu enrobé, a un visage rubicond barré d'une épaisse moustache. Il baisse son pantalon et son caleçon sur ses chevilles et me présente un sexe court et épais mal lavé et qui sent l'urine. L'homme ne m'excite pas et l'odeur forte d'urine déclenche chez moi un mouvement de recul, mais Ahmed ne l'entend pas de cette oreille et veut montrer au cinquantenaire que je lui appartiens, qu'il m'a bien en main et qu'il sait se faire obéir. Il appuie fermement sur ma tête pour que ma bouche soit prête à acceuillir le sexe odorant du quinquagénaire, et une dizaine de coups de ceinturon marquent mon dos et mes fesses pour confirmer que je n'ai pas d'autre choix que d'obéir et servir. Alors, pour la plus grande fierté et satisfaction de mon seigneur et maître, j'accueille à fond de gorge la bite malodorante qui laisse dans ma bouche le goût acre de l'urine en entamant un va-et-vient laborieux, tandis que les replis gras d'un gros ventre rebondi tressautent devant mes yeux à chaque mouvement. Je croyais que le cinquantenaire était rentré seul, mais deux mains qui empoignent mes fesses avant d'y asséner quelques claques me font comprendre qu'un autre l'a accompagné, et une voix grave se réjouit de mater mon cul qu'il s'apprête à baiser. Je vois un jean et un slip tomber sur le sol à côté de moi, et j'entends l'homme qui s'agenouille avant de me pénétrer brutalement. Mais mon cul est lubrifié par le sperme de celui qui vient de me baiser, dont la queue était plus longue et plus grosse que celle qui me travaille maintenant, et j'accueille sans douleur son gland qui cherche avidement à me posséder de plus en plus profondément, et la caresse de son sexe bandé dans mon ventre me procure un plaisir qui me fait jouir. Mon sperme tâche le carrelage sous moi, tandis que ma queue débande pour pendre humblement et laisser quelques gouttes blanchâtres tomber sur le sol, pendant que les deux beurs liment consciencieusement ma bouche et mon cul. "Il est meilleur qu'une fille" dit la voix grave dans mon dos, qui devait être en manque et très vite, un liquide chaud me féconde à nouveau, tandis que mon niqueur se retire et je l'entends se nettoyer sur le bidet. Puis un bruit de tissu froissé et de boucle de ceinture me révèle qu'il s'est rhabillé, et le cinquantenaire qui n'a toujours pas joui se retire de ma bouche et se lève pour lui céder la place. Je vois s'asseoir un homme d'une soixantaine d'années, au corps mince sous un jean et une chemise unie bleue, dont le visage basané, surmonté de cheveux blancs et crépus, est parsemé de rides. Le cinquantenaire m'attrape fermement par les cheveux pour me prendre maladroitement en levrette, et il réussit à prendre enfin pleinement possession de mon cul pour jouir et me féconder en quelques minutes, sous le regard satisfait d'Ahmed. Ahmed m'ordonne devant les deux hommes de nettoyer avec ma langue le carrelage que j'ai sali, et je m'exécute et lèche mon propre sperme avec dans le ventre une boule de plaisir née de l'humiliation d'être soumis et obéissant en public. Les deux chibanis sortent, et Ahmed déplie la banquette-lit avant de m'ordonner de m'y coucher sur le dos. Il s'allonge sur moi et me chevauche en m'ordonnant de relever mes jambes et de les placer sur ses épaules, et il bâillonne mes lèvres avec les siennes et sa langue explore ma bouche, tandis que son sexe, toujours dur et bandé, nique ma rondelle anale et me lime de plus en plus profondément, ses couilles venant heurter mes fesses à chaque mouvement. Mes sphincters et mon colon sont pleinement détendus, et je me donne totalement. Après un bon quart d'heure, il jouit une nouvelle fois et me féconde, et je sens son sperme chaud remplir mon ventre. Il se retire et m'ordonne de l'accompagner au bidet pour nettoyer sa bite, en commençant avec ma langue avant de finir à l'eau. L'odeur entêtante de mon propre cul emplit ma bouche, que je rince à l'eau claire après avoir fini de nettoyer la queue de mon maître. J’écarte ensuite avec deux doigts de ma main gauche ma petite rondelle pour m'asseoir sur le bidet et asperger d’eau mon cul avant d'y introduire les doigts de ma main droite pour me nettoyer et être propre pour accueillir un nouveau venu à satisfaire. C'est alors Ali, le patron du bar, qui rentre et referme la porte, et les deux hommes s'asseyent côte à côte sur la banquette toujours dépliée, et d'un claquement de doigts vers le sol devant lui, Ahmed m'intime l'ordre de venir en restant à quatre pattes à ses pieds et contrôle mon cul, sans pudeur ni aucun égard pour moi, afin d’en vérifier la propreté. Tout en discutant, Ali se déshabille pour "m'essayer", et en quittant ses vêtements, il révèle un corps basané, mince et musclé. Sa poitrine velue laisse apparaître deux tétons surplombant des aréoles plus claires sur des pectoraux bronzés, qui dominent un ventre plat que parcourent des abdos entourant un nombril profond et chiffonné, tandis que devant ses cuisses musclées, je vois des couilles bien pleines et une bite gonflée, offrant un foret épais d'une vingtaine de centimètres, et je frémis à l'idée de la douleur qui va déchirer ma rondelle quand il va me prendre à sec. Ali m'attrape par les cheveux et, assis en mode pacha, il me regarde durement et force mes lèvres pour commencer un va-et-vient très fort . Comme Ahmed, Ali prend son temps, et ma mâchoire commence à me faire mal avant de s'endolorir, mais il saisit ma nuque pour me bloquer et me posséder plus d'une minute à fond de gorge, et je respire difficilement, le visage écrasé sur la peau musclée de son ventre, pendant qu'il me regarde fixement en me traitant de lopette juste bonne à faire la pute. Vingt minutes s'écouleront encore avant qu'il pousse un cri rauque en éjaculant dans ma gorge, et alors que j'avale docilement son sperme chaud, il se retire pour m'ordonner de me mette à genoux sur la banquette et de présenter mon cul en levrette. Ali transperce sans ménagement ma rondelle anale. Les parois de mon colon, heurtées par son gland, brûlent et la douleur qui irradie m'arrache un petit cri, qui l'excite et il accélère le va-et-vient qu'il a entamé sans attendre, lime sans ménagement mon cul à la recherche de son plaisir de possédant et de prédateur, en disant "elle a un bon cul cette pute, je prends mon pied", avant de donner de sa main libre une grosse claque sur mes fesses. Sa bite déchire ma rondelle anale en labourant mon ventre, et il fait traîner les choses et durer les sensations qui lui traversent tout le corps, et tout en criant "Aaaah oui, c'est bon, il est vraiment fait pour faire la pute", avant de tirer encore plus fort mes cheveux au point que la peau de mon crâne est rouge écarlate à leur racine. Après presque une demi-heure pendant lesquelles Ali connaît l'extase, il atteint l'orgasme et me féconde dans un grand râle, et je sens sa semence chaude remplir mon ventre. Le flot abondant est à la hauteur du temps passé à me limer, et Ali se retire alors pour s'asseoir sur la banquette, avant de me donner l'ordre de nettoyer son gland et sa queue avec ma langue. Puis il se rhabille et sort, et Ahmed me dit d'en faire de même et conclut, avant que je sorte, que je peux revenir quand je veux. Je suis fréquemment revenu pour satisfaire mes nouveaux amis et aujourd'hui encore, il ne se passe pas une semaine sans que je retrouve Ahmed et Ali à qui j'appartiens désormais.
Je vais te doser ptit pute Histoire gay publiée le 09/03/2024
Je vais vous raconter ce qui m'est arrivé il y a une semaine. j'ai 32 ans et je me prénomme Jules, je suis plutôt mince musclé sec et j'ai un bon petit cul rebondit. Tous les soirs avant d'aller me coucher je fume ma clope à l'extérieur car je vis au rez-de-chaussée donnant sur la cour de mon immeuble. Tous les vendredi soir vers minuit je vois sortir de la cage d'escalier un beau rebeu ayant moins de 30 ans mesurant dans les 1m85 et avec un corps assez musclé style lascars en survêtement casquette et sket TN au pied. j'en ai déduit qu'il devait aller voir sa meuf ou un plan Q régulier dans l'immeuble. Chaque vendredi quand je le vois passer il allume sa clope devant moi et me fait un sourire en touchant son paquet, mais moi je reste en admiration sans jamais l'accoster. Mais vendredi dernier j'ai décidé de prendre mon courage à deux mains. j'attends minuit décide de mettre un string et un short un peut trop grand pour moi. il sort de l'immeuble et je décide de lui parler: " tu aurais du feu pour moi bogoss" le lascars étonné se mis à sourire et me tendit son briquet, je fis exprès de faire tomber son feu et de tendre mon cul lors du ramassage. Il vit rapidement mon string et rigola en me disant " tu y vas direct salope " il enchaîna " tu habites au rez-de-chaussée c'est bien ça ? " je lui répondis " Oui tu veux rentrer ? " Puis il ce dirigea vers ma porte et j'avoue que j'étais grave excité. Arrivé dans mon appartement il prit directement ses aises et alla s'asseoir sur le canapé alluma une clope et en me regardant me réplica " tu es gay ? moi je suis hétéro mais tant que je prends du plaisir et que je me vide les couilles ça me va " je ne me fis pas prier et je suis allé me mettre à genoux devant son bas de survêtement. On pouvait déjà deviner que ce bogoss bandait à moitié. Je pris sa queue en bouche et commença à lui sucer le gland en alternant des gorges profondes. Je vis qu'il était en train de me filmer et quand je le regarda il me dit " je vais montrer ça à ma reuf de la téci " il commença à m'insulter de salope et me demandait si je kiffait sa bite d'arabe ? pour lui répondre j'augmentais mes gémissements. Sa queue devait mesurer 22cm et 5 cm de largeur un vrai délice. Puis au bout de 15 minutes il me demanda de me mettre à 4 pattes sur le canapé, j'obéis puis il crachat sur ma petite rondelle et me dit " Gaze toi un max au poppers car je vais y aller en mode bourrin" je pris mon poppers et me gaza au moins 2 minutes chaque narines. Il mit de la salive sur sa queue puis mis son gland sur ma rondelle et força le passage. Je ressentis une douleur immense suivi d'un certain plaisir procuré par l'excitation. Au bout de 20 minutes mon maître bourrin cria " je vais te doser ptit pute" puis je sentis une chaleur m'envahir. Il donna quelques coups de bassin avec sa queue afin de bien tasser son jus d'arabe puis ce retira et partit comme il était venu. J'ai hâte de le revoir vendredi prochain.
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Je voulais trop essayer
SIm les gars Chui pas du genre à raconter mes plan mais je me suis di pk pas Je suis algérien j'ai 23 ans j'habite à Saint Denis. J'habite chez mes parent et je fais des étude d'informatique. Personne chez moi sait que je couche avec des gars donc très discret ll y a un an toute la famille était parti au bled sauf moi parce ke je travaillais. J'avais jamais rien fait avec un gars mais je voulais trop essayer. J'avais vu sur twitter qu'il y a avait une application pour rencontrer des gays. Et un soir j'ai téléchargé. J'ai juste mis rebeu 23 ans 1m85 74kg mais j'ai pas mis de photo. Wesh j'ai reçu 10 notifs en 2 min. Je commence à parler avec un renoi il me dit qu'il a jamais rien fait avec un gars non plus. On discute pendant 2 jours et un soir je lui dit vient à la maison on fera rien juste pour fumer la chicha entre pote. ll arrive c'était un ivoirien avec une belle barbe bien habillé etc. Du coup on va se poser dan mon salon trql on discute on rigole soirée presque normal zebi. Je vais dans ma chambre chercher un chargeur et quand je reviens il est en caleçon. On se regarde mais on parle pas du coup j'ai fait pareil et on a continué comme si de rien été. On parle on fume et la d'un coup il commence à poser sa main sur ma cuisse. J'ai eu chaud du coup j'ai commencé à bander et il a vu. On est aller dans ma chambre on s'est mis nu et il a commencé à me sucer, il mettait un peu les dents mais après ça allais. (Les gars suce mieux que les meuf c'est véridique). Ça me faisait bizarre de me faire sucer par un mec mais c'était bon. Il avait un gros cul et lui savait qu'il était passif mais s'il n'avait rien fait. Du coup j'ai mouiller mes doigt et j'ai commencé à rentrer un ensuite deux. Je vois qu'il aimais bien ça du coup je lui dit t'es chaud on le fait et il a dit ok. J'ai mis un préservatif (j'en avais pas je suis parti en prendre un dans la chambre de mon frère) et j'ai commençai à rentrer doucement. Il était pas trop expressif je pense qu'il voulait pas montrer qu'il avait mal. Et on a continué de plus en plus vite je vois qu'il commencé a gémir et la je lui ai allumé son trou. Je lui mettrai des grosses fessées et il aimais ça Franchement c'était trop excitant de l'entendre le faire crier. J'ai craché dans la capote et il voulait que je crache sur son visage. Il m'a dit qu'il avait kiffé et qu'il pensait pas prendre autant de plaisir la première fois. Ensuite on s'est revus plusieurs fois jusqu'à ce qu'il retourne à Montpellier pour les études
Histoires de sexe écrites par des amateurs
Je me retrouvais à pomper une racaille rebeu dans les chiottes
Salut a tous. Je vais vous raconter une histoire vraie qui s’est passée quand j’étais au Lycée. Pour info, j’étais élève dans le lycée ou mon père était proviseur. Alors que j’étais en terminale, mon père avait des problèmes avec un élève, Marwane, qui était en classe terminale technique. Le mec, un grand rebeu footeux de 18 ans mettait le bazar. A cette époque j’étais un geek filiforme, 1m90 pour 75 kg, cheveux blonds assez longs, lunettes, corps de crevettes même si j’ai toujours eu un beau cul et des hanches assez féminines. Un des éléments étaient aussi mes lèvres, elles sont assez charnues. Un jour que je sortais de cours vers 12:00 et que j’allais, toujours seul a cause de mon coté introverti, pour aller à la cantine, je passepar les toilettes. Quand je rentre, il n’y a personne à part une cabine fermée et une odeur de weed. Je regarde vaguement sous la cabine et je vois deux Nike. La porte s’ouvre et Marwane en sort, un reste de joint à la main. Il me regarde et sort direct: « Oh putain mais t’es le fils de l’autre enculé de proviseur toi! » J’essaye de pas répondre mais il me prend par le tee-shirt et me tire vers lui. « T’es son fils non? Hein sale connard! » Je marmonne vaguement oui. « Oh putain ton enculé de daron m’a fait chier ce matin et la je suis sur que tu vas lui dire que je me tapais de la beuh! » Je réponds effrayé « Non non » Il me pousse dans la cabine et la referme. « Tu vas me pomper et comme ça tu pourras rien dire » J’essaye de sortir « t’es dingue je suis pas homo! » Il me prend par le cou. « Arrête t’a une gueule de pédale qui se fait tirer dans une cave, tu vas me pomper ou je te casse la gueule. » Ça me calme. « Voila, met toi a genoux sale khaba » Je me met a genoux même si j’ai pas compris le dernier mot. Il baisse son survêt et son boxer et une grosse queue circoncise, bien veineuse et tendue et bien odorante en surgit. « Vas-y suce salope qu’est-ce que tu attends! » J’ai avancé doucement ma bouche vers sa bite, avec dégoût et sans vraiment vouloir. Ça l’a agacé et il a mit sa main derrière ma tête et m’a enfoncé sa queue directe a fond de gorge. « Mais suce putain! » J’ai failli vomir… et il a rit. « Finalement tu étais peut être pas un pd, tant pis tu vas le devenir! » Il a commencé à me baiser la bouche…il me pilonnait la bouche. Moi qui fantasmais sur une intello black de ma classe , je me retrouvais a pomper une racaille rebeu dans les chiottes. Il a sorti son tel et a commencé a filmer en commentant : « Tu kiffes hein salope, le zboub ! » Il a retirer sa bite et m’a obliger a répondre « oui j’aime » avant de me refaire sucer sa queue puis ses couilles. « Putain si ton pere te voyais me lécher les couilles ptite pute! » Ça l’a excité d’y penser… Il m’a remis sa bite en bouche et m’a vider ses couille en pleine gorge. J’ai pas eu le choix et j’ai avaler. « Voilaaaa c’est ce que tu dois faire Salope. Donne ton tel. Un sms de moi et tu viens la et tu me pepom! » Il est parti direct apres avoir eu mon tel… j’avais pas pu manger mais j’avais été nourri de sperme supérieur. Et j’ai commencé a être sa pute.
Histoires de sexe écrites par des amateurs
Le rebeu du train
Coucou cela s’est passé dans le trajet du retour dans le train le 1er janvier. Je me retrouve un peu déçu de partir mais il faut bien rentrer. Je me pose dans le train à l’avance. J’anime bien mater qui rentre pour savoir si je vais me rincer l’œil ou pas. Et là un beau mec la trentaine entre j’espère tellement qu il sera à côté de moi. Un beau rebeu barbu, 1m90 bien musclé en survêt… Par chance il s’installe à côté de moi, je lui demande si il préfère la fenêtre et me fait non de la tête. Je me pose avec mes écouteurs et lui regarde son téléphone. Un moment je tourne la tête et je ne peux m’empêcher de mater son survet et là je vois une sacré bosse ce qui me donne le barreau direct. Je pensais qu il n’a pas grillé que je le matais mais je me trompais, il me souriait puis touchais son paquet. Il me pris la main et la posa sur son paquet puis sourit à nouveau. Je le caresse à travers le survet puis je met la main dedans et commence à le branler. Et là il me chuchote tu m’excites trop rejoins moi et il part dans les chiottes. J’attends une minute et me rend au chiotte. Il n’a pas fermé la porte à clé, je rentre c’est un peu étroit. Il était debout et me dit vas y amuse toi bien. Alors je descends son survêt qui laisse apparaître une sacré teub je n’ai jamais sucé si grand et gros ( 21/6 ), il relève son t shirt sur sa tête et laisse apparaître un torse bien musclé et très poilu comme j’aime ce qui m’excite encore plus. Je ne me fais pas prier et commence à jouer avec son gland et là il me prend la tête et l’enfonce d’un coup sur sa bite j’ai un haut le cœur, il me dit on a pas tout le temps, je me laisse baiser littéralement la bouche j’en bave grave, j’ai l’impression que je vais étouffer mais au fur et à mesure ma gorge s’habitue et je prend un sacré plaisir, il sort sa bite me biffle à plusieurs reprise un plaisir de sentir sa queue lourde sur mon visage, je m’occupe de ses boules et il gémit grave. Je continue à le sucer avec application et il moment je sens son rythme s’accélérer et il m’enfonce sa bite bien au fond de ma gorge et déchargé plusieurs jets quel kiff, je nettoie ensuite sa queue avec application. Il sourit et se rhabille en vitesse et me dit de sortir, je me relève et sort et je pars à ma place, il me rejoins quelques secondes, on commence à parler vite fais que le train arrive, il me dit je veux qu’on se revoit mais là je veux t’exploser ton cul mais ça s’est une autre histoire ...
Histoires de sexe écrites par des amateurs
Je rech un plan cul avec un acteur citebeur (entre rebeus)
Cela fait quelque temps que je matte les vidéos d’Andolini sur Citebeur, surtout celles où il se laisse caresser et tripoter par un autre mec. Il faut dire que j’ai toujours fantasmé sur les mecs musclés, voire bodybuildés. J’aimerais pouvoir admirer, caresser, palper, masser un mec exagérément musclé, mais ça ne court pas les rues ! Je suis un petit beur mignon de 19 ans. Si tu es un beur bien foutu échangeons quelques messages afin de cerner les attentes de chacun. J’aime les mec plutôt soumis et obéissant, si tu es partant, nous pourrons fixer un rendez-vous sur Paris. Ma seule exigence : est que tu viennes en bombers, torse nu en dessous (éventuellement un t-shirt ultra moulant, comme une seconde peau pour bien mettre en valeur tes muscles). Si tu es OK : c'est un de mes plus gros fantasmes… (je suis fétichiste de bombers et surtout de doudounes…) Je vous promets que c'est pas Chat GPT qui a écris mon annonce j'ai réellement ce phantasme.
Extrait video OFFERT par CITEBEUR